CORRIGÉ

Les phrases transformées de types interrogatif et exclamatif

Fiche 4.2

Activités de grammaire

4. LA GRAMMAIRE DE LA PHRASE

1. 1. Qui veut réintroduire la dictée dans les écoles ? OU Qui est-ce qui veut réintroduire la dictée dans les écoles ? 2. Où la ministre de l’Éducation veut-elle réintroduire la dictée ? 3. Que veut réintroduire la ministre de l’Éducation dans les écoles ? OU Qu’est-ce que la ministre de l’Éducation veut réintroduire dans les écoles ? 4. Que répertorie périodiquement l’Office québécois de la langue française ? OU Qu’est-ce que l’Office québécois de la langue française répertorie périodiquement ? 5. Pourquoi l’Office québécois de la langue française répertorie-t-il périodiquement de nouveaux mots ? 2. Exemples de réponses : 1. Je me demande quand aura lieu l’examen de français. 2. Nous ignorons où se donnent des cours de rédaction française. 3. Je ne sais pas qui a pris mon dictionnaire et ma grammaire. 4. Je veux savoir comment procéder pour connaître les exigences du ministère quant à la qualité du français dans toutes les matières. 5. Il sait pourquoi les immigrants doivent suivre des cours de francisation. 3. a), b) et c)

dans les classes où le manuel Zénith est utilisé.

© ERPI Reproduction et modifications autorisées uniquement

Phrase agrammaticale

Justification

Phrase correcte

Je me demande qui est-ce qui a raison ?

On ne peut pas employer les locutions qui marquent l’interrogation directe (est-ce que, qui est-ce qui/que, etc.) dans la subordonnée complétive et on doit mettre un point à la fin de la phrase.

Je me demande qui a raison.

Pourquoi il y a de moins en moins de gens qui parlent le joual !

On doit inverser le verbe et le sujet dans cette phrase interrogative et on doit remplacer le point d’exclamation par un point d’interrogation.

Pourquoi y a-t-il de moins en moins de gens parlent le joual ?

Pourquoi certains trouvent que bien parler c’est snob, prétentieux ?

On doit ajouter le pronom de reprise ils après le verbe.

Pourquoi certains trouventils que bien parler c’est snob, prétentieux ?

J’ignore qu’est-ce qui va arriver, mais je crois que la question de la qualité du français parlé et écrit au Québec mérite qu’on s’y attarde.

On ne doit pas employer les locutions qui marquent l’interrogation directe (est-ce que, qui est-ce qui/que, etc.) dans la subordonnée complétive.

J’ignore ce qui va arriver, mais je crois que la question de la qualité du français parlé et écrit au Québec mérite qu’on s’y attarde.

Comme que le chante si bien Yves Duteil : « C’est une langue belle avec des mots superbes. »

Comme que est une impropriété.

Comme le chante si bien Yves Duteil : « C’est une langue belle avec des mots superbes. »

Activités de grammaire

G3-1

CORRIGÉ

Zénith / Guide 11113