Des nouvelles tous les jours

FAUTE DE PERMIS DE RÉUNION

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L’App’Art ferme ses portes P25

DE WINNIPEG À TROIS-RIVIÈRES

Un couple fervent de baseball P38

P27 à 31

Le mercredi 24 juillet 2013

2 année | No48 | 40 pages 67 503 exemplaires

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Crédit photo Karine Blanchette

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Les femmes raffolent du Spyder

PAGES 4 ET 5

Découvrez tous nos résultats de l’étude Léger Marketing 2013

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 24 juillet 2013

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 24 juillet 2013

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UNE JOURNÉE DANS LA VIE D’UN FORAIN

Un été sur la route De fin avril à la mi-septembre, Patrice Bouchard se promène de ville en ville afin d’opérer la grande roue de Beauce Carnaval. Incursion dans la vie quotidienne d’un forain.

KARINE BLANCHETTE

[email protected]

Patrice Bouchard a 30 ans. Il opère des manèges depuis une dizaine d’années. «On va avoir une grande roue flambant neuve, veux-tu t’en occuper?» Cette question, posée par ses patrons chez Beauce Carnaval il y a quatre ans, Patrice s’en souvient comme si c’était hier. Il venait de terminer son diplôme d’études professionnelles en mécanique industrielle quand il s’est vu offrir l’opportunité d’opérer le fameux manège qui amuse autant les petits que les grands.

Une journée dans la vie d’un forain De Sept-Îles à Chibougamau en passant par London en Ontario, chaque journée débute de la même manière pour le forain originaire de Baie-Comeau: deux œufsbacon-saucisses. Une heure avant l’ouverture de la foire, il inspecte minutieusement son manège. Ensuite, c’est une véritable partie de plaisir qui commence. L’interaction avec les gens venus s’amuser et le grand air sont un véritable carburant pour le jeune Baie-Comois.

Patrice Bouchard, opérateur de grande roue chez Beauce Carnaval PHOTO KARINE BLANCHETTE - L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES

«Les gens sont gentils. Ils me parlent, me posent des questions à propos de la grande roue. C’est plaisant», précise celui qui avoue s’ennuyer de sa famille, de ses amis, de sa conjointe et des enfants de celle-ci. «C’est sûr qu’avec des enfants, c’est plus difficile», confie-t-il avant d’avouer que les journées de mauvais temps passent beaucoup moins rapidement, parce que peu achalandées.

À la fermeture des manèges, Patrice se retranche dans son camion où il partage une chambre avec un collègue. «Ça ressemble à du camping. Je fais ma vie, l’autre fait ses affaires. On se croise, on se dit bonjour. On est comme une grande famille», observe-t-il à propos de ses confrères de travail qui sont en grande partie des hommes âgés entre 50 et 60 ans. Sur les sites, les employés de Beauce

Carnaval disposent de tous les services nécessaires au quotidien: repas maison, douches, laveuses-sécheuses, etc. Durant la saison hivernale, le mécanicien industriel procède à l’entretien des manèges dans les ateliers de Beauce Carnaval, une compagnie québécoise fondée en 1950 par Florian Vallée qui rêvait depuis sa jeunesse d’opérer un parc d’attraction ambulant.

SILICIUM QUÉBEC

Arrêt temporaire des opérations

GUILLAUME JACOB

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Les 140 travailleurs de Silicium Québec sont en lock-out depuis le 2 mai. PHOTO ARCHIVES L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES

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«Il semblerait que les opérations reprendraient la semaine prochaine», rapporte Jean Simoneau, président du syndicat des employés de Silicium Québec. Cette pause dans les opérations n’a pas empêché les lock-outés de poursuivre leur piquetage. «On surveille quand même», indique M. Simoneau. En vertu d’une

ordonnance obtenue par la compagnie, le nombre de piqueteurs est maintenant limité à 15. Même si aucune rencontre de conciliation n’est prévue prochainement avec l’employeur, le moral des travailleurs reste bon, soutien Jean Simoneau. «Ça va quand même bien, car on est soutenu par d’autres syndicats.» Depuis le début du conflit de travail, plusieurs syndicats de travailleurs d’autres usines du parc industriel de Bécancour ont décidé d’appuyer financièrement les lockoutés de Silicium Québec. C’est notamment le cas des travailleurs de TRT-ETGO, d’Olin, de l’Aluminerie de Bécancour.

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Les opérations de l’usine Silicium Québec sont arrêtées depuis la SaintJean-Baptiste. Selon le syndicat des travailleurs, toujours en lock-out, la compagnie aurait donné congé à ses cadres pour un certain temps.

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 24 juillet 2013

www.hebdos regionaux.ca

/mauricie

Les Aigles Can-Am Suivez les performances de l’équipe après chaque partie locale dans la section Sports

Babillard communautaire Si vous organisez une activité communautaire, envoyez-nous vos informations à l’adresse [email protected]

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ENGOUEMENT POUR LE ROADSTER SPYDER

Ces nouvelles motocyclistes En Mauricie et au Centre-duQuébec, au moins une motocyclette de type roadsterSpyder sur cinq est immatriculée par une femme.

facteur déterminant lorsque vient le temps de choisir un véhicule de loisir. «Maintenant, le choix se fait entre un roadster et une voiture décapotable», souligne-t-il.

KARINE BLANCHETTE

Ce qu’en pensent les utilisatrices Lorsqu’on interroge des conductrices sur les raisons qui ont motivé leur achat d’un Spyder, la réponse qui vient tout de suite après le sentiment de sécurité, c’est… les valises. «J’aime la capacité de rangement. Je suis capable d’y faire entrer une petite épicerie», mentionne Laurie-Anne Pelletier, une jeune conductrice âgée de 25 ans à propos du roadster de Can-Am. «C’est confortable. Tu n’as pas vraiment besoin d’avoir d’équilibre pour le conduire et ça ne coûte pas cher d’essence», ajoutet-elle. Parmi les autres points positifs identifiés par la jeune femme, on retrouve la transmission semi-automatique et le régulateur de vitesse qui diminue la fatigue du poignet. «La sensation est vraiment différente de

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Tout porte à croire que les femmes acceptent de moins en moins de prendre place à l’arrière d’une motocyclette et la venue du modèle trois roues Spyder de Can-Am BRP sur le marché en 2008 ne semble pas étrangère à ce phénomène. Selon Gabriel Fugère, propriétaire d’Elitech Sport Évasion, «ça a libéré bien des femmes de conduire une moto.» À son avis, c’est l’attrait du design, la légèreté et la facilité de conduire le Spyder qui séduisent la gent féminine. «Elles prennent plaisir à conduire ce véhicule qui se tient tout seul à cause de sa conception triangulaire», observe-t-il. M. Fugère croit que le sentiment de sécurité éprouvé par les femmes qui font l’essai de la moto trois roues est aussi un

celle de conduire une moto. Avec les deux roues en avant, tu ne peux pas valser dans les courbes», constate Manon Berthiaume, propriétaire d’une moto conventionnelle, venue faire l’essai d’un Spyder lors de la journée d’essai routier tenue chez Elitech Sport Évasion dans le cadre de la tournée BRP. «Moi, j’aime mieux conduire qu’être assise à l’arrière. J’aime lefeeling de conduire et je n’ai pas la vue cachée à l’avant», confie France Laperrière, qui conduit un Spyder depuis 2009.

Le motocyclisme au féminin L’engouement des femmes pour les trois roues peut aussi se mesurer lors de la journée internationale du motocyclisme féminin. En effet, chaque premier vendredi du mois de mai, et ce depuis les sept dernières années, dans de nombreux pays à travers le monde, les femmes enfourchent leurs montures à deux et trois roues simplement dans le but de partager leur passion pour la moto.

Arts Si vous avez une nouvelle artistique, communiquez avec claudia.berthiaume @quebecormedia.com

facebook.com/ lecho3rivieres twitter.com/ lecho3rivieres JF011320318

Les sœurs Manon et Gaétane Berthiaume (assise à l’arrière) tout juste avant leur essai routier.

PHOTO KARINE BLANCHETTE

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ESSAI ROUTIER

Une journée et c’est parti! Contrairement à une motocyclette à deux roues, il ne suffit que d’une courte formation de sept heures et d’un permis de conduite automobile valide pour piloter un Spyder.

KARINE BLANCHETTE

[email protected]

Offert par les écoles de conduite pour motocyclettes reconnues par l’Association québécoise du transport et des routes (AQTR), le cours qui permet de conduire un roadster Can-Am est d’une durée minimale de sept heures. Cette formation, qui comprend trois heures de théorie en classe, deux heures de pratique en circuit fermé et deux heures de pratique sur route, favorise l’adoption d’une conduite sécuritaire, coopérative et responsable sur la route.

Les modèles Spyder sont dotés de systèmes de contrôle de la stabilité, de freinage antiblocage, d’antipatinage et d’une servodirection dynamique.

D’entrée de jeu, j’aimerais souligner que je n’ai jamais conduit de motocyclette auparavant et que mon expérience avec le guidon se limite à la bicyclette. Grâce à la transmission semi-automatique, j’ai pu aisément démarrer la machine sans caler le moteur. Je tourne doucement la poignée de l’accélérateur et c’est parti pour un petit trajet sinueux entre les cônes orange dispersés sur le terrain de stationnement. Je teste d’abord les freins et j’apprends rapidement à appuyer modérément sur la pédale, à basse vitesse. J’avance un peu en ligne droite avant d’apercevoir une première courbe à l’horizon, je braque le guidon et je négocie parfaitement, ou presque, le premier virage. Je poursuis tranquillement le parcours et franchis le fil d’arrivée sans anicroche. Tout au long de mon court essai, je me sens en contrôle de ma monture. Nul besoin de tenir l’équilibre ou de poser mon pied au sol lors des arrêts. Avec un peu plus de pratique, je suis certaine que je deviendrais rapidement assez à l’aise pour sillonner les plus belles routes du Québec, cheveux dans le vent… sous mon casque.

Piloter un Spyder requiert une courte formation. PHOTO AGENCE QMI

Le motocyclisme dans la région Nombre de motocyclettes immatriculées divisé selon le sexe du propriétaire en date du 9 juillet 2013

Essai en circuit fermé Les modèles Spyder sont dotés de systèmes de contrôle de la stabilité, de freinage antiblocage, d’antipatinage et d’une servodirection dynamique. Inspirés des technologies automobiles, ces systèmes, jumelés à la conception triangulaire (deux roues à l’avant, une à l’arrière) doivent, en théorie, faciliter le pilotage du roadster Can-Am. Quoi de mieux que de le vérifier moi-même en circuit fermé.

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Régions administratives

Motos 3 roues

Motos 2 roues

Femmes

Hommes

Femmes

Hommes

Centre-du-Québec

102

334

1264

6930

Mauricie

68

254

1077

6398

Source : Société de l’assurance automobile du Québec

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L’ART DE VIVRE SELON JOANY

JOANY DUFRESNE

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Le shower de bébé parfait L’arrivée d’un bébé est très excitant pour la future maman. Le shower de bébé l’est tout autant. Afin que ce moment soit parfait, chaque détail doit être pensé, sans oublier les incontournables traditions. Mais parfois, elles se doivent d’être réinventées. Terminé le shower de bébé entre filles seulement. Les hommes aussi sont inclus dans la fête. Gardant un côté classique, Véronique Beaulieu, présidente de Votre Agence, propose un shower de bébé réunissant autant les amis que la famille, mais différemment. «La journée idéale, c’est que les femmes passent un après-midi ensemble à faire des trucs de filles, alors que les hommes sont ensemble à faire des activités masculines tels que du karting ou assister à une partie de baseball. Ensuite, ils se rassemblent tous pour le souper», dit-elle.

«C’est un classique, mais malheureusement on le voit de moins en moins, car ça demande du temps. Moi, je trouve que ça reste un élément central au shower de Un après-midi féminin Pendant que les hommes se divertissent bébé», affirme Véronique Beaulieu. Reliant des couches de lors d’une quelconque activité, différents âges sur plusieurs les femmes profitent d’un étages, le gâteau de couches après-midi purement féminin. comprend aussi des Conversations de filles, jeux éléments de décoration tels et sucreries au menu. que de petits cadeaux, des «C’est plaisant d’être réunies toutous, etc. et de papoter, mais il faut Le problème, confie Mme quand même organiser la jourBeaulieu, c’est que la née», ajoute Mme Beaulieu. maman hésite souvent à le Cette dernière conseille la défaire et quand elle finit tenue de petits jeux simples par le démonter, il y a des préparant la future maman Véronique Beaulieu, couches maintenant trop comme celui du test de purées. présidente de Votre petites pour le bébé. Comme certaines personnes Agence PHOTO GRACIEUSETÉ Mais l’important dans un peuvent ne pas se connaître, shower de bébé réside dans le plaisir que elle propose des jeux brise-glace. «Il ne faut pas en faire trop, car il faut vivra la future maman et les souvenirs garder du temps pour les cadeaux (si on dont elle gardera de cette belle journée. veut les déballer entre filles)», mentionne l’experte.

Le tout demeurant une surprise pour la future maman bien évidemment.

Les sucreries telles que les cupcakes sont incontournables. PHOTO PHOTOS.COM

«C’est plaisant d’être réunies et de papoter, mais il faut quand même organiser la journée» VÉRONIQUE BEAULIEU

Pour combler les petits creux durant cet après-midi de plaisir, les sucreries sont à prévoir. Bien que les cupcakes soient très appréciés, les buffets de bonbons connaissent un succès fou. Mélangés à des crudités, des croustilles et de l’eau, on s’assure de répondre à toutes les envies. Pour les plus audacieuses, le buffet de crèmes glacées est recommandé. «On sait que la crème glacée est très prisée par les femmes durant la grossesse», mentionne Mme Beaulieu. Le gros gâteau étagé est à éviter. Considérant le souper à venir, il risque de se gaspiller.

Gâteau de couches. PHOTO PHOTOS.COM

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Le gâteau de couches Les générations changent et certaines traditions se perdent. Il y en a une qui se doit toutefois de perdurer; celle du gâteau de couches. 3625, boulevard Chanoine-Moreau, Trois-Rivières, Québec, G8Y 5N6 Téléphone 819 371-4823 Nouvelles 819 371-4807 Distribution et plaintes 1 877 663-9002 Annonces classées 1 877 750-5052 Rédaction : [email protected]

Des cadeaux sont offerts à la future maman. PHOTO PHOTOS.COM Éditeur et Directeur-général Québecor Média Mauricie : Serge Buchanan Journalistes : Karine Blanchette, Guillaume Jacob Claudia Berthiaume, Joany Dufresne Coordonnatrice aux ventes : Valérie Lacoursière Préposée au télémarketing : Louise Dumont

Conseillers (ères) en publicité : Marie-Karelle Croteau, Junior Dubuc Claude Huard, Steven Calille, Charles Blondin Nicolas Bélisle, Valéry Désilets Infographie : Centrale de montage Sun Media Directeur général régional, Quebecor Media : Mario Marois ISSN 2291-2177

Tirage : 67 503 exemplaires Édité par Corporation Sun Media, ayant son siège social au 612, rue Saint-Jacques, Montréal, Qc H3C 4M8, imprimé par l’Imprimerie Journal de Québec, ayant son siège social au 450, avenue Béchard, Vanier, Québec, G1M 2E9 et distribué par Réseau Québecor Média, 900 St- Martin O, Laval (Québec), H7S 2K9, 1 877 663-9002.

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ÉGLISE SAINT-PHILIPPE

Trois ans de taxes impayées Voilà maintenant trois ans que les dettes pour taxes impayées s’accumulent pour l’église SaintPhilippe. C’est le délai prévu par la loi pour permettre à la Ville de Trois-Rivières de saisir le site. GUILLAUME JACOB

[email protected]

Cette avenue n’est toutefois pas envisagée, confirme le porte-parole de la Ville, Yvan Toutant. «Nous ne sommes pas obligés de nous prévaloir de ce droit», souligne-t-il. L’église attend d’être démolie depuis plus de deux ans maintenant. La compagnie immobilière Olymbec a un projet dans ses cartons pour le site. L’actuel propriétaire de l’église et du terrain, Excavations Ovila Despins, a cédé son contrat de démolition à une autre entreprise,Anpro Démolition. La question est maintenant de savoir qui paiera la facture de taxes impayées entre les trois parties. «Si on récupère l’église, on doit s’occuper de sa démolition», fait remarquer Yvan Toutant. Les coûts de ces travaux pourraient dépasser les 300 000 $, indique-t-il. Comment faire pour récupérer cette somme? Il y a fort à parier que la vente du terrain ne serait pas suffisante», ajoute le

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porte-parole. C’est pourquoi la Ville compte toujours laisser la chance aux coureurs à ce moment-ci, même si elle attend impatiemment la démolition. «On privilégie toujours une entente entre les parties impliquées, signale M. Toutant. On espère un dénouement prochainement. La bonne nouvelle, c’est qu’ils discutent toujours.» Pour les mêmes motifs, la Ville refuse de recourir à la voie légale en demandant une injonction pour pousser le propriétaire à démolir, en vertu des risques pour la sécurité que peut poser le vétuste bâtiment.

Pas question d’effacer l’ardoise Bien que le paiement des taxes constitue le nœud du problème, pas question pour la Ville d’annuler les dettes. Primo, ce serait inéquitable, dit Yvan Toutant. «On ne voit pas pourquoi l’ensemble des citoyens aurait à absorber ces taxes-là.» Secundo, la légalité d’une telle procédure demeure incertaine. «On parle d’un projet de construction, après que l’église soit démolie, de plus d’un million de dollars, renchérit le porteparole. Ce n’est pas une facture de taxes impayées d’un peu plus de 20 000 $ qui peut barrer la route à un projet de cette

Voilà trois ans que les taxes municipales n’ont pas été payées pour l’église Saint-Philippe. PHOTO L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES

envergure.» Ceci étant dit, la Ville est prête à faire preuve de flexibilité pour favoriser une entente. «L’automne s’en vient à grands pas, et on

ne peut pas démolir l’hiver, souligne M. Toutant. Si les parties pouvaient s’entendre à temps pour faire les travaux cet automne, ce serait la meilleure des nouvelles.»

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LAC-MÉGANTIC

Les pompiers trifluviens au cœur du désastre Les 13 pompiers de TroisRivières partis prêter main-forte à leurs confrères de LacMégantic sont de retour au bercail. Quatre d’entre eux ont livré un témoignage de leur expérience sur le site de la catastrophe. GUILLAUME JACOB

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Une première cohorte est partie le 14 juillet, qui a été relevée par une deuxième cohorte trois jours plus tard. Chacune des équipes est restée deux jours. Sitôt arrivés sur les lieux, c’est l’ampleur de la scène de la catastrophe qui a frappé les pompiers. «On voyait ça gros à la télé. Mais quand on arrive sur les lieux, c’est plus grand que nature. Ça a frappé fort», a dit Nicolas Marceau, l’un des quatre pompiers qui ont rencontré la presse. La première cohorte, qui a travaillé de jour, a été affectée aux opérations de recherche, à la décontamination des intervenants, et à d’autres menus travaux comme le plein d’essence des équipements.

«Il y a beaucoup de tâches à accomplir», indique Philippe Trudel, qui a été de ce premier contingent. Celui-ci a toutefois été impressionné par la bonne organisation sur le terrain. Cette première cohorte a dû composer avec la canicule. «Le jour, toutes les tâches ont leur lot de difficultés, rapporte M.Trudel. Des lectures de température ont affiché jusqu’à 50 degrés. C’était un facteur de difficulté épouvantable. On devait s’hydrater souvent.» Les journées de 12 heures débutaient par une réunion à la caserne où les pompiers étaient attitrés à des tâches. «Le site de la catastrophe est très grand. Il faut y aller méthodiquement, tranquillement et de façon sécuritaire», indique Guy Mathieu, qui faisait partie de la deuxième cohorte. «Il se dégage encore des vapeurs toxiques» précise-t-il. Le plus souvent, les pompiers devaient donc porter des masques et parfois même tout l’appareil respiratoire. Cette deuxième cohorte a travaillé de nuit et s’occupait principalement de prévenir les incendies pendant que d’autres interve-

Nicholas Marceau, Guy Mathieu, Mario Biron et Philippe Trudel font partie des 13 pompiers qui sont allés prêter main-forte à leurs confrères de Lac-Mégantic la semaine dernière. PHOTO GUILLAUME JACOB

nants pompaient le pétrole brut encore présent dans certains wagons-citernes.

Chapeau aux pompiers de Lac-Mégantic Les quatre pompiers ont tous un énorme respect pour leurs confrères de LacMégantic qui sont au cœur de la tragédie depuis le tout début. «C’est sûr qu’ils sont fatigués. Ils sont là

quasiment nuit et jour», souligne Mario Biron.«C’est gars-là ont agi en professionnels. Ils ont fait tout un travail», ajoute Philippe Trudel. Huit autres pompiers de Trois-Rivières prendront la route de Lac-Mégantic la semaine prochaine. «Tant et aussi longtemps que besoin il y aura, nous enverrons de l’aide», indique le porte-parole de la Ville, Yvan Toutant.

SURVEILLANCE POLICIÈRE DURANT LES VACANCES DE LA CONSTRUCTION

La SQ vous a à l’oeil Dans le but d’améliorer le bilan des accidents routiers, la Sûreté du Québec (SQ) accroît sa surveillance policière au cours de la période de vacances de la construction.

KARINE BLANCHETTE

[email protected]

Les policiers de la Sûreté du Québec effectueront une surveillance accrue jusqu’au 4 août prochain sur les routes. PHOTO KARINE BLANCHETTE

Des policiers de la Sûreté du Québec du district Mauricie/Centre-du-Québec ont procédé, à Bécancour, le 19 juillet dernier, à une opération de sécurité routière concernant le port de la ceinture de sécurité et l’usage du téléphone cellulaire au volant. Les policiers vérifiaient que la ceinture de sécurité était bien portée sur l’épaule et

que les conducteurs ne manipulaient pas leur téléphone en conduisant.

Bilan de la province Depuis le début du mois de juillet, 18 collisions mortelles ont eu lieu en autant de jours sur le réseau routier desservi par la SQ. L’an dernier, le bilan des vacances de la construction totalisait neuf accidents routiers avec décès. On déplorait un décès sur les routes du territoire du district de la Mauricie/ Centre-du-Québec durant cette période. En 2012, la principale cause de collisions mortelles et avec blessés sur le territoire de la Sûreté du Québec était la vitesse.

La vitesse, la capacité affaiblie, le port de la ceinture de sécurité et l’utilisation du cellulaire au volant seront au cœur des interventions policières durant les vacances de la construction. PHOTO KARINE BLANCHETTE

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1er AU 4 AOÛT 2013 BILLETS EN PRÉVENTE DANS LES PHARMAPRIX DE SHERBROOKE ET MAGOG. AD{JF011414665}

ÉRIC LAPOINTE 1er AOÛT

RADIO RADIO 3 AOÛT

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 24 juillet 2013

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Au cours des cinq dernières années, les enquêtes des escouades régionales mixtes ont mené à de nombreuses arrestations et perquisitions, comme cela a été le cas le 16 avril 2013, dans cet immeuble à condos de Trois-Rivières. PHOTO ARCHIVES L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES

ESCOUADES RÉGIONALES MIXTES

Fusionner pour survivre Les Escouades régionales mixtes drogues et motards fusionneront. La nouvelle escouade ainsi formée permettra aux policiers de la Sécurité publique de TroisRivières et à ceux de la Sûreté du Québec de continuer à combattre le crime côte à côte. GUILLAUME JACOB

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«On a un nouveau projet qui a été soumis et on va signer une entente avec la Sûreté du Québec, annonce le directeur de la Sécurité publique de Trois-Rivières (SPTR), Francis Gobeil. Cette entente sera présentée au conseil municipal lors de la prochaine séance publique.» Les deux Escouades régionales mixtes (drogues et motards) avaient été créées en 2008 grâce au financement provenant d’un programme du gouvernement fédéral, le Fonds pour le recrutement des policiers. Au sein de ces escouades, des enquêteurs de la SPTR et de la Sûreté du Québec unissaient leur force pour mieux lutter contre le crime sur l’ensemble du territoire mauricien. Or, dans son dernier budget, le gouvernement fédéral n’a pas renouvelé ce programme. Pour la SPTR, cela représentait un peu moins de 400 000 $ par année qui étaient alloués aux Escouades régionales mixtes. AD{JF011409767}

En fusionnant les deux escouades et en faisant quelques réaménagements dans son budget de l’année en cours, la SPTR est en mesure de poursuivre sa collaboration avec la Sûreté du Québec. «Le financement d’Ottawa qui ne vient plus est compensé autrement, explique le directeur. On revoit des façons de faire.» À l’automne, à l’aube du prochain budget, la Sécurité publique déterminera si elle demande de nouveaux crédits au conseil municipal. «Il faut savoir que la criminalité qui est visée par cette escouade est du niveau de la SPTR. Ça fait déjà partie des responsabilités que nous avons comme service de police.» Trois policiers municipaux seront affectés à temps plein à la nouvelle mouture unique de ce qui continue d’être désigné comme l’Escouade régionale mixte. «Ce dont on a convenu avec la Sûreté du Québec et le ministère de la Sécurité publique, ce sont les conditions d’affectation qui encadrent les escouades, explique Francis Gobeil. Il reste encore beaucoup d’orientations à donner.» Au retour des vacances d’été, des équipes de coordination devraient être formées. Pour le directeur, cette nouvelle Escouade régionale mixte fusionnée permettra d’améliorer les efforts de lutte au crime. «En fusionnant les deux escouades, on pense que ça va être une solution gagnante. Je pense qu’on va être encore plus efficace, du moins, c’est mon souhait.»

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Irina Mysliakovskaia écope de 50 mois de prison Irina Mysliakovskaia, reconnue coupable de conduite avec les facultés affaiblies ayant causé la mort de Katherine Beaulieu en mai 2010, écope de 50 mois de prison.

GUILLAUME JACOB

[email protected]

Lise Lebel déçue La mère de la victime, Lise Lebel, s’est dite déçue de la décision. «On s’attendait à plus», a-t-elle avoué au sortir de la salle d’audience. «On m’a enlevé ce que j’avais de plus précieux et ça n’a pas été considéré à sa juste valeur.» Lise Lebel a toutefois indiqué qu’elle respectait la décision du juge. Elle compte poursuivre sa lutte contre la conduite avec les facultés affaiblies par le biais de la fondation qui porte le nom de sa défunte fille. «Je vais continuer à travailler fort pour que ça n’arrive plus dans notre communauté.» La procureure de la Couronne, Me Julie Forget croit que le juge a misé sur le potentiel de réhabilitation de la coupable. «Le facteur le plus aggravant est la ten-

Au terme de procédures qui auront duré trois ans, Irina Mysliakovskaia écope d’une peine de 50 mois de prison. PHOTO CAPTURE D’ÉCRAN

tative de suicide avec mépris pour la sécurité d’autrui et ça le juge en a tenu compte», a-t-elle souligné.

Irina Mysliakovskaia Le procureur de l’accusée a dit, au terme du prononcé de la sentence, que sa cliente

était soulagée que cette affaire soit maintenant terminée.

Croyez-vous que la sentence soit assez sévère? TR R . R ED A C TIO N @ Q U EB EC O R M ED IA . C O M

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En vertu des 49 jours que la femme de 38 ans a déjà passés derrière les barreaux tout au long des procédures, il lui restera 48 mois à purger. En outre, il lui est interdit de conduire au cours des cinq prochaines années. Le juge François Huot a prononcé cette sentence le 10 juillet, de vive voix, pour éviter des délais supplémentaires dans cette affaire qui dure depuis maintenant trois ans. La défense suggérait une peine de deux ans alors que la Couronne demandait six ans de détention. Le juge Huot a souligné que certains faits aggravants devaient être pris en compte. Il a notamment rappelé que l’accusée avait «persisté dans la commission de ses crimes malgré les avertissements que consistaient les évitements des autres véhicules», le soir fatidique où Irina

Mysliakovskaia a roulé en sens inverse sur l’autoroute 55 sud. Le juge a aussi souligné que le jury avait conclu au «caractère délibéré de la collision» avec la voiture que conduisait Katherine Beaulieu comme facteur aggravant. Parmi les circonstances atténuantes, le juge a noté l’absence d’antécédents judiciaires, le dossier de conduite «irréprochable» avant les faits, et le haut potentiel de réhabilitation de l’accusée.

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 24 juillet 2013

D’UNE RIVE À L’AUTRE

Une nouvelle mamie Manon A. Bolduc, qui travaille au Pavillon Mgr St-Arnaud, est devenue grandmaman dernièrement et elle en est très fière! Mamie, grand-maman, mémé, enfin je ne sais plus, mais c’est la grand-maman de Benjamin Bolduc, né le 29 juin à 23h21, pesant 7 livres 6 onces et mesurant 20 pouces. C’est assez précis! Les parents, David Bolduc et Valérie Bidégaré, travaillant tous deux dans les médias, sont aussi très heureux bien entendu! En passant, mamie Manon, qui est une amoureuse des voyages, se prépare à repartir à l’automne cette fois-ci pour la Turquie. Photo : Bébé Benjamin

Une tournée musicale cet été pour Coralie Lacoursière La cadette Coralie Lacoursière du corps de cadets de la Marine 226 TroisRivières Ouest participera à une tournée musicale avec la Musique des cadets de la Région de l’Est. Elle est l’une des 39 instrumentistes sélectionnés parmi les meilleurs 2 500 cadets musiciens chez les cadets de la Marine, les cadets de l’Armée et les cadets de l’Aviation au sein de la Région de l’Est pour participer à près d’une quarantaine de concerts et de prestations lors de la tournée estivale 2013. Âgée de 16 ans, Coralie Lacoursière est la fille d’Isabelle Demaret et de Claude Lacoursière. Coralie est bien heureuse d’être avec cette musique d’élite pour l’été 2013. Photo: La cadette Coralie Lacoursière jouera du saxophone alto avec la Musique des cadets de la région de l’Est.

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CLAUDE BOLDUC [email protected]

Les Belles d’autrefois Un rassemblement de voitures anciennes et modifiées se tenait dans le parc Marguerite d’Youville de Nicolet et j’ai pu y rencontrer Clément Lacerte, de Trois-Rivières, qui présentait son modèle 1964 de façon un peu spéciale. Il voulait se rappeler le bon temps du service à l’auto du A&W où nous demeurions dans l’auto pendant que la serveuse venait prendre la commande et servait le tout sur un cabaret qui s’accrochait à la vitre de l’auto. Je ne sais pas si c’était une façon pour lui de cruiser son épouse? M. Lacerte fait le tour des expositions et est très fier de son bolide! Photo : Clément Lacerte

Un beau don pour les jeunes! L’organisme Autonomie Jeunesse de Trois-Rivières s’occupe des jeunes de 16 à 25 ans qu’il aide à faire le passage à l’âge adulte en favorisant l’insertion sociale des jeunes présentant des difficultés d’adaptation au niveau personnel, social et professionnel dans les régions de la Mauricie et du centre du Québec. Son équipe a reçu une bonne nouvelle. En effet, l’organisme a reçu un don de 4 000 $ de la compagnie Benjamin Moore en collaboration avec la Fondation Communautaire du Saint-Mauricie. Ils seront encore plus en mesure de répondre aux besoins de ces jeunes. Photo: Lise Beaulieu, v.p. du c.a. de la Fondation communautaire du SaintMaurice, Madeleine Demers, présidente du c.a. d’Autonomie Jeunesse, Daniel Bélanger, propriétaire du Peinture Louis Gince, Micheline Gauthier, directrice générale d’Autonomie Jeunesse et Suzanne M. Ross, membre du c.a. de la Fondation Communautaire du Saint-Maurice.

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ALERIS

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sur présentation de ce coupon

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Cocktail explosif Huiles, ampoules au mercure, acides, BPC: l’ancienne usine Aleris renfermait un joyeux cocktail de matières dange-

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Cette ordonnance a été émise le 25 juin dernier par le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP). Les débris visés proviennent des travaux de démolition qui avaient commencé à l’automne 2011, mais qui ont été stoppés en février 2012. «Sur le terrain, il y a plusieurs amas de résidus, explique Céline Tremblay, directrice régionale pour la Mauricie et le Centre-du-Québec au ministère. Ces amas nous empêchent de poursuivre le travail et constituent une infraction à la Loi sur la qualité de l’environnement.» La Corporation de développement TR a 30 jours pour répondre à l’ordonnance faute de quoi le ministère procédera lui-même au nettoyage et enverra la facture à la compagnie. C’est la troisième ordonnance du

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[email protected]

reuses, rapporte la deuxième ordonnance émise par le MDDEFP. «La Direction de la santé publique remarque que les quantités de matières dangereuses présentes se rapprochent des quantités ayant brûlé lors de l’incendie de BPC survenu à Saint-Basile-leGrand en 1988 et où plus de 3 500 personnes sur une distance de six kilomètres avaient été évacuées», peut-on lire dans la deuxième ordonnance du ministère. À ce titre, Céline Tremblay tient à rassurer. À la suite de la deuxième ordonnance, le ministère a pris les choses en main pour enrayer les risques. «Toutes les matières dangereuses résiduelles ont été entreposées dans des conteneurs. Quant aux BPC, ils ont été éliminés du site. Le ménage a été fait en ce qui a trait aux matières dangereuses. Le ministère fait tout en son pouvoir pour s’assurer que le risque à la population est enrayé», assure-t-elle. Si les risques immédiats ont été mis en échec, beaucoup de travail reste à faire. «On est en train de faire un plan de gestion des matières dangereuses, indique Mme Tremblay. On évalue aussi les coûts pour la décontamination du bâtiment. À partir du moment où on aura ces informations, ce sera plus facile de lancer des appels d’offres pour faire une étude de caractérisation complète du site et pour éliminer les matières dangereuses.»

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GUILLAUME JACOB

MDDEFP que reçoit l’entreprise propriétaire du site. La première demandait à la Corporation de développement TR de s’occuper du système de récupération des hydrocarbures qui se trouve sur le site. Ce système est composé de plusieurs puits qui pompent les les eaux souterraines sous l’usine qui sont contaminées aux hydrocarbures, pour éviter que la contamination se propage. La deuxième ordonnance demandait à la compagnie de s’occuper de l’élimination des matières dangereuses sur le site et du nettoyage des surfaces contaminées. Comme ces deux premières ordonnances sont restées lettre morte, c’est le ministère qui s’est occupé de tout ce travail. La facture totale atteint maintenant le million et demi de dollars, rapporte Céline Tremblay. D’ailleurs, le ministère a pris une hypothèque légale sur le terrain. «Si la Corporation de développement TR ne bouge pas, le gouvernement doit agir pour faire respecter la Loi sur la qualité de l’environnement et s’assurer de la sécurité des gens autour», explique la directrice régionale.

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Des amas de débris jonchent le site de l’ancienne usine Aleris et empêchent la poursuite des travaux de décontamination. C’est pourquoi une troisième ordonnance a été envoyée à la Corporation de développement TR, propriétaire du site, et à son président, Tim Martinez.

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Tim Martinez sommé de faire le ménage

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Des amas de débris jonchent le site de l’ancienne usine Aleris et gênent la poursuite des travaux de décontamination. PHOTO ACHIVES L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES AD{JF011435289}

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REPORTAGE SPÉCIALISÉ MOSAÏCULTURES INTERNATIONALES MONTRÉAL 2013 – TERRE D’ESPÉRANCE

Un spectacle sublime pour les sens Après une absence de dix ans dans la métropole, la nouvelle édition des Mosaïcultures Internationales Montréal 2013 – Terre d’Espérance offre un spectacle au-delà des attentes des visiteurs venus de partout au Québec. La critique est unanime. L’intégration des chefs-d’œuvre végétaux dans le décor du Jardin botanique de Montréal est une réussite totale. Les visiteurs sont conviés à un spectacle enchanteur et mémorable. Parmi les œuvres en compétition, l’œuvre de Shanghai se démarque par sa fragilité et sa splendeur. Les horticulteurs ont reproduit une histoire vraie qui s’est déroulée dans la Réserve naturelle de Yancheng, en Chine, vers la fin des années 1980. Xu Xiu Juan, une jeune fille qui adorait les grues à tête rouge, a décidé de vouer sa vie à prendre soin de ces grues. Un jour, en voulant sauver une grue blessée, elle a glissé dans un marais. L’oiseau a été sauvé, mais la

GUY BOILY

jeune fille n’est jamais remontée à la surface. Cette émouvante histoire a fait le tour de la Chine et a touché le cœur de mil-

liers de personnes. Pour rendre hommage au courage de la jeune fille, qui a sauvé la grue au détriment de sa vie, une chanson a été composée pour raconter

cette histoire. Cette mélodie est également inspirée des grues à tête rouge qui exécute un ballet hors du commun lors de la saison de nidification. Ils dansent devant leurs partenaires potentiels en entremêlent des sauts, révérences, saluts, battements d’ailes et autres mouvements bien calculés. Les horticulteurs chinois ont d’ailleurs intégrer cette chanson à leur œuvre ce qui rend le tableau unique. Outre l’œuvre de Shanghai, le volet international de l’exposition Mosaïcultures Internationales Montréal 2013 – Terre d’Espérance comprend une cinquantaine d’œuvres provenant de 20 pays. Le volet national comprend, quant à lui, des œuvres de plusieurs villes du Québec dont Sherbrooke, Trois-Rivières, Val-d’Or, l’Assomption et Repentigny. Le parcours de 2,2 km est un spectacle sublime pour les sens. Les visiteurs sont aussi invités à voter pour leur coup de cœur dans le cadre du Grand Prix du public Qatar Airways au Carrefour International.

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Quatre candidats en vue de l’investiture de Force 3R Le parti municipal Force 3R a présenté, le 17 juillet, quatre candidats à l’investiture à titre de conseillers en vue des prochaines élections municipales qui se tiendront en novembre.

KARINE BLANCHETTE

[email protected]

Créé en juin 2009, Force 3R est le seul parti politique municipal reconnu à Trois-Rivières. Lors des dernières élections, il n’avait présenté qu’un seul candidat. Il s’agissait d’André Carle, qui briguait alors la mairie. L’objectif du parti est de présenter 17 candidats lors de la prochaine campagne électorale. À cet effet, Force 3R tiendra une soirée d’investiture dont la date n’est pas encore déterminée. On savait déjà que Richard StGermain s’y présentera dans le but d’en-

trer dans la course à la mairie. En conférence de presse, Pierre Clouatre, président de Force 3R, a présenté une première cohorte de quatre candidats souhaitant devenir conseiller municipal. Il s’agit de Joan Hamel dans le district de Rigaud, Suzanne Charette dans celui des Terrasses, Alain Bérubé dans Pointedu-Lac et Richard Héroux dans le district des Plateaux. «On fait place autant aux hommes qu’aux femmes», constate M. Clouatre, qui souligne la diversité de la formation et de l’expérience des candidats. En ce qui a trait à la ligne de parti, M. Clouatre précise que les candidats élus le 3 novembre devront suivre le programme de Force 3R et respecter leurs engagements envers les électeurs. Ses membres prônent la démocratie, l’écoute, la rigueur, la transparence, l’intégrité et le respect. M. Clouatre conclut que Force 3R fera tout en son pouvoir pour que le mandat du maire ne soit pas renouvelé.

Dans l’ordre habituel: Richard Héroux, Joan Hamel, Suzanne Charette et André Bérubé, quatre candidats à l’investiture de Force 3R voulant obtenir un poste de conseiller lors des prochaines élections municipales. PHOTO KARINE BLANCHETTE - L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES

STRATÉGIES GAGNANTES

Chronique Jobboom

EMPLOI Pour d’autres conseils : http://www.jobboom.com

Entrevue

Des questions à éviter en entrevue

C

ertaines questions sont à éviter en entrevue d’embauche, pour ne pas compromettre vos chances de décrocher le poste. Soyez vigilant ! Même si vous vous sentez parfaitement à l’aise avec le recruteur et que l’entretien se déroule bien, il y a des points que vous auriez tout intérêt à ne pas aborder.

Ce que l’entreprise peut faire pour vous…

Lors d’une première entrevue,surtout pour un candidat peu expérimenté,il serait malavisé de poser des questions sur les avantages sociaux, les horaires de travail, les vacances ou le salaire. On n’en est pas rendu là, sauf si c’est l’employeur qui en parle.

pression au recruteur qu’il doit justifier sa position. Évitez aussi de poser plus de deux ou trois questions afin de ne pas monopoliser la parole et prolonger indûment l’entretien.

N’en dites pas trop

N’emmenez pas le recruteur sur un terrain qui vous est défavorable. Par exemple, demander si l’anglais est nécessaire pour le poste pourrait révéler au recruteur que vous n’êtes pas à l’aise avec cette langue.Restez vigilant!

À retenir

• Ne commencez pas vos phrases par :«pourquoi». • N’emmenez pas le recruteur sur un terrain qui vous est défavorable.

C’est vous l’interviewé

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Ne commencez pas vos phrases par : «pourquoi».Vous ne devez pas prendre le contrôle de l’entretien ni donner l’imAD{JF011412340}

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ENTREPRENDRE

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Une présentation de

«Le nerf de la guerre, c’est le financement» Yvan Charest a baigné toute sa vie dans le milieu entrepreneurial. Après avoir agi comme consultant pour aider de nombreux entrepreneurs pendant plusieurs années, il s’est finalement lancé à nouveau en affaires en 2011 avec l’entreprise CUBS EZ Bloc, qui en est à la toute dernière étape avant de faire son entrée sur le marché. THOMAS PLOURDE

[email protected]

Pour avoir longtemps travaillé de concert avec des entrepreneurs, Yvan Charest savait que le financement était difficile à trouver. «Il y a beaucoup d’organismes qui sont censés être là pour aider, mais une fois qu’ils ont payé leurs employés et leurs dépenses, il ne reste pas d’argent pour les entrepreneurs. En bout de ligne, ils sont surtout laissés à eux-mêmes», déplore-t-il. Il a toutefois réussi à augmenter son financement en début d’année, lorsqu’il a reçu 20 000$ du programme Prêt à entreprendre. «L’argent qu’on a reçu nous permet d’aller chercher un effet de levier parce qu’on peut emprunter sur cet argent à quatre ou cinq pour 1», explique M. Charest.

En démarrage L’entreprise, née d’un rachat de faillite, est actuellement en démarrage. «Il y a trois étapes majeures. La première, il fallait s’installer et mettre en place les bases pour le développement. Ensuite, on a développé de l’équipement entièrement nouveau pour desservir notre marché, parce que les machines nécessaires

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n’existaient pas encore. Parallèlement, on a commencé à développer des produits et un marché, à discuter avec des clients potentiels», précise-t-il. L’entrepreneur prend également une fierté du caractère nouveau de ses produits basés sur la transformation du bois.

« En bout de ligne, (les entrepreneurs) sont surtout laissés à eux-mêmes» «C’est une entreprise innovante sur toute la ligne. On a innové pour produire notre équipement et on a innové pour développer nos produits», se réjouit-il. Aujourd’hui, CUBS EZ Bloc est sur le point de commencer la production de ses produits. «Notre équipement est en production et on s’attend à ce qu’il soit prêt pour les mois de septembre ou octobre. À ce moment-là, on va pouvoir dire à nos clients «OK, on est prêts, envoyez-nous vos commandes», mais d’ici là, on est en attente et c’est important de ne pas faire de promesses avant d’être prêts», termine-t-il.

CUBS EZ BLOC Secteur d’activité: Transformation du bois Fondation: 2011 Établie à: 725 rue des Geais bleus, Chicoutimi Nombre d’employés: Deux + six conseillers

Le propriétaire de l'entreprise CUBS EZ Bloc, Yvan Charest. PHOTO DANIEL GAUTHIER

De l’aide pour les entrepreneurs Les Hebdos régionaux de Québecor Média publient chaque semaine le portrait d’un entrepreneur qui a été sélectionné pour le programme Prêt à Entreprendre. Né des efforts de six partenaires publics et privés, ce programme a pour objectif d’encourager une nouvelle vague d’entrepreneurs québécois. Prêt à Entreprendre offre un prêt d’honneur sans intérêt ni garantie, jusqu’à concurrence de 30 000 $ par entrepreneur. Il offre également un accompa-

gnement sur mesure aux entrepreneurs sélectionnés, qui profitent ainsi d’un mentor, de conseils d’experts et d’un accès à de grands réseaux. Les partenaires qui ont rendu possible Prêt à Entreprendre sont : le ministère des Finances et de l’Économie du Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec, le Mouvement Desjardins, la Fédération des chambres de commerce du Québec, la Fondation de l’entrepreneurship et son Réseau M – Mentorat pour entrepreneurs – et Québecor.

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LES ÉCHOS DU BOULEVARD Des résidants heureux et chanceux!

Le 3 juillet a eu lieu le grand tirage de la promotion « 25 000$ en prix » des Résidences du Manoir en compagnie des conseillères en hébergement et membres de la direction. Cinq résidants ont mérité la somme de 1000 $ chacun et le grand gagnant s’est vu remettre un crédit-logement d’une valeur de 20 000$. Les cinq gagnants de 1000 $ sont: Lyse Keable du complexe Richelieu, Lise de la Chevrotière du complexe Rigaud, Viviane Plamondon du complexe des Ormeaux, Yolande Cyrenne du complexe Côte Richelieu et Juliette Bergeron du complexe Rigaud. Le grand gagnant du crédit logement de 20 000$ est René Morin du complexe des Ormeaux. FÉLICITATIONS À TOUS LES GAGNANTS!

Alerte Poutine au Grec

Mercredi dernier avait lieu, au Restaurant Grec Baie-Jolie, l’Alerte Poutine. L’équipe s’était fixé l’objectif de vendre un total de 1000 poutines durant une journée seulement. Malgré la chaleur accablante, le défi a été relevé haut la main avec un total de 1547 poutines vendues. Maintenant , qui osera dire que le Grec ne fait pas de poutine? Merci à toute la clientèle d’avoir fait de cette Alerte Poutine une réussite!

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Union gagnante Claude Gauthier et Dominic Lapointe, respectivement p.d.g. du Castel des Prés et chef-propriétaire des Aliments À la Fine Pointe, ont décidé d’allier leur expertise dans le domaine de la restauration haut de gamme à Trois-Rivières. L’un est restaurateur, l’autre possède un service de traiteur: cette union permettra d’offrir de nouvelles expériences à la clientèle et créera de nouvelles opportunités dans la région! L’expérience de M. Gauthier ainsi que la vision de M. Lapointe seront mises à profit afin d’optimiser l’engouement qui découlera de cette fusion en Mauricie.

Venez rencontrer la mascotte des Aigles

La Mascotte Grand Chelem invite tous les enfants à venir la rencontrer et prendre une photo avec elle lors des parties des Aigles Can-Am. Grand Chelem est disponible 30 minutes avant chaque partie dans le hall d’entrée du stade Fernand-Bédard. Qui n’a jamais rêvé de cajoler un aigle?

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GARANTIE DES MAISONS NEUVES

Rencontre avec les nouveaux dirigeants Plus d’une centaine de victimes de la pyrrhotite ont rencontré les nouveaux administrateurs de la Garantie des maisons neuves, mardi soir, à TroisRivières. Bon nombre d’entre elles en ont profité pour dénoncer le travail du plan de garantie au cours des dernières années et demander des changements. GUILLAUME JACOB











Chiffre de la semaine Subvention implicite par année
 


 

     

    

Source : iedm.org 20-07-2013 AD{JF011435287}




Un observateur de la Coalition Les nouveaux dirigeants de la GMN ont accepté d’accueillir en leur rang un représentant de la Coalition proprio-béton à titre d’observateur. Yvon Boivin voit d’un bon œil l’arrivée de ces nouveaux administrateurs, mais promet de les surveiller de près. «Ils semblent vouloir trouver des façons de résoudre les problèmes que l’on rencontre depuis quatre ans. » Les nouveaux dirigeants ont accepté de rencontrer une équipe de la Coalition. Yvon Boivin compte bien discuter

notamment de la remise en état des résidences telles qu’elles étaient avant les travaux (plutôt que telles qu’elles étaient à la livraison), et du respect des délais des rénovations. Les honoraires de la firme seront payés à même les actifs de la GMN. Selon la Régie du bâtiment du Québec, ces frais ne compromettront pas la capacité de la GMN de répondre aux réclamations futures. En outre, la Régie gère depuis 2012 une nouvelle cagnotte qui pourra prendre le relais du plan de garantie si ses fonds s’épuisent.







Beaucoup de questions Les deux hommes ont dû affronter un tir nourri de questions des victimes, dont plusieurs ont manifesté colère et amertume à l’égard des services reçus jusqu’à maintenant par la GMN. Plusieurs ont été jusqu’à demander le renvoi de certains anciens dirigeants. «On vous demande un grand ménage», a résumé Yvon Boivin, porte-parole de la Coalition proprio-béton. Il a notamment été question de la surveillance des travaux, jugée déficiente, et du manque de transparence. « J’entends ce que vous dites, a déclaré M. Renaud. C’est une grosse machine à faire tourner, mais on va tout revoir les processus, y compris la surveillance des travaux», a-t-il promis.

De nombreuses victimes de la pyrrhotite sont allées à la rencontre des nouveaux dirigeants de la Garantie des maisons neuves, le 16 juillet. PHOTO GUILLAUME JACOB




Le 20 juin dernier, la Garantie des maisons neuves (GMN) a été mise sous tutelle par la Régie du bâtiment du Québec pour cause de problèmes financiers. Les états financiers de la GMN faisaient état d’un manque à gagner de 10 M$. C’est la firme Raymond Chabot Grant Thornton qui a alors été choisie pour prendre les rênes. La firme a voulu respecter un de ses premiers engagements en organisant une séance d’information à Trois-Rivières, le 16 juillet. Deux des nouveaux dirigeants, Jocelyn Renaud et Nicholas Boily, ont tous deux expliqué les priorités de la nouvelle direction: diagnostiquer la situation financière, évaluer les besoins et gérer les réclamations ainsi que les procédures judiciaires (la GMN est impliquée dans le mégaprocès sur la pyrrhotite).

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LA PAGE D’ÉMILIE

ÉMILIE VALLÉE [email protected]

SUGGESTIONS DE SORTIES 24 juillet

25 juillet 26-27 juillet 26 juillet 27 juillet 28 juillet

Québec Issime Salle J.-Antonio Thompson Cinéma de l’île, Les pee-wee Île Saint-Quentin Jazzy Boréalis P.A. Méthot salle Anaïs Allard-Rousseau Papou Blues Baqnd Parc du Centenaire de Grand-Mère Transcendance Parc Saint-Maurice, Shawinigan Élodie Cyrenne Place des Canotiers, Shawinigan

C’est parti pour Québec Issime! La production Québec Issime s’installe à la salle J.-Antonio-Thompson pour une partie de l’été. Les représentations débutent ce 24 juillet et se poursuivent jusqu’au 31 août. Le spectacle De Céline Dion à la Bolduc, c’est une épopée du Centre Bell à la veillée du bon vieux temps. Québec Issime fait revivre les époques et les grands succès de la chanson québécoise. Plusieurs milliers de spectateurs ont acclamé le rythme, la folie et l’émotion de cette méga-production. Un véritable voyage au coeur de notre histoire avec 18 artistes sur scène, 120 chansons et plus de 400 costumes.

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CINÉMA: Si vous avez vu le premier vous voudrez certainement voir la suite. Le film R.E.D. 2 sort en salle cet été. Avec Bruce Willis, John Malkovich, MaryLouise Parker, Catherine Zeta-Jones, Byung-hun Lee, Anthony Hopkins et Helen Mirren, on suit de nouveau les aventures de ces ex-agents de la CIA pour qui l’heure de la retraite n’a toujours pas sonné.

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CLAUDIA BERTHIAUME [email protected]

Natalie Rousseau se joint à l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières Elle accepte la direction générale de l’organisme L’Orchestre symphonique de Trois-Rivières (OSTR) a présenté, mercredi dernier, sa nouvelle directrice générale. C’est une Trifluvienne d’origine, Natalie Rousseau, qui succédera à Thérèse Boutin, qui avait remis sa démission en février dernier, après sept ans passés à ce poste. Petite-fille d’Anaïs Allard-Rousseau, cofondatrice des Jeunesses musicales du Canada, dont le nom a été donné à la salle de spectacle de la Maison de la culture de Trois-Rivières, Natalie Rousseau détient une formation en piano du Conservatoire de musique de Trois-Rivières. Un diplôme en droit de l’Université d’Ottawa et une maîtrise en administration des affaires de l’école des Hautes Études Commerciales de Montréal complètent son parcours scolaire. Mme Rousseau a longtemps œuvré dans la gestion d’organismes culturels sur les scènes nationale et internationale. Après neuf années passées à l’étranger – sept en Italie et deux en Corée du Sud –,

elle effectuera un retour dans sa ville natale. «Je veux faire profiter l’Orchestre de mon expérience à l’international et de mon réseau de contacts. Ça représente une belle opportunité pour moi de revenir au pays pour faire quelque chose que j’aime, parce qu’on me demande de le faire», a déclaré la nouvelle directrice générale de l’OSTR. «On s’estime déjà heureux d’avoir maestro Lacombe à la direction artistique pour faire rayonner la ville, la région et l’Orchestre. Avec ce deuxième enfant de Trois-Rivières à la barre, l’OSTR rayonnera encore plus sur la scène internationale», a souligné Jean-Marc Vanasse, président du conseil d’administration. Fruit du hasard, Natalie Rousseau a côtoyé Jacques Lacombe lors de ses études au Conservatoire. Ce dernier n’avait que des bons mots pour sa nouvelle collègue. «Si ce qu’on a fait jusqu’à maintenant était bien, c’est une nouvelle page de l’Orchestre qui se tourne avec l’arrivée de Natalie. Un futur extrêmement brillant s’amorce pour l’OSTR», a indiqué le directeur artistique.

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La nouvelle directrice générale de OSTR, Natalie Rousseau, en compagnie de JeanMarc Vanasse, président du conseil d’administration.PHOTO CLAUDIA BERTHIAUME

Vision d’avenir Bien qu’elle avoue avoir été surprise de l’offre de l’OSTR, Natalie Rousseau voit son nouveau poste comme un privilège. Elle entend partager sa vision de l’organisme avec l’équipe en place dès que possible. «C’est vraiment un bijou que nous avons à Trois-Rivières. Les gens n’en sont pas conscients. Moi, je le vois parce que j’arrive de l’extérieur. Je souhaite diffuser rapidement l’information et faire sortir ce joyau des frontières de la région», a annoncé la directrice générale.

Plusieurs des idées qu’elle a en tête impliquent la jeunesse. «Je veux essayer de créer plus de maillage entre les artistes et le milieu scolaire. Notre projet de classe en résidence a démontré des résultats concluants. Pourquoi ne pas répéter l’expérience avec 20 ou 30 classes?» Finalement, Mme Rousseau aimerait revoir la stratégie de marketing pour rejoindre un public élargi. «Parfois, c’est simplement une question de mots. Il faut parler le même langage», a-t-elle fait valoir.

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BILAN DU 20E FESTIVOIX

«Une édition qui va rester dans les mémoires» - Stéphane Boileau Le comité organisateur du 20e FestiVoix a fait, la semaine dernière, le bilan du festival qui s’est terminé le 7 juillet. Au total, plus de 21 000 personnes ont franchi les guichets cette année. CLAUDIA BERTHIAUME

[email protected]

«On a commencé cette édition-là dans la tempête et je tiens à souligner le travail extraordinaire des gens qui s’occupaient de l’équipement», a mentionné d’emblée Stéphane Boileau. Le directeur général du FestiVoix n’hésite d’ailleurs pas à parler de la soirée du 28 juin comme un des pires moments de ce vingtième festival. «Les pointes de vent ont atteint 70 km/h et les toiles déchiraient. C’étaient vraiment des conditions difficiles pour travailler. Éric Lapointe a donné un excellent spectacle en dépit de la météo exécrable », poursuit M. Boileau. À l’inverse, le d.g. a qualifié la prestation de Led Zeppelin Experience de «moment qui va rester dans les annales». Quant à la soirée de clôture du festival, pendant laquelle s’est produit Richard

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Desjardins, «il régnait une ambiance magique», selon Stéphane Boileau.

En chiffres Avec ses 21 000 détenteurs de passeports journaliers ou hebdomadaires, le 20e FestiVoix est l’une des meilleures éditions. Fait notable, près du quart des festivaliers proviendrait de l’extérieur de la région, selon une étude réalisée pendant les 10 jours de l’évènement. Une augmentation substantielle de l’utilisation de transport en commun pour se rendre sur le site a également été observée. Environ 11 625 personnes ont utilisé le service de navette desservant spécialement le FestiVoix cette année, comparativement à 7339 personnes l’an dernier, ce qui constitue un bond de 60 %. Un achalandage accru a aussi été noté sur les autres circuits de la Société de transport de Trois-Rivières. Au-delà de 350 bénévoles se sont impliqués de près ou de loin dans le 20e FestiVoix. «Ces gens donnent de leur temps pour que le festival soit accessible à la population à un prix abordable. Il faut prendre le temps de les remercier», a insisté Stéphane Boileau.

Au-delà de 21 000 personnes ont franchi les guichets du FestiVoix cette année. PHOTO CLAUDIA BERTHIAUME

L’organisation s’était associée à deux causes cette année, le Défi des Demois’Ailes au profit de la maison Le Far et la Fondation Gilles-Rousseau, qui lutte contre le cancer de la prostate. Un total de 6050 $, amassé en pourboires, leur a été remis.

Vers l’avenir «Rien n’est jamais gagné dans l’évènementiel», estime le directeur général. C’est pourquoi ce dernier aimerait diversifier encore davantage la programmation l’an

prochain. «Les amateurs de métal et de hardcore ne trouvent pas leur compte au FestiVoix. J’aimerais aussi donner une place spéciale aux voix sacrées, avec des concerts dans l’église St. James pendant la journée. Un scène réservée spécialement aux auteurscompositeurs-interprètes serait également intéressante», détaille M. Boileau. Mais déjà, le d.g. est plus qu’enthousiaste: «avec nos 10 jours de festivités et nos 13 scènes, nous n’avons rien à envier aux grandes capitales.»

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C’est la fin pour l’App’Art Le permis de réunion de l’établissement n’a pas été renouvelé Le 13 juillet dernier, Alain Désaulniers a célébré les obsèques « d’Alain de l’App’Art ». Si le fondateur du lieu de créativité émergente a posé ce geste symbolique, visant à enterrer son identité sociale, c’est parce que son établissement a été contraint de fermer ses portes. La Régie des alcools, des courses et des jeux (RACJ) ne lui a pas octroyé un nouveau permis de réunion.

Geste de beauté…. Pour les jambes. Des petits gestes simples effectués quotidiennement peuvent améliorer l’apparence de nos jambes, notre confort et facilité la venue des résultats attendus. En voici quelques-uns…

CLAUDIA BERTHIAUME

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Alain Désaulniers a créé l’App’Art dans son propre appartement en 2004, dans « un trip d’artiste », comme il le dit luimême. Au départ, il exposait et vendait des tableaux de peintres émergents. Trois ans plus tard, M. Désaulniers déménage sur la rue Saint-Antoine, dans un local où il lui est possible d’organiser des spectacles. Pour celui qui a un handicap visuel sévère, c’était se créer son propre emploi. En 2011, en louant le local de l’ancienne librairie Poirier, situé sur la rue Royale, Alain Désaulniers comptait miser davantage sur la vocation musicale de son espace de créativité émergente. Ça n’aura duré que deux ans.

Plus de permis de réunion Depuis plusieurs années, le propriétaire de l’App’Art opérait avec un permis de réunion lui permettant de faire des spectacles et de vendre de l’alcool quelques jours par semaine. Une nouvelle demande doit être effectuée chaque année pour ce type de permis. Même si son établissement vendait de l’alcool, les mineurs étaient admis, en raison du caractère exceptionnel du permis de réunion. Or, la plus récente requête d’Alain Désaulniers, faite au début de l’année 2013, a été rejetée par la RACJ. On peut lire dans la décision de la Régie que «… la vente d’alcool doit demeurer une activité accessoire. Or dans le présent dossier, […] la vente et la consommation d’alcool sont des éléments essentiels à la tenue, voire à la survie de ces activités.» La conclusion des régisseures stipule que «la vente d’alcool […] constitue l’activité principale de la demanderesse». Au service des groupes émergents Alain Désaulniers se défend bien de faire du profit avec la vente d’alcool. «L’App’Art est un organisme à but non lucratif. Quand on vendait trois ou quatre caisses de bière dans une soirée, c’était un succès. Ça payait tout juste nos dépenses pour tenir le spectacle», explique-t-il. S’il est vrai qu’il remet l’argent perçu à la porte aux artistes, il trouve injuste qu’on lui demande de se munir d’un permis per-

Dans le bain ou la douche, attention à l’eau trop chaude. Lavez-vous en partant de vos pieds, faites de petit cercles en appliquant une légère pression et remontez ainsi jusqu’à l’aine. Pour ceux et celle qui possède un Spa, attention à la durée de votre baignade ainsi qu’à la température de l’eau. Lorsque vous sortez du bain ou de la douche épongez-vous en commençant par vos pieds. Remontez en appliquant une légère pression vers le haut, cela favorisera le retour veineux, diminuant ainsi la probabilité de voir apparaitre des varices et des varicosités. Vous sentirez vos jambes plus légères. Prendre une marche d’au moins 15 minutes en y allant d’un bon pas favorisera aussi le retour veineux. Si vos jambes sont lourdes et qu’elles présentent déjà des varicosités, prenez quelques minutes chaque jour pour élever vos jambes afin de favoriser le retour veineux et donner un répit à vos vaisseaux sanguins. Si vous travaillez debout, vous pouvez aussi porter des bas supports qui favorisent le retour veineux. Pour plus d’efficacité, il est important de les enfiler couché sur le dos après avoir surélevé nos jambes.

Alain Désaulniers opérait l’App’Art depuis 2011, dans son nouveau local de la rue Royale. PHOTO CLAUDIA BERTHIAUME

manent. «Je fais ça pour permettre à des groupes de musique de se faire connaître. Au moment où mon affaire commençait à bien tourner et où j’avais des appels de partout, on me coupe l’herbe sous le pied», s’indigne le propriétaire.

Sans appel Aucun appel ou demande de révision de la décision n’a été faite à la RACJ dans les délais prescrits. «La requête de M. Désaulniers s’apparente davantage à celle d’un permis permanent puisqu’il prévoit des activités les jeudis, vendredis et samedis soirs, d’avril à mars. Nous lui avons d’ailleurs suggéré de demander ce type de permis l’an dernier», indique Me Joyce Tremblay, responsable des communications de la RACJ. Le coût du permis permanant se situe

aux alentours de 575 $, alors que celui du permis de réunion dont aurait eu besoin M. Désaulniers s’élevait à 410 $. Toutefois, afin de rendre son local conforme à l’obtention d’un permis permanent, le fondateur de l’App’Art devrait investir plusieurs milliers de dollars, somme dont il ne dispose pas, puisqu’il subvient à ses besoins par le biais d’une rente d’invalidité. «J’ai cherché des associés, mais ça ne lève pas. Je ne peux pas continuer à payer le loyer si aucun spectacle ne se tient», souligne-t-il.S’il ne trouve pas de partenaire financier prochainement, M. Désaulniers sera contraint de quitter définitivement les lieux. «Au moins, je partirai la tête haute. Ce n’est pas un échec, j’ai encore la tête pleine d’idées», termine-t-il.

Pour encore plus de confort lors des longues journées ou des journées très chaudes, vous pouvez appliquer un gel défatiguant pour les jambes. Ils procurent une sensation de fraicheur et aident à désengorgé les jambes. M. Newton, avec sa gravité, fera tout de même son œuvre, mais en appliquant ces quelques conseils, nous gagnons tout de même quelques années! Consultez-nous!

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Isabelle Lauzière JF011152708

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Où trouver les meilleurs comptoirs de crème glacée en Mauricie? Qui dit été, dit ouverture des comptoirs de crème glacée! C’est de loin la gâterie sucrée la plus populaire lorsqu’il fait très chaud dehors. Qui n’aime pas la crème glacée? Moi j’adore! Voici donc, pour les becs sucrés, quelques endroits en Mauricie où déguster une rafraîchissante crème glacée.

MARIE-FRANCE BOLDUC

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Bar laitier L’Étoile Polaire, boul. Gene-H.-Kruger, Trois-Rivières Sans contredit un des meilleurs cornets de crème glacée molle trempée dans le chocolat européen! Plusieurs choix dont le JF011434421

chocolat noir à l’orange, le chocolat au lait et coconut ou même le chocolat blanc. Plusieurs sortes de coupes glacées et de Tourbillon.

Mam’Zelle Gelato, boul. Thibeau, Trois-Rivières Une belle découverte. Plus de 20 saveurs de gelato, une crème glacée à l’italienne, pour se sucrer le bec de façon santé. Mam’Zelle Gelato offre aussi des alternatives sans sucre, ainsi que du tofu aux fruits et également de la crème glacée molle aux fruits frais, sans oublier les populaires yogourts glacés. La Crémière, rue Des Ormeaux et boul. Jean XXIII, Trois-Rivières Ce que j’adore à la Crémière c’est que

Journée Mondiale de Prévention des Enlèvements d’Enfants 31 juillet 2013

Invitation spéciale

nous pouvons faire notre propre mélange lorsqu’on choisit de prendre un Tourbillon: un mélange de crème glacée molle à la vanille ou au chocolat dans laquelle vous pouvez ajouter trois sortes de sucreries selon vos préférences. Des tonnes de choix!

Le Brise Glace, rue des Forges, centre-ville, Trois-Rivières Un comptoir glacé bien populaire situé en plein cœur du centre-ville de TroisRivières. Le Brise Glace a le plus grand choix de saveur de gelato en Mauricie, pas moins de 40 saveurs! De plus, il possède neuf choix de chocolat belge et vous adorerez leur jus d’orange fraîchement pressé qui fait partie des ingrédients secrets pour concocter des smoothies super santé! La Caillette, boulevard Est, Maskinongé Si vous passez par Maskinongé, un arrêt s’impose au bar laitier, de style casse-croûte, La Caillette. Ce petit resto est une institution à Maskinongé et ne date pas d’hier! Vous

La Fondation Cédrika Provencher invite toute la population à participer avec tous les enfants et leurs proches, à son activité du 31 juillet 2013 au parc Chapais de Trois-Rivières. Une activité simple qui parle d’elle-même. Les enfants apportent leur repas pour un pique-nique et préparent un dessin sur leur perception positive de « la prévention des enlèvements d’enfants ». Les dessins seront exposés dans le parc et ensuite publiés sur le site Internet de la Fondation Cédrika. www.fondationcedrika.org Horaire de la journée 11 h Arrivée des enfants/familles/intervenants-es/moniteurs-trices Exposition des dessins dans le parc 12 h Dîner pique-nique 13 h Spectacle de Monsieur Bémol (gratuit) 14 h Chaîne humaine (Un geste positif significatif) Soucieux de la sécurité des enfants à travers la planète, les participants démontrent, en se tenant la main, (enfants, parents, grands-parents, éducateurs et toute la population) qu’ils acceptent de faire le pas, dans un geste simple et concret de solidarité et qu’ils appuient toute activité positive susceptible de prévenir les enlèvements d’enfants et de contrer tout prédateur d’enfants. Retour à la maison. 20 h Messe au petit sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, suivie de la procession aux flambeaux dans les jardins du sanctuaire. N.B. À noter que cette Chaîne humaine de la Fondation Cédrika Provencher est tenue simultanément dans différentes villes et pays à travers la planète. Tu souhaites t’impliquer concrètement pour réaliser une chaîne humaine dans ta localité, compose le 819 840-8519 [email protected] AD{JF011434421}

PHOTO GRACIEUSETÉ - MICHEL JULIEN

pourrez y déguster de la bonne crème glacée, le délicieux fromage Caillette et prendre un repas de type casse-croûte avec leur bonne poutine ou leur succulente pizza. Un endroit amusant pour les enfants qui aimeront observer les têtes de vaches accrochées au mur qui bougent continuellement.

Chez Janoch bar laitier, 4e rue, Shawinigan Avez-vous déjà goûté à de la poutine glacée? Hé oui, vous avez bien lu! Ne vous inquiétez pas ce n’est pas un mélange de patates et de crème glacée, mais plutôt un mixte de gaufrettes à la vanille (frites), bébés guimauves (fromage), coulis de caramel (sauce BBQ) sans oublier de la bonne crème glacée à la vanille. Amateur de gelato, sachez que vous pouvez en déguster au Café Morgane sur la 5e rue à Shawinigan, un régal! Petite mise en garde, n’oubliez pas d’apporter de la monnaie dans les bars laitiers, car certains comptoirs ne prennent pas la carte débit ni la carte de crédit. Bon appétit!

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présenté par

CHEVROLET SONIC 2013 SUIVEZ-NOUS

SUR LE WEB ! LUC-OLIVIER CHAMBERLAND

JACQUES DESHAIES

MARIE-EVE CÔTÉ

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LA CHEVROLET SONIC RS 2013

A

PAR ALAIN MCKENNA Ce n’est pas la seule caractéristique exclusive à ce modèle, que Chevrolet positionne clairement comme sa petite sportive de prédilection (après tout, on n’a pas tous le goût, ni les moyens, de mettre les mains sur le volant d’une Corvette…). D’abord, la suspension a été revue afin de la rendre plus ferme, ce qui réduit au

passage la caisse d’un centimètre. Les deux boîtes de vitesses ont aussi été revisitées, les rapports de la boîte manuelle étant plus courts, tout comme le rapport final de l’automatique. On peut aussi distinguer la Sonic RS dès le premier coup d’œil, grâce à des écussons RS et Turbo exclusifs, ainsi qu’à une calandre et à des feux arrière retouchés. À l’intérieur, une sellerie de cuir d’allure plus sportive est de mise. Évidemment, si tout cela lui donne la gueule de l’emploi, ça affecte aussi son comportement, sensiblement plus nerveux que celui de la Sonic de base. À un prix de détail de 23 560 $, ça en fait un modèle qui, s’il n’a pas le prestige d’une Volkswagen GTI, a au moins un peu plus de personnalité que la plupart de ses homologues.

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vec la Spark, la Sonic est l’une des plus petites voitures figurant actuellement au catalogue de la marque Chevrolet. La version RS de la souscompacte en offre toutefois un peu plus, côté puissance, avec une petite cylindrée à turbocompression de 1,4 litre dont la puissance atteint 138 chevaux et dont le couple, surtout, pointe à 148 livres-pieds.

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SATURN ASTRA D’OCCASION (2008-2009)

UN ASTRE QUI N’A PAS EU LE TEMPS DE BRILLER n 2008, le manufacturier GM était loin de se douter qu’il « frapperait un mur » aussi fort et que cette voiture en particulier allait contribuer à sa chute. L’histoire de l’Astra sur notre continent est bien triste.

E

PAR LUC-OLIVIER CHAMBERLAND Son premier but était de remplacer l’Ion, un véhicule considéré par une majorité comme étant l’un des pires produits du « Général ». Ce mandat était pourtant facile. L’Astra était une européenne très établie depuis quelques années. Mais on s’est rapidement rendu à l’évidence: ici, l’astre n’aurait pas le temps de briller dans le ciel. L’autre tâche de ce duo de voitures était carrément de relancer la division satellitaire. On espérait, avec modestie, écouler au moins 30 000 unités annuellement, juste au pays de l’oncle Sam. On faisait valoir ses racines allemandes pour assurer son succès contre les Volkswagen Golf de ce monde. Le résultat a été une grande déception. On n’a pas atteint ce chiffre, même en

combinant les ventes aux États-Unis et au Canada. L’année suivante, les ventes se sont faites plus rares. On retrouve plus de modèles 2008 que de 2009 sur le marché des véhicules d’occasion.

STYLE, CONFORT ET ESPACE L’Astra est très différente des autres automobiles de genre américain. C’est une véritable allemande. On se rappelle qu’à cette époque GM criait à l’aide chez Opel pour essayer de sauver Saturn. Voilà comment est arrivée l’Astra: on a changé le logo et on a présenté un « nouveau » produit. Esthétiquement, elle vieillit bien. Le design se veut toujours moderne et se distingue par sa configuration extérieure. On introduit deux variantes: à trois et à cinq portes. Dans les deux cas, c’est agréable, mais particulièrement en ce qui concerne le coupé. Les assises sont relativement basses, mais confortables. L’ergonomie est ardue, avec les touches de la même couleur grise que la planche de bord. On joue ici la carte du futurisme, mais le résultat rend les choses moins intu-

itives. Il faut aussi dire que l’éclairage orangé est difficile à lire par temps ensoleillé. La qualité générale des matériaux laisse à désirer. L’aire logeable est généreuse dans la mesure où l’on peut rabattre le dossier de la banquette arrière. Ces dernières places

offrent peu de dégagement pour les genoux et la tête dans le cas du coupé. Le coffre est assez petit, mais gagne en volume avec la disparition des passagers arrière. L’étroitesse de l’ouverture tend à limiter les possibilités quant au transport d’objets.

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VOLKSWAGEN EOS 2.0 TSI HIGHLINE

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Essai Routier

MÉCANIQUE ET COMPORTEMENT

Plus de

PROPULSÉ PAR AUTONET.CA

On arrive avec un seul moteur: le 4L de 1,8 litre ECOTEC de 138 chevaux. Il est bruyant et rugueux en toutes occasions.

véhicules certifiés et garantis

La puissance est insuffisante par rapport au poids du véhicule. Bien que l’appellation comporte le préfixe ECO, ce petit moteur est assoiffé de carburant. On propose deux transmissions, l’une automatique à quatre rapports et l’autre manuelle à cinq rapports. Dans son ensemble, elle démontre un comportement routier sain et engageant. Elle est maniable en ville et s’affirme comme étant assez dynamique en conduite. Pour plus de sensations, il est préférable de se diriger vers la XR avec ses jantes d’un volume plus généreux.

FIABILITÉ Malgré toutes les critiques qu’on peut lui faire sur le plan technique, elle est intouchable sur la question de la fiabilité. Elle n’a connu aucun rappel à ce jour, ce qui est exceptionnel dans le monde d’aujourd’hui.

CONCLUSION L’Astra était mort-née. La situation de GM la mettait en danger avant même qu’elle ne soit arrivée en Amérique. Il s’agit quand même d’un produit avec certains avantages, comme sa configuration et sa fiabilité. Malheureusement, pour tout le reste, elle se fait allègrement doubler par la concurrence.

TABLEAU TECHNIQUE Années 2008 - 2009 Type L4

Valeur approximative 7 000 $ à 14 500 $

Cylindrée Puissance 1,8 litre 138 ch/125 lb-pi

Années 2008-2009

Vaste choix de véhicules à

moins de 10000$ MAZDA MX-5 SPÉCIALE ÉDITION 2000

Un plaisir qui se partage

L

’un des grands plaisirs de l’été est de rouler cheveux au vent, le toit baissé, en compagnie d’amis. Avec un véritable sentiment de liberté, on est en mesure d’apprécier les chauds rayons du soleil. Et chaque rayon devient une occasion ! Ce qui est bien avec l’Eos de Volkswagen, c’est qu’on partage le fun.

Arrivé sur le marché en 2006, le cabriolet Eos n’est plus une petite jeunesse. On a beau avoir fait des retouches esthétiques en 2011, il commence à laisser voir des signes de son âge. Il est certain que si l’Eos continue d’attirer les regards des envieux, c’est sûrement plus par jalousie que par excitation devant le look. On joue la carte de la proximité avec la Golf, surtout au niveau de la configuration des blocs optiques et des feux. On peut facilement s’y méprendre, mais on réalise vite que l’Eos est beaucoup plus long que le populaire véhicule à hayon. Le design est particulièrement agréable, avec le U en DEL qui marque la signature visuelle de Volkswagen pour les produits plus exclusifs (Jetta hybride, CC, Tiguan, Touareg). L’avantage de la « robe » assez passe-partout est qu’elle ne vieillit tout simplement pas. Dans 10 ans, ce cabriolet aura toujours le même effet. L’intérieur est tout ce qu’il a de plus allemand. On reconnaît la configuration de la planche de bord propre à Volkswagen.Tout est stratégique et très fonctionnel. On aime particulièrement le fait que les matériaux sont de bonne qualité et que l’assemblage est parfait.

Rabais de

900 $* 8852 $* 128867km 7952 $*

L’ergonomie est simple avec une intuitivité naturelle qu’on apprécie, ce qui nous laisse plus de temps pour simplement profiter du soleil. Comme je le mentionnais plus tôt, dans ce convertible, on partage le plaisir. Il est l’un des rares cabriolets à quatre places qui ne s’adressent pas à un marché de niche. Il y a bien les produits de luxe, MINI et Mustang, mais, dans les faits, la véritable compétition est le 200 de Chrysler et, comme il est préférable de l’éviter, l’Eos se retrouve seul. Suivant les commentaires recueillis, par exemple : «Pour de courtes distances, ça va, mais je ne me rendrais pas à Toronto assis là », on comprend que le dossier est presque vertical et que l’espace pour les jambes est limité, tout autant que celui pour les épaules et les hanches, mais, au moins, on peut s’y asseoir.

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Le bonheur Même si le duo moteur de 2 litresTSI et transmission DSG commence à se faire vieux, on ne peut que constater la justesse de l’équilibre de cette mécanique. Je l’ai dit souvent, et je le répète, il s’agit de l’un des plus heureux mariages du genre dans l’industrie automobile. On se retrouve avec un parfait mélange de puissance, de souplesse et d’agrément. Avec ses 200 chevaux, on n’est pas en manque de force. Il y a certainement un léger délai du turbo au départ, mais, dès que c’est lancé, on ne peut lui adresser de reproche. [...]

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Un nouvel oléoduc au nord de Trois-Rivières? Trois-Rivières se retrouve sur le tracé d’un projet d’oléoduc de la compagnie TransCanada Energy.

TVA NOUVELLES Selon le tracé, qui contourne les zones densément peuplées, l’oléoduc traverse-

rait la rivière Saint-Maurice un peu en amont de l’usine de filtration d’eau. La sécurité de l’alimentation en eau fera donc partie des préoccupations que la Ville

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fera valoir au moment venu. «C’est certain qu’on va regarder ça de près pour s’assurer que l’eau ne soit pas contaminée, d’autant plus que toutes les réserves d’eau dont on a besoin à l’est de la rivière sont très importantes», a indiqué le porte-parole de la Ville,Yvan Toutant. La compagnie TransCanada Energy a aussi rencontré plusieurs propriétaires de terrains visés par le tracé du pipeline. Plusieurs d’entre eux, interrogés par TVA Nouvelles, ne s’opposent pas au projet, mais comptent exiger des compensations financières équitables.

«Si les choses sont bien faites avec la sécurité nécessaire, je crois qu’on peut vivre avec ça» NOËLLA CHAMPAGNE, DÉPUTÉE DE CHAMPLAIN

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Quant à la députée de Champlain, Noëlla Champagne, elle n’est pas en défa veur du projet, mais croit qu’il faut rester vigilant. «Si les choses sont bien faites avec la sécurité nécessaire, je crois qu’on peut vivre avec ça», a-t-elle commenté. Ce pipeline servirait à transporter 800 000 barils de pétrole brut de l’Alberta jusqu’aux raffineries de Saint John, au Nouveau-Brunswick. «Le pétrole en Alberta se vend à un prix inférieur au prix mondial, explique JeanThomas Bernard, professeur spécialiste des questions énergétiques. C’est pourquoi ils veulent construire des pipelines. Ils souhaitent rejoindre des marchés où le prix est plus élevé.» Si TransCanada Energy obtient tous les feux verts requis, la compagnie souhaite mener à terme son projet d’ici quatre ans.

Le pipeline acheminerait le pétrole de l’Alberta jusqu’au Nouveau-Brunswick. PHOTO TRANSCANADA ENERGY

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AVIS DE CHANGEMENT DE NOM D'ENFANTS MINEURS PRENEZ AVIS QUE Annick Tousignant en sa qualité de mère, dont l'adresse du domicile est 1099 Gilles-Lupien, G9C 1M7 à Trois-Rivières, présentera du Directeur de l'état civil une demande pour changer le nom de Hayden Berthiaume en celui de Hayden Tousignant et le nom de Tchad Berthiaume en celui de Tchad Tousignant.

Pour obtenir plus d’information et appuyer ODUHFKHUFKHVXUODຨEURVH kystique, consultez le site senoyerdelinterieur.ca

Avis public

Trois-Rivières 17/07/2013 Annick Tousignant

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AFFAIRES FINANCES

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AVIS PUBLIC

Avis d’entrée en vigueur Conformément aux articles 361 et suivants de la Loi sur les cités et villes (L.R.Q., c. C-19), avis public est, par les présentes, donné que la Ville de Trois Rivières a adopté, lors de la séance que son Conseil a tenue le 3 juin 2013, la résolution et les règlements suivants :

ARGENT À PRÊTER

-

Résolution n° C-2013-610 autorisant un projet particulier impliquant l’immeuble situé au 1465 de la rue Notre-Dame Centre;

-

Résolution n° C-2013-611 autorisant un projet particulier impliquant l’immeuble situé au 100 du boulevard Thibeau;

-

Règlement modifiant le Règlement sur le zonage (2010, chapitre 26) afin de revoir le cadre normatif relatif à la conservation, la protection et la mise en valeur du patrimoine forestier (2013, chapitre 92);

*ArgentDirect.com* -

Règlement modifiant le Règlement sur le zonage (2010, chapitre 26) afin d’autoriser, dans la zone RS-2066, l’usage « 1000.3 Résidence trifamiliale, 3 logements : isolé » et d’y fixer le cadre normatif afférent (2013, chapitre 93);

-

Règlement modifiant le Règlement sur le zonage (2010, chapitre 26) afin d’autoriser, dans les zones IN-4089 et IN-4090 (industrielle), l’usage « 5597 Vente au détail de machinerie lourde » (2013, chapitre 94).

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deur ou à son procureur, par courrier ou Cette opposition ou intervention doitrecommandé être accompacertifié ou par signification à personne, et être gnée d’une preuve attestant de son envoi au adressée demandeur à son procureur, courrier recommandé ou à la: ou Régie des alcools,par des courses et des jeux, certifié ou par signification à personne, et être(Québec) adressée 560, boulevard Charest Est, Québec àG1K la: Régie 3J3. des alcools, des courses et des jeux, 560, boulevard Charest Est, Québec (Québec) G1K 3J3. NO OM ETT DRESSSEE DU AD

NOM ET DE EMANDE EUR ADRESSE DU DEMANDEUR

Ces résolutions et règlements sont actuellement déposés dans les archives du Conseil, au bureau du soussigné, à l’hôtel de ville de Trois-Rivières, où tout intéressé peut en prendre connaissance.

Sans enquête au bureau de crédit

Trois-Rivières, ce 24 juillet 2013.

Demande en ligne ou par téléphone

Me Gilles Poulin, greffier Ville de Trois-Rivières 1325, place de l’Hôtel-de-Ville Case postale 368 Trois-Rivières (Québec) G9A 5H3 Téléphone : 819 372-4604 Télécopieur : 819 372-4636

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ENDROIT D’EXPLOITATION

ENDROIT D’EXPLOITATION

9279-2977 Québec Inc. PIZZERIA 67 3005, boulevard Thibeau Trois-Rivières (Québec) G8T 1G1 Dossier : 3 603 107

(1) Restaurant pour (servir) et (1) Restaurant pour (servir) sur terrasse

3005, boulevard Thibeau Trois-Rivières (Québec) G8T 1G1

Les Entreprises K.G. Bardaklis Inc. RESTAURANT SOUVLAKI 35, rue Fusey Trois-Rivières (Québec) G8T 2T6 Dossier : 446 302

Addition de (1) permis de Restaurant pour (servir) sur terrasse

35, rue Fusey Trois-Rivières (Québec) G8T 2T6

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L'Écho de Trois-Rivières, le mercredi 24 juillet 2013

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Marc-André Bergeron jouera en Suisse

Mots croisés

Le défenseur Marc-André Bergeron a signé un contrat de trois ans avec les Lions de Zurich, une formation de la ligue élite de Suisse. AGENCE QMI Le Québécois de 32 ans a confirmé l’information par le biais de son compte Twitter, vendredi, sans toutefois révéler la valeur de sa nouvelle entente. L’ancien porte-couleurs du Canadien de Montréal a évolué avec le Lightning de Tampa Bay et les Hurricanes de la Caroline au cours de la dernière saison. En 25 parties, il a amassé neuf points, dont un but. Précédemment, l’arrière gaucher a joué avec les Oilers d’Edmonton, les Islanders de New York, les Ducks d’Anaheim, le Wild du Minnesota et le Tricolore. En 490 affrontements dans la Ligue nationale (LNH), il a totalisé 82 filets et 153 mentions d’aide pour 235 points. Le Trifluvien n’a jamais été repêché par une formation de la LNH. Dans les rangs juniors, il a porté l’uniforme du Drakkar de Baie-Comeau et des Cataractes de Shawinigan.

Marc-André Bergeron évoluera avec les Lions de Zurich pour les trois prochaines saisons. PHOTO AGENCE QMI

Les derniers détails du Monaco À quelques jours du Monaco de Trois-Rivières, l’organisation a révélé quelques détails de son édition 2013.

JOANY DUFRESNE

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Solutions

Après avoir ébloui le monde entier avec ses prouesses sur la glace, le double champion du monde de patinage artistique et e double médaillé olympique, Elvis Stoyko, sera sur la piste du Monaco le 4 août prochain. Il coursera dans le cadre du Championnat de l’Est du Canada dans la catégorie DD2 Master. Se tiendra lors du 3 août la Formula Kart Shifter. Présentée dans le cadre de la Coupe du Québec, cette course montrera des vitesses de pointe de plus de 165 km/h.

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Le double champion du monde de patinage artistique et le double médaillé olympique, Elvis Stoyko, participera au Monaco de Trois-Rivières. PHOTO AGENCE QMI

Place à la musique Pour célébrer son 15e anniversaire, le Monaco de Trois-Rivières vibrera au rythme de la musique les vendredi et samedi soirs, 2 et 3 août. La première soirée sera assurée par les groupes Roxanne et ses mecs et Runaway tandis que la deuxième mettra en scène le groupe W.I.S.D.O.M., qui laissera place à Thunderstruck plus tard en soirée. Pyrotechnie et effets scéniques seront au rendez-vous.

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Rouler pour exaucer un voeu d’enfant Hugo Gaillardetz et Nathalie Sanfaçon participeront au 48 heures vélo afin d’amasser des fonds pour exaucer les vœux d’enfants gravement malades.

KARINE BLANCHETTE

[email protected]

Le 48 heures vélo est un événement caritatif chapeauté par l’organisme Fais-Un-Vœu Québec qui recueille des dons destinés à réaliser les rêves d’enfants atteints de maladies qui menacent leur vie. Pendant 48 heures, du 13 au 15 septembre prochain, six cyclistes membres de chaque équipe inscrite rouleront à tour de rôle jour et nuit sur le Circuit GillesVilleneuve à Montréal. Ce défi représentera donc un peu plus de 8 heures de vélo soit entre 200 et 240 km parcourus pour chacun des membres de l’équipe d’Hugo Gaillardetz. Pour le président de la Chambre immobilière de la Mauricie et sa conjointe, Nathalie Sanfaçon, le 48 heures vélo est l’occasion de s’impliquer afin de ramasser des sous pour une bonne cause tout en étant une étape importante de leur préparation en vue de leur participation au Ironman 70.3 à Miami le 27 octobre prochain.

Un horaire réglé au quart de tour Participer à une compétition de type Ironman 70.3 demande beaucoup de préparation. Pour compléter ce triathlon, il faut nager durant 1,9 km, rouler 90,1 km à vélo et courir 21,1 km.

«Ça prend une motivation, sinon c’est facile de mettre l’entraînement de côté.» HUGO GAILLARDETZ

«On a commencé tranquillement en faisant des demi-marathons. Ça prend une motivation. Sinon, c’est facile de mettre l’entraînement de côté. S’inscrire à une compétition ça te donne une raison de garder le cap», confie M. Gaillardetz en entrevue. Malgré des horaires de travail chargés et deux grands garçons qui ont eux aussi leurs propres activités sportives, le couple trouve le temps, chaque semaine, de nager de trois à quatre fois, de faire quatre sorties à vélo et de courir cinq fois, ce qui représente entre 12 et 15 heures d’entraînement. «L’action crée l’action. Le temps, au bout du compte, il faut se le créer», conclut Mme Sanfaçon.

Nathalie Sanfaçon et Hugo Gaillardetz s’entraînent pour une bonne cause. PHOTO KARINE BLANCHETTE - L’ÉCHO DE TROIS-RIVIÈRES

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CLUB DE CANOTAGE DE SHAWINIGAN

De nouvelles installations et un championnat provincial Le Club de canotage de Shawinigan a inauguré, vendredi matin, ses nouvelles installations au parc de l’ÎleMelville. Un pas de plus pour le club qui s’apprête à accueillir le championnat provincial de canoë-kayak de vitesse.

JOANY DUFRESNE

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Ce sont de tous nouveaux locaux dont bénéficie le Club de canotage de Shawinigan. Situées à l’entrée du parc de l’ÎleMelville, les installations comprennent un hangar, un quai et une future rampe

d’accès. N’ayant jamais possédé d’un tel site, le club peut maintenant jouir d’un plus grand nombre d’embarcations, et ce, sans risquer de les abîmer. «On cherche à développer les jeunes. Ils sont de plus en plus bons et si on veut qu’ils compétitionnent avec de meilleurs clubs, on se doit d’avoir plus d’embarcations, mais on ne pouvait pas le faire avant», mentionne l’entraîneuse-chef du Club de canotage de Shawinigan, Hélène Gervais. Ce nouvel emplacement est très favorable à l’organisation. Bien qu’offert par la Ville et le parc de l’Île-Melville, le terrain, situé à 750 m de l’Île Banane, permet aux athlètes de s’entraîner sans avoir à craindre le vent et les embarcations nautiques récréatives. «Ça va faciliter l’apprentissage de tous ceux qui vont commencer», ajoute Mme Gervais.

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Un championnat provincial Ses nouvelles installations permettent au Club de canotage de rehausser la qualité de ses services, mais aussi d’accueillir des évènements de plus grandes envergures. Un an après l’inauguration d’un parcours homologué de 1000m dans la rivière Saint-Maurice, le Club s’apprête à accueillir le championnat provincial de canoë-kayak de vitesse. Depuis 18 ans, cette compétition n’était présentée qu’au Bassin olympique de Montréal. «Réussir à mettre la main sur cette compétition démontre bien l’expertise que la

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qualité des infrastructures que nous possédons à Shawinigan», affirme Hélène Gervais. Les 26, 27 et 28 juillet prochain, près de 600 athlètes de 16 ans et plus provenant de six régions du Québec prendront part à ce championnat qui se déroulera le long du boulevard du Capitaine-Jos-Veilleux. Des épreuves de 200, 500 et 1000 m seront tenues en canot de guerre, en kayak (K1, K2, K3 et K4) et en canot (C1, C2 et C4) dans les catégories midget, juvénile, sénior et maître. Cette compétition sera aussi la porte d’entrée de plusieurs athlètes pour la qualification du Championnat canadien. Mme Gervais confie que le Club de canoë-kayak de vitesse de Trois-Rivières et celui de Pointe-Claire sont pressentis pour se livrer une chaude lutte pour la première place.

Vers d’autres championnats Ce premier championnat provincial pourrait marquer, pour Shawinigan, le début d’une longue présentation d’évènements d’envergure. Bien que des critères plus sévères soient exigés pour la tenue d’un championnat national, le Club de canotage ne cache pas son envie d’en accueillir un. «Tenir un évènement tel que le championnat provincial va nous permettre de promouvoir notre sport dans notre région et de développer davantage notre expertise pour obtenir, dans les années à venir, une compétition nationale», exprime l’entraîneuse.

Le maire de Shawinigan et président d’honneur du championnat provincial, Michel Angers, l’entraîneuse Hélène Gervais et le président du Club de canotage de Shawinigan, Martin Lamarche. PHOTO JOANY DUFRESNE

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Image tirée du film Wake Up. PHOTO CAPTURE D’ÉCRAN

La mission de Francis-Olivier Jutras Comme plusieurs jeunes de la région, Francis-Olivier Jutras pratique le wakeboard depuis quelques années. Ce qui le différencie, c’est qu’il a fondé sa propre entreprise en conception de vidéos pour promouvoir ce sport qu’il adore, mais que certains croient trop dispendieux et inaccessible. JOANY DUFRESNE

[email protected]

Francis-Olivier Jutras. PHOTO JOANY DUFRESNE

Floride et en Thaïlande, le jeune vidéaste démontre principalement trois façons de pratiquer la planche nautique. La plus connue est d’être tiré par un bateau. Il existe aussi des «Cable Parks» comme celui du Beach Club de PointeCalumet. Il s’agit d’un parcours composé d’obstacles où les planchistes sont remorqués par un treuil. Pour ceux qui le désirent, des treuils portatifs sont aussi disponibles en magasin. Les adeptes peuvent ainsi se déplacer sur les cours d’eau de leur choix pour pratiquer leur sport. «C’est vraiment plus accessible et c’est

ça que je veux démontrer. Ce n’est pas très coûteux, il suffit de connaître ça un peu plus en profondeur», explique M. Jutras.

Un avenir pour Family First Présentement aux études en gestion de commerces au cégep de Trois-Rivières, il ne sait pas encore ce qu’il adviendra de son organisme. Chose certaine, il souhaite rejoindre les plus jeunes et il prendra les moyens nécessaires pour y arriver. Un deuxième film est déjà au programme pour l’été prochain. Des scènes seront d’ailleurs tournées cet hiver aux Philippines.

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Ses premières expériences avec une caméra, Francis-Olivier Jutras les a vécues grâce à la planche à neige. Passionné de ce sport, il parcourait les pentes du Québec à la recherche de nouveaux endroits pour y exécuter des manœuvres. Avec un ami, il a même créé une petite entreprise de production sous le nom de HomeMade Production. Ils ont produit deux films: Ayoooye et Lock it. Aujourd’hui âgé de 21 ans, le jeune natif de Sainte-Perpétue s’est découvert une nouvelle passion dans la planche nautique, plus communément appelée wakeboard. Il a signé sa première production Wake Up, il y a quelques semaines sous sa nouvelle entreprise, Family First Media. «Family First est un organisme sans but lucratif œuvrant dans le domaine de la vidéographie et de la conception audiovisuelle. Je l’ai nommé ainsi, car tous ensemble les planchistes, nous formons une belle famille», mentionne le créateur. En compagnie d’amis, il sillonne les cours d’eau du Québec et du monde entier pour montrer aux jeunes les différentes possibilités qui s’offrent à eux lors de la pratique de planche nautique. «Le wakeboard est perçu comme un sport extrêmement coûteux et inaccessible pour la plupart des gens. Notre équipe, composée des meilleurs athlètes de sports nautiques de la région, tient à prouver le contraire», affirme M. Jutras. Dans son film tourné au Québec, en

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JOANY DUFRESNE

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Les Aigles sous un autre œil Allan et Laura Pasquini ont développé au cours des années une véritable histoire d’amour avec les Goldeyes de Winnipeg. De passage à Trois-Rivières lors de la récente série de leur équipe contre les Aigles, le couple a découvert une nouvelle formation au futur prometteur. JOANY DUFRESNE

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À leur arrivée au stade Fernand-Bédard, Allan et Laura Pasquini ont été séduits. «Nous étions sceptiques avant de venir à Trois-Rivières, car c’est un plus petit marché de baseball que celui de Winnipeg. Mais, quand nous sommes arrivés et que nous avons vu les sommes d’argent et d’efforts qui ont été investies ici, nous avons été charmés», affirme le retraité. Appréciant la proximité qu’offre le stade avec les joueurs, le couple a aimé le contact des Aigles avec le public. Après l’une des rencontres, il a pu s’entretenir avec un ancien joueur vedette des Goldeyes, l’actuel entraîneur-adjoint des Aigles, Maxime Poulin. «Les partisans apprécient les joueurs et ces derniers sont présents pour la communauté, c’est très bien», mentionne Allan.

Allan et Laura ont par ailleurs adoré la façon dont ils ont été accueillis à TroisRivières. Arborant les couleurs de l’équipe adverse, jamais ils n’ont été la proie d’insultes ou de gestes irrespectueux de la part des Trifluviens à l’instar des membres des Goldeyes. Ils avaient auparavant vécu une situation contraire lors des affrontements de Winnipeg contre les Capitales. «Nous nous sommes sentis bienvenus ici», confie Laura.

Développements à venir Partisan des Goldeyes depuis leur création en 1994, le couple a été témoin des développements de l’équipe au fil des ans. C’est pourquoi il peut pressentir beaucoup de changements à venir pour les Aigles. D’une part, les joueurs francophones seront plus présents grâce aux Aigles Plante Sports et aux différentes structures de développement des joueurs dans le baseball mineur. «Les équipes de développement, c’est le meilleur moyen de renforcer une équipe», avoue Allan. D’autre part, le Manitobain croit que l’organisation devra être plus rentable. Afin d’acquérir de plus gros joueurs et ainsi améliorer ses performances, les Aigles auront besoin d’argent. Mais pour avoir du succès, l’organisation trifluvienne se doit de rester

Laura et Allan Pasquini. PHOTO JOANY DUFRESNE

accessible au public. Allan prend ainsi exemple sur les Goldeyes. Propriété de Sam Katz, actuel maire de Winnipeg, l’organisation a un contrôle sur tout. Elle fixe les prix d’entrée et du stationnement. «Il n’y a rien de gratuit à Winnipeg»,

confie le retraité. Bien qu’il y a encore beaucoup de développement à réaliser du côté des Aigles, le couple croit au potentiel de l’équipe et il a été très satisfait de ce qu’il a vécu au stade Fernand-Bédard à ce jour.

Pour l’amour du baseball Si le sport uni les gens, il crée aussi, parfois, de belles amitiés.Tel a été le cas d’Allan et Laura Pasquini qui sont devenus de véritables membres de la famille des Goldeyes de Winnipeg.

les vacances, pour leur annoncer qu’il venait de signer un contrat avec l’organisation des Red Sox de Boston. «C’était très gentil de sa part. Nous apprécions tout ce qu’ont fait les joueurs pour nous», affirme Allan.

Un amour qui perdure Suite à la retraite d’Allan en 2009, le couple est déménagé à Kitchener en Ontario, ville natale de Laura. Malgré les 2100 km qui séparent les deux villes, l’amour des Pasquini pour les Goldeyes a perduré. «Ils écoutent toutes les parties à la radio», confie Paul Edmonds, descripteur pour la formation sur les ondes de TSN

Radio Winnipeg. En 2010, le couple a effectué un voyage aux États-Unis pour encourager leur équipe. Lorsque le calendrier 2013 a été rendu public, Allan et Laura se sont réjouis d’y voir figurer les villes de Québec et Trois-Rivières. «Nous savons où nous irons en vacances», s’était alors exclamée Laura. Pendant une semaine, le couple a pu renouer avec son équipe, chose qu’il a l’intention de reproduire. «Si les Goldeyes reviennent au Québec, nous allons revenir. Nous essayons de les suivre le plus possible», mentionne la femme d’une cinquantaine d’années. JF011342776

L’histoire d’amour d’Allan et Laura Pasquini et des Goldeyes a commencé en 1994. Cette année marquait le retour d’une franchise de baseball professionnel à Winnipeg après 30 ans d’absence. L’équipe recherchait des familles pour héberger les joueurs durant la saison. C’est ainsi que les Pasquini sont devenus membres de la grande organisation des Goldeyes.

«Chaque année de 1994 à 2006, nous avons eu un joueur à la maison pour l’été. Parfois, nous en hébergions de deux à trois tout dépendant s’ils étaient échangés ou non», mentionne Laura dans la langue de Shakespeare. Le couple, parent d’un garçon, a assisté à toutes les rencontres des Goldeyes. Aux yeux des joueurs et des dirigeants, Allan et Laura sont devenus de véritables membres de leur famille. Les marques de gratitude de Tim Cain sont une preuve notable de cette relation d’amour. Premier joueur accueilli par les Pasquini, il s’était déplacé jusqu’au Minnesota, où la famille séjournait pour

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