6eédition Jeudi 4 février 2016 - Les Jeudis Arty

4 févr. 2016 - la caméra d'Hitchcock quand elle pénètre dans une maison ou celle de .... comme dans un scénario, l'action se situe à Miami, au crépuscule.
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6eédition Jeudi 4 février 2016 dans les galeries 18–22h Nocturne d’art du Marais Guide-programme

Nos partenaires Partenaire média principal :

Nos partenaires média :

Bienvenue dans les galeries d’art ! Vernissages, performances, rencontres avec des artistes ou encore visites guidées : les galeries du Marais vous ouvrent leurs portes et vous invitent à découvrir leurs artistes. Entrez, vous êtes les bienvenus. Une question, besoin d’une explication ? Nos ambassadrices sont réparties dans une sélection de galeries.

Nos partenaires culturels :

Partenaires soirée et Arty Bags :

Ils nous soutiennent :

Vous souhaitez vous initier à l’art contemporain ? Suivez l’une de nos médiatrices pour une visite guidée en réservant dès maintenant votre parcours, ou le jour J, dès 18h au Carreau du Temple à notre point d’information. Une fois votre parcours dans les galeries achevé, rendez‑vous pour notre « Arty Party », au Carreau du Temple, pour de nouvelles découvertes sur le thème « La Poésie du geste » : performances audacieuses et happenings surprenants vous attendent. Que votre soirée soit faite de belles découvertes et de passionnants échanges. Alice Lebredonchel

Fondatrice des Jeudis Arty

Galeries participantes par quartiers

Composez votre parcours à l’aide de la carte en pages 6–7. Galerie Galeries + Ambassadrices

Enfants rouges Galeries 1 à 3

Sainte-Avoye Galeries 14 à

Galerie Mathias Coullaud 10 Galerie Charlot 11 Galerie Noëlle Aleyne 12

Galerie Gilbert Dufois Jola Sidi Gallery Galerie Papillon Galerie Christian Berst Galerie Sator Galerie Linz Galerie Armel Soyer Galerie Placido Galerie Fatiha Selam Galerie Zürcher Lebenson Gallery Galerie ALB Galerie Pascaline Mulliez Galerie Marie-Robin Galerie Metropolis Galerie Anne Barrault

Archives Galeries

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Galerie JPHT 13 Galerie Collection 14 (S)ITOR & Galerie By Chatel 15

Arts et Métiers Galeries 7 à 13 Galerie Derouillon Galerie Vincenz Sala

16 17 Galerie Jérome Pauchant 18 Galerie Riviere / Faiveley 19 School Gallery 20 Mamia Bretesche Gallery 22 Galerie Claire Corcia 23

Quartiers Enfants rouges Archives Arts et Métiers Sainte-Avoye

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Nos ambassadrices vous donneront les clefs de l’exposition présentée dans la galerie où vous les retrouverez pendant toute la soirée. Elles répondront à toutes vos questions et pourront vous orienter dans le parcours de votre soirée. Nos ambassadrices sont présentes dans ces galeries : 1

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Les lieux partenaires des Jeudis Arty : CT

Le Carreau du Temple 4, rue Eugène Spuller, Paris 3e

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Musée de la Chasse et de la Nature 62, rue des Archives, Paris 3e

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Café Caron 39, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e

Retrouvez le parcours de la nocturne des Jeudis Arty sur l'application LittleBigCity.

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Suivez le guide !

Une ambassadrice des Jeudis Arty à la Galerie Alain Gutharc lors d’une exposition de l’artiste Raphaël Barontini © Rubens Ben.

Infos & réservations [email protected]

Zoom sur la photo contemporaine

Vous n’avez jamais poussé la porte d’une galerie ? Vous souhaitez en savoir plus sur l’art contemporain ? Des visites guidées sont mises en place à l’occasion des Jeudis Arty à partir de 13 €. Départs à 18h45 et 20h30 depuis Le Carreau du Temple. Il n’est pas trop tard pour y participer !

La vie moderne

La photo contemporaine est une forme d’art bouillonnant que votre guide vous apprendra à décoder autant techniquement que dans sa lecture graphique. Tarif : 25€

lesjeudisarty.placeminute.com 06 78 86 42 10

En regardant de plus près les travaux présentés par trois galeries, nous réinterrogerons La vie moderne, thème de la Biennale d’art contemporain de Lyon et thème développé il y a plus de cent cinquante ans par Baudelaire. Tarif : 25€

Arty Maxi

Arty Mini

Des visites thématiques de 90 minutes comprenant la visite guidée, un Arty Bag en édition limitée rempli des goodies de nos partenaires (Aesop, Le Musée de la Chasse et de la Nature, Greenshoot, Café Caron, le BHV…), une entrée prioritaire à la soirée de clôture au Carreau du Temple.

Rendez-vous avec un artiste dans sa galerie ! Lequel ? Un mystère qui vous sera dévoilé au dernier moment. Ses œuvres, sa démarche artistique, ses sources d’inspiration nous ont touchés et nous avons eu envie de vous les faire partager.

L’artiste Romain Erkiletlian à la Galerie Vincent Sator © Ghizlene Lachachi.

Rencontres à 19h30 et 21h. Le lieu de rendez‑vous vous est communiqué par sms ou mail. Tarif : 13 €

90 minutes pour comprendre l’art contemporain Street art ? Néo-pop ?? Bio art ??! Parfois pour comprendre l’art contemporain un décodeur peut s’avérer nécessaire… Lors de cette visite, vous découvrirez des courants et des artistes qui vous permettront à la fois de cerner les notions, le vocabulaire spécifique mais aussi les questionnements de l’art et des artistes d’aujourd’hui. Tarif : 25€

Une visiteuse à la Galerie Sator © Ghizlene Lachachi.

Accueil et départ des visites guidées depuis le bar du Carreau du Temple, 2, rue Perrée, Paris 3e.

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Enfants Rouges

Enfants rouges

Galerie Mathias Coullaud

Zoulikha Bouabdellah, Le sommeil, 2010-2015, ensemble de 8 laques sur papier, pièce unique, 60x50 cm chaque feuille, © Louis Delbaere, courtesy Galerie Mathias Coullaud.

2 Enfants rouges

Galerie Charlot

Elodie Antoine, Zoulikha Bouabdellah Cindy Sherman & Kiki Smith « Sexisme » jusqu’au 27 février 2016 12, rue de Picardie, Paris 3e

Pontus Carle, SP Numéro 6, courtesy Galerie Charlot.

Pontus Carle « Surrealistic pop » jusqu’au 13 février 2016 47, rue Charlot, Paris 3e

www.mathias-coullaud.com

Pour « Sexisme », le galeriste Mathias Coullaud s’intéresse à la place du féminisme dans l’œuvre de quatre artistes femmes : aux côtés des Américaines Cindy Sherman et Kiki Smith, toutes deux nées au milieu des années 50, nous trouverons des œuvres d'artistes trentenaires, d'une nouvelle génération de femmes — Elodie Antoine et Zoulikha Bouabdellah, plasticienne d’origine franco-algérienne qui marque ainsi son arrivée au sein de la galerie. Dans ce portrait d’un art féminin engagé se dessine en creux la figure de l’homme-masculin pour qui aussi cet art est fait (surtout ?) : son regard, ses réactions, et sa place nouvelle à construire dans nos sociétés contemporaines bouleversées.

www.galeriecharlot.com

Suédois d’origine, Pontus voyage très jeune, passant de la Suède vers la France où il entre à l’École des Beaux‑Arts de Paris puis l’Allemagne où il découvre la gravure à l’atelier Goetz, les USA, le New-York des années 80 où sa peinture s’exprime entre le « néo‑expressionnisme » et le « bad painting ». Dix années passées aux côtés de Basquiat, Schnabel, Haring lui permettent d’affirmer son identité artistique : un univers fantastique qui entraîne dans une rêverie musicale dont les notes seraient des symboles primaires aux couleurs vives. Qu’il travaille sur bois, toile, métal, béton, terre ou pierre, ses réalisations dévoilent la vision d’un « Big Bang » sur des notes « staccato » oniriques…

Visite-conférence par le commissaire d'exposition-galeriste à 19h15 et 20h15.

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3 Enfants rouges

Galerie Noëlle Aleyne

4 Archives

Colette Breger « Beau temps, quelques nuages… » du 4 au 27 février 2016 18, rue Charlot, Paris 3e www.galerienoellealeyne.com

Galerie JPHT

Beau temps… des enfants jouent, des amis sont en terrasse, des jeunes filles assises sur des lits pensent à des choses défendues. Quelques nuages… leurs formes dans le ciel laissent des traces d’imaginaires, dans les maisons restent les secrets. Colette Breger travaille d’après photo qu’elle métamorphose par la libre expression du pinceau. Cette intervention crée un climat singulier étrange, bien loin des effets de l’hyperréalisme, alors que le procédé pictural s’en approche. Le choix des photos induit déjà cette atmosphère : des cadrages inhabituels, des hors champs « rentrés accidentellement » dans le champ, des flous, des personnes en mouvement ou saisies dans leur immobilité. 

Colette Breger, Le Trampoline, série Les Jeux d'enfants, no13, 100x70 cm, acrylique sur papier, courtesy Galerie Noëlle Aleyne.

La figuration figée de la photo, en général bien mise à mal, se transforme en un instantané spectaculaire de mouvements et d’émotions volés au temps. L’art de Colette Breger est d’animer l’inanimé. Étrange magicienne !

Thierry Chavenon, L’ombre du Temps, 2015, courtesy Galerie JPHT.

www.galeriejpht.com

« J’aime la matière éclairée, et même si ce sont des mouvements rapides, j’aime qu’on y perçoive une traînée puissante, des perspectives, des points de lumières, des choses qui s’estompent, effacées par le temps, tellement rapidement qu’il y a un dynamisme… ». L’univers pictural de Thierry Chavenon saisit comme la caméra d’Hitchcock quand elle pénètre dans une maison ou celle de Fritz Lang abritant une ville : avec une certaine inquiétude, à tâtons, à la recherche d’une lumière que l’on finit toujours par trouver. Et ainsi chacune de ses toiles semble être le cadre d’une intrigue, d’un mystère à découvrir, d’un suspense qui aurait pour dénouement une sorte d’anonymat existentiel qui ouvre encore la porte vers d’autres ombres du temps. Le cinéma, pour lequel Thierry Chavenon a travaillé plus de 20 ans, n’est jamais loin. Vernissage en présence de l’artiste.

Vernissage en présence de l’artiste.

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Thierry Chavenon « L’ombre du temps » du 4 au 27 février 2016 4, rue de Saintonge, Paris 3e

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5 Archives

Galerie Collection

6 Archives

Miki Nakamura, Sandrine Beaudun, Isabelle Braud, Wabé, Vivienne Maun, Agnès Debizet, Coralie Laverdet « # Papier » du 4 février au 16 avril 2016 4, rue de Thorigny, Paris 3e www.galeriecollection.fr

(S)ITOR & Galerie By Chatel

Sa fragilité nous émeut, sa résistance nous surprend et sa plasticité dynamise la création. De support d’écriture, le papier est devenu ces dernières années un matériau à part entière. Pour le créateur, il n’est pas seulement un outil, il est aussi matière à inventer. Plié, froissé, tissé, découpé, plissé, déchiré… le papier n’en finit pas de nous étonner. Découvrez ses métamorphoses à travers les pièces de 7 artistes de la matière. Sandrine Beaudun, Sans titre, 2015, série « Les mille et une feuilles », fibre de Kozo et aimant, 30x20x10 cm, mise en lumière de Wilfried Schick, photo Michel Gartner.

Présence des artistes qui parleront de leurs œuvres.

Aza, 2015, 73x130 cm © Jean-Philippe Laraque.

« (S)ITOR fait son cinéma : Dominique Lebrun, déchirures » jusqu’au 14 février 2016 58, rue des Tournelles, Paris 3e www.sitorsenghor.com

Pour cette première exposition de 2016, (S)ITOR fait son cinéma en proposant la découverte des déchirures, coupures, lacérations, collages réparateurs, assemblages et recompositions apaisées de Dominique Lebrun, journaliste, historien de cinéma, auteur, collectionneur de photos et d’affiches à la passion aujourd’hui transformée, mais toujours fidèle au cinéma.

Spy, 2015, 162x130 cm © Jean-Philippe Laraque.

En 2010, il tombe en arrêt devant la photo d’un mur d’affiches lacérées à New York, prise par l’acteur Dennis Hopper. Hanté par cette image, il réalise quelques mois plus tard, un premier collage en déchirant sa collection de Mon Ciné, revue des années 20 qu’il gardait précieusement depuis près de 40 ans. Enthousiasmé par le plaisir que lui procure cette transgression, il poursuit sa démarche, cette fois en s’attaquant à sa collection d’affiches de cinéma. Présence de l'artiste.

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7 Arts et Métiers

Galerie Derouillon

Micky Clément, Waiting Period. N°WP‑001, 2015, photographie 120x180 cm, courtesy Galerie Derouillon.

8 Arts et Métiers

Micky Clément « Waiting period » jusqu'au 13 février 2016 38, rue N.-D.- de-Nazareth, Paris 3e

www.galeriederouillon.com

Sans hommes et sans visage, les paysages surnaturels de Micky Clément ont aboli l’humanité pour mieux la faire exister. Avec ce sentiment que la présence humaine est partout et nulle part. « Waiting Period », dernière série photographique de Micky Clément, émane d’une expérience circonscrite dans un espace-temps. Un peu comme dans un scénario, l’action se situe à Miami, au crépuscule. Là, le photographe a élu son point d’attache et saisi chaque nuit, le vent violent dans les hauteurs des palmiers. Se lever sur une terre inconnue, avant que le soleil n’inonde de sa lumière une ville pleine de clichés, ce fut le désir de celui qui voulait éviter à tout prix de consigner une énième fois des clichés vivants ; symboles d’une opulence, fastes urbains, cylindrées rutilantes, femmes peroxydées assommées et défigurées par leur richesse.

Galerie Vincenz Sala

Natalia Jaime-Cortez, Pan 7, détail, encre et pigment sur papier replié, 2015, courtesy Galerie Vincenz Sala.

Natalia Jaime-Cortez « Pans » jusqu’au 27 février 2016 52, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e www.vsala.com

« Les gestes de Natalia Jaime-Cortez apparaissent comme une longue conversation exploratoire entre elle et des matériaux très simples, presque atemporels comme le charbon, l’encre, l’eau, le corps — son corps, le temps. Passant allègrement de la performance physique au dessin […], l’artiste semble prolonger un seul et même mouvement qui serait celui de la danse*. » Pour cette seconde exposition personnelle à la galerie, Natalia Jaime-Cortez présente un ensemble de travaux récents sur papier où elle affirme son expérience du dessin. Grands formats, couleurs affranchies, papier dont la matérialité s’impose, dans cette nouvelle série de pliages l'artiste démontre sa capacité de ne rien figer, ce qui constitue l’essence même d’un dessin.

Extrait du texte de Léa Chauvel-Levy.

* Extrait de Géographie du pli, Emeline Eudes, Revue Facette 0, 2014. Présentation de l’exposition par l’artiste.

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12 9 Arts et Métiers

10 Arts et Métiers

Galerie Jérôme Pauchant

Galerie Riviere Faiveley © Steven Cox, Yellow Pages, 2015, huile et aérosol sur toile, 180x130 cm, courtesy Galerie Jérôme Pauchant, Paris.

Steven Cox et Bas van den Hurk  « A Moveable Feast » jusqu’au 12 mars 2016 61, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e

Nicolas Wilmouth, FishLemon, photographie, 2013. courtesy Galerie Rivière / Faiveley.

jeromepauchant.com

Empruntant le titre des mémoires de l’auteur américain Ernest Heminwgay, l’exposition, « A Moveable Feast » présente les nouvelles peintures et sculptures du duo Steven Cox et Bas van den Hurk. Totalement immersive, elle entend brouiller les frontières entre présence et absence, passé et présent, et d’une façon plus fondamentale, entre les démarches des deux artistes. Cette proposition questionne notamment les conditions d’exposition conventionnelles et le va-et-vient entre autonomie et hétéronomie de l’œuvre.

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Nicolas Wilmouth « Still Life » jusqu'au 21 février 2016 70, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e galerierivierefaiveley.com

C’est à la manière des peintres flamands du XVIIe siècle que Nicolas Wilmouth aborde ses natures mortes. Du clair obscur aux coupes de fruits, en passant par les huîtres et les reflets sur les verres en cristal, tout y est. Le photographe ne s’arrête pas là et ajoute sa touche personnelle : l’humour. D’une série à l’autre, d’une photo à l’autre, son univers se dévoile : inquiétant, dérangeant, corrosif et poétique. Dans ses compositions, il met en avant des aliments anachroniques. « Et si Willem Kalf avait eu dans sa cuisine un hamburger ou une boîte de sardine à l’huile ? » doit se demander Nicolas Wilmouth créant ainsi ce subtil jeu entre passé et modernité. C’est d’ailleurs toute la technicité moderne qu’il déploie pour capturer les effets de la peinture dans ses photographies.

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School Gallery Patrick Cornillet, « Icônes du design » jusqu’au 27 février 2016 322, rue Saint-Martin, Paris 3e www.schoolgallery.fr

Artiste-peintre, Patrick Cornillet développe depuis le début des années 2000 un travail figuratif où les éléments, le plus souvent sortis de leur contexte, sont traités par séries : le corps humain dans un premier temps, puis les animaux, ont cédé leur place aux objets, puis aux paysages urbains, péri-urbains, et architecturaux et dans cette dernière série les Icônes du design. Un important travail de prises de vue — sur le terrain — ou de recherches documentaires constituent la base dans laquelle l’artiste puise régulièrement pour ne garder que quelques éléments qu’il va modifier, arranger, voire amalgamer, pour arriver à une image qu’il interprète en peinture. Ces icônes du design — pour ne parler que de cette dernière série — mettent en situation dans des décors épurés jusqu’à l’extrême parfois, ne conservant que quelques lignes de fuite, qui composent le décor, comme pour scénographier le théâtre d’une fiction à venir.

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WALTON FORD

PROLONGATION EXCEPTIONNELLE DE L’EXPOSITION JUSQU’AU 28 FÉVRIER 2016 62 RUE DES ARCHIVES 75003 PARIS CHASSENATURE.ORG

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Walton Ford, Rhyndacus © Christopher Burke Studio / Courtesy Walton Ford et Paul Kasmin Gallery — Graphisme : DES SIGNES, 2016

© Patrick Cornillet, On the roof, courtesy School Gallery.

12 Arts et Métiers

13 Arts et Métiers

Mamia Bretesche Gallery

Galerie Claire Corcia

Emilie Chaix, Sylvia Katuszewski, Muriel Patarroni « Votre âme est un paysage choisi…* » du 4 au 27 février 2016 323, rue St Martin, Paris 3e

© Maria Elena Naveillan, Alpha, courtesy Mamia Bretesche Gallery.

Exposition d’artistes chiliens émergents « Ouverture. Estado de emergencia » jusqu’au 19 février 2016 77, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e

www.galeriecorcia.com

La nature est la source d'inspiration commune aux trois artistes présentées à la Galerie Claire Corcia.

www.mamiabreteschegallery.com

Sylvia Katuszewski modèle dans la terre une cohorte d’icônes totémiques, visions de femmes poétiques et meurtries, comme inachevées… Un art du paradoxe, né du choc de la cuisson.

L'exposition « Ouverture, estado de emergencia » présente les œuvres de neuf artistes chiliens dont une artiste‑robot (Rachael Runner).

Les larges compositions au fusain de Muriel Patarroni inspirent une forme de lâcher prise et de dérive. Absorbé par l’apparente virginité de ses paysages de neige, le spectateur est amené à faire son propre chemin au milieu des forêts et à laisser l’empreinte de son regard sur ces vastes espaces sauvages.

Chacune des créations entre en relation avec son contexte, d’origine et d’arrivée, et nous offrent en même temps une forme de résistance. Car ces œuvres sont une réponse au tremblement. Mais face à quoi frémissons-nous ? Pourquoi nous agitons‑nous ?

Emilie Chaix a gardé de son parcours dans la haute-couture, une passion pour le textile, les ornements, le détail, et la broderie comme écriture de prédilection. Considérant la matière à la fois comme un chemin et une promesse, elle s’en empare, la déploie, la détourne, la dénature et la réinvente.

Artistes : Margarita Garcés, Sara Malinarich, Liza Marzolo, Lourdes Naveillan, Mª Elena Naveillan, Rachael Runner (artiste robot), Macarena Salinas, Gonzalo Sánchez (PIKTI), Constanza Sierralta y Jasna Tomasevic. Commissariat : Sara Malinarich et Jasna Tomasevic — Silpa Art.

* Paul Verlaine, extrait du poème Clair de lune. Vernissage de l'exposition en présence des artistes.

Vernissage de l'exposition à 19h.

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Sylvia Katuszewski, courtesy Galerie Claire Corcia.

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14 Sainte-Avoye

Galerie Gilbert Dufois

© François Glineur, La création de l'homme, acrylique sur papier, 15x10,5 cm, courtesy Galerie Gilbert Dufois, Senlis–Paris.

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François Glineur « Les métamorphoses d'Ovide » jusqu’au 20 février 2016 4, rue du Bourg l’Abbé, Paris 3e galeriegilbertdufois.com

« L’Olympe façon Glineur » « François Glineur est un poète et un conteur né. […] Il a le geste audacieux, folâtre et généreux, la couleur prolixe, il sait qu’un récit et un tableau ne valent que s’ils captivent, que l’invraisemblable et la vérité se nourrissent l’un de l’autre et que la surprise naît souvent du détour. Ses Métamorphoses ne sont pas seulement des interprétations du très long poème d’Ovide, elles sont des portes ouvertes sur des ailleurs rocambolesques, parfois cruels, toujours enchantés. […] La passion, la ruse, l’amour qui survit à la mort, la trahison, l’héroïsme, tout ce qui dépayse, ravit et nourrit est là, il suffit de se laisser porter. Ouvrez grand vos yeux. Penchez-vous, tendez l’oreille au récit  qui ondule  sous la vigueur du trait, rêvez éveillé en suivant le pinceau. Il était une fois, deux fois, quatre vingt dix fois… »

Jola Sidi Gallery

Paul Alessandrini, « Solitudes » du 4 février au 19 mars 2016 80, rue des Gravilliers, Paris 3e www.jolasidi.com

Pour le photographe-voyageur, il arrive qu’au-delà d’une image se dévoile une autre image. À peine captée, elle prend sa liberté de montrer, et souvent… ce que l’on n’attend pas, échappant ainsi à l’œil qui a cru la figer. Au-delà de leur vertu première qui est de montrer des situations et des personnages fruits du hasard et de la vigilance en éveil du photographe, les photographies exposées ici et venues des quatre coins du monde ont développé leur double poétique. Images derrière l’image, elles deviennent actes d’artiste, photographies d’art. Et si elles invitent au voyage, ces images sont aussi une invitation à s’approprier ce double poétique qui n’appartient plus au photographe, redevenu spectateur parfois étonné de son propre travail.

Eve de Castro. Pour la 6e édition des Jeudis Arty, la galerie organise une dédicace du catalogue de l’exposition, incluant les 94 œuvres sur papier. 300 exemplaires signés et numérotés par François Glineur seront disponibles.

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© Paul Alessandrini.

Vernissage en présence de l’artiste.

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Galerie Papillon

Exposition collective « 198920072016 » du 30 janvier au 27 février 2016 13, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e www.claudinepapillon.com

L’exposition « 198920072016 » marque un tournant pour la galerie : Claudine et Marion Papillon, associées depuis 9 ans, ont réuni 3x9 artistes, pour célébrer les 27 ans de la galerie et dévoiler sa nouvelle identité : Galerie Papillon. Dietman, Fridfinnsson, Hannerz, Loutz, Pérez, Ribes, Ruggirello, Sahal, Vergier Extrêmement fidèles à ses engagements qui ne sont jamais des engouements passagers… la galerie réunit des artistes qui deviennent emblématiques.

© Erik Dietman Château Poltrone, 1992, Bronze, pierre, 148x78x76 cm, courtesy Galerie Papillon.

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Bergeret, Boch, Chotard, Fineisen, Kermarrec, Le Hyaric, Sterbak, Trenet, Wolska L’équipe s’élargit avec de nouveaux artistes qui soulignent encore notre attrait pour la poésie, l’humour, voire l’anti-conformisme, et dont nous partageons la sensibilité. Barbazanges, Berdaguer & Péjus, Calais, Cléron, Familiari, Fatmi, Peria, Raffini, Schiller Parce que d'autres artistes éveillent notre curiosité, pour dévoiler de nouvelles affinités, nous en avons invité 9, au moins le temps d’une exposition…

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Galerie Christian Berst

© christian berst art brut.

18 Sainte-Avoye

Misleidys Castillo Pedroso « Cuerpos cubanos » du 4 février au 2 avril 2016 5, passage des Gravilliers, Paris 3e www.christianberst.com

Galerie Sator

Misleidys Francisca Castillo Pedroso est née à la Havane (Cuba) en 1985. Sourde et muette, elle vit dans un environnement isolé. Avec du papier, de la peinture tempura et des pinceaux bon marché, elle a commencé à peindre des silhouettes masculines aux traits de visage marqués et aux muscles saillants. Elle les a dessinées en augmentant progressivement leur taille jusqu'à ce qu'elles dépassent l'échelle humaine et s'est mise à en découper les contours pour les coller sur les murs de sa chambre puis sur ceux des autres pièces de la maison en les appliquant avec des languettes de scotch brun formant comme une armée peut-être, des culturistes, certains hommes, plus récemment, des femmes, et quelques fois des hermaphrodites.

© Nazanin Pouyandeh, Illusions perdues, huile sur toile, 2015, 130x162 cm, courtesy Nazanin Pouyandeh & Galerie Sator.

Nazanin Pouyandeh « L’envers de l’histoire » jusqu’au 27 février 2016 8, passage des Gravilliers, Paris 3e www.galeriesator.com

« Lorsqu’on découvre une des peintures de Nazanin Pouyandeh, on fait face à une figuration narrative difficile à décrypter, on ne cesse de se poser des questions. […] De ce mystère à l’œuvre naît la singularité d’une telle peinture car, à l’instar de nos rêves réunissant des contraires, cet art énigmatique présente des scènes ouvertes laissant libre cours à notre imaginaire et à nos propres projections fantasmatiques. Nazanin Pouyandeh puise dans un répertoire d’images très variées (la peinture ancienne, les arts premiers mais aussi la BD, la photographie, le cinéma, la télévision, le jeu vidéo et Internet), et rend ainsi sa peinture des plus vivantes. »

Vernissage de l'exposition.

Vincent Delaury.

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Galerie Linz

Galerie Armel Soyer

Denis Milovanov du 4 février au 30 avril 2016 19, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

© Olivier Jung, Sans titre, 2015, acrylique sur papier, 65x50, courtesy Galerie Linz.

www.armelsoyer.com

Olivier Jung « Hanami » jusqu'au 27 février 2016 19–21, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

Fidèle à son projet d’harmoniser création contemporaine et arts décoratifs, la galerie Armel Soyer a le plaisir de vous présenter neuf nouvelles pièces par Denis Milovanov. L’artiste et designer a parcouru la Russie dans le but d’étudier les techniques traditionnelles locales, qu’il réactualise proposant un design contemporain ancré dans le vernaculaire. Il travaille le chêne massif, exclusivement, qu’il privilégie pour sa texture, sa robustesse et son large diamètre, lui permettant de concevoir des pièces monumentales.

www.galerielinz.com

Désignant une tradition automnale japonaise consistant à se réunir pour regarder le changement de couleur des feuilles, « Hanami » invite autant à la contemplation qu'à l'introspection. Réunissant sous le même titre des peintures d'orchidées et des silhouettes en noir et vide, les récents travaux d'Olivier Jung aspirent également à la contemplation et l'introspection. Les premières dévoilent une fleur sur un mode presqu'érotique. Les secondes donnent vie à des êtres dansants. Comme si sous chaque arbre fleuri, les êtres étaient présents.

Vernissage en présence du designer.

Jazz session.

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© Denis Milovanov, courtesy Galerie Armel Soyer.

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Galerie Placido

Galerie Fatiha Selam © Sophie Dixon Dillo, vue de l'exposition « Light & form », 2015, installation in situ, courtesy Galerie Fatiha Selam. © Domenico Bianchi, Sans titre, 1986, 254x214 cm, courtesy Galerie Placido.

Sophie Dixon Dillo, « Light & form » jusqu’au 20 février 2016 58, rue Chapon, Paris 3e

Exposition collective « Back to the eighties » du 4 février au 24 mars 2016 41, rue Chapon, Paris 3e

www.fatihaselam.fr

www.galerie-placido.com

La galerie Fatiha Selam accueille la première exposition personnelle en France de l’artiste américaine Sophia Dixon Dillo. « Light and Form » présente la recherche la plus actuelle de l’artiste : rendre visible la lumière. Avec sa large installation dont les 35km de fils de nylon investissent la galerie — sculpture de lumière aérienne et redéfinition de l’espace marquante — ou avec ses œuvres de papier ciselé dont les motifs en relief dépendent de la dynamique du regard du spectateur, l’intérêt de Sophia Dixon Dillo se porte sur la contradiction essentielle entre la matérialité de l’objet d’art et l’immatérialité de la lumière.

Hommage au mouvement de l'Officina San Lorenzo, aussi connu sous le nom de Nouvelle École Romaine, l'exposition « Back to the eighties » nous invite à découvrir une partie de l'histoire de l'art contemporain italien, à travers les œuvres  des années 80, de cinq de ses fondateurs. Elle permet en effet d'apprécier le renouveau de la peinture italienne et la poétique commune de ce mouvement d'avant-garde qui, grâce au critique Achille Bonito Oliva, a été point de référence. Le travail de Pizzi Cannella, Gianni Dessì, Marco Tirelli, Giuseppe Gallo et de Bruno Ceccobelli est régulièrement montré dans les musées et événements internationaux. Vernissage de l'exposition.

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23 Sainte-Avoye

Galerie Zürcher

24 Sainte-Avoye

David Lefebvre, « Le tour, la face, le bord » jusqu’au 3 mars 2016 56, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

Lebenson Gallery

www.galeriezurcher.com

© David Lefebvre, courtesy Galerie Zürcher, Paris–New York.

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« Le tour, la face, le bord » fait suite à l’exposition « For Rest » présentée au Centre d’art Le Vog en 2014. Elle est constituée par un ensemble de paysages troublants imaginés par l’artiste David Lefebvre dont les courbes et les replis de terrain évoquent la surface et les contours du corps, un caractère anatomique qui n’est pas sans rappeler les paysages de Ferdinand Hodler ou encore les paysages « épidermiques » de Georgia 0’Keefe. Sur certaines zones des tableaux, les formes figuratives d’origine sont cryptées puis greffées : elles forment un trou noir — une tache — ouvrant une zone informelle équivalente à la perte de pixels d’un fragment de l’image initiale.

© Lucas Price, Smiley, courtesy Lebenson Gallery.

Lucas Price, Dain, Pure Evil, Andy Warhol, Tom Wesselmann, Rancillac, Villeglé « Visage » jusqu'au 9 février 2016 56, rue Chapon, Paris 3e www.lebensongallery.com

Clin d'œil au philosophe Emmanuel Levinas qui nous révèle que rien n'est au-delà du visage. Ainsi l'exposition « Visage » offre un face à face étonnant entre des temps et des esthétiques qui se répondent dans une diachronie proche du rapport père–fils. Aux pièces historiques de Warhol, Wesselmann, Rancillac ou Villeglé, font écho les œuvres de Pure Evil, Dain et Lucas Price dans une galerie de portraits mettant notamment en scène Marylin et Jean Cocteau, le pop et le street art.

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25 Sainte-Avoye

Galerie ALB

Des visites privées toute l'année Adrien Belgrand, Crépuscule, acrylique sur toile, 130x 162 cm, 2015, collection privée, courtesy © Adrien Belgrand / ALB.

Adrien Belgrand « Reflets » jusqu'au 13 février 2016 47, rue Chapon, Paris 3e www.galeriealb.com

Le jeune peintre de 33 ans travaille toujours par séries, à partir de clichés qu'il prend en faisant poser son modèle. Son œuvre est soumise à un double travail : de la composition photographique à la mise en scène de l'image dans un premier temps puis le passage sensuel à la peinture, au terme d'une longue maturation. Une « cristallisation de l'image qui pousse certains éléments de la toile » à perturber la vision du spectateur avec le jeu des textures et de la touche. Le résultat est délicat, c'est-à-dire minutieux et léger à la fois. Intime.

Une offre sur-mesure à partir de 10 participants Contact [email protected]

L'artiste sera présent.

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Photographie : © Ghizlene Lachachi.

Rien de moins neutre que le « réalisme » dans lequel on pourrait ranger Adrien Belgrand qui, pour sa deuxième exposition personnelle à la Galerie ALB, propose quatorze toiles récentes sur le thème des « Reflets ».

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Galerie Pascaline Mulliez

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© Courtesy Galerie Pascaline Mulliez.

Galerie Marie -Robin

Katrin Koskaru « War Poem » du 4 février au 19 mars 2016 42, rue de Montmorency, Paris 3e

© Go Segawa, Cube in Blue, dessin / volume, 30x30x30 cm, encre pigmentée, acrylique, vernis, polycarbonate, 2015.

Katrin Koskaru, jeune artiste Estonienne est diplômée du RCA de Londres. En 2013, le prix Valerie Beston Studio lui octroie un atelier, suivi d’un solo show à la Malborough Gallery. « War Poem » conclut l'année de résidence qu'elle vient de passer à Paris.

Le fil conducteur de cette exposition tient à la poésie et la légèreté qui émanent des œuvres de ces cinq artistes : beauté des insectes magnifiés par le regard du cinéaste / photographe Philippe Calderon, réalisateur de La citadelle assiégée. Onirisme des figures de Fabrice Gilod et des photographies d’Alain Longeaud qui ouvrent sur des mondes parallèles. Vanité des travaux de Keiichiro Muramatsu autour du Nageire, une des formes de l’Ikebana, qui nous rappelle l’éphémérité de la vie. Subtilité des sculptures optiques de Go Segawa qui aime à les appeler « poésies en 3D ». Présence de l'artiste : à l’occasion des Jeudis Arty, Go Segawa dévoilera trois grands formats de ses volumes pliables.

Vernissage en présence de l'artiste.

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Exposition collective « La poésie, la légèreté » 18, rue de Montmorency, Paris 3e www.galerie.marie-robin.com

www.pascalinemulliez.com

Pour « War Poem », Katrin Koskaru s’est attachée à dé-matérialiser les images de paysages militarisés prélevées dans la presse. Il en résulte lignes et points qu’elle transfère sur la toile. La toile tendue est partie intégrante de l’œuvre : transparente, elle révèle les bois de la structure. Eau de javel effaçant, repoussant les frontières de la couleur, aquarelle évanescente ou fines traces de stylos, le processus en œuvre est une subtile déconstruction. Il y a dans la délicatesse de ce travail, une filiation indiscutable avec Agnès Martin.

© Fabrice Gilod, D’un geste l’autre, techniques mixtes.

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Galerie Metropolis Ori Levin, L’esprit de l’escalier, courtesy Galerie Metropolis.

Galerie Anne Barrault

Exposition collective « Girls : en équilibre sur la fine pointe de l'instant » 16, rue de Montmorency, Paris 3e galeriemetropolis.com

Group Show de girls. Peintures, vidéos, dessins, photos, installations… Pièce de : Samta Benyahaia, Margaux Fontaine, Héléna Hauss, Jenni Holma, Ori Levin, Nelly Monnier, Daphné Le Sergent et d’autres… Vernissage à partir de 18h.

© Guillaume Pinard, La petite pause, 2015, acrylique sur toile 46x38 cm, courtesy Galerie Anne Barrault.

Guillaume Pinard « La Diligence » du 4 février au 2 avril 2016 51, rue des Archives, Paris 3e www.galerieannebarrault.com

« Guillaume Pinard est de retour avec « La Diligence » qui suggère une dimension épique, donne au personnage la contenance d’un héros romanesque […]. « La Diligence » évoque aussi cette promptitude à s’exécuter à la tâche, à faire vite et bien. Un empressement fiévreux, sans retenue. Le titre fait également penser à cette hippomobile qu’on voit dans les westerns et permet à ses passagers de traverser des terres arides, hostiles, uniques. Pour que l’attelage arrive à la bonne garnison, Guillaume tient les rênes de ses introspections. Pour évaluer sa peinture, il sait qu’il doit passer par tel ou tel endroit. Et peu importe le sens ou l’ordre de la direction puisque seul le mouvement compte ». Frank G. Richard. Vernissage en présence de l’artiste.

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Arty Défis © Ghizlene Lachachi.

De 20h30 à minuit Arty Party au Carreau du Temple Rendez-vous dès 20h30 au bar du Carreau du Temple pour l’Arty Party, la soirée de clôture des Jeudis Arty. Une proposition de Mathilde Hivert en étroite collaboration avec Juliane Oliveira et Dahlia Sicsic sur le thème « La poésie du geste ».

#artydefi1 : « Selfie Arty »

Vous devant votre œuvre préférée exposée lors des Jeudis Arty

#artydefi2 :« Page blanche » les Jeudis Arty c’est…

Au programme, une série de performances sensibles et poétiques par des artistes de la scène émergente internationale.

#artydefi3 : « Abstraction » Représentez le nom d’une galerie visitée de manière créative

Développez votre créativité en relevant nos défis. Les participants les plus arty seront récompensés par de beaux cadeaux de nos partenaires.

Performances à  20h30 – 21h30 – 22h30 – 23h30. Un bar est à votre disposition pendant toute la soirée.

Comment participer ? 1 • Réalisez un maximum de défis le soir des Jeudis Arty. 2 • Postez chacune de vos participations grâce à une photo ou une vidéo sur votre compte Instagram. 3 • Utilisez pour toutes vos publications le hashtag #lesjeudisarty et #artydefi1, 2 ou 3.

Entrée à la soirée par le 2, rue Perrée, Paris 3e. CT

Vous avez relevé nos trois défis ? Rendez-vous à notre soirée de clôture pour une belle surprise !

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Le Carreau du Temple 4, rue Eugène Spuller, Paris 3e

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Notes ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• •••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

Retrouvez l’essentiel des sorties et de la culture à Paris

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sur www.timeout.fr

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Partenaire média officiel des Jeudis Arty

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Conception graphique & illustration : Camille Esayan

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