blogs culinaires : quels liens avec les marques food - Groupe 361

tie du réseau de se concentrer sur leur métier, puisque. Facebook s'occupe de la vente d'espace, du ciblage de l'audience et de l'estimation des résultats.
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DOSSIER DU MOIS

BLOGS CULINAIRES : QUELS LIENS AVEC LES MARQUES FOOD ? mateurs d’ateliers et auteur de livres de cuisine • Papilles et pupilles, lancé en 2005, il comptabilise 50 000 visiteurs uniques par mois Les marques s’invitent sur les blogs culinaires Conscientes de l’engouement et des potentiels points de contacts générés par ces plateformes, les marques de l’industrie agroalimentaire ont tout intérêt à inclure les blogs culinaires dans leur plan d’action. Quel modèle économique ? Si les blogs culinaires ont envahi la toile, seule une poignée suscite l’intérêt des marques. Les blogueurs les plus influents sont les précurseurs. Billets sponsorisés, achat d’espace, liens commerciaux : il existe de nombreux moyens pour les blogueurs de monétiser cette activité si leurs statistiques sont jugées assez importantes. Le blog devient alors une petite entreprise. Immersion au cœur de la blogosphère food D’une vraie corvée, la cuisine est devenue un réel hobby. Box, émissions TV, secteur de l’édition… Depuis maintenant plusieurs années le secteur du food a le vent en poupe. C’est dans ce contexte qu’ont vu le jour les blogs culinaires. Aujourd’hui, le food est le troisième secteur dans la blogosphère après la mode/beauté et le high tech. Focus sur cette blogosphère et sur les stratégies des marques pour en approcher les acteurs les plus influents

Avec un dépassement des médias traditionnels en termes de prescription d’achat, les marques ont de quoi jalouser ces audiences fidèles et ciblées. Au même titre que les journalistes, les blogueurs sont d’importants prescripteurs. C’est pourquoi les relations blogueurs ont autant leur place que les relations presse dans une stratégie de marque globale. Un réflexe que les marques ont adopté depuis plusieurs mois. Pourtant, des progrès du côté relationnel.

Qui sont les blogueurs culinaires ? 82% des blogueurs culinaires sont des femmes, la tranche d’âge la plus représentée est celle des 26-30 ans, la majorité réside en Île de France. Leurs réseaux privilégiés sont tout d’abord l’interface blog puis Facebook, Twitter, Pinterest et enfin Google +. 74% des blogueurs food partagent avant tout pour le plaisir. Seuls 5% des blogueurs vivent de cette activité et ont des contacts réguliers avec les marques. Tour d’horizon des influenceurs : • Pascale Weeks, blog C’est moi qui l’ai fait – 9000 visiteurs uniques par jour : une des pionnières du genre qui blogue depuis 2004 • Mercotte, spécialiste du sucré, jury dans l’émission Le Meilleur Pâtissier sur M6 : elle compte 75 000 fans sur Facebook • Hervé Cuisine rassemble plus de 150 000 fans sur Facebook • Audrey Cuisine, en activité depuis 2005 avec aujourd’hui 8500 visiteurs uniques quotidiens • La cuisine de Bernard : 30 000 fans sur Facebook, ani-

sont

encore

à

réaliser

• 29% des blogueurs influents sont sollicités 6 à 20 fois par semaine. • 90% des blogueurs influents ont déjà écrit un article suite à la sollicitation d’une marque • 1 blogueur influent sur 3 n’est pas satisfait de l’approche des marques Marques et blogs n’ont pas fini de se tourner autour avant de se mettre à table, bon appétit ! À retenir : - La blogosphère food se développe avec des acteurs très installés et influents. - Les marques ont tout intérêt à intégrer la blogosphère food à leur stratégie globale. - Miser sur le relationnel en personnalisant les échanges et veiller à respecter la liberté de ton du blogueur sont les clés d’une collaboration réussie. Sources :

http://blog.groupe361.com/blog-culinaire-food/#!prettyPhoto

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INFOGRAPHIE DU MOIS TAUX D’ENGAGEMENT : COMMENT LE CALCULER ? Le taux d’engagement d’une page Facebook est la statistique la plus utilisée en community management. Il existe néanmoins plusieurs façons de le calculer, suivant l’information recherchée et les données à disposition. Tour d’horizon des différents taux d’engagement avec une infographie signée Groupe 361.

TAUX D’ENGAGEMENT DE FACEBOOK : QUELS CALCULS POUR QUELS RÉSULTATS ?

LE TAUX D’ENGAGEMENT DE FACEBOOK UTILISATEURS ENGAGÉS PORTÉE

X 100

AVANTAGES :

INCONVÉNIENTS :

- Il sert de référence

- La statistique fournie par Facebook est arrondie et donc imprécise

- Il est automatiquement calculé par les outils d'administration

- Ce calcul n'est accessible qu'aux administrateurs de page

LE TAUX D’ENGAGEMENT SANS DROITS D’ADMINISTRATEUR COMMENTAIRES + LIKES + PARTAGES NOMBRE DE FANS

X 100

AVANTAGES :

INCONVÉNIENT :

- Ce calcul utilise des données accessibles

- Il est moins précis et croise moins de données que le calcul de référence

- Il met en avant la couverture d'une publication par rapport à l'audience totale de la page

LE TAUX D'ENGAGEMENT TONALISÉ, une solution Groupe 361 INTERACTIONS (POSITIVES OU NÉGATIVES) PORTÉE OU NOMBRE DE FANS

X 100

AVANTAGES :

INCONVÉNIENT :

- Il permet d'affiner les taux d'engagement "classiques"

- La tonalisation ne peut pas être réalisée de façon automatique : elle nécessite une intervention manuelle

- Il donne du sens à la statistique

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UN ŒIL SUR LE WEB DOCTISSIMO LANCE DOCTIPHARMA, LA PLATEFORME DE VENTE EN LIGNE DE MÉDICAMENTS la crédibilité de Doctissimo, site médical de référence pour nombre d’internautes depuis le début des années 2000. Le site compte également sur la transparence des produits, dont l’origine est garantie, ainsi que sur la discrétion et la confidentialité des données des utilisateurs. La législation française, que Doctipharma affirme respecter, cherche également à rassurer les français quant à la vente en ligne de médicaments. Seules les officines physiques, et donc réelles, sont autorisées à vendre leur produits sur Internet, ce qui écarte la menace de vendeurs non professionnels. Doctipharma l’ambitieux

Doctissimo a récemment annoncé le lancement de Doctipharma, un site de e-commerce dédié à la parapharmacie et aux médicaments sans ordonnance. Alors que seuls 4% des Français ont déjà acheté des médicaments en ligne, le challenge peut paraître osé. Analyse. Une plateforme pour réunir patients et pharmaciens Doctissimo présente son nouveau site comme un moyen de rassembler les sites de pharmaciens d’officines pour leur permettre d’adapter leurs compétences de conseil et de vente au digital. Doctissimo se place comme un expert du numérique qui apporte son expérience aux pharmacies, leur épargnant notamment le temps et l’argent nécessaire au développement web et à la génération de trafic. Vente et conseil sont donc les deux objectifs de Doctipharma. Sur le site, l’utilisateur peut rechercher des produits en fonction de différents critères (qualité de service, proximité, prix …) et conserver un historique de ses commandes et de ses conversations avec les pharmaciens. Les produits achetés peuvent être livrés à domicile ou retirés en officine. Plus qu’un site de e-commerce, Doctipharma fonctionne comme une véritable marketplace, à l’instar d’un Priceminister, par exemple. La confiance par la notoriété Le grand défi de Doctipharma sera de modifier les habitudes des français vis-à-vis des médicaments. Entre peur des contrefaçons et méfiance envers le net, seuls 4% des Français ont déjà acheté des médicaments en ligne. Pour inverser cette tendance, Doctipharma compte sur

Ces mesures légales, prises en juin dernier par la Ministre de la santé, ont ouvert un marché estimé à 9 milliards d’euros par an, avec notamment 4 000 médicaments sans ordonnance actuellement en vente. Ce secteur est également très concurrentiel : les officines sont limitées à une seule boutique en ligne pour vendre leurs produits. Alors qu’il existe 22 000 officines en France, Doctipharma s’attaque à un marché à la fois disputé et porteur. Pour preuve, un des concurrents du site, 1001 pharmacies, a réagi au lancement de Doctipharma en proposant un service de livraison à domicile en moins de 4 heures et 7 jours sur 7. Avec un système économique basé sur un abonnement fixe mensuel (79€ par officine) accompagné d’une rémunération variable en fonction du volume d’affaires, Doctipharma compte actuellement moins de 10 officines parmi ses clients, là où 1001 pharmacies en compte plus de 250. L’objectif assumé du site est d’atteindre 10% du marché d’ici cinq ans, soit plus de 2000 officines. Tout un programme. Actuellement, seuls des produits de parapharmacie sont en vente sur Doctipharma. La vente de médicaments ne sera rendue possible qu’au cours de l’été, mais le site affiche déjà une ambition à la hauteur de ce nouveau marché à conquérir. L’évolution de Doctipharma et des habitudes des français vis-à-vis de la vente de médicaments en ligne sera à surveiller de près dans les mois à venir. À retenir : • Doctipharma met en relation patients et pharmaciens • Doctipharma regroupe tous les standards des sites de e-commerce • Doctipharma s’attaque à un marché porteur au potentiel de 9 milliards d’euros par an Source : http://blog.groupe361.com/doctipharma-doctissimo-vente-medicaments-online/

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UN ŒIL SUR LE WEB FACEBOOK ET MARQUES : VERS UN MODÈLE PAYANT ? blicitaire. Les annonceurs, comme pour communiquer à la télévision, devront payer pour diffuser un message précis. C’est d’ailleurs cette comparaison qu’a utilisée Facebook pour présenter son nouveau format de publicité, les Premium Video Ads. Tout sauf un hasard. Quelles conséquences ?

Annoncée par Facebook et récemment constatée par les community managers, la baisse du reach est inévitable pour les pages de marques. Les publications des annonceurs pourraient toucher, à terme, moins de 5% des fans de leurs pages. À moins de payer pour promouvoir les posts … Payer ou être muet : le dilemme des annonceurs Facebook justifie la baisse de la portée des publications de ses pages par une volonté de privilégier la qualité à la quantité. Il s’agit donc de laisser la place aux publications d’amis plutôt qu’à celles des marques dans le fil d’actualité des utilisateurs. Cela passe par des posts qui apparaissent moins souvent dans les timelines car ils touchent une portion de plus en plus réduite des fans de la page.

La baisse du reach repose la question de la légitimité des marques sur Facebook. Si communiquer sur la plateforme devient un investissement, les annonceurs devront se demander si leur présence est encore pertinente. On sait par exemple que dans certains secteurs d’activité, des réseaux sociaux tels que Pinterest ou Instagram garantissent un meilleur retour sur investissement que le réseau au milliard d’utilisateurs. De quoi déserter Facebook ? Malgré tout, et grâce à son audience qui dépasse le milliard d’utilisateurs, Facebook reste une plateforme inévitable. Les annonceurs qui tiennent à communiquer sur Facebook se trouvent obligés d’investir et de promouvoir leurs publications pour toucher une large audience. C’est là que le métier de community manager prend toute son importance, car le retour sur investissement de ces publications dépendra de leur qualité et de l’engagement des communautés construites. Mathieu Fabre, Social Media Manager chez Groupe 361, insiste sur la nécessité d’une stratégie cohérente pour les marques. « La baisse du reach se fera moins ressentir sur les communautés constituées via un investissement média faible et ayant une ligne éditoriale très proche de l’ADN de la marque. En effet, les marques ayant suivi ces best pratices bénéficient d’un taux d’attrition (en termes de fans) très faible et d’un taux d’engagement fort qui leur assure un reach conséquent face aux mises à jour de l’Edgerank de Facebook. »

Bien qu’il demeure gratuit (« et ça le restera toujours », indique Facebook sur sa page de connexion) pour les utilisateurs classiques, le premier des réseaux sociaux oblige ainsi les marques à promouvoir leurs publications pour toucher un plus grand nombre de personnes. Une grande partie des professionnels du marketing digital pointe du doigt ces modifications, arguant que Facebook coupe la communication entre la marque et ses fans. On ne peut en effet échapper à l’évidence : si la présence des marques sur Facebook reste gratuite, leur visibilité ne l’est plus. La fin de la course aux fans ? Cette barrière entre la marque et ses fans baisserait la portée des publications en-dessous des 5%. Cette nouvelle donnée pourrait changer l’approche qu’ont les annonceurs de Facebook. Depuis des années, les marques s’adonnent à la course aux fans, qui leur amène un public fourni et une certaine crédibilité. Mais si cette audience s’avère en partie inaccessible, où est l’intérêt d’accumuler les « likes » ? Pour le gain de fans, c’est toujours la qualité qui fait loi sur Facebook. Alors que le réseau de Mark Zuckerberg vient de fêter ses 10 ans, il se dirige vers un fonctionnement similaire à celui d’un média classique avec l’achat d’espace pu-

La visibilité des marques sur Facebook est de moins en moins accessible. Les annonceurs ont aujourd’hui tout intérêt à reconsidérer leurs stratégies sur le premier des réseaux sociaux. Une présence non contrôlée sur Facebook peut rapidement devenir un investissement à perte. C’est dans cette logique que depuis des années, Groupe 361 accompagne les stratégies de grandes marques nationales et internationales pour optimiser leur environnement digital. À retenir : - La portée organique des pages de marque pourrait passer en dessous des 5% de fans - Cette décision oblige les marques à une communication de qualité - Un Facebook payant rend de plus en plus importante la diversification des investissements entre les différentes plateformes sociales Sources : http://blog.groupe361.com/facebook-marques-payant/

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UN ŒIL SUR LE WEB TWITTER PROPOSE UN NOUVEAU DESIGN POUR SES PAGES DE PROFIL Twitter a annoncé aujourd’hui une nouvelle de taille : le changement en profondeur du profil. Une mise à jour qui touche à la fois le design et le fonctionnement du réseau social. La nouvelle interface arrivera progressivement pour tous les utilisateurs. Le nouveau profil sera disponible pour tous d’ici la fin du mois d’avril. Pour l’heure, seuls quelques comptes très suivis comme @WhiteHouse ont subi ce changement. Ce qui change : - La photo de couverture : elle prend une place proéminente sur le profil, non sans rappeler la cover Facebook lancée en décembre 2011. - Des tweets séparés les uns des autres où les images sont affichées directement. A noter que certains tweets sont mis en avant avec une police plus grosse. Twitter

indique que ce sont les tweets « les plus engageants » – c’est-à-dire qui génèrent le plus d’interactions – qui seront ainsi mis en valeur afin que le meilleur contenu soit plus facile à trouver. - Des filtres permettent de sélectionner les formats : il est possible de n’afficher que les tweets contenant des photos / vidéos, les tweets avec réponse etc. - La date d’inscription sur Twitter apparaît sous la bio. Spécifications techniques : - Photo du header : 1500 x 500 pixels - Photo du profil : 400 x 400 pixels - Bio : 160 caractères Ce nouveau design a évidemment un air de déjà-vu. Avant avoir rendu possible l’identification des photos, c’est un pas de plus vers un fonctionnement à la manière d’un réseau social classique. Twitter se rapproche encore un peu plus de son principal concurrent Facebook. Sources : http://blog.groupe361.com/twitter-design-profil/

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UN ŒIL SUR LE WEB FACEBOOK : DE BONS RÉSULTATS POUR DÉBUTER 2014 Du haut de ses 10 ans, Facebook reste le leader des réseaux sociaux. Alors que diverses études tendent à annoncer sa chute prochaine (fuite des utilisateurs, vieillissement de l’audience…), l’entreprise de Mark Zuckerberg affiche une santé éclatante en ce début d’année. Analyse. Facebook en bonne forme Depuis le premier trimestre 2013, les revenus de Facebook ont augmenté de 72%. Le spectaculaire pic du dernier trimestre 2013 s’est stabilisé en ce début d’année autour de 2.5 milliards de dollars. 90% des revenus de Facebook au premier trimestre 2014 sont générés par la publicité. La relation avec les annonceurs est donc capitale pour Facebook, qui développe son écosystème publicitaire pour multiplier les possibilités de sa plateforme, à l’image des Premium Video Ads, des projets de nouvelles campagnes publicitaires ou encore du remodelage de formats existants.

Facebook : quel avenir ? Pour éviter le déclin que certains lui promettent, Facebook anticipe les tendances et investit en conséquence. La liste des acquisitions de Facebook s’allonge régulièrement : on notera en ce début d’année 2014 les rachats de WhatsApp et d’Oculus, qui témoignent de la volonté de Facebook de conserver sa domination sur les réseaux sociaux et sur l’écosystème digital mondial. WhatsApp, l’une des applications les plus populaires de Facebook, n’est pour l’instant pas prête à la monétisation, selon Zuckerberg. L’objectif à court et moyen terme serait de mettre en avant l’expérience utilisateur, notamment avec les nouveautés du « Lab » telles que Paper. Une stratégie visant à inscrire encore un peu plus Facebook dans le quotidien des utilisateurs. Avec de très bons résultats pour démarrer 2014, Facebook profite de la dynamique observée fin 2013. Toujours en mouvement pour anticiper les tendances technologiques et sociales, le roi des réseaux sociaux a encore de beaux jours devant lui. Que retenir ?

Facebook : un virage mobile bien négocié Cette bonne santé économique s’explique en partie par la tendance mobile que Facebook a su anticiper et apprivoiser. Lors du premier trimestre 2014, le nombre d’utilisateurs quotidiennement actifs via un support mobile a augmenté de 10%, pour dépasser les 600 millions. En termes de revenus, le mobile représente plus d’un milliard de dollars, soit une progression de 30% par rapport à début 2013. Là aussi, la majorité de ces revenus vient de la publicité, avec des résultats probants : 350 millions d’applications ont été téléchargées à partir de publicités vues sur mobile. À l’instar de Twitter, les utilisateurs mobiles de Facebook sont très engagés.

- Facebook affiche une excellente santé au premier trimestre - Les utilisateurs sur mobile sont de plus en plus nombreux Source : http://blog.groupe361.com/facebook-resultats-2014-29042014/#!prettyPhoto

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UN ŒIL SUR LE WEB TWITTER : LE RÉSEAU SOCIAL QUI ACCOMPAGNE LES FRANÇAIS PARTOUT Quelle utilisation de Twitter sur mobile ? Pour un tiers des Français, le but initial de Twitter est avant tout de communiquer avec ses amis. Malgré cette intention, certains conservent une attitude plutôt passive : 49% se contentent de lire le fil d’actualité et 41% d’envoyer des messages privés. Pour encourager les membres à interagir davantage, Twitter fait le choix de ressembler de plus en plus à son principal concurrent Facebook : nouveau profil, identification des photos… Les utilisateurs actifs, eux, sont plus engagés : 48% cliquent sur des liens pour obtenir plus d’informations d’un tweet qu’ils ont vu ; 44% re-tweetent des tweets qui les intéressent et 38% tweetent en utilisant un hashtag. Que retenir ?

Twitter a récemment réalisé une étude concernant les Français et leur utilisation du réseau social : il en ressort que 68% des followers suivent les actualités sur leur mobile plutôt que sur leur ordinateur. Il faut dire aussi qu’initialement Twitter a été conçu pour être utilisé sur un terminal mobile et les tweets transmis par SMS (d’où les 140 caractères).

• Les utilisateurs mobiles sont une cible à privilégier car ils sont plus actifs et engagés • La géolocalisation peut permettre une interaction immédiate entre les marques et leurs followers • Les marques ont tout intérêt à développer une stratégie propre au réseau Twitter Sources : http://blog.groupe361.com/twitter-mobile-16042014/

Mais à quels moments les Français tweetent-t-ils ? 3 Français sur 5 profitent des trajets dans les transports en commun, lorsqu’ils se rendent au travail ou en reviennent, pour utiliser Twitter. Cela représente donc une belle opportunité pour les compagnies de transport, la RATP notamment, a pris le virage et poste les informations liées au trafic en temps réel. Le réseau parisien comporte en effet un compte Twitter pour chaque ligne de métro, tramway et RER. Un utilisateur sur 4 en France se connecte sur Twitter lorsqu’il fait du shopping. Dans la même logique que l’exemple des transports en commun, c’est un constat judicieux pour les marques qui peuvent mettre en place des opérations commerciales en points de vente. En outre, les followers suivant une marque sur Twitter sont bien souvent consommateurs de celle-ci (dans 38% des cas). La présence des marques sur le réseau social n’est donc pas anodine et participe à réduire le taux d’attrition.

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UN ŒIL SUR LE WEB FACEBOOK AUDIENCE NETWORK : LA RÉGIE PUBLICITAIRE DÉDIÉE AU MOBILE

Facebook propose pour l’instant trois formats publicitaires : la bannière, l’annonce interstitielle et l’annonce « native ». Ces trois types de publicité reprendront les images utilisées pour les Facebook Ads, ce qui permet à l’entreprise californienne d’assurer une certaine continuité entre son système publicitaire traditionnel et le FAN.

Publicité sur mobile : un marché porteur Alors qu’il vient de publier les résultats de son entreprise pour le premier trimestre 2014, Mark Zuckerberg a enchaîné à San Francisco sur la présentation d’une régie publicitaire exclusivement dédiée au mobile : le Facebook Audience Network. Une régie publicitaire globale La crédibilité du FAN (Facebook Audience Network) vient de ce qui fait le succès de Facebook depuis des années en matière de publicité : des annonces ciblées et personnalisées. Plus de 600 millions d’utilisateurs se connectent chaque jour sur Facebook depuis un smartphone ou une tablette. La base de données du géant californien en fait une référence en termes de publicité mobile. Le FAN dépasse le domaine d’expertise habituel de Facebook. En effet, il permet aux annonceurs de faire de la publicité sur des applications tierces, sans qu’elles soient nécessairement affiliées à Facebook. L’entreprise de Palo Alto se place donc en intermédiaire de choix entre marques et développeurs. Différents formats

Même si la nouvelle direction prise par Facebook peut surprendre, elle semble logique tant le réseau de Mark Zuckerberg a bien négocié le virage mobile. 60% de revenus de Facebook sont issus du mobile, dont une grande majorité grâce à la publicité. De même, près de 350 millions d’utilisateurs mensuels se connectent à Facebook uniquement via un smartphone ou une tablette, c’est 50 de plus que fin 2013. Ce secteur est en pleine évolution. Le FAN n’en est qu’à ses débuts : pour l’instant, seuls quelques annonceurs peuvent l’utiliser. De même, seuls deux types d’annonces sont disponibles : l’installation d’applications et la relance d’activité. Le nombre d’annonceurs concernés et de possibilités marketing devrait croître dans les mois à venir. La publicité sur mobile est donc un marché que Facebook cherche à conquérir au-delà de sa propre application. En se posant en intermédiaire entre marques et applications mobile, l’équipe de Mark Zuckerberg entend bien développer ce marché et concurrencer la prédominance de Google sur le web. Que retenir ?

C’est un véritable service clé en main que propose Facebook. Les annonceurs retrouveront un système proche des Facebook Ads, avec un ciblage, des estimations et des données très précises. Côté applications, le FAN permet aux développeurs qui demandent à faire partie du réseau de se concentrer sur leur métier, puisque Facebook s’occupe de la vente d’espace, du ciblage de l’audience et de l’estimation des résultats.

• Facebook se place en intermédiaire de référence pour la publicité mobile • Le FAN proposera plusieurs formats publicitaires Sources : http://blog.groupe361.com/facebook-audience-network-02052014/

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UN ŒIL SUR LE WEB TWITTER : L’IDENTIFICATION DES PHOTOS EST DÉSORMAIS POSSIBLE Identifier 10 personnes sur une photo et avoir encore 140 caractères à disposition, c’est désormais possible : de quoi communiquer davantage. Cette mue de Twitter n’est pas la seule nouveauté. Les utilisateurs assidus auront notamment remarqué le changement de la section « connecter » en de plus évidentes « notifications », proches du fonctionnement de Facebook. Dans le but de supplanter le réseau de Mark Zuckerberg, notamment auprès des plus jeunes ? Vers des réseaux sociaux uniformes ?

Twitter vient de présenter deux nouveautés pour la dernière version de son application mobile : la possibilité d’identifier des personnes sur les photos et celle d’intégrer jusqu’à 4 photos par tweet. De nouveaux outils pour Twitter Avec ces nouvelles fonctionnalités, n’importe quel utilisateur de twitter pourra identifier jusqu’à 10 personnes différentes sur une seule photo. Attention : les paramètres par défaut de Twitter permettent aux utilisateurs d’identifier n’importe quel autre membre du réseau sur leurs photos. Modifier ces paramètres est rapide et fortement recommandé pour les utilisateurs souhaitant maîtriser leur présence sur Twitter, qu’il s’agisse de membres lambdas, de personnalités ou de marques. Autre nouveauté avec la possibilité d’intégrer jusqu’à 4 photos dans un tweet. En accordant ces photos dans un « collage automatique », l’utilisateur peut diversifier ses tweets et chercher à les rendre plus signifiants. Twitter s’apparente ici à un outil de montage photo rapide et diversifie ses fonctions. L’élargissement des fonctions de Twitter Traditionnellement vu comme un réseau social reservé à l’information, Twitter revêt là un aspect plus « social ». Dans l’article qui annonce ces nouveautés, Twitter parle de faciliter les connexions entre « amis » en les identifiant sur les photos. À aucun moment le terme « follower » n’est utilisé dans cet article. Tout un symbole.

L’identification d’autres utilisateurs fait partie des fonctionnalités de Facebook depuis des années, Twitter n’a rien inventé en développant cette fonctionnalité pour son application mobile. Mais cette « imitation » d’un concurrent n’est pas la première du genre : les réseaux sociaux reprennent et adaptent régulièrement les mécanismes de la concurrence. L’arrivée sur Facebook du hashtag, fonction estampillée Twitter, a récemment montré comment le roi des réseaux sociaux pouvait chercher à élargir son audience et à concurrencer le site de micro-blogging. Néanmoins, parler d’uniformisation des réseaux sociaux paraît exagéré : le hashtag sur Facebook est loin de faire l’unanimité. De même, Twitter, longtemps vu comme un réseau social moins « grand public » que Facebook, sera-t-il accompagné dans sa mue « sociale » par ses utilisateurs ? Rien n’est moins sûr. Si les réseaux sociaux imitent leurs fonctionnalités respectives pour toucher l’audience la plus large possible, leurs identités et leurs fonctionnements demeurent distincts. Cependant, en se dotant régulièrement de nouvelles fonctionnalités visant à attirer le public de la concurrence, les réseaux sociaux montrent qu’ils ne considèrent pas leur audience comme acquise. Que retenir ? • Twitter, comme Facebook, permet l’identification sur les photos • Cette nouvelle fonction découle d’une volonté d’un Twitter plus « social » Source : http://blog.groupe361.com/twitter-tag-photos/

Twitter semble changer de peau et dépasser ses propres barrières. Là où mentionner quelqu’un dans un tweet réduisait traditionnellement le nombre de caractères disponibles, la fonction d’identification n’a pas d’impact.

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AILLEURS SUR LE WEB

LES AVOCATS DE MARQUE AU SERVICE DE LA MARQUE EMPLOYEUR LE CERCLE. À l’heure où le temps moyen passé dans une entreprise est de 7 ans pour les baby-boomers, 5 ans pour les salariés issus de la génération X et 3 ans pour la génération Y, développer sa marque employeur est devenu primordial pour se faire une place dans le palmarès des entreprises où il fait bon vivre. Mais alors, comment la développer pour qu’elle soit impactante ? Tout d’abord, pour être efficace, la marque employeur doit être : - Cohérente, dans les personnes qu’elle cible et les messages qu’elle diffuse.

- Émotionnelle, en créant un sentiment de proximité et d’aspiration. - Unique, en jouant sur la différenciation. D’autant que par les temps qui courent, réussir à maintenir l’intérêt des salariés relève presque du défi tant les opportunités professionnelles fleurissent dans ce monde hyperconnecté. Tout comme une marque se définit par son identité, sa promesse de qualité et sa capacité à fédérer des individus autour de valeurs communes, la marque employeur d’une entreprise a elle aussi vocation à véhiculer une image. Elle se dote d’une identité (celle de l’entreprise), d’une promesse de qualité et constitue une sorte de label visant à attirer les meilleurs candidats. D’ailleurs, ce qu’ils découvrent au fil de leurs recherches sur le web, ce que disent les salariés (anciens ou actuels) ou encore la cohérence entre le message qu’une entreprise fait passer et ce qui se dit concrètement sur elle, sont autant de points qui bâtissent la marque employeur. Aujourd’hui, 83 % des décideurs pensent que la marque employeur (qu’elle soit positive ou non) a un impact non négligeable sur la qualité des recrutements effectués. Les entreprises ayant une forte marque employeur ont un taux de turn-over 28 % moins important et des coûts de recrutement réduits de 50 %.

Il va sans dire que tous les moyens sont bons pour développer sa marque employeur. Mais si les outils sont nombreux, les faux pas le sont tout autant : attention à ne pas prôner un discours différent sur chaque support, ce qui altérerait fortement la crédibilité de la marque. Il est important d’assurer une cohérence entre les supports à disposition des salariés ou des candidats : qu’il s’agisse de données publiques (sites, réseaux sociaux), de données privées (communications directes avec les candidats, intranet, documents internes) ou encore de documents non officiels (comme les profils des salariés sur les réseaux professionnels), toutes les informations diffusées et tous les contenus créés sur la marque se chargeront d’alimenter ce qui se dit à son propos. Les collaborateurs d’une entreprise : de potentiels ambassadeurs à choyer Promouvoir sa marque employeur, c’est entretenir ses employés pour les transformer en véritables ambassadeurs de marque. Les salariés d’une entreprise sont des évangélistes, des avocats de marque qui seront porteurs du message et des valeurs qu’elle souhaite véhiculer. Ce sont eux qui connaissent le mieux l’entreprise et qui sont les plus aptes à en parler : ils sont donc les plus faciles à atteindre dans un premier temps.

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Viennent ensuite les médias, la presse, et surtout les réseaux sociaux. Depuis quelques années, ce nouveau média a révolutionné les liens qui se tissent entre une entreprise, ses salariés et ses potentiels candidats. En effet, les attentes des deux parties sont désormais sur le même pied d’égalité : nous ne sommes plus dans un schéma à sens unique où les employeurs sont les seuls à se renseigner sur l’autre partie. Les candidats font eux aussi autant de recherches sur leurs potentiels employeurs que les entreprises n’en font sur eux. Les réseaux sociaux ont donc changé la donne et demandent aux entreprises d’intégrer une véritable stratégie de communication dans leur processus de recrutement. À l’instar d’une marque «classique», la marque employeur d’une entreprise vit grâce aux avis émis par des personnes qui l’ont, un jour ou l’autre, «testée». Les entreprises ont tout intérêt à donner les moyens à leurs employés d’être des porte-parole, voire même des ambassadeurs de la marque. C’est toute une stratégie de «brand advocacy» qu’il va falloir déployer pour convertir les salariés en agents non officiels de recrutement. D’autant que selon une récente étude, 70 % des collaborateurs dont le travail est pleinement reconnu et considéré par leur employeur sont prêts à recommander les produits ou l’activité de leur entreprise. Pour aller plus loin, 86 % d’entre eux sont heureux de travailler pour leur marque, et 92 % en sont même fiers. Il est donc important de miser sur le pouvoir de recommandation de ces collaborateurs en les formant à utiliser tous les outils mis à leur disposition pour faire vivre la marque

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AILLEURS SUR LE WEB employeur, en les encourageant à partager leurs expériences et leurs témoignages, mais aussi en faisant émerger des recommandations qualitatives. Comment mesurer la valeur et l’attractivité de sa marque employeur ? Il est difficile de trouver des indicateurs permettant de mesurer la valeur de la marque employeur. Les outils les plus efficaces à ce jour restent les études, mais elles peuvent s’avérer couteuses et fastidieuses. Toutefois, des indicateurs internes peuvent mettre la puce à

l’oreille des employeurs (comme la baisse du turn-over, l’enthousiasme ressenti, l’acceptation des offres en hausse) ou des indicateurs en ligne, comme la hausse des abonnés sur les différents réseaux sociaux (professionnels ou non), gage d’une notoriété croissante de la marque. Mesurer les requêtes mensuelles effectuées sur les moteurs de recherche ou intégrer le classement des entreprises les plus recherchées sur les réseaux sociaux professionnels sont aussi des indicateurs concrets qui permettent d’évaluer l’attractivité d’une marque employeur.

Quoi qu’il en soit, la tendance émergente du brand advocacy (cette révolution marketing qui a transformé le bouche-à-oreille en véritable business model) se verra appliquée au fil du temps à la marque employeur et aura un réel impact dans les recrutements. L’émergence des réseaux sociaux et la perte de confiance dans le discours institutionnel des marques ont fait naitre un nouveau rapport entre une entreprise et ses employés : celui de recommander sa boîte comme on recommanderait un smartphone. Philippe Mauchamp Président Groupe 361

LA GUERRE DES NERFS En avril, une agence de communication nantaise a lancé un défi digital à ses rivaux, lançant ainsi la Guerre des Nerfs, du nom des fameux pistolets en plastique. Toujours prompt à réagir, Groupe 361 n’a pas laissé passer l’occasion d’affirmer ses positions. https://www.facebook.com/Groupe361

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