rois- ivières

Nous avons effectué des tests de sols et engagé des ingénieurs. ... et lui-même ont. Un père dénonce l'intimidation dont est victime sa fille de 7 ans ..... ments à son père. « Je voulais tellement lui prouver que je pou- vais y arriver. C'est ce qui m'a motivé depuis le début et ça a beaucoup contribué à mon succès.» Selon le ...
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Un voyage à Cuba tourne presque au cauchemar

En prison pour un retard à la bibliothèque Page 6

Page 10 Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

A On entre dans les écoles comme dans un moulin

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ctualité

Les consignes de sécurité ne sont pas respectées partout Nicolas DUCHARME •[email protected]

Selon la directrice générale de la Commission scolaire Chemin-du-Roy, Hélène Corneau, « tous les accès à l’école doivent être sécurisés à clé ou être barrés. Sinon, les écoles doivent être sous surveillance humaine ou par caméra. » Une visite à l’École Saint-Paul nous a permis de constater qu’il était effectivement impossible de pénétrer entre les murs de l’institution sans emprunter la porte du secrétariat. Toutefois, si l’École Saint-Paul a passé le test, ce n’est pas le cas dans d’autres établissements.

c’est une des portes secondaires de l’établissement qui avait été laissée déverrouillée alors que des élèves étaient en classe. Une fois à l’intérieur, il a été possible de circuler sans souci pendant près de 10 minutes sur les étages et entrer dans des classes et différents locaux. Lors de son passage, L’Écho a aussi croisé quelques professeurs et plusieurs jeunes élèves, toujours sans qu’on demande l’intervention d’un surveillant. Il a aussi été possible de s’introduire à l’école Vision, située dans le secteur Pointe-du-Lac. Toutefois, il semblerait que la présence de L’Écho ait été repérée. « Nous vous avons vu sur nos caméras de sécurité », a fait savoir Caroline Melançon, directrice de l’établissement, en prenant soin de décrire de façon fidèle l’habillement du journaliste qui n’était nullement identifié à un média durant l’opération. « Nous attendions quelqu’un, mais après un certain temps, nous nous sommes rendu compte que vous n’étiez pas la personne attendue. Nous étions prêts à intervenir. »

Des portes déverrouillées L’auteur de ces lignes a pu s’introduire facilement à l’intérieur de l’École Saint-Philippe, située au centre-ville, et de l’école du Bois-Joli, localisée dans le nord de Trois-Rivières. Dans les deux cas,

L’Écho Des mesures seront prises Il a été facile pour notre journaliste de s’introduire dans plusieurs coridors d’écoles À la Commission scolaire Chemin-du-Roy, la comme celui-ci alors que des élèeves étaient en classe. directrice générale, Hélène Corneau, avoue être « Je n’aime pas ce que j’entends. Je peux tion et faire une vérification de toutes les extrêmement surprise qu’il ait été possible d’envous assurer que nous allons corriger la situa- écoles. » trer dans une de ses écoles.

Avec le drame qui s’est joué à l’École primaire Saint-Paul en 2010 alors qu’un intrus avait piqué un intervenant avec une seringue, on pourrait croire que les mesures de sécurité des écoles de TroisRivières ont été renforcées. Pourtant, L’Écho n’a eu aucune difficulté à entrer et à circuler librement dans trois des six établissements visités au cours des derniers jours.

Nos écoles formées pour réagir à la présence d’un tireur fou (JFH) Parce que d’horribles événements du genre se sont produits à Colombine, Virginia Tech et, plus près de chez nous, au Collège Dawson et à la Polytechnique de Montréal, la SQ fait la tournée des écoles primaires et secondaires de la région afin de former les enseignants et le personnel sur les méthodes à prendre lorsqu’un tireur fou pénètre dans une école. La scène est, semble-t-il, assez intense pour donner des sueurs froides aux plus braves et déstabiliser complètement les personnes plus fragiles, même si ce n’est qu’une simulation. Tentant de garder leur calme, les professeurs et membres du personnel doivent sécuriser leurs locaux et calmer les élèves dans le but de les protéger de la présence d’un tireur fou. Suivant les consignes enseignées par la Sûreté du Québec, ils ont le mandat d’intervenir rapidement pour sau-

ver leur vie et celle des jeunes. Dans les corridors, un comédien joue habilement le rôle du tireur fou, ce qui force les participants à vaincre l’angoisse et le stress qui les envahit. «Ça ressemble beaucoup à la réalité. Certains professeurs sont sortis des exercices un peu ébranlés tellement le niveau de stress était élevé», explique Renée Jobin, directrice des communications à la Commission scolaire de l’Énergie. Cette simulation s’inscrit dans le cadre du Plan de réponse pour des établissements sécuritaires (PRÉS) de la Sûreté du Québec, qui s’ajoute au plan d’urgence établi depuis plusieurs années dans les écoles. Pour les policiers de la SQ, ces exercices sont également l’occasion de tester leurs méthodes d’interventions, même si les chances semblent bien minces que de tels incidents se produisent en Mauricie.

«L’expérience est très formatrice car on ne peut jamais croire que nous sommes complètement à l’abri de ce genre d’événement. De plus, grâce aux commentaires des participants, nous pouvons ajuster nos méthodes de travail», confie Éloïse Cossette, porte-parole de la Sûreté du Québec, district Mauricie-Centre-du-Québec. Sans les élèves Contrairement à certains endroits, les simulations dans les écoles de la région ont toutes été faites lors de congés pédagogiques alors qu’aucun élève ne se trouvait dans les classes. «On s’est dit que ça causerait un stress inutile pour nos élèves de les impliquer. D’ailleurs, il était important de former le personnel d’abord car ce sont eux qui devront agir si une telle situation se présente», explique Mme Jobin.

Le personnel de plusieurs écoles de la région a été formé sur les méthodes à prendre lors de la présence d’un tireur fou. La SQ aura bientôt complété la tournée des 1535 écoles de son territoire. Une deuxième simulation de la présence d’un tireur fou est recommandée aves les élèves, mais la participation des écoles n’est pas obligatoire.

Samedi 28 janvier, de 11h à 16h

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

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Le DG ne s’inquiète pas de la situation L’accès à l’hôtel de ville de Trois-Rivières n’est pas contrôlé Fannie BROUILLETTE • [email protected]

Le directeur général de la Ville de TroisRivières, Michel Byette, ne s’inquiète pas à la suite des événements de Verchères et doute que des agressions commises dans l’hôtel de ville de cette municipalité puissent produire ici. « C’est certain que le DG prend certaines décisions qui pourraient déplaire à certains. Mais je ne panique pas avec ça. Si je faisais ça, ça m’empêcherait de dormir », indique M. Byette. Il mentionne que la Ville travaille actuellement à trouver un moyen afin de mieux contrôler les accès à l’hôtel de ville, mais qu’il ne s’agit pas d’une priorité absolue. « On regarde s’il n’y a pas une meilleure façon de contrôler, mais ce n’est pas facile. L’hôtel de ville date de 1967 et abrite la salle du conseil. Le maire est très accueillant. Puis, nous avons d’autres priorités ailleurs quant à la santé et sécurité au travail. », ajoute-t-il. Le directeur général a lui aussi été victime de menaces à son endroit. Il y a un an, il avait reçu une lame de rasoir souillée par la poste. «Dans un cas comme celui-là, ce n’est pas moi qui suis le plus préoccupé. Ça inquiète plus notre entourage », mentionne le directeur général. Même s’il ne craint pas pour sa sécurité, il condamne les événements de Verchères, où le directeur général avait été poignardé par un citoyen en colère. « Des événements comme ceux de Verchères sont inadmissibles. La violence est toujours inacceptable. »

L’Écho

Les employés de l’hôtel de ville de Trois-Rivières ne s’inquiètent pas pour leur sécurité à la suite des événements de Verchères, en Montérégie. Les adjointes qui surveillent À l’hôtel de ville de Trois-Rivières, ce sont principalement les secrétaires qui contrôlent les allées et venues dans les bureaux administratifs. L’adjointe au cabinet du maire Denise Bellemare n’a, à l’instar de ses collègues, jamais craint pour

sa sécurité. « Ça circule beaucoup, on n’est pas à l’abri de ça. Mais s’il faut s’inquiéter chaque fois qu’il y a un incident comme celui-là, on ne sortira jamais de chez nous », affirme-t-elle. Il arrive toutefois que certains individus, agi-

tés ou non, doivent être ramenées à l’ordre. « Tout le monde ici travaille un peu à surveiller les gens. Parfois on les raccompagne jusqu’à la sortie. Ça arrive des gens qui parlent fort. Mais il n’y a jamais eu d’incident pour dire qu’on a eu peur », conclut-elle.

Actes de violence dénoncés dans les hôtels de ville (GJ) Engueulades, menaces, intimidation, gifles et même coups de poings : les employés municipaux, et plus particulièrement les directeurs généraux de municipalités sont plus fréquemment qu’on le croit la cible d’une grogne citoyenne mal exprimée. L’attaque au couteau contre le directeur général de Verchères et son adjoint, le 13 janvier dernier, a poussé les 1500 membres des associations de directeurs généraux des villes, villages et MRC à dénoncer la violence contre le personnel municipal alors que leur table de concertation annuelle s’est ouverte à Trois-Rivières, le 20 janvier. « Ce n’est pas parce les gens paient des taxes qu’ils acquièrent le droit d’insulter les individus qui travaillent pour leur ville », appuie Charles Ricard, président de l’Association des directeurs généraux des municipalités du Québec. Celui qui est aussi directeur général de La Pêche, en Outaouais souligne que le nombre de cas d’intimidation et de violence envers ses

confrères et consœurs de partout en province est insoupçonné. Les cas aussi dramatiques que ceux de Verchères ou de Saint-Rémi-de-Tingwick, où la directrice générale a été assassinée à coups de fusil par un citoyen mécontent en 2008, sont exceptionnels. Mais la violence « ordinaire », elle, est plus fréquente. « Les gens banalisent la violence. Elle touche les directeurs généraux, mais aussi les élus, les secrétaires, et les évaluateurs municipaux. Il faut changer les mentalités. Les employés d’organismes publics ont droit au respect », plaide M. Ricard. Politique de lutte à la violence L’ADMQ représente 1100 directeurs généraux, principalement ceux de petites municipalités de moins de 5000 âmes. Charles Ricard exhorte ses confrères et consœurs à dénoncer les actes d’intimidation et de violence qui sont dirigés contre eux. Car c’est

souvent dans ces petits milieux que les gens hésitent à porter plainte, explique-t-il. « Dans les petits villages, les gens se connaissent plus. On attribue parfois les débordements à la personnalité forte de quelques personnages bien connus, ou on hésite à porter plainte contre quelqu’un qui a des liens familiaux avec un de nos proches, par exemple. » Par ailleurs, dans les petites municipalités, le maire est souvent employé à temps partiel. Alors, lorsqu’un citoyen en colère contre une décision des élus se présente à l’hôtel de ville, c’est la plupart du temps sur le directeur général qu’il tombe à bras raccourcis, raconte M. Ricard. C’est ce qui explique que l’ADMQ ait lancé une campagne de réflexion en ses rangs. Elle s’est rallié à l’Association des directeurs généraux des municipalités du Québec et l’Association des directeurs généraux des MRC du Québec pour rédiger une politique de lutte à la violence dans le milieu municipal.

Courtoisie ADMQ

Le président de l’ADMQ, Charles Ricard, invite ses collègues à dénoncer les actes de violence dont ils sont victimes.

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

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Le maire Lévesque n’a peur de rien Pas question d’ajouter des mesures de sécurité à l’hôtel de ville Jonathan ROBERGE • [email protected]

Même s’il est possiblement la personne la plus à risque de subir menaces, intimidation et violence à l’hôtel de ville de TroisRivières, le maire Yves Lévesque dit n’avoir peur de rien. Malgré le triste épisode de la Ville de Verchères, où un homme a poignardé le directeur général de la municipalité en tentant de se rendre jusqu’au bureau du maire pour lui réserver le même sort, Yves Lévesque n’a pas l’intention d’ajouter des mesures de sécurité additionnelles sur l’étage où l’on retrouve les bureaux de son administration. «Des gens dérangés, il y en a partout et en aura toujours. Cette fois, c’est arrivé dans un hôtel de ville. Ça arrive parfois dans les écoles et n’importe qui peut être visé. Arrêtons de faire croire aux gens qu’on vit dans un monde où il n’y a pas de malades. On n’empêchera personne d’entrer à l’hôtel de ville parce qu’il y a eu un homme dérangé à Verchères. Ma porte est ouverte et elle le sera toujours», a expliqué le maire Lévesque au terme d’un exercice effectué par l’Écho, visant à tester les mesures de sécurité en périphérie du cabinet du maire.

Intrusion dans son bureau Lorsqu’un maire affirme que sa porte est toujours ouverte, c’est bien souvent au sens figuré. Pour Yves Lévesque, c’est toutefois bien réel. Il y a quelques semaines, un individu s’est d’ailleurs infiltré dans son bureau. «Il s’est emparé d’une bouteille d’alcool qu’on utilise lors de réceptions dans le salon du maire, puis a tenté de partir avec une statue dans mon bureau. Je l’ai apostrophé et conseillé de remettre le tout en place.» Une lame de rasoir dans son courrier Par le passé, Yves Lévesque a souvent été victime d’appels téléphoniques menaçants. «Mon numéro de téléphone est dans l’annuaire. Je n’ai pas l’intention de le rendre confidentiel non plus. Même si tu te barricades, il y aura toujours un moment où la personne qui veut ta peau pourra le faire. Elle peut t’attendre dans le stationnement, devant chez vous, au centre d’achat… il ne faut pas devenir paranoïaque.» Voilà donc pour le maire. Le père de famille en lui s’en fait un peu plus lorsque les gestes intimidants viennent affecter les gens qui l’entourent. «J’ai déjà reçu une lame de rasoir dans mon

L’Écho

Victime d’intimidation à maintes reprises, Yves Lévesque n’a pas l’intention de renforcer la sécurité à l’hôtel de ville. courrier personnel. Des gens méchants il y en ville, Lévesque répond sans hésitation. a partout. Mais chez nous, on a été élevés de «Absolument pas! Lorsqu’il y a de gros dosfaçon à se tenir debout et faire face à l’intimi- siers chauds au conseil municipal et qu’on sait dation.» que les gens vont réagir fortement, on met des Au cours de sa carrière politique, il a piloté de mesures de sécurité additionnelles en place gros dossiers. Comme dans toutes situations, il y pour s’assurer que tout se déroule a eu des gens mécontents. Quant à la possibilité dans l’ordre. Pour le reste, il ne faut pas arrêter d’ajouter du personnel de sécurité à l’hôtel de de vivre.»

Bécancour ne lésine pas avec la sécurité quelques mauvaises expériences avec des citoyens mécontents à la conduite inacceptable. Rien de dramatique, explique le maire, mais des petits gestes de brutalité verbale et physique. « J’ai l’impression que les gens sont de plus en plus exigeants, mais aussi plus impatients, pour toutes sortes de raisons », note M. Richard. D’ailleurs, tout le personnel a suivi une formation pour mieux intervenir auprès des clients frustrés. La sécurité des employés de l’hôtel de ville de Bécancour passe par une série de petits détails allant de la vitre devant le guichet de la trésorière à l’ajout d’une deuxième porte de sortie à la salle de réunion publique de la MRC de L’Écho Le maire Maurice Richard peut compter Bécancour. sur un système d’alerte s’il fait face à une Le premier magistrat souligne que la Ville doit menace, grâce à un bouton installé sous composer avec plusieurs dossiers chauds qui parson bureau. fois déclenchent les passions, comme les gaz de schiste et la réfection de la centrale nucléaire. «Chaque fois que nous avons eu vent de manifes- lors d’assemblées, nous avons demandé à la SQ tations ou de gestes d’éclats qui se préparaient de se tenir en alerte. »

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(GJ) À la suite du 11 septembre 2001, l’hôtel de ville de Bécancour a cru bon resserrer ses mesures de sécurité. Non pas qu’on craigne une attaque aérienne : c’est plutôt l’irruption d’un homme agité dans le bureau du maire Maurice Richard au lendemain des événements de New York qui a incité la direction instaurer un système d’alarme à divers endroits stratégiques. « En ce moment même, je pourrais appuyer sur le bouton qui se trouve sous mon bureau et les policiers de la Sûreté du Québec seraient ici en quelques minutes », a expliqué le maire de Bécancour, Maurice Richard, alors qu’il rencontrait L’Écho. L’attaque à l’arme blanche subie par le directeur général de Verchères et son adjoint à l’intérieur même de l’hôtel de ville fait dire au premier magistrat que la Ville a pris une bonne décision en instaurant ce système. Et puis, les employés de l’hôtel de ville de Bécancour ont aussi eu

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Un voyage à Cuba aurait pu tourner au drame pour une Trifluvienne et sa fille Agence QMI • [email protected]

Une dame de Trois-Rivières a eu droit à toute une frousse, le 7 janvier dernier, lorsque l’avion dans lequel elle se trouvait, en direction de Cuba, a dû rebrousser chemin et atterrir d’urgence à Montréal après qu’au moins deux bruits d’explosion se soient fait entendre dans l’appareil. Monique Lavoie, 58 ans, et sa fille de 33 ans s’envolaient pour Varadero, à Cuba, avec le transporteur Sunwing, où ils allaient passer une semaine. Les deux femmes ont finalement pu arriver à bon port, mais il aurait pu en être tout autrement. Quelques minutes après le décollage, qui s’est effectué de l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau à 6 h 45, « on a entendu un énorme bruit, suivi d’un deuxième, semblable à une explosion, a raconté la dame. On savait tous, dans l’avion, que ce n’était pas normal. » Un message a ensuite été diffusé dans l’appareil, avertissant les 190 passagers qu’un problème mécanique était survenu, et qu’il fallait retourner à l’aéroport. « Nous avions très peur, le temps s’est comme arrêté, a confié Mme Lavoie, encore bouleversée deux semaines après les événements. Ma fille et moi nous tenions les mains serrées, soudées par la détresse et dans l’attente d’une mort certaine. Une hôtesse de l’air nous a dit qu’étant donné que l’avion était encore plein de carburant, ça pouvait causer des problèmes avec les freins à l’atterrissage. » « Le contact a été très brutal sur le sol, mais on a atterri, a poursuivi la dame. Je suis habituée de prendre l’avion. Cet atterrissage a été dur. » Selon Mme Lavoie, des passagers assis à l’arrière de l’avion ont vu des flammes par le hublot. « Nous sommes restés environ cinq minutes sans bouger. À notre sortie de l’avion, il y avait des hommes qui avaient tous l’air de pompiers », a-t-elle précisé.

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Douze heures à l’aéroport Les passagers ont dû retourner à la salle d’embarquement, sans trop recevoir d’explications ou de support, selon Monique Lavoie. « De retour au terminal, les réactions variaient, a-t-elle expliqué. Une personne a vomi, une autre pleurait, une autre voulait annuler son voyage, d’autres prenaient de l’alcool et faisaient la fête. On a dû aller se dédouaner, je ne sais pas pourquoi. » Environ 12 heures se sont écoulées avant que les passagers puissent prendre un nouvel avion. « Personne de chez Sunwing n’est venu nous parler, pour au moins nous rassurer, a déploré Mme Lavoie. Pour la majorité des gens, l’angoisse s’est manifestée par une attitude impuissante, déçue, patiente et silencieuse, pendant 12 heures. » Les passagers ont reçu un bon d’achat de 15 $ pour manger à l’aéroport en guise de compensation, a indiqué la Trifluvienne. « Et un petit verre de champagne gratuit à bord du deuxième vol avec les excuses du capitaine. » Un séjour perturbé Mme Lavoie n’a pas passé une semaine à Varadero, mais plutôt six jours, sans recevoir de compensation pour l’impair. « On est arrivé à minuit et on n’a pas pu dormir, a-t-elle raconté. La deuxième nuit, ma fille a été très malade, elle vomissait toutes les heures. Et ce n’était pas la tourista. » Les deux femmes ont tout de même pu profiter de leurs vacances, mais en gardant cet incident en tête. « Un peu plus de deux semaines plus tard, j’ai encore le coeur qui chavire et les émotions qui montent chaque fois que je raconte ce qui est arrivé », a avoué la dame. Contactée à ses bureaux de Toronto afin d’obtenir sa version de l’incident, Sunwing n’a pas retourné les appels de l’Agence QMI, dimanche.

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Monique Lavoie se souviendra longtemps de son dernier voyage à Cuba.

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- Vol SWG686, 8 janvier (le billet d’avion de Mme Lavoie indique le 7 janvier) - Boeing 737 8K5, construit en 2009 - 190 passagers, 6 membres d’équipage - Aucun blessé - Notes du rapport : « En montée initiale, le moteur numéro un a émis un bang suivi d’un saut de régime moteur. Quelques secondes plus tard, la même chose s’est reproduite. L’équipage a déclaré une urgence, suivi la liste de vérification et réduit le régime du moteur au ralenti. L’équipage a ensuite choisi de revenir à Montréal pour effectuer un atterrissage en surcharge sur la piste. L’équipage a demandé des vecteurs de délais afin d’effectuer les vérifications et pour brûler du carburant. L’appareil s’est posé […] sans encombre sur la piste […] avec les services d’urgence en attente. Le capteur d’entrée soufflante T12 était défectueux. »

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Le début des travaux est toujours souhaité pour 2012 Projet immobilier de 300M $ sur le site de Trois-Rivières sur Saint-Laurent

Nicolas DUCHARME •[email protected]

Même s’il a reçu un accueil glacial de la part du Groupe des sept le 22 décembre dernier, le promoteur Richard Thibault ne compte pas abandonner son projet de développement immobilier sur le site de Trois-Rivières sur Saint-Laurent.

« C’est du jamais vu et c’est ridicule ! C’est la pre- ments de ce développement résidentiel ouvrir leurs mière fois que je vois des gens payés par les fonds portes d’ici la fin de l’année 2012. publics accueillir un client de la sorte. Ils ne méritent pas leur poste. Je suis certain que si ça avait été un investissement de 300 millions en logements sociaux, ils l’auraient accueilli à bras ouverts. Là, ce serait important, mais sinon, ce n’est pas assez bon pour eux. C’est la politique de gau-gauche. » Le politicien craint que ce genre de dispute sur la scène publique ouvre la porte à d’autres villes pour attirer un promoteur comme Richard Thibault. « Ça me rappelle le cas de Premier Aviation. Ils s’étaient chicanés avec la Ville de Québec et ont décidé de plier bagage. Quand j’ai vu ça, je les ai invités à venir faire un tour à Trois-Rivières. On ne l’aurait pas su s’il n’y avait pas eu de chicane. Les De la politique de gauche autres municipalités nous regardent. C’est ça la comLe maire Lévesque est sorti de ses gonds lorsqu’il pétition. » est revenu sur les événements du 22 décembre. Richard Thibault aimerait voir les premiers bâti-

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« J’attends des nouvelles de la Ville sous peu. Il devrait y avoir des développements sous peu. Je continue dans ce sens et j’espère finaliser le tout », avoue le promoteur originaire de Québec. Le 22 décembre dernier, Richard Thibault était à Trois-Rivières pour présenter aux élus son projet, un développement résidentiel situé sur le site de TroisRivières sur Saint-Laurent, un investissement de 300 millions de dollars. La rencontre avait toutefois été annulée, puisque le Groupe de sept affirmait que celui-ci devait être enregistré au registre des lobbyistes pour avoir le

droit de procéder à sa présentation. Le promoteur n’avait visiblement pas apprécié et était retourné dans la Vieille Capitale sans rencontrer les élus. « J’avoue que ça m’a refroidi. Ce n’est pas plaisant, surtout que je travaille sur ce projet depuis un an et que j’ai investi 300 000$. Nous avons effectué des tests de sols et engagé des ingénieurs. Tous du monde de Trois-Rivières. C’est donc clair que le but est de continuer. » Le promoteur espère maintenant que le projet avancera plus rapidement. « Quand le projet est retardé de la sorte, il se peut que le retour se compte en mois et même une année. Nous sommes au Québec, il faut composer avec l’hiver. S’il est retardé d’un an, c’est quatre millions de taxes que la Ville perd », note M. Thibault.

Yves Lévesque souhaite rencontrer à nouveau le promoteur Richard Thibault pour que se concrétise le projet de tours à condos sur le site de Trois-Rivières sur Saint-Laurent.

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

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Un père dénonce l’intimidation dont est victime sa fille de 7 ans Audrey Ruel-Manseau | TVA Nouvelles - [email protected] convenu, lors d’une rencontre vendredi dernier, Malgré tous les mouvements pour contrer que Samara réintègre l’école lundi. l'intimidation, ce fléau est toujours très La direction a assuré au père que les quatre présent dans nos écoles, comme l'a appris présumées jeunes filles qui s’en prennent à à ses dépens Samara, une élève de 7 ans Samara seront rencontrées et que des mesures dont le père est passé à un cheveu de la redisciplinaires suivront. Les enseignants à qui tirer de l’école. Samara avait demandé de l’aide ont aussi été Souffre-douleur de ses camarades de classe, la convoqués par la direction. fillette de Trois-Rivières endure un véritable calL'art de la punition vaire depuis maintenant deux ans. La Commission scolaire Chemin-du-Roy re« Presque chaque journée, je me fais battre », a lancé Samara, qui ajoute que « presque toutes fuse de commenter la situation, sous prétexte les filles de sa classe » se comportent en bour- que, mis à part une rencontre en début d'année, la direction de l'école Le P'tit bonheur n'aurait jareaux à son endroit. « J'essaie de me protéger. Moi aussi, je dis des mais eu vent de l'intimidation dont était victime mots méchants, mais je ne donne pas de coups Samara. Un rendez-vous a débouché sur des répriparce que sinon, ça empire », a expliqué celle qui a encore une fois été prise à partie la semaine der- mandes qui ont fait sourciller M. Jodoin. « Les mesures qui ont été prises, c'est faire des dessins nière par ses camarades de classe. « Hier [mercredi dernier], ça a été la goutte qui pour dire Je m'excuse. Personnellement, si je suis a fait déborder le vase. Cinq ou six élèves lui ont un enfant, on me dit de faire un dessin...», s’indonné des coups de pied et l'ont enfermée dans digne le père, selon qui les sévices ont repris deux un vestiaire. J'ai appelé l'école et j'ai dit: Je la re- semaines plus tard. tire», a dit André Jodoin, le père de la victime. Changer de coin Samara dit s'être confiée à ses deux enseiDernière chance Le père de Samara était bien décidé à lui faire gnantes, qui auraient minimisé la situation. « Elles m'ont dit: Ce n'est pas grave. Va-t'en l’école à la maison. Dans une ultime tentative de trouver un terrain d’entente, la direction de dans un autre coin et elles ne vont pas te suivre », l’école, la commission scolaire et lui-même ont se rappelle Samara.

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L’Écho

Parce que sa fille Samara est victime d’intimidation, André Jodoin est passé à un cheveu de la retirer de l’école.

Les élèves de Chavigny tournent une vidéo de sensibilisation (Nadia Trepanier) L’intimidation à l’école a pris une grande ampleur médiatique ces derniers temps. Suivant la vague visant à contrer ce phénomène, des professeurs, intervenants et élèves de l’école Chavigny se sont mobilisés pour réaliser une vidéo dénonçant l’intimidation afin de sensibiliser les gens. C’est après avoir vu la vidéo de Laurent Paquin sur You Tube que Martin Malenfant et Amélie Martel, tous deux enseignants au programme d’art dramatique de l’école, ont initié ce projet avec la collaboration de Patricia Bernier, intervenante Pivot pour prévenir et traiter l’intimidation à Chavigny et Alexandra Dumas, une élève de l’option théâtre. «Ce qu’on aimait beaucoup de l’idée du carton de Laurent Paquin qu’on a décidé de reprendre, c’est qu’il était un peu symbole d’étiquette que l’on se fait souvent apposer à l’école, que ce soit positif ou négatif. Des fois, toutes les raisons sont bonnes pour devenir une victime », explique Mme Martel. Au lieu de faire une vidéo montrant une seule personne, les intervenants ont décidé d’impliquer les élèves et ceux-ci ont très bien répondu à l’appel. «J’ai trouvé ça très intéressant qu’on puisse faire bouger les choses avec une vidéo. Je pense que tous les élèves qui sont présents ont embarqué avec l’idée de nos professeurs qui était vraiment excellente. On veut en parler pour que les choses chan-

gent parce que ça nous tient tous à cœur. Moi, l’intimidation, je veux arrêter ça et je pense que tous ensemble, on a vraiment trouvé le moyen d’en parler avec la vidéo», déclare Alexandra. L’important, c’est le message Intitulée Tous contre l’intimidation, la vidéo d’une durée de sept minutes montre une quarantaine d’élèves présentant des cartons porteurs d’un message répondant à la question : «Qu’est-ce qui te distingue?». Des caractéristiques telles que : «Je viens d’ailleurs», «Je suis timide», «Je suis amoureuse», «Je suis différente», «Je suis moi» défilent ainsi sur la musique Angel de Sarah McLachlan. Bien que la conception de la vidéo soit assez simple, son impact n’en est pas moins percutant, car ce sont les jeunes qui ont pris la parole. Leurs mots et leur franchise ne peuvent laisser personne indifférent. Et c’est exactement l’effet qui était recherché. «On espère que cette vidéo va vraiment mettre un malaise sur le comportement et qu’il va faire mettre en action tous les gens qui sont concernés par le développement et la progression de nos jeunes au Québec », exprime Mme Chantal Couturier, directrice de l’école Chavigny. Car comme le mentionne Mme Bernier : «L’intimidation, ce n’est pas juste une histoire entre un agresseur et une victime; on a tous un rôle à jouer pour faire cesser l’intolérance, la violence, les insultes, les préjugés.»

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En prison pour des livres non retournés à la bibliothèque Une bonne leçon pour une jeune femme de Shawinigan

Fannie BROUILLETTE • [email protected]

Fait plutôt rarissime, Annie Moreau a écopé d’une peine de 11 jours de prison pour avoir omis de remettre des livres empruntés en 2007 à une bibliothèque de Repentigny. Quelques semaines après sa sortie, la jeune femme de Shawinigan peine encore à croire qu’une telle mésaventure lui soit arrivée. « À cette époque-là, j’ai vécu une séparation avec mon ex. J’ai simplement oublié d’aller retourner les livres. Comme j’ai déménagé souvent, je n’avais reçu aucune lettre ou avis de paiement», affirme la jeune femme de 29 ans, qui vit à Shawinigan depuis un peu plus d’un an et demi. Lorsqu’elle a finalement reçu l’avis, elle n’avait pas assez d’argent pour payer dans les délais prescrits les frais de 268,78$ qu’on lui réclamait. Interceptée à Shawinigan pour une banale infraction au code de la sécurité routière vers la mi-janvier 2012 alors qu’elle faisait l’objet d’un mandat d’arrestation, elle a immédiatement pris le chemin de l’établissement carcéral de Trois-Rivières, puis de la prison Tanguay, à Montréal. Au lendemain de son arrestation, elle a pu être libérée lorsqu’un membre de sa fa-

mille lui a enfin prêté la somme nécessaire. « Je trouve ça stupide. Je ne suis pas une criminelle. Je m’exprime bien, je n’ai pas l’air tout croche. J’ai repris ma vie en main et je suis allée en thérapie. J’ai recommencé l’école. Ça prend du courage! Ce n’est pas payant, aller à l’école! », lance celle qui souhaite terminer ses études secondaires au Centre de formation aux adultes de Shawinigan, puis étudier en éducation spécialisée. Une bonne leçon Mme Moreau se désole tout de même des conséquences engendrées par son escapade de quelques heures en prison. Elle a dû rester plusieurs jours à Montréal à la suite de sa libération, puisqu’elle n’avait aucun moyen de transport pour revenir à Shawinigan. « C’est vraiment plate la situation dans laquelle ça me met. J’ai dû suspendre mes cours. Je devrai rembourser ma famille et je n’ai pas d’argent pour ça. » L’Écho La jeune femme n’aura pas de casier judiAnnie Moreau a omis de rendre cinq livres à la bibliothèque municipale de Repentigny. ciaire à la suite de sa mésaventure, mais elle en n’aurais jamais pensé que des livres me condui« La façon dont j’ai été traitée au début, tire une bonne leçon. c’était correct. Mais j’étais nerveuse. C’est « J’ai été irresponsable. Ça montre que même raient en prison. » Quant à son expérience carcérale, elle en quelque chose d’être en cellule et de n’avoir si on est dans une période où ça va moins bien dans notre vie, ça nous rattrape toujours. Je gardera un mauvais souvenir pour longtemps. droit à rien», raconte-t-elle.

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Toujours pas d’installation de défibrillateurs prévue dans les arénas Nicolas DUCHARME •[email protected]

Il ne se sert pas de l’instrument chaque jour. C’est bien d’avoir une formation de quatre heures, mais si tu dois t’en servir après huit mois, ce n’est pas évident », note-t-il. « Dans les arénas, nous avons des employés du Service des loisirs et des cols bleus. Ils n’ont pas tous des horaires fixes, sans compter les congés de maladie. Ça devient difficile d’avoir quelqu’un « Ce n’est pas dans nos cartons », confirme de compétent en tout temps. » Yvan Toutant, porte-parole de la Ville de TroisRivières. L’exemple de Québec Il avance que de contacter les services ambuAlors que Trois-Rivières n’a pas l’intention de lanciers est la façon la plus rapide et efficace pour procéder à l’achat de défibrillateurs, à Québec, ce sauver la vie d’un sportif qui subirait un arrêt car- sont tous les arénas qui sont maintenant munis diaque. de l’appareil depuis janvier 2010. « S’il y a un incident, les joueurs devront tout Dans la Vieille Capitale, il n’y avait pas de prod’abord trouver l’employé de la Ville dans l’aréna, grammes d’installation de défibrillateurs dans les qui lui devra ensuite aller chercher le défibrilla- complexes sportifs jusqu’à ce qu’un généreux teur. Imaginez le temps nécessaire. On considère donateur remette la somme de 10 000$ à la Ville. que c’est plus rapide d’appeler le 9-1-1», explique- Les élus ont alors décidé d’emboîter le pas et ont t-il. investi 23 000$ pour faire l’achat de 19 appareils. Pourtant, l’Agence de la santé et des services Depuis, le programme n’a cessé de grossir. De sociaux de la Mauricie et du Centre-du-Québec 19, le nombre de défibrillateurs est passé à 49. On prône la défibrillation précoce. « Nous sommes en retrouve maintenant dans des piscines, des en faveur des défibrillateurs dans les arénas », gymnases et même deux bibliothèques. soutient Christiane Lemaire, conseillère en comPendant qu’on craint à Trois-Rivières que les munication. appareils soient difficiles à utiliser par les employés des arénas, Jacques Perron, de la Ville Une situation difficile pour les employés de Québec, affirme que les formations se sont Yvan Toutant craint aussi la réponse qu’auront bien déroulées dans la capitale provinciale. les employés s’ils se trouvent confrontés à une « Il n’y a pas eu de réticence de la part des situation d’arrêt cardiaque sur la surface glacée. employés. Il faut dire que ce sont des machines « Quelle sera la réaction de l’employé face à ça ? très faciles à utiliser», fait savoir M. Perron.

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Concours

La semaine dernière, L’Écho vous apprenait qu’aucun des neuf arénas des environs de Trois-Rivières ne possède un défibrillateur. Cette situation devrait perdurer puisque l’installation de ce type d’instrument n’est pas dans les priorités de l’administration Lévesque.

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L’Écho

Les hockeyeurs de Trois-Rivières devront prendre leur mal en patience. Il n’est pas dans les priorités de la Ville d’installer des défibrillateurs dans les arénas.

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La pierre angulaire dévoile En minutes une partie de ses secrets BILLETS DE BANQUE

Elle sera mise en valeur à la place du Flambeau Guillaume JACOB • [email protected]

Cinq pièces de monnaie de l’époque du roi Édouard VII et un scapulaire : voilà le trésor que renfermait la pierre angulaire trouvée dans l’église Saint-Philippe. La pierre, issue de la première église paroissiale érigée en 1710, avait été rendue creuse et placée dans les fondations de l’église Saint-Philippe lors de sa construction en 1908. Le creux de la pierre est recouvert d’une plaque de métal sur laquelle est inscrit un texte latin d’inspiration religieuse au recto et une liste des personnalités politiques et ecclésiastiques en poste en 1908 au verso. Par-dessus la plaque de métal, la pierre était recouverte d’une plaque de marbre. Prisonnière de la brique et du mortier, elle sera confiée au Centre de conservation du Québec qui tentera de

la dégager et peut-être d’y découvrir des inscriptions datant elles aussi de 1710. Après négociations, la Ville a fait l’acquisition de la pierre de l’entreprise Excavation Ovila Despins, chargée de la démolition de l’église Saint-Philippe, au coût de 20 000 $. Les pièces de monnaie d’époque qu’elle renfermait pourraient valoir près de 2000 $. Au départ, l’entrepreneur voulait mettre la pierre et son contenu aux enchères. La pierre sera mise en valeur à la place du Flambeau, au centre-ville, à l’endroit même où les archéologues ont mis à jour les fondations de l’église paroissiale de 1710 l’été dernier. Le sol sera marqué à l’endroit où se situait l’église avant qu’elle soit victime du grand incendie de 1908 qui a ravagé une grande partie de la ville. « Ça va augmenter l’attrait du circuit touristique », a souligné le maire Yves Lévesque.

De nouveaux billets en polymère La monnaie canadienne a grandement évolué au fil des années, et elle va maintenant encore plus loin sur le plan technologique. Les nouveaux billets en polymère ont une apparence et une texture bien différentes de celles des autres billets. Les nouveaux billets sont extrêmement sûrs, durables et novateurs.

Portrait à reflets métalliques Bande transparente Texte transparent

Encre en relief Petits chiffres

Édifice à reflets

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L’Echo

La pierre angulaire avait été creusée et contenait cinq pièces de monnaie datant de 1908 et un scapulaire.

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SOURCE : BANQUEDUCANADA.CA

E Patrick Dupuis, coiffeur et entrepreneur

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ntreprendre

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Guillaume JACOB • [email protected]

Propriétaire de la Boîte à coupe depuis 1997, Patrick Dupuis a su se tailler une place parmi les commerces à succès du centre-ville de Trois-Rivières. Rencontre avec celui qui sait manier le marketing aussi bien qu’une paire de ciseaux. C’est par un accident de parcours que Patrick Dupuis a découvert qu’il était doué avec une paire de ciseaux. Sa copine, le bras cassé, ne pouvait plus se couper les cheveux elle-même, alors il a hérité de la tâche. « Les gens lui faisaient des compliments sur ses cheveux, alors je me suis dit que j’avais peut-être du talent. » Patrick Dupuis a perçu une pointe de déception dans le regard de son père lorsqu’il lui a annoncé qu’il se lançait dans une carrière de coiffeur. Il dérogeait ainsi à deux générations de mécaniciens et s’engageait dans une profession qu’on associait plus facilement à la gent féminine. Deux ans après avoir été embauché à la Boîte à

coupe, qui existait déjà depuis 1980, il achète l’entreprise. «J’ai acheté en me disant que si je ne le faisais pas à ce moment-là, je ne le ferais jamais. Et je voulais prouver à mon père que je pouvais bien réussir dans ce métier », admet-il. Patrick Dupuis se lance donc dans l’aventure, sans expérience, et sans vraiment savoir ce que ça impliquait que de gérer une entreprise. « J’étais inconscient, lance-t-il avec un sourire empreint de nostalgie. La première année, je dépensais les rentrées d’argent au fur et à mesure, sans garder de provisions pour les impôts. J’ai mis plusieurs années par après à me remettre de cette bévue ! »

et l’entrepreneur prend soin d’y associer son salon. Tout en aidant de bonnes causes, le coiffeur faisait ainsi connaître son entreprise de façon incomparable. Autre tour de force, Patrick Dupuis fait de la Boîte à coupe le premier salon de coiffure au Canada à détenir son permis de vente d’alcool, afin que ses clientes puissent siroter un martini pendant leur brushing. En 2005, lorsqu’il a remporté le prix Radisson de la meilleure entreprise dans la catégorie Service à la personne, Patrick Dupuis est monté

sur scène pour adresser ses premiers remerciements à son père. « Je voulais tellement lui prouver que je pouvais y arriver. C’est ce qui m’a motivé depuis le début et ça a beaucoup contribué à mon succès.»

La Boîte à coupe : 10 employés au total Jusqu’à 100 clients par jour Ouvert depuis 1980

Sens inné du marketing Vers la fin des années 1990, beaucoup d’autres salons de coiffure ferment leur porte tandis que le centre-ville sent les premiers élans d’un renouveau. C’est alors qu’il se découvre un sens du marketing insoupçonné. Il créé une entreprise parallèle pour organiser des défilés de mode et de coupes de cheveux au profit d’organismes à but non-lucratif. Les événements attirent vite les foules

En affaires grâce à la franchise ? Selon le Conseil québécois de la franchise (CQF), l’univers de la franchise au Québec correspond à 315 différentes franchises, 11 366 commerces, 170 686 emplois et plus de 23 milliards de dollars en chiffre d’affaires. Bref, un type d’entrepreneuriat très important pour la province. Faire le grand saut avec un filet de sécurité Dans l’Étude sur le poids relatif de la franchise dans l’économie québécoise lancée la semaine dernière et commandée par le CQF, il est souligné que cinq comportements sont dénotés chez les franchisés au même titre que tout autre type d’entrepreneurs : l’entrepreneurship, la motivation, le leadership, l’interaction et la technique. Effectivement, tous les chefs d’entreprises aiment ce qui est organisé et méthodique, ce qui présente des défis, ce qui offre des contacts et de l’autonomie. Ils préconisent un espace où la créativité est possible et où des compétences techniques sont essentielles. Les franchisés présentent donc les mêmes caractéristiques que les créateurs d’entreprise et releveurs. Vous désirez entreprendre ? Pourquoi ne pas faire le grand saut et opter pour la franchise ? www.entrepreneurship.qc.ca

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Patrick Dupuis, propriétaire de la Boîte à coupe JF01520166

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n bref

L’heure est au bilan pour le Port de Bécancour. En 2011, 27 % plus de marchandises a transité au port, pour un total de 2,04 millions de tonnes métriques. Selon la Société du parc industriel et portuaire de Bécancour, cette augmentation est due à la reprise des activités normales des entreprises du parc, après deux années plus difficiles. Or, le nombre de navires à quant à lui baissé, passant de 167 en 2010 à 148, l’an passé.

Claude Lessard se range derrière la chef péquiste Après avoir ouvertement réclamé le départ de Pauline Marois en octobre dernier, Claude Lessard se dit maintenant derrière la chef péquiste. Le président du Parti québécois en Mauricie se range vers la chef du PQ à la suite d’un vote, tenu la semaine dernière, lors d’une assemblée des forces péquistes de la région. Concernant de possibles élections en 2012, Claude Lessard se dit optimiste, mais il pense que le parti doit paraître plus unifié que jamais et doit régler également ses crises internes pour espérer prendre le pouvoir.

Fin de la campagne de vaccination contre le virus de l’influenza Plus de 14 000 personnes se sont fait vacciner contre la grippe depuis le mois de novembre, à TroisRivières. La campagne massive de vaccination contre le virus de l’influenza a pris fin mardi. Il s’agit de la cinquième campagne du genre organisée par le CSSS. Selon les intervenants en santé, la population est de plus en plus consciente de l’importance de recevoir le vaccin, qui demeure la façon la plus efficace de se protéger et de protéger les autres

La famille Harvey vend le MV Draveur La famille Harvey, propriétaire des Croisières Jacques-Cartier, n’utilisera qu’un seul navire dès l’été prochain, le MS Jacques-Cartier. Luc Harvey et ses fils François et Michel ont pris cette décision difficile, mais positive qui assurera la relève de l’entreprise. La famille sera réunie à bord du même bateau, plus spacieux. Il pourra accueillir plus de passagers. Le MS Jacques-Cartier viendra plus souvent à TroisRivières. Une belle façon de souligner le 40e anniversaire des Croisières Jacques-Cartier.

Nouveau groupe de recherche à Trois-Rivières Un nouveau groupe de recherche est créé à TroisRivières : COSI Québec-Canada, le Comité de secours internationaux. C’est un groupe de maîtres-chiens bénévoles qui pourra effectuer des recherches lors de catastrophes naturelles. Douze bénévoles ont suivi une formation spécifique afin de pouvoir se rendre sur les lieux de catastrophes naturelles afin d’aider à trouver des survivants. C’est le tremblement de terre d’il y a deux ans en Haïti qui a motivé le groupe trifluvien à obtenir les certifications qui lui permettront de se rendre aider lors d’un prochain séisme.

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Port de Bécancour : moins de bateaux et plus de marchandise

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’une rive à l’autre

Des jeunes qui travaillent fort et qui ont de l’ambition! Lyne Sauvé et Jean-François Poulin de Carbone Bleu, une entreprise qui se spécialise dans la création de sites web, dans l’image corporative et le design imprimé me disaient que l’année débute avec force. Pour eux normalement janvier démarre lentement mais cette année c’est plus fort que jamais. Quand on est jeune et qu’on a du talent, le succès est là!

Le photographe pêcheur Le photographe bien connuDaniel Jalbert est passionné de son métier, mais aussi de la nature! Il est bien installé sur le lac St-Pierre et y pratique la pêche blanche. Ses prises: de la perchaude et du doré qu’il fume lui-même. Daniel me disait qu’il se nourrit le plus possible de ce qu’il chasse et pêche.

En vrac... Lors du dernier conseil d’administration de la Maison Le Far, Magali Loisel , membre du C.A. et avocate à la Ville de Trois-Rivières a avisé les autres membres qu’elle devait quitter plus tôt. La raison, c’est que Magali participera le 18 février à la soirée du match des étoiles de la Fondation le far et que ce soir-là elle avait une pratique. Un p’tit pas à gauche, un p’tit pas à droite…On a bien hâte de voir ça le 18 février prochain!

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PAR CLAUDE

Bolduc [email protected]

L’écrivaine Louise Lacoursière qui elle aussi fait partie du C.A. de la Maison le far quittait le lendemain pour six semaines en Guadeloupe. La raison de ce voyage : elle se retire pour écrire un nouveau livre. Il y a de pires endroits pour écrire! Louise, qui nous a déjà présenté la trilogie de Anne StillmanMcCormick, Lunes Bleues et Roland Leclerc par-delà l’image nous revient au printemps avec le premier livre d’une autre trilogie. Le cadre de ce roman se situe fin du XIXe, début du XXe siècle, à moins de quarante minutes de Trois-Rivières. Action et émotions seront au rendez-vous! Elle est en Guadeloupe pour terminer le 2e tome. ** Véronique Laramée qui avait quitté la région pour la grande ville il y a quelques années a décidé de revenir dans son coin de pays et grâce à l’aide du Carrefour jeunesse Emploi. Elle et son conjoint ont pu trouver du travail et revenir et ainsi se rapprocher de la famille et des amis tout en se donnant une meilleure qualité de vie. ** Michel Legault du bureau du député Louis Plamondon, mais aussi grand bénévole, arbore un superbe bronzage qui lui vient d’une croisière à Hawaii. Michel pensait trouver le temps long pendant les cinq jours en mer avant d’arriver. Il avait apporté quelques livres et chaque matin il marchait sur le pont du navire pour un total d’environ trois kilomètres.

Une mère et sa fille Des nouvelles de Véronique Saumure que l’on a connue dans les médias de la région et qui est maintenant en Estrie. Et bien, Véronique a donné naissance à une charmante et belle petite fille le 24 décembre dernier à 4h42. Une rondelette poulette de 8 livres 6 onces. Maman et papa François sont aux anges! Et la petite se nomme Rose. Félicitations!

Place aux jeunes Il se tenait dernièrement une conférence de presse de Place aux jeunes du Carrefour jeunesse emploi Nicolet-Yamaska-Bécancour afin d’annoncer un projet visant à ramener les 16-35 ans dans la région. On veut retrouver les finissants des écoles secondaires en contactant les parents de ces jeunes. Le but est de mieux informer leurs enfants des possibilités qui s’offrent à eux sur le territoire et connaître leur intérêt à s’y établir. Sur la photo, on reconnait Janik Ouimet agente de migration pour la MRC de Bécancour et Davelyuville et Patricia Biron agente de migration pour la MRC de Nicolet-Yamaska.

Viva Las Vegas Claudie Filion du Salon de jeux de Trois-Rivières est aussi accompagnatrice de voyages pour Voyages Arc-en-ciel. Récemment, elle accompagnait un groupe à Las Vegas pour, bien entendu, allez voir Céline Dion. Ne cherchez pas Claudie sur la photo, c’est elle qui tient l’appareil!

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’Écho des boulevards

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Nouveau commerce dans le secteur Trois-Rivières-Ouest Depuis le 18 janvier dernier, La Place du Matelas s’est installé au 5965 du boul. Jean XXIII. C’est aussi le plus grand distributeur dans le secteur des lits escamotables et ajustables. La jeune et dynamique équipe des frères Napert (Stéphane, Kevin, et Jonathan) inaugurait leur 7e franchise. Une variété de plus de 30 matelas différents parmi les plus grandes marques vous est proposée. Sur place, un service personnalisé offert par nos experts. Présent pour l’inauguration : Jonathan Marcoux, conseiller, Kevin Napert Franchiseur, distributeur et (assis) Sébastien Laplante propriétaire franchisé.

Une saison d’hiver qui bouge à la Jeune chambre de commerce de la Mauricie ! La direction et le conseil d’administration de la Jeune chambre de commerce de la Mauricie redoublent d’ardeur depuis le retour des vacances des Fêtes pour concocter une saison d’activités de haut niveau! Mylène Blanchette, Kathy Béliveau et Eugénie Maillot-Sance vous attendent avec impatience au cocktail-bénéfice, présenté par HSBC, qui aura lieu le 29 février, ainsi qu’au gala, présenté par les Centres financiers aux entreprises Desjardins de la Mauricie, le 26 avril prochain. Sans oublier la vingtaine d’activités multiples qui sera au calendrier jusqu’au mois de juin!

Campagne Arbre de vie 2011

Une belle relève!

C’est à l’automne dernier que les Pharmaprix Massicotte & Trudel, succursales situées sur les boulevards Jean XXIII et Thibeau, ont tenu leur campagne Arbre de vie! Cette campagne, destinée à la santé des femmes, a permis de récolter auprès de sa clientèle une somme de 3 297 $, qui sera versée à la clinique du sein du Centre hospitalier régional. Sincères remerciements aux Pharmaprix Massicotte & Trudel ainsi qu’à leur distinguée clientèle pour leur générosité et leur dévouement. Sur la photo, on aperçoit Mme Lisette Tremblay, présidente du C.A. de la Fondation du CHRTR, M. Michel Massicotte, pharmacien propriétaire des pharmacies Pharmaprix Massicotte & Trudel, Mme Sylvie Brouillette, responsable de la campagne Arbre de vie du magasin du secteur Trois-Rivières Ouest et Mme Natalie Villemure, d.g. de la Fondation du CHRTR. Absente sur la photo : Mme Renée Morin, responsable de la campagne Arbre de vie du magasin du secteur Cap-de-la-Madeleine.

Félicitations à Dominic Lamy qui, après trois ans en poste à la Société de développement du centre-ville de Trois-Rivières, relèvera un nouveau défi en tant que responsable des événements à la Corporation de l’amphithéâtre de Trois-Rivières.

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Arts spectacles Chantal Pary et Claude Barzotti sont de retour Guillaume JACOB • [email protected]

Après 15 ans loin des projecteurs, Chantal Pary a repris le micro l’an dernier. Cette année, elle prend les routes du Québec en compagnie de Claude Barzotti pour chanter ses plus grands succès. La tournée s’arrêtera à Trois-Rivières le 9 février et à Shawinigan le 11 mars. À l’aube de la soixantaine, songeant à faire un retour sur scène, Chantal Pary voulait retrouver son public dans de petites salles intimes. Le sort en a décidé autrement. C’est plutôt devant les 50 000 personnes rassemblées au Stade olympique pour célébrer la canonisation du frère André, en octobre 2010 que la chanteuse a donné son premier spectacle en 15 ans. « Parfois, la vie nous réserve des surprises, et il faut savoir les accepter », témoigne Chantal Pary. Celle qui a été l’idole d’une génération a ensuite retrouvé son public dans la Capitale, lors de deux spectacles à guichets fermés présentés au Colisée Pepsi. La chanteuse a pu constater que Ma vie, c’est toi, Je m’ennuie de toi, et J’attendais ton appel, entre autres succès, n’avaient pas été oubliés. « La foule chantait à l’unisson, se rappelle-telle. Ça m’a beaucoup touché », souligne Chantal Pary. C’est à la suite du succès de ce spectacle, intitulé Le retour de nos idoles, que l’idée d’une

tournée est née. Claude Barzotti, chanteur italofrançais qui a connu beaucoup de succès à la même époque qu’elle, sera aussi de la tournée, comme il était du spectacle au Colisée. Si les spectacles se feront sans contredit sous le signe de la nostalgie, la chanteuse promet qu’il n’y aura pas place à la tristesse. « Il y a beaucoup de messages d’amour dans mes chansons. Je crois qu’elles apportent de l’espoir aux gens », souligne Mme Pary, qui dit recevoir des courriels de remerciement fréquemment. Et au spectacle de mai dernier, beaucoup de têtes blanches, mais aussi des visages moins fripés, souligne Chantal Pary. « Beaucoup de jeunes ont découvert mes chansons par leurs parents. Le thème central de mes chansons, l’amour, est universel, ça ne se démode pas. » Lors des spectacles du 9 février et du 11 mars, la chanteuse entonnera ses principaux succès et Claude Barzotti ensuite les siens. Les deux idoles réservent toutefois quelques surprises aux spectateurs, avance Mme Pary, et peut-être iront-ils jusqu’à marier leurs voix. Chantal Pary garde de bons souvenirs des tournées dans les cabarets de la région durant son jeune temps, notamment au Rio sur la rue des Forges. « Les gens y étaient très chaleureux », dit celle qui a hâte de revenir.

Fabiola Toupin chantera Weill et Gershwin (GJ) Le 28 janvier prochain, la chanteuse trifluvienne Fabiola Toupin interprétera, aux côtés de l’Orchestre symphonique de TroisRivières, quelques une des compositions de Kurt Weill et George Gershwin, renommés pour leurs comédies musicales produites à Broadway. Alabama Song, Summertime et The man I

love font partie des pièces au programme. Fabiola Toupin sera accompagnée au piano par le maestro Jacques Lacombe. Ce concert spécial a été rendu possible par une contribution financière de la Kurt Weill Foundation. La chanteuse avait déjà collaboré avec l’OSTR en 2006 et 2007 avec Piaf en symphonie.

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Fabiola Toupin chantera en compagnie de l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières le 28 janvier.

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Les baby-boomers de la région pourront se rappeler des souvenirs au son des chansons de Chantal Pary et Claude Barzotti alors qu’ils seront en spectacle le 9 février à TroisRivières. JF01550764

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a page de Catherine

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PAR CATHERINE

Brisson [email protected]

La famille au Musée Pierre-Boucher « Fais attention à tes frères. Prends soin de ta sœur. On est une famille unie! » C’est ce que mes parents nous ont toujours dit à mes frères et moi. La famille prend une grande place dans nos vies et c’est, à mon avis, ce qu’il y a de plus important ! Le travail, les succès et la réussite sociale, c’est bien. Mais rien ne remplacera un frère, une sœur et des parents. Et la famille a bien changé avec les années. C’est ce que tente de montrer le Musée Pierre-Boucher dans l’exposition Regard sur la Famille. Des familles célèbres de Trois-Rivières comme les Denoncourt, les De Blois ou encore les Lampron y sont représentés. Des documents, des photographies et autres objets appartenant à différentes époques permettent de mieux comprendre l’évolution de la famille mais aussi de la ville de Trois-Rivières ! Vous l’aurez compris, cette exposition est à voir… en famille !

Les tops de Catherine CD :

DVD :

Film :

Livre :

Renée Martel, Une femme libre. La reine du country québécois est de retour à l’avant scène. Après avoir vécu plusieurs problèmes personnels dans les dernières années, Renée Martel a su bien s’entourer pour ce retour sur disque. Plusieurs auteurs-compositeurs ont accepté de lui offrir des chansons comme Richard Séguin, Daniel Lavoie, Pierre Flynn et Lynda Lemay !

French Immersion – C’est la faute à Trudeau de Kevin Tierney. Des anglophones de partout au pays se réunissent à Saint-Isidore-du-Coeur-deJésus, petit village du Nord du Québec pour apprendre les rudiments de la langue française dans une école d’immersion. Du futur chef de parti anglophone au chef juif New-Yorkais, tout ce beau monde devra parler en français ! La peur de l’eau de Gabriel Pelletier. La vie calme et rangée du sergent Surprenant (Pierre-François Legendre) change brusquement lorsqu’une jeune fille est violée et tuée aux Iles-de-la-Madeleine. Qui est le meurtrier? Le sergent Surprenant finira par découvrir que son île est remplie de secrets! Petit guide pour survivre à l’hiver de Pascal Henrar. Soyons honnête, l’hiver n’est pas de tout repos ! Au moment d’écrire ces lignes, il ne fait pas froid, il fait frette ! Au moins, -1000 degrés! Bon j’exagère à peine. L’hiver est synonyme pour plusieurs du temps des blasphèmes et du découragement ! Les tempêtes, le verglas, les sorties de routes, la peau sèche et le teint vert! Mais l’hiver, c’est aussi une foule d’activités et de bonheur à partager ! Ce petit guide pour survivre à l’hiver donne l’énergie pour continuer à garder le sourire durant la saison froide !

La semaine des découvertes culturelles

Le Festi-Volant de Grandes Piles À Grandes-Piles, Éole est roi et maître lors du Festi-Volant. Et c’est tout le village qui se transforme ! La 2e Rue devient une immense glissade et la rivière St-Maurice se transforme en un théâtre pour des envolées de cerfs-volants. Même le plus fier représentant de Grandes-Piles, Baptiste Prud’homme, a composé la chanson Le Vent pour l’occasion. Et c’est le St-Amant Blues avec Mario St-Amant et Bren Leboeuf qui donnera le coup d’envoi à l’événement qui se déroulera les 27, 28 et 29 janvier.

Il y a une fin de semaine dans l’année où tous les citoyens peuvent se prétendre artiste, avec un grand A. La semaine des découvertes culturelles, permet à ces citoyens de partager leur plaisir de l’art avec d’autres passionnés. Un ingénieur peut devenir musicien le temps d’une formation de percussions, une enseignante apprendre à peindre et un plombier, danser une chorégraphie hip-hop ! Une belle façon de rendre l’art accessible à tous ! La semaine des découvertes culturelles aura lieu du 26 au 29 avril, et il faut s’inscrire pour participer aux activités !

Suggestions de sorties 25 janvier, 19h30

Documentaire On me prend pour une Chinoise Salle Anaïs-Allard Rousseau

26 janvier, 20h

Alfa Rococo Salle Anaïs-Allard Rousseau

27 janvier, 21h

Tempête Église St-James, Trois-Rivières

29 janvier, 20h

Claudine Mercier Centre des Arts de Shawinigan

29 janvier, 20h

Fabiola chante Weill et Gershwin avec l’OSTR Salle J-A. Thompson

30 janvier, 16h

Alexandre Bareil et Sébastien Lépine Nouveau spectacle Brouillard Centre des Arts de Shawinigan

Jusqu’au 29 janvier

Un pied devant l’autre Musée des Ursulines

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Un nouveau spectacle pour le duo Bareil-Lépine Guillaume JACOB • [email protected]

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temps dans l’Est-du-Québec, les provinces maritimes et jusqu’à Saint-Pierre et Miquelon. C’est d’ailleurs au détour d’une route sur le chemin de Calgray, en plein brouillard, que les deux musiciens ont décidé du titre du deuxième spectacle. S’ils espèrent faire autant de chemin avec Brouillard, il était tout naturel pour le duo issu du Conservatoire de Trois-Rivières d’inaugurer leur deuxième spectacle en Mauricie, où il a été créé. « On a très hâte, confie M.Lépine. Comme on est originaires de Trois-Rivières, c’est un petit défi supplémentaire que de présenter le spectacle devant nos amis et nos proches. » Complicité avec le public Dès leur premier spectacle, le duo Bareil-Lépine souhaitait démocratiser la musique classique et dévier de l’étiquette cérémonieuse qui lui est trop souvent accolée. « On voulait explorer les possibilités que les salles offrent quant à la mise en scène, comme les jeux de lumière, pour créer un contact avec les gens, leur faire comprendre que la musique classique est très accessible », explique Sébastien Lépine. Les deux musiciens continuent dans cette veine et n’hésiteront pas à s’adresser au public lors du spectacle Brouillard. « Sans faire un cours d’histoire, on explique ce qui nous a fait choisir ces pièces et dans quelle atmosphère il peut être intéressant de les écouter. On veut que les gens puissent se représenter des images », explique le violoncelliste.

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Le duo Bareil-Lépine présentera en primeur à Trois-Rivières son nouveau spectacle Brouillard, dans lequel des pièces folks sont adaptées au violon et violoncelle.

Les Gagnon à la télé cette semaine Du 23 au 27 janvier, Le Québec, une histoire de famille met en vedette la famille Gagnon. La capsule de deux minutes est diffusée les lundi, mercredi et vendredi à 7h35 et 18h57 au réseau TVA. Le clan des Gagnon est la deuxième famille la plus répandue au Québec avec plus de 60 000 porteurs. Seuls les Tremblay sont plus nombreux. Les Roy complètent le podium des grandes familles de la province. On pense bien qu’il n’y a eu qu’une seule famille à l’origine des Gagnon ici. Trois frères Gagnon, Mathurin, Jean et Pierre, étaient installés en 1640 à la Côte de Beaupré, accompagnés de leur mère. Un quatrième, Robert, est arrivé une quinzaine d’années plus tard. À eux quatre, ils eurent 42 enfants. Un nombre appréciable de descendants qui a fait le succès des Gagnon au Québec. Les Fromages d’ici, fiers partenaires de Le Québec, une histoire de famille, vous invitent à bâtir la généalogie de votre famille au http://lequebecunehistoiredefamille.com.

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Le violoncelliste Sébastien Lépine et le violoniste Antoine Bareil présenteront leur nouveau spectacle Brouillard en primeur à Trois-Rivières le 27 janvier et à Shawinigan le 29 janvier. La mélodie des cordes prendra des airs folkloriques le 27 janvier à la salle Anaïs-Allard Rousseau et le 29 janvier à la salle Philippe-Filion du Centre des Arts de Shawinigan. « Lors de la tournée de notre premier spectacle, nous nous sommes aperçus que les pièces qui étaient plus folkloriques touchaient davantage les gens, notamment au Canada anglais, raconte le violoncelliste Sébastien Lépine. Nous avons donc décidé que c’était un filon intéressant à explorer pour le second album et le second spectacle. » Les deux musiciens ont donc fouillé dans les partitions et sont ressortis avec des adaptations d’œuvres originales et d’arrangements à partir de chansons pour voix et violon. Ainsi est né leur deuxième album, Works for Violin & Cello, Based on Old Folk Melodies, et le nouveau spectacle qui présentent des pièces adaptées des traditions musicales de plusieurs pays, dont le Canada, la Hongrie, la Belgique et les États-Unis. Les deux comparses ont fait pas mal de chemin avec leur premier spectacle Cordes en folie, qui les a menés en Europe, aux États-Unis et dans plusieurs régions du Canada avec 125 représentations. D’autres spectacles sont d’ailleurs prévus ce prin-

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5. Bruit sec — Un des États unis d'Amérique — Ornement en forme d'œuf.

7. Flatuosité — Met de niveau — Pronom personnel. 8. Acquisition — Fleuve de Sibérie. 9. Espèce — Mulâtre. 10. Allure du cheval — Félins. 11. Négation — Réveil — Soulage. 12. Catégorie — Breuvage des dieux.

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Occlusion intestinale — Main courante. Article espagnol — Couche — Préfixe privatif. Palmier d'Afrique — Feuille de fer. Course à courre simulée — Qui tient du chat. Vigueur — Serge de laine. Étendue désertique — Interjection familière d'interrogation — Lettre grecque. 12. Sténographie — Dégoûter.

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Le journaliste est responsable de la cueillette d’informations, la rédaction, la prise de photos et/ou vidéos et la mise en ligne des contenus afin d’être les premiers à fournir une information continue. QUALITÉS RECHERCHÉES : > A un sens aigu pour trouver de la nouvelle. > A l’aise avec différentes plateformes technologiques (Web, logiciels Microsoft Office etc.) > Bonnes connaissances des plateformes technologiques récentes en photographie et vidéo. > Polyvalent. > Capacité de travailler dans un univers de changement. > Disponible à travailler sur des horaires flexibles. > Capacité à rédiger rapidement et sans faute. > Bilingue (un atout). Nous offrons une rémunération concurrentielle et une gamme complète d’avantages sociaux dans un environnement de travail dynamique. Nous vous remercions de l’intérêt que vous nous témoignez en présentant votre candidature mais nous ne pourrons communiquer qu’avec les personnes dont la candidature sera retenue en présélection. Toutes les candidatures seront traitées confidentiellement. L’emploi du masculin a pour seul but d’alléger le texte. Sun Media souscrit au principe d’équité en matière d’emploi. Veuillez faire parvenir votre curriculum vitae par courriel à

[email protected] en précisant dans l’objet du courriel le ou les territoire(s) qui vous intéresse(nt) plus particulièrement. Toutes les candidatures seront traitées confidentiellement. L’emploi du masculin a pour seul but d’alléger le texte. Sun Media souscrit au principe d’équité en matière d’emploi.

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

lechodetroisrivieres.canoe.ca

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EMPLOI

SÉRIGRAPHE avec expérience recherché pour compagnie électronique à St-Laurent. Presses AWT & ATMA Quart de soir avec prime (14:00 à 22:00). Connaissance des claviers à membrane un atout. Faire parvenir CV par courriel à: [email protected] ou par fax au 514-738-6804 ou par téléphone 514-738-6824 TECHNICIEN en intercom, 40h/sem., 3 ans d'expérience min., salaire à discuter. 514-794-6171 [email protected] TECHNICIEN(NE) en gestion parasitaire Sans expérience, bilingue parlé et écrit, permis de conduire, appliquera des programmes de gestion parasitaire. Formation payée. Sera autonome, communicateur, curieux, possédera un excellent jugement. 28,000$-36,000$+ commissions,+ bonus, véhicule fournis. C.V. par fax (514) 737-7475 ou email: [email protected] Voir description détaillée: www.exterminationabc.com 9.50$ à 13$/hre + boni Quartier Rosemont, Les Aliments S.R.C. recherche PERSONNES sérieuses et dynamiques pour prise de rendezvous pour ses représentants. - Pas de vente - Travail au téléphone - Excellente ambiance de travail - Travail de soir - Bilinguisme obligatoire Mme Violino 514-721-6001 [email protected]

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OPPORTUNITÉ D'AFFAIRE

CHERCHE 1 boulanger et 1 pâtissier, min. 5 ans d'expérience.,

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CHAUFFEURS TRANSPORT

CHAUFFEUR/LIVREUR classe 5, et AIDE-DÉMÉNAGEUR, électroménagers 514- 955-3242 CHAUFFEUR U.S., week-end à la maison. Très bonne rémunération, Gérard 514-444-3870 ou 450-835-1077 DÉMÉNAGEMENT DiPLOMATE Local et longue distance 30$/hre 514 721-3111 1-866-905-3111 Fier partenaire de la fondation québécoise pour les enfants malades du cœur FUEL TRUCK RECHERCHÉS: Chauffeur professionnel classe 1 DRY BOX Voyage "Midwest" USA Millage à l'année, salaire avantageux Dépôt direct, avantages sociaux Freightliner Cascadia 2012 attitré Boni d'embauche Exigences: Carte FAST et/ou Passeport Points de démérites à jour Dossier criminel à jour Voiturier Propriétaire USA Voyage "Midwest" USA Millage à l'année, flexible Dépôt direct, taux avantageux Exigences: Doit posséder camion et assurance Documentation complète exigée Joignez vous à notre équipe! Infos Rob ou Carine 514-774-5520 514-451-3608 1-877-375-1036 poste 2233 [email protected] FAX : 1-866-857-4765

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CHAUFFEURS TRANSPORT

RECHERCHE CHAUFFEUR CLASSE 1 Alimentation Montréal Est: - 2 postes de soir - 4 postes vendredi soir seulement - 4 postes samedi matin - plusieurs postes sur appel jour/soir Alimentation Pointe Claire: - 2 postes horaire variable jeudi au dimanche avec manutention - 2 postes horaire variable fin de semaine avec manutention [email protected] Tel 450-492-2662 fax 450-961-2641 ACF ******************************* *********** BESOIN IMMÉDIAT CHAUFFEURS USA COTE EST ET MID OUEST CHAUFFEURS New York spécialistes EXIGENCES: Expérience Dossier de conduite en ordre Télécopieur : 514-340-1650 [email protected] Demandez Serge

CARGAISON PLANÈTE recherche CHAUFFEUR classe 1 avec (fast card) longue distance, pour travail en équipe, du lundi au vend., incorporé, 1700$/sem. Contacter Ross: 514-808-5944/ [email protected] CHARETTE SERVICE D'AUTO RECHERCHE CHAUFFEUR DE GROSSE REMORQUE et CHAUFFEUR DE FARDIER CLASSE 1 Temps plein ou partiel Bon salaire, avantages sociaux, Formation offerte Pour infos, contactez Chantal Boisvert du lundi au vendredi de 8h à 17h: 7600 Boul. Payer à Longueuil

Tél. 450-676-0505

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ESTHÉTIQUE ET COIFFURE

COIFFEUR(SE), location de chaises ou à salaire, espace pour esthétique, près Galeries d'Anjou 514-975-6472

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GARDERIES

ÉDUCATRICE diplomée, temps plein, bon salaire et avantages sociaux. 514-278-4242, 514-961-5894

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HÔTELLERIE BARS ET RESTAURANTS

EMPLOI

440

MANNEQUINS MODÈLES

(Club de danseuses). BARMAID demandées, de jour. Tél: 514 993-0411 LA CORBEILLE BORDEAUXCARTIERVILLE RECHERCHE

BESOIN IMMÉDIAT Livraison service traiteur, cueillette de marchandises et service à la clientèle Permis de conduire valide obligatoire Min. 3 ans d'expérience Horaire flexible, lundi au vend 3 semaines de vacances + 2 semaines période des fêtes, ass. coll. C.V: [email protected] Téléc : 514-856-2663 Adresse: 5090, Dudemaine Mtl H4J 1N6 Site web : www.lacorbeillebc.org

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EMPLOI

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MÉTIERS DE LA CONSTRUCTION

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ENTREPRISE de messagerie recherche chauffeurs avec leur propre auto/camionnette pour livraisons locales. Nos chauffeurs gagnent des commissions allant jusqu'à 875 $/semaine.Venez vous joindre à l'entreprise de messagerie la plus importante à Montréall et également celle qui paye le mieux. Après 9h, 3490 rue Ashby Ville St-Laurent.

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MÉTIERS DE LA CONSTRUCTION

EN construction commercial, institutionnelle, industrielle et résidentielle depuis 30 ans, recherche : Estimateur senior Exigences - Détenir au minimum un diplôme de niveau collégial en génie civil ou domaine connexe; - Posséder un minimum de 10 ans d'expérience chez un entrepreneur général en construction réalisant des projets de 5 à 10 millions $; - Esprit d'équipe, dynamique, entregent, organisé(e), loyal(e) et ponctuel(le); - Connaissances informatiques : MS Office.

Prière de faire parvenir votre C.V. par télécopieur : (450)-971-1266 courriel: [email protected] par la poste : 14243, boul. Curé-Labelle, Mirabel (Québec) J7J 1M2 WWW.CONSORTIUMMR.COM

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EMPLOI

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25 MÉTIERS DE LA CONSTRUCTION

LE Groupe Montoni Division Construction Inc, une entreprise située à Laval est présentement à la recherche de candidats(es) pour combler le poste suivant

RECHERCHE adultes 18 à 38 ans et enfants 3 à 12 ans de belle apparence pour séances photos, pour catalogues futurs Mariés Canada. 514 903-6161.

CABARET chez MADO boul Pie IX, Mtl

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438-882-1388 IGA LEBLANC P.A.T. Postes permanents avec bons avantages *ASSISTANT GÉRANT(E) DES VIANDES *EMBALLEUR(SE) DE VIANDE *COMMIS AU POISSON minimum 2 ans d'expérience Autres postes de jour disp MAGASIN GRANDE SURFACE Envoyer C.V. fax: 514-498-4341

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EMPLOIS SAISONNIERS OU TEMPORAIRES

Début : Le plus tôt possible Durée : Permanent, temps plein Salaire Selon taux CCQ en vigueur CRITÈRES RECHERCHÉS: - Expérience en construction industrielle et commerciales essentiel - Expérience du domaine de l'excava tion et bâtiment - essentiel - Détenir ses cartes compétence CCQ - Aimer la diversité - Bonne forme physique - Ponctuel et assidue Faire parvenir votre curriculum vitae à [email protected] ou fax 450-978-7501, cell. 514-821-2295

Seuls les candidats retenus seront contactés LE Groupe Montoni Division Construction Inc, une entreprise située à Laval est présentement à la recherche de candidats(es) pour combler le poste suivant CONTREMAITRE - EXCAVATION Début : Le plus tôt possible Durée : Permanent, temps plein Salaire Selon taux CCQ en vigueur

EMPLOI JF01598165

- Supervision, coordination et organisation des activités des travailleurs sur le chantier - Travailler sur des projets industriels et commerciaux - Faire la lecture de plan et en comprendre l'exécution ainsi que toutes tâches liées -Voir à la santé sécurité des travailleurs - Compléter les rapports liés à l'excavation et ses travailleurs

- Exp. min. 5 ans comme contremaître dans domaine d'excavation essentiel - Détenir cartes de compétence CCQ - Connaissance approfondi du domaine de l'excavation - Capable de travailler sous pression - Excellente gestion des priorités - Engagement et disponibilité afin de réaliser les mandats dans les délais Faire parvenir votre curriculum vitae à [email protected] ou fax: 450-978-7501, cell. 514-821-2295

Seuls les candidats retenus seront contactés

Industries John Lewis Ltée, filiale du Groupe Rémabec, est une entreprise manufacturière, spécialisée dans la fabrication de bâtons de bois. La compagnie est à la recherche d’un :

Surintendant mécanique/électrique Lieu de travail : La Tuque Sous l’autorité du directeur de l’usine, le candidat devra : • Être responsable de l’entretien mécanique et électrique. • Assurer un suivi des budgets d’entretien. • Superviser les équipes d’entretien. • (mécaniciens, électromécaniciens, électriciens, affûteur) • Être responsable de l’entretien préventif. Profil recherché : • Détenir un baccalauréat ou une technique en génie mécanique, industriel ou électrique (ou toute autre expérience jugée pertinente). • Posséder des connaissances en informatique. (MS Office et Autocad) • Posséder des aptitudes à gérer une équipe de travail, avoir une facilité à travailler en équipe, avoir du leadership et être autonome. • Posséder des connaissances dans le domaine manufacturier et du sciage. (un atout) Conditions de travail : • Poste permanent à temps plein. • Salaire à déterminer selon l’expérience du candidat. Veuillez faire parvenir votre curriculum vitae au plus tard le 1er février 2012 à l’adresse suivante : Att : Mélissa Gauvin 1053, Boulevard Ducharme La Tuque (Québec), G9X 3C3 Télécopieur : 819 523-2727 Courriel : [email protected] Seules les personnes retenues en entrevue seront contactées. L’emploi du masculin ne vise qu’à simplifier la présentation et la lecture du texte.

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MÉTIERS DE L'AUTO

ALIGNEUR/MÉCANICIEN, DE SOIR, AVEC EXPÉRIENCE 450-967-1717 RESSORTS UNIVERSEL INC. Mécanicien avec expérience en suspension véhicules lourds. 514-648-0820.

MÉNAGERS 452 SERVICESCONCIÈRGE

CONCIERGES résidents (2) Montréal. Entretien, location, perception, réparations mineures. Exp. et réf. exigées. Faxer CV 450-688-0426.

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AI besoin de représentants, téléphonistes, directeur et technicien, avec exp. en thermopompe. Financement sur 10 ans, possibilité: 200,000$/an, 438-879-1114 BESOIN IMMÉDIAT

Nous engageons actuellement pour une formation débutant le 6 février. Centre d'appel situé à Anjou, recherche présentement des agents de recouvrement, bilingues pour un client d'envergure. Nous offrons une formation payée, avantages sociaux et salaire compétitif. Veuillez postuler dès maintenant à www.iqor.com 514-493-7403 CONSEILLER(ÈRE) À LA VENTE Excellente opportunité pour acquérir de l'expérience dans le domaine de la vente et consultation de choix de céramique, ardoise, granite et marbre. Faire parvenir votre C.V. par fax 514-328-7691 ou par courriel [email protected] FRANC TIREUR 1600$/ semaine., payé chaque jour, véhicule fourni, solliciteurs et retraités bienvenues M. Parker 514-633-7028 OPPORTUNITÉ

35,000$ À 50,000$

Vos responsabilités :

Critères recherchés :

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Pavage Antonio Borsellino URGENT! Solliciteur(se) en télémarketing Personne demandée pour prendre des rendez-vous pour les représentants par téléphone. Pas de vente - être disponible de 17:30h à 20:30h. - Posséder auto Communiquez avec M. Gagnon: 514-325-7250 10h à 16h. REPRÉSENTANT DES VENTES : 1200$ PAR SEMAINE ET + Vous rêvez d'un style de vie agréable, de l'aisance et la sécurité financière? Nous pouvons vous aider. Mettez vos habiletés de communicateur, vos talents de vendeur et votre motivation au profit d’une carrière qui fait la différence. Leader dans le domaine des concepts alimentaires. Les Aliments SRC vous offre l’opportunité d’intégrer son équipe de représentants des ventes et avoir les moyens de vos ambitions. Personne sérieuse, dynamique, disponible à temps plein, doit posséder un véhicule, clientèle fournie. Contactez Rémi Gagnon au: 514-721-2421 ou envoyez votre C.V à: [email protected]

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AUTRES VÉHICULES ET SERVICES

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ACURA TL 2007, 71,278km, blanche tout équipé, 18,977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è,

ouvert samedi 9h à 15h...... (P6900) ALTIMA 06, 2.5 65,246km, équipée, 8 pneus 8,495$ st 12116A 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com AVEO 5 2007 50,235 km., aut., 6,295$ st 12141A, 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

800

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CALIBER 2010 SXT aut., mags, a/c, 30 000 km. 15,545$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000 CAMRY LE, Toyota 2008, V6, 77,000 km., mags, a/c, 1 proprio, jamais accidentée, 15,500$ 450-449-6499 CHARGER SE 09, tout équipée, mags, 29 500 km., 13 950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000

800

COBALT 2005, 91845 km, aut.,a/c, 5,795$ st C111244B 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com DODGE Avenger 2010, mags, tout équipée 49 000 km 15 545$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000 DODGE Caliber 2010, 5 vit., 1700km. 11,950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000

Chrysler 300C, 2010, 70.730km, AWD tout équipé, 20.977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è, ouvert samedi 9h à 15h...... (P6911)

CHRYSLER 300 TOURING 2006 toit ouvrant, 10 950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000

AUTOS À VENDRE

CIVIC DX-G 2003 101,827km. a/c, propre 4,995$ st 12575A 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com

Mazda Speed 6, 07, 89,000km AWD, 6 vit. équipé, 15977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è, ouvert samedi 9h à 15h...... (P6857)

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AUTOS À VENDRE

ENCAN 28 janv. et 11 février AUTOS À LAVAL 100 Autos + pick-up etc. 2003-2011 Tous les 2 sam., inspections vendredis. Les Enchères Automobiles de Laval www.groupefournier.com 2380, Montée Masson, Laval. 450-666-1254 ou 1-888-666-1254

HONDA Civic LX 98, aut. 4p. 200,000km., très très propre, radio CD, 1750$ négo. 514-473-2647

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AUTOS À VENDRE

INFINITI G35X 2007 58.025km AWD tout équipé, 21.977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è, ouvert samedi 9h à 15h...... (P6933)

ION 2 07 sedan 69,701km aut 8 pneus 6,495$ st C224024A 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com JEEP Liberty sport 2002, 207,000km, équipé, automatique, noir, 3.7, attache remorque, 3,500$ C. Autos 514-382-2371 MAZDA 3 GX, 2006 111.786km 5 vit. 8,977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è,

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IMPALA 2003, 35,417 km., impeccable, 8 pneus 5,495$ 514-384-6380

OUTBACK 2002 awd 138,297km, aut. 8 pneus, 5495$ st12298A 514-384-6380

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NISSAN, Sentra 1999, aut., 4 p., silver, a/c, 110,000 km., très propre, pneus d'hiver. 1,850$ 514-383-6512 NISSAN Versa S, 07, man 4 portes, 94,000km., tout équipé, A/C, gris, pneus hiver, A-1 5950$ 514-383-6512 NISSAN Versa S, 2009, 80.300km 6 vit, a/c, gr. élect. 6977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è,

ouvert samedi 9h à 15h...... (P6904) OPTRA 5 LT 2007 55,626km., équipée, LIQUIDATION 7995$ 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com PONTIAC Sunfire 05, 2 portes, 4cylindres, 2.2, automatique, air climatisé, 114,000km, 3, 500$, Cierra Autos, 514-382-2371 PT CRUISER 2010, aut., mags, 45 442 km., 13 545$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000

OFFRE D’EMPLOI Gestionnaire de projets

VIBE 2007, 102 831 km, tout équipé, 8 pneus 8,995$ st 12580 514-384-6380 www.lerelaischevrolet.com VOLKS GTI 2007, 70,500km, 2.0T aut. a/c gr.élec. 16.977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è,

ouvert samedi 9h à 15h...... (P6870)

L’Objectif du poste

Sa localisation stratégique au centre des principales routes maritimes en fait un pôle majeur pour le transport maritime international. www.portsi.com

Le (la) titulaire du poste aura la responsabilité de planifier, de coordonner et de contrôler la réalisation de projets de construction et d'entretien des infrastructures, et ce, dans une recherche constante d'efficacité, de performance et de satisfaction de la clientèle tout en respectant les délais et les ressources financières prévus pour leur réalisation.

Les Exigences - Baccalauréat en génie civil, et/ou génie de la construction - Et/ou expérience équivalente en gestion de projets - 5 années d’expérience pertinente en génie civil, en gestion de projets et sur les chantiers de construction - Bilinguisme un atout

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FOURGONNETTES CAMIONNETTES

DODGE Grand Caravan SXT 2007, 52.872km....... 10,977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è, ouvert samedi 9h à 15h...... (P6932)

DODGE Grand Caravan 2010, 45 000 KM. 16 950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000 ECONOLINE E-350 2010 Turbo diésel, 4,000km., reconstruit, 28 000$, 450-432-1438, 450-438-9333

Le Port de Sept-Îles recherche une personne organisée qui se distingue par sa capacité de travailler en équipe, sa souplesse et sa capacité d’adaptation pour suivre l’évolution rapide de la technologie. Elle devra également faire preuve d’autonomie. Ce poste est permanent et offre une rémunération compétitive selon l’expérience et la formation. Si ce défi vous intéresse, faites parvenir votre curriculum vitae avant le vendredi 27 janvier 2012 aux coordonnées ci-dessous :

ECONOLINE E-350 2010 Turbo diésel, 4,000km., reconstruit, 28 000$, 450-432-1438, 450-438-9333 JEEP Commander 2010, cuir, toit, tout équipé, 25 950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000 JEEP Compass 2007, 4x2, aut, a/c, 86,840km. 10,950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000 JEEP Grand Cherokee 2011, Larredo cuir, 38 000 km. 34 950$ PIE IX CHRYSLER 514-327-9000 NISSAN PATHFINDER SE 2006, 116.517km......16,977$ 888-738-8086 financement 1ère, 2è,3è,

Concours # 70-1105 Mme Hélène Duchesne MALLETTE 737, boulevard Laure, bureau 100 Sept-Îles (Québec) G4R 1Y2 Téléphone : 418 968-9493 Télécopieur : 418 968-4119 Courriel : [email protected]

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Des milliers de joueurs de hockey à Trois-Rivières Nicolas DUCHARME •[email protected]

Le mois de janvier signifie le début des tournois de hockey à Trois-Rivières. Depuis les dernières semaines, et jusqu’au 19 février, ce sont des milliers de joueurs qui envahissent les arénas de la Cité de Laviolette. Le tout a débuté avec le Tournoi novice de Saint-Louis-de-France, qui s’est déroulé du 6 au 15 janvier. Il fut suivi du Tournoi bantam de TroisRivières, du 9 au 22 janvier. Le Tournoi pee-wee de Cap-de-la-Madeleine se déroule actuellement jusqu’au 5 février, tandis que le Tournoi midget de Trois-Rivières Ouest se tiendra du 7 au 19 février. C’est donc 268 équipes et près de 4 500 joueurs qui animent les patinoires trifluviennes durant cette période intensive de tournois. « C’est une chance pour les gens de voir les vedettes de demain. Plusieurs qui ont passé par ici jouent dans la Ligue nationale de hockey maintenant », lance Sylvain Pronovost, président du Tournoi bantam. Les différentes organisations prennent soin de discuter ensemble lorsqu’il est temps de planifier leurs événements respectifs, puisqu’il est primordial que ceux-ci ne se chevauchent pas. « On se parle lorsqu’il y a un tournoi qui veut changer de date. Sinon, on manque d’hôtels et

L’Écho

Les Coyotes de Louiseville et les Ducs de Trois-Rivières Ouest se sont fait face dans un match de la catégorie bantam B. d’arbitres et on se tire dans le pied », explique affirme Michel Corneau, président du Tournoi déplace seul, ce sont donc des milliers de parents, Michel Lapointe du Tournoi pee-wee. midget. frères, sœurs et même grands-parents qui feront Bien évidemment, la tenue d’événements de la aussi le voyage, puisque la majorité des équipes ont sorte requiert la présence de plusieurs bénévoles. Importants pour le tourisme leurs pénates en dehors de la Mauricie, et même en Chacun des tournois en compte plus d’une cenAu-delà du hockey, ces quatre tournois signifient dehors du Québec. C’est donc les différents restautaine, allant de la préposée au guichet au juge de d’importantes retombées économiques pour la ré- rants et hôtels de Trois-Rivières qui profiteront de but. « Sans bénévoles, le tournoi n’existerait pas », gion. Puisqu’il est plutôt rare qu’un jeune joueur se cette clientèle touristique.

Les Patriotes à la défense de leur titre (N.D.)La saison 2011 de soccer intérieur des Patriotes de l’UQTR avait été fertile en émotion. L’équipe avait déjoué tous les pronostics en remportant tous ses matchs de séries éliminatoires en tirs de barrage pour se sauver avec la bannière des champions québécois. La formation sera-t-elle en mesure de répéter ses exploits cette année? Le premier match des Verts en saison intérieure, disputée le 15 janvier, s’est avéré être une grande déception. La troupe de Pierre Clermont a fait preuve de beaucoup trop de confiance et s’est inclinée contre le Vert et Or de Sherbrooke par la marque de 4-1 au Centre sportif Alphonse-Desjardins. Fort heureusement, l’équipe a semblé comprendre que, même si elle est championne en titre, des efforts seront requis. Dimanche dernier, l’UQTR a très bien paru dans une défaite de 3-2 contre l’Académie de l’Impact, une formation qui lui est bien supérieure sur papier. Il s’agissait d’un match amical et qui ne comptait pas au classement. L’entraîneur Pierre Clermont semblait bien soulagé après la rencontre. « Il faut construire sur ce qu’on a fait dans ce match. Les trois prochaines rencontres seront extrêmement difficiles. » L’entraîneur est d’avis que les succès de la saison dernière ne devraient pas influencer les résultats de cette saison. « Il n’y a que la moitié des joueurs qui ont

vécu le championnat. On ne peut pas vivre sur des souvenirs. Chaque année est différente et tous les matchs sont à l’enjeu. Nous devons travailler pendant 90 minutes. Dans notre ligue, si tu ne travailles pas, tu ne vas pas jusqu’au bout. » Loins d’être favoris De son côté, le vétéran de trois saisons Yannick Fournier sait que son équipe n’est pas perçue comme l’une des puissances au Québec, même s’il a lui-même remporté la médaille d’or il y a près d’un an. « Nous ne sommes pas considérés comme des favoris, puisque nous ne sommes pas dans le top deux de la ligue. Mais il est possible de viser la troisième ou quatrième position. L’important c’est d’être prêts pour les séries. À partir de là, je sais que c’est possible. On vise un championnat. » Par contre, les Patriotes devront espérer que la chance soit de leur côté. Dimanche dernier contre l’Académie de l’Impact, ils ont dû se débrouiller sans les services de plusieurs de leurs meilleurs joueurs, dont Guillaume Surot, Seifeddine Dhaoui, Émile Dufour-Gallant et Jean-François Fournier, tous aux prises avec des blessures.

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 Aujourd’hui, environ les deux tiers des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer sont des femmes.  Selon les données les plus récentes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il y aurait un nouveau cas d’Alzheimer toutes les sept secondes à l’échelle mondiale.  Il faut bien comprendre que, puisque environ 70 % des gens qui souffrent de la maladie d’Alzheimer vivent à la maison, l’impact de la maladie va bien au-delà de l’individu et affecte souvent les membres de sa famille proche, ses amis et même les personnes responsables de lui prodiguer des soins quotidiens. PRÉVALENCE PROJETÉE EN AMÉRIQUE DU NORD DE LA MALADIE D’ALZHEIMER AU COURS DE LA PROCHAINE GÉNÉRATION

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 25 janvier 2012

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Ce ne sont pas les leaders qui manquent chez les Cats Jonathan Roberge • [email protected]

du monde de hockey junior, Brandon Gormley On reconnaît souvent les plus grands lealui, s’est dit flatté par l’initiative de ses nouveaux ders par leur prise de décision. La semaine coéquipiers. dernière, les attaquants Loïk Poudrier et «C’est immense ce qu’ils viennent de faire. Maximilien LeSieur ont offert leur titre Juste cette attention prouve qu’ils méritent eux d’assistant-capitaine des Cataractes de aussi d’avoir le titre. Pas question pour nous de Shawinigan aux nouveaux venus Brandon leur enlever cet honneur», poursuit celui qui deGormley et Morgan Ellis. vrait porter les couleurs des Coyotes de Phoenix «Nous sommes allés rencontrer Éric Veilleux l’an prochain. (l’entraîneur) pour lui dire que nos lettres sur nos chandails étaient disponibles s’il souhaitait les Un travail partagé Éric Veilleux a donc dû trancher. Finalement, offrir à Gormley et Ellis. Nous pensons à l’équipe en premier, ce sont de bons leaders et ils méritent tous les joueurs impliqués dans ces discussions ces lettres. Pour nous, ce n’était pas une valorisa- se partageront le boulot. LeSieur et Gormley porteront le «A» lors des matchs disputés au centre tion personnelle», explique Loïk Poudrier. «Ces deux joueurs-là étaient capitaines de leur Bionest, tandis que Morgan Ellis et Loïk Poudrier équipe avant de venir à Shawinigan. Ils sont très se partageront le travail à l’extérieur. Michael positifs dans le vestiaire et ils ont su s’intégrer ra- Chaput portera la troisième décoration en tout temps. pidement», a poursuivi LeSieur. «On ne pourra jamais avoir trop de leaders. Ce geste, tout à l’honneur des deux attaquants, a reçu un accueil partagé de la part des deux Brandon (Gormley) a remporté la Coupe du Président, tandis qu’Ellis a été capitaine deux ans. meilleurs défenseurs de la LHJMQ. «Je ne pense pas avoir besoin d’une lettre sur Ça ne peut qu’aider», explique le numéro 62. «Je pense que ça vient prouver la qualité du mon chandail pour m’impliquer dans le vestiaire. C’est assurément un honneur, mais ce n’était pas leadership que nous avons la chance d’avoir dans une priorité pour moi», a d’abord lancé Morgan le vestiaire. Gormley et Ellis savent comment gagner et ils ne sont pas gênés dans le vestiaire», a Ellis, un espoir du Canadien de Montréal. Ex-capitaine des Wildcats de Moncton et dé- conclu le capitaine des Cataractes, Michael fenseur par excellence du dernier Championnat Bournival.

L’Écho

En haut, Morgan Ellis, Michaël Bournival (capitaine), Maximillien Lesieur et Brandon Gormley, ainsi qu’en bas, Loïk Poudrier et Michaël Chaput, s’adresseront désormais aux officiels pour représenter les intérêts des Cataractes.

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CONCOURS C’EST MON ENTRAINEUR LE MEILLEUR!

Bouchard en veut plus de ses joueurs Nicolas DUCHARME •[email protected]

Les Estacades de Trois-Rivières ont beau occuper la troisième place au classement général de la Ligue de hockey midget AAA du Québec, leur pilote, Gilles Bouchard, aimerait voir un bien meilleur effort de ses troupes. La fin de semaine dernière, les Estacades ont perdu leurs deux sorties. Dimanche, c’est contre les Vikings de Saint-Eustache, classés 13e dans la ligue, qu’ils ont plié l’échine par la marque de 5-4. Deux jours plus tôt, les Trifluviens avaient très mal paru dans un match de quatre points contre les Albatros du Collège Notre-Dame. Gilles Bouchard était d’ailleurs en furie après cette rencontre. « C’était un match de quatre points et nous nous sommes présentés à une présence sur quatre. On ne peut pas gagner dans ces conditions. Nous étions frustrés parce qu’on ne marquait pas de buts. Lorsque tu ne gères pas tes émotions, tu es frustré, et lorsque tu es frustré, tu prends de mauvaises décisions. » Depuis le 1er janvier, les Estacades connaissent des difficultés et montrent une fiche de deux victoires, trois défaites et un revers en prolongation. « Nous ne sommes aucunement constants. Historiquement, les Estacades ont toujours bien performé après le temps des Fêtes. Mais présentement, nous n’offrons pas toujours le meilleur de nous-mêmes. Il est temps que des choses se produisent quelque part », révélait celui qui est à la

barre de l’équipe depuis huit ans. Des propos qui trouvent écho chez l’attaquant Samuel Landry. « On a tout ce qu’il faut, il nous manque simplement de constance. » D’ailleurs, Landry et son collègue PierreOlivier Grandmaison devront être des éléments clés si la formation espère remonter la pente et connaître de bons moments en séries. « Nous avons vécu l’expérience plus qu’une fois. Il va falloir donner l’exemple et transporter ça en séries, au lieu de sortir un match sur deux comme présentement », ajoute Grandmaison L’objectif est de remporter la division À la suite de ses deux défaites de la fin de semaine, les Estacades ont vu leur avance en tête de la division La COOP fondre comme neige au soleil. Il n’y a plus qu’un maigre point qui les sépare du Blizzard du Séminaire Saint-François de Québec. Non seulement le championnat de division garantirait-il aux Trifluviens la troisième place au classement général, mais assure aussi un laissezpasser en première ronde. Un avantage notable que Gilles Bouchard aimerait bien obtenir. « Je pense que c’est important. Ça t’assure d’avoir une équipe en pleine forme au lieu d’avoir quelques joueurs qui ont de la misère à patiner. » Il ne reste que cinq parties à la saison des Estacades. Le vent devra donc rapidement tourner s’ils espèrent remporter le championnat de division.

Le Journal retiendra les témoignages les plus remarquables et partira à la rencontre de ces bénévoles passionnés qui font vibrer les patinoires du Québec.

À GAGNER: Un entraînement privé de 60 minutes pour toute l’équipe et son entraîneur, dirigé par Joël Bouchard. Des billets pour toute l’équipe et son entraîneur pour un événement sportif! Ce concours sera publié jusqu’au 6 février 2012. Valeur approximative des prix : 1000$. Règlement disponible sur le site.

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L’Écho

Samuel Landry a le talent pour être l’un des piliers de son équipe en route vers les séries éliminatoires. Mais, comme ses coéquipiers, il devra hausser son jeu d’un cran si les Trifluviens veulent faire un long bout de chemin au printemps.

Inscrivez votre entraîneur de hockey préféré dès aujourd’hui et racontez pourquoi, selon vous, il est le meilleur au Québec.

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S Une fin de semaine fertile en émotions ports

Le Caron et Guay affronte la troupe de Dean Lygitsakos à deux reprises Nicolas DUCHARME •[email protected]

C’est une fin de semaine qui s’annonce très difficile pour le Caron et Guay de Trois-Rivières. L’équipe, qui occupe le quatrième rang au classement général de la LNAH, devra faire face à deux occasions aux puissants Marquis de Saguenay de Dean Lygitsakos. Ce duel contre leurs très grands rivaux tombe au bien mauvais moment pour le Caron et Guay, puisqu’il a encore vu certains de ses soldats tomber au combat cette fin de semaine. Cette fois-ci, c’est le défenseur Pierre-Olivier Beaulieu qui a rejoint les Beaucage, Vigneault et Vachon à l’infirmerie. De plus, le partenaire sur la ligne bleue de Beaulieu, Maxime Desruisseaux, ne sera pas du match de vendredi pour raisons professionnelles. C’est donc dire qu’il manquera au Caron et Guay son duo numéro un de défenseurs. Rien pour aider contre une équipe du calibre des Marquis. Le pilote de la formation, Carl Fleury, croît tout

de même que son équipe pourra rivaliser avec les Jonquièrois. « Je ne suis pas inquiet, on a une équipe de caractère et on va s’organiser pour donner deux très bons matchs. » De l’autre côté de la patinoire, Dean Lygitsakos pourra compter sur une des formations les mieux nanties de toute la LNAH. Son équipe, qui a remporté le championnat de la première moitié de saison, joue du très bon hockey par les temps qui courent. « Ça nous a enlevé beaucoup de pression que de gagner un laissez-passer. J’ai pensé qu’un ralentissement aurait été possible, mais c’est le contraire qui arrive. Les gars gardent les yeux sur le prix et nous voulons tout rafler cette saison. » Les Marquis devront toutefois livrer une meilleure performance qu’ils ne l’ont fait cette saison contre les Trifluviens. Ces derniers ont définitivement le numéro des Marquis cette saison et ont remporté trois des quatre duels entre les deux équipes. La partie de dimanche débutera à 16h au Colisée de Trois-Rivières.

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Le défenseur Pierre-Olivier Beaulieu est tombé au combat vendredi dernier dans la victoire de 4-2 du Caron et Guay contre les 3L de Rivière-du-Loup.

Des points et des poings ? (N.D.)La violence pourrait-elle prendre le dessus sur les buts lors des deux affrontements de cette fin de semaine? Ce ne serait pas une première puisque les matchs entre les deux équipes cette saison ont tourné au vinaigre. Les bancs se sont même vidés lors du match du 4 décembre à Trois-Rivières. Qu’en sera-t-il ce week-end ? Avec la date limite des transactions qui est du passé, les deux formations n’auront plus à retenir les politesses. Dean Lygitsakos promet qu’il y aura de l’action. « Je suis grec, et nous les grecs, on aime ça manger épicé. C’est toujours bon quand ça goûte quelque chose. À ce jour, il n’y a pas beaucoup de gens qui ont demandé à être remboursés. » Avec son alignement réduit, Carl Fleury pourra difficilement rivaliser aux poings avec le Saguenay, puisqu’il ne peut se permettre de voir un de ses joueurs être expulsé. « C’est certain qu’il faut être deux pour valser. Mais si nous arrivons là avec moins de joueurs, ce ne sera pas le même plan de match. Je ne peux pas demander à un Thierry Douville ou un Chris Cloutier de se battre deux fois », explique-t-il. De son côté, l’ancien entraîneur du Caron et Guay se réjouit de pouvoir compter match après match sur une formation capable de brasser ses adversaires. « Personne ne peut rivaliser avec nous au niveau physique et pugilistique. Nous jouons toujours de cette façon. Nos joueurs réguliers sont extrêmement craints, contrairement à

d’autres équipes où ils sont souvent assis au bout du banc. » Même s’il sait que les Marquis ne feront pas dans la dentelle avec sa troupe, Carl Fleury note qu’une trop grande agressivité de ses adversaires pourrait rapporter. « S’ils font ça, ça va rapporter parce qu’ils vont écoper de punitions et ça pourrait nous donner la victoire. J’ai donné des consignes très claires cette année et les gars les suivent jusqu’à maintenant. Les deux points seront à nous », souligne-til. Flageol Photo

Les quatre matchs entre les deux formations cette année ont été ponctués de plusieurs gestes disgracieux, que ce soit sur ou hors de la glace.

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