Dossier de presse Pink Noise Party

Joy Buckley, Syd X. Rey, Sébastien Tanquart : le trio se délecte d'abolir les frontières. En août 2010 Pink Noise Party donne un concert aquatique par 8 mètres ...
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Dossier de presse Pink Noise Party

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Electro-rock quantique Un mélange de sonorités glaciales venues du post punk, de gimmicks pop qui s'impriment au fer rouge et de discotronic caractérise l'electro-rock déjanté du trio parisien Pink Noise Party. On y reconnaîtra la vibe de Roxy Music, le glam des Human League ou le fog mancunien de New Order et IAMX. Sur scène le groupe dégage une sensualité singulière, emmené par un chant en duo : elle, sauvage écorchée-vive ; lui, songwriter protéiforme, violoniste classique devenu physicien quantique puis activiste dadaïste. C'est dans l'écoute des oscillations quantiques des quarks charm et strange que Pink Noise Party a puisé ses premières mélodies. Joy Buckley, Syd X. Rey, Sébastien Tanquart : le trio se délecte d'abolir les frontières. En août 2010 Pink Noise Party donne un concert aquatique par 8 mètres de fond, dans un bunker pour sous-marins nucléaires situé sur les rives de la mer noire, jouant avec des synthétiseurs étanches conçus en partenariat avec le CNRS à l'occasion du festival Balaklava Odyssey. Lors du off de la Nuit Blanche parisienne 2010, encore, le groupe tyrannise les automobilistes parisiens en proposant Concert For Cars, une performance réalisée sur un passage piéton où les habitacles des voitures arrêtées au feu rouge sont utilisés comme résonateurs acoustiques. Enfin, Pink Noise Party entretient des liens étroits avec le monde de la mode. Après avoir participé au lancement du magazine Paulette en 2011, Pink Noise Party a été partie intégrante du dispositif artistique imaginé par la créatrice de mode Sakina M'Sa pour présenter sa collection a-h lors de la Fashion Week 2012. E.P. - Sentimental Distortion (2011) Sorti à l'automne 2011, enregistré et mixé à Londres par Robert Harder, un collaborateur de Soulwax, Squarepusher et White Rose Movement, le premier E.P. du groupe offre en 6 titres electro-rock une vision à la fois poétique et engagée du monde contemporain.

Du discorock « Sentimental Distortion » et sa critique d'un romantisme aseptisé, au lovesong « Golden Blond Pulsar Trance» héritier de Pixies soudainement electronisés, ce sont aussi 6 chansons dont les textes livrent une poésie en tension, tour à tour langoureuse et enthousiaste (comme dans le lyrique « Don't Ask Your Way To The Sun» louant l'égarement joyeux et enfantin), philosophe (« Chamonix », hymne au voyage dans l'inconnu cher à Baudelaire), ou critique acerbe et cynique de la frénésie aveugle et subie qui irrigue le monde post-moderne (« Frantic Life », chanté pour partie en allemand). Disponible sur Itunes/Deezer/Spotify, « Sentimental Distortion » est aussi en écoute sur les plateformes suivantes : http://www.pinknoiseparty.com http://www.noomiz.com/pinknoiseparty http://www.soundcloud.com/pinknoiseparty http://www.pinknoiseparty.bandcamp.com http://www.deezer.com/fr/music/pink-noise-party Pink Noise Party est soutenu par SFR Jeunes Talents et par le programme d'accompagnement d'artistes en développement du centre musical Fleury Goutte d'Or. Videos live et clip http://youtu.be/R_Nofq66Sz4 http://youtu.be/B4JlIWgQpNY http://youtu.be/_p0dRFhFmC8 http://youtu.be/2t8SnwZM07w Concert sous-marin : http://pinknoiseparty.tumblr.com

Evènements et concerts en 2012 (printemps/automne) •

9 avril 2012 à L'International, Paris



14 avril 2012 au Nambucca, Londres



27 avril 2012 au printemps de Bourges (sélection SFR jeunes talents)



25 au 27 mai 2012 en résidence d'artiste au centre Fleury Goutte d'Or



21 juin 2012. Sortie de Fire In Cairo, reprise de The Cure.



4 juillet 2012 Concert pour la présentation de la nouvelle collection de Sakina M'Sa (Fashion Week)



10-15 Juillet 2012 Enregistrement du second E.P. à Londres (sortie prévue à l'automne 2012)



20-22 Août 2012 Tournage d'un clip pour le prochain single « Their Shallow Singularity »



25 août 2012 au festival French Pop Mission



11 octobre 2012 au Bus Palladium



Novembre 2012 au festival FGO

Extraits de presse « On ne reprend jamais assez les premières chansons, pop, morveuses et pressées de The Cure, avant que le groupe ne devienne un loukoum baba avachi. Bénissons Pink Noise Party et la voix agit-prop de Gaspard Delanoë de se souvenir ainsi de Fire In Cairo (1979), titre d’actualité que les Parisiens actualisent en une électro boudeuse et flegmatique. » JD Beauvallet - Les Inrocks - Août 2012 « (…) Dans cet univers, le son électro joué en live par les Pink Noise Party et les coupes rockabilly des mannequins contrastent avec leurs robes de soirées structurées. Une métaphore du système collaboratif de la création artistique (...). » in L'écosystème de la mode selon Sakina M'sa - francetv.fr - Juillet 2012 « Certainly the first band (...) to organize a concert in a submarine bunker dug dedicated to repairing nuclear submarines, on the northern shore of the black sea. I love that kind of insanity. » Frak Yeah French Music – Mai 2012 « Un electro punk rock dansant qui puise dans les sonorités glaciales de la new wave. » - Ziknation pour Noomiz (le choix des webzines) - Décembre 2011 « Des six titres de cet EP, tous pourraient prétendre au rôle de single : chacun repose sur ce mélange bien senti de mélodies efficaces, rythmiques dancefloors et timbres old school qui ont fait les beaux jours de nombreux groupes d’indie dance ces dernières années. Pourtant, Pink Noise Party n’est pas qu’un duo electro-disco-glam-clash de plus à prétendre au statut de hit wonders, mais bien parmi les plus sérieux wannabe du clubbing rock parisien. A l’image du superbe Don’t Ask Your Way To The Sun, leurs petites ritournelles pop s’impriment au fer rouge dans le cerveau, servies par un groove eighties michaud mi-froid, quelque part entre Chicago et Berlin. [...] » - Indiepoprock.net Octobre 2011

« Après avoir fait craché leurs synthés dans tout Paris et organisé des concerts sous-marins jusqu'en Ukraine( si, si !) Pink Noise Party couche enfin sur un EP intitulé « Sentimental Distortion » et paru ces jours-ci, son electro-rock glamour et vicelard. Ca débouche ! » - Rock First magazine - Octobre 2011 Ce groupe, c’est l’œuvre d’un savant fou. En vrai ! Le jour, Syd Rey est prof de physique quantique et la nuit, avec Joy Buckley, ils deviennent Pink Noise Party, un groupe d’électro-dance-punk complètement déjanté. La preuve, ils ont même organisé un concert sous l’eau en Ukraine, pour faire vibrer la mer Noire au son de leur musique. Bref, ça vaut le détour ! Le Transistor – Octobre 2011 "Une déferlante de bruit jouissive" - Discordance.net pour Noomiz (choix des webzines) - Janvier 2011 « Les poils se hérissent et l'adrénaline coule à flot à l'écoute de cet univers électro cold et rock qui jongle entre David Bowie, New Order et IAMX. » - Coup de coeur de la rédaction SFR Jeunes Talents - Avril 2010

« (...)Pink Noise Party are already far more interesting, imaginative and creative than most bands. So far, so good! But what bout the tunes? Well, they're synth-y and slinky - those home-made analogue keyboards have the retro vibe of Roxy Music and the disco-tronic glamour of The Human League. Taut guitar riffs put the swagger into tracks like 'X Buddy' and 'Golden Blond Pulsar Trance' (quantum physicists, remember), while 'Pesky Girl' has an industrial harshness. And the songs have melodies and choruses, stuff most French bands seem to consider contemptible » CLUAS French Letter - Quantum Physics and Electro-Pop - Avril 2010 « Pesky Girl, comme une sale peste. Un titre sur mesure pour cette pop song tabassée, remuée par une électro crade et malsaine. Du bruit rose pour une nuit blanche dans une série noir » CQFD/Les inRocks Lab - Février 2010 Egalement : • Reportage sur la 1ère chaîne ukrainienne lors du festival Balkava Odyssey (août 2010) • Interview sur le blog Agorafrog (avril 2012)

EP Artwork Quentin Caffier (photographie), Charlie Davoine (graphisme), Marine Provost (logo).