7eédition Jeudi 2 juin 2016 dans 18–22h Nocturne les galeries d’art du Marais  

Guide-programme

Nos partenaires Partenaire média principal :

Bienvenue dans les galeries d’art ! Vernissages, performances, rencontres avec des artistes : à l'occasion des Jeudis Arty, les galeries du Marais ouvrent leurs portes et vous invitent à découvrir le travail d'artistes tournés vers la création contemporaine. Entrez, vous êtes les bienvenus.

Nos partenaires média :

Cette 7e édition marquée par le regard de l'artiste sur le monde tend une nouvelle fois à prouver qu'il reste « cette sentinelle sur le chemin à perte de vue des qui‑vive » (André Breton). Un soldat aux avant-postes qui interroge notre monde et nous pousse à le questionner.

Nos partenaires soirée et Arty Bags :

Vous souhaitez vous initier à l’art contemporain ? Suivez une de nos visites guidées. Une fois votre parcours dans les galeries achevé, rendez‑vous pour notre Arty Party, sur le thème « L'art et la vie confondus » : une soirée happening au Carreau du Temple dès 21h.

Nos partenaires culturels :

Que votre soirée soit faite de belles découvertes et de passionnants échanges. Alice Lebredonchel

Ils nous soutiennent :

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Fondatrice des Jeudis Arty

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Galeries participantes par quartiers Arts et Métiers Galeries 1 à

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Galerie Claire Corcia P.10 School Gallery P.11 Galerie Riviere / Faiveley P.12 Galerie Vincenz Sala P.13 Galerie Charron P.14

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les professionnels et les groupes à partir de 10 participants Contact : [email protected]

Photographie : © Ghizlene Lachachi.

Des visites privées toute offre l'année Une sur-mesure pour

Enfants Rouges Galeries 6 à 11 Galerie Mathias Coullaud P.16 Galerie Charlot P.17 Galerie JPHT P.18 Galerie Lazarew P.19 Galerie Pascal Gabert P.20 Galerie Eva Meyer P.21

Sainte-Avoye Galeries 12  à

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Galerie Marie-Robin

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Galerie Pascaline Mulliez P.24 Galerie Gilbert Dufois P.25 Jola Sidi Gallery P.26 Galerie ALB P.27 Galerie Anne-Sarah Bénichou P.29 Galerie Fatiha Selam P.30 Galerie Placido P.31 Lebenson Gallery P.32 Galerie Zürcher P.33 Galerie Virginie Louvet P.34 Galerie Mi* P.36 Galerie Armel Soyer P.37 Galerie Linz P.38 Under Construction Gallery P.39 Galerie christian berst art brut P.40 Galerie Sator P.41 Galerie Papillon P.42

12 M Strasbourg Saint-Denis

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Le Carreau du Temple – Accueil des Jeudis Arty 2, rue Perrée, Paris 3e Musée des Arts et Métiers 60, rue Réaumur, Paris 3e

Retrouvez le parcours de la nocturne des Jeudis Arty sur l'application LittleBigCity.

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Les lieux partenaires des Jeudis Arty :

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Nos ambassadrices vous donneront les clefs de l’exposition présentée dans la galerie où vous les retrouverez pendant toute la soirée. Elles répondront à toutes vos questions et pourront vous orienter dans le parcours de votre soirée. Nos ambassadrices sont présentes dans ces galeries :

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Quartiers Arts et Métiers Enfants Rouges Sainte-Avoye

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Composez votre parcours à l’aide du plan.

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Suivez le guide !

Allô, le monde ? ** Nouveau Parcours ** 3 artistes pour 3 réflexions sur l’état de notre Monde avec un grand « M ». Interrogeant tour à tour l’impact écologique et physique que l’activité humaine a sur la nature, l’atelier devient le lieu où se recrée le monde. Tarif : 26€

Infos & réservations [email protected] lesjeudisarty.placeminute.com 06 78 86 42 10

Vous n'avez jamais poussé la porte d'une galerie ? Vous souhaitez en savoir plus sur l'art contemporain ? Suivez nos visites guidées ! Départs à 18h45 et 20h30. Arty Maxi

Visiteurs de l'exposition de Katrin Koskaru à la galerie Pascaline Mulliez (6e édition) © Ghizlene Lachachi.

Des visites thématiques de 90 minutes comprenant la visite guidée, un Arty Bag en édition limitée rempli des goodies de nos partenaires, une entrée prioritaire à la soirée de clôture au Carreau du Temple. 90 minutes pour comprendre l’art contemporain Street art ? Néo-pop ?? Bio art ??! Parfois pour comprendre l’art contemporain un décodeur peut s’avérer nécessaire… Un rôle que jouera votre guide afin de vous familiariser avec cet art qui peut parfois paraître énigmatique. Tarif : 26€ Zoom sur la photo contemporaine La photo contemporaine est une forme d’art bouillonnant que votre guide vous apprendra à décoder autant techniquement que dans sa lecture graphique. Tarif : 26€

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Visiteuses attentives © Ghizlene Lachachi.

« Moi aussi je peux le faire ! ** Nouveau Parcours ** Devant une œuvre, vous vous dites que auriez pu faire aussi bien ? Alors cette visite est faite pour vous ! Au fil des galeries, nous tenterons de dénouer ces questions autour de la valeur des matériaux, de la technique utilisée, du temps de réalisation consacré et du discours transmis par l'artiste contemporain. Tarif : 26 € Arty Mini

Ambassadrice à la galerie Alain Gutharc devant une œuvre de Raphaël Barontini © Rubens Ben.

Rendez-vous avec un artiste dans sa galerie ! Lequel ? Un mystère qui vous sera dévoilé au dernier moment. Pour tout savoir sur son œuvre, sa démarche artistique, ses sources d’inspiration. Rencontres à 19h30 et 21h. Le lieu de rendez‑vous vous est communiqué par sms ou mail. Tarif : 13 €

Accueil et départ des visites guidées depuis le bar du Carreau du Temple, 2, rue Perrée, Paris 3e. Prévoir d'arriver au moins 15 minutes avant le départ de la visite.

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Arts et Métiers

Galerie Claire Corcia

2 Arts et Métiers

School Gallery Ody Saban, Métamorphose du taureau en grenouille, 2015, acrylique et encre de Chine sur toile, 114x195 cm, courtesy galerie Claire Corcia.

LC4 Le Corbusier, série « Icônes du design », 2016, dessin au stylo à bille sur carton, 40x30 cm © konrad.

Nicolas Dhervillers, konrad, Raphaël Tachdjian « No(s) Drawings » jusqu’au 4 juin 2016 322, rue Saint-Martin, Paris 3e

Ody Saban « Bourgeons de fêtes utopistes » du 2 juin au 13 juillet 2016 323, rue St Martin, Paris 3e www.galeriecorcia.com

www.schoolgallery.fr

Dédiée aux dernières créations d’Ody Saban, cette exposition d'envergure offre une vision protéiforme du travail de cette artiste associée au mouvement de l'art brut à travers un ensemble important de peintures matiéristes à l'acrylique sur toile, de moyens et grands formats et d'aquarelles sur papier.

Ce group show entre dessin et photo réunit trois artistes de la Team School Gallery : L’hyperréalisme des dessins grand format au stylo bille de konrad, offrent aux portraits une aura, une prégnance, une réalité, un espace d’existence. On pense aux photographies des sans domicile fixe de Lee Jeffries et, bien sûr, aux portraits de Chuck Close. 

Ody Saban crée la « beauté » par strates successives. Elle peint puis dessine sur sa peinture ; repeint puis redessine jusqu'à être satisfaite de l'image obtenue, sans aucune préscience de l'œuvre à atteindre.

Pour cette exposition, Raphaël Tachdjian a pour sa part réalisé une série de dessins qui composent un wallpaper à la manière des toiles de Jouy ; des dessins disséminés sur le mur comme une ode à l’enfance et à la fin de l’insouciance.

Ody Saban immerge le spectateur au cœur d'une nature luxuriante, inquiétante, dévorante où les êtres et la végétation se métamorphosent, parés de couleurs flamboyantes et psychédéliques. Cet univers de forêts oniriques est le lieu de toutes les éclosions, propice à l'étreinte amoureuse, à la quête spirituelle, au recueillement.

Avec « Memory Drift », Nicolas Dhervillers, retrouve quant à lui la nature et la solitude, deux thématiques puissantes qui traversent son œuvre. Ici, l’artiste fouille sa mémoire et sur la feuille, flottent des morceaux de souvenirs emmêlés qui deviennent sous sa main des lieux sensibles arrachés à l’oubli, des espaces sublimés où dérive la mélancolie.

Vernissage en présence de l'artiste le 2 juin. Projection de trois films dédiés à l'œuvre d'Ody Saban. Présentation et lancement du no25 de la revue Hey !

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Présence d'une partie des artistes lors des Jeudis Arty.

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12 4 Arts et Métiers

3 Arts et Métiers

Galerie Riviere / Faiveley

La chambre bleue, © Thomas Devaux, courtesy galerie Rivière / Faiveley.

Galerie Vincenz Sala

Thomas Devaux « Cet obscur objet du désir » jusqu'au 2 juillet 2016 70, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e galerierivierefaiveley.com

Le photographe plasticien Thomas Devaux compose ses représentations sur les ruines d’images premières. Il déstructure puis réagence des corps partiels ou complets, donnant naissance à des figures aussi charnelles que vaporeuses dont le caractère fétiche questionne à nouveaux frais la plasticité du désir et son rapport à l’art.

Myriam El Haïk, LA, MI,SI, FA (in Seven is Heaven), 2016, acrylique sur papier, 14,8×21 cm, courtesy galerie Vincenz Sala.

Dans Attrition I, les jeunes filles, véritables monstres d’élégance, sont figées dans une sorte d’attente, affichant une présence moins mélancolique qu’indifférente, par laquelle s’accomplit leur pleine déréalisation. 

www.vsala.com

Depuis plusieurs années une ligne importante de la programmation de la galerie Vincenz Sala se situe dans l’exploration des liens qui existent entre l’écriture, le dessin et la performance. Loin d’avoir épuisé le sujet, la galerie s'intéresse aujourd'hui à une autre forme d'écriture : celle de la musique et aux liens, plus complexes, qu'elle entretient avec le dessin et la performance. L’exposition de groupe « Notation » est une première tentative. Elle rassemble les travaux de cinq artistes qui de façons très variées mettent en évidence le jeu entre la discipline d’écriture, la liberté d’invention, mais aussi la liberté de lecture et d’interprétation auxquelles la notation musicale peut donner lieu. Il s’agit de : Oliver Augst (musicien, compositeur), Myriam El Haïk (artistes plasticienne, compositrice, performateuse), Sven-Åke Johansson (musicien, compositeur, dessinateur), Damien Marchal (artiste plasticien, créateur d’événement sonore) et Jacob Reymond (artiste plasticien, musicien, compositeur).

Pour son dernier projet The Shoppers, décliné en une série de photographies et une installation, Thomas Devaux capte sur le vif les visages de clients de supermarché au moment du règlement en caisse. Le plasticien opère un glissement aussi conceptuel qu’esthétique en se concentrant sur des icônes ordinaires, figures critiques malgré elles de la société de l’hyperconsommation. 

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Group Show « Notation » jusqu'au 18 juin 2016 52, rue N.-D. de Nazareth, Paris 3e

À l'occasion des Jeudis Arty, rencontre avec les artistes Myriam Ël Haïk et Jacob Reymond. Performance musicale de Jacob Reymond.

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F E S T I VA L D E C I N É M A F R A N C O - A M É R I C A I N

champs-élysées 12

5 Arts et Métiers

Galerie Charron

film festival Mickaël Doucet, Les arbres étaient peuplés d’oiseaux, série « Villégiatures », 2014, huile sur toile, 130x195 cm, courtesy galerie Charron.

Mickaël Doucet et Cerise Doucède « Mimesis » du 2 au 30 juin 2016 43, rue Volta, Paris 3e

7/14 JUIN 2016

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ÉDITION

www.galeriecharron.com

Cerise Doucède, Voiture, série « Égarements », 2010, tirage numérique sur papier baryté, 80x120 cm courtesy galerie Charron.

À travers « Mimesis », ancien terme grec qui définit la représentation d'un objet ou son illusion, la photographe Cerise Doucède, représentée par la galerie Mondapart à Boulogne-Billancourt, et le peintre Mickaël Doucet représenté en exclusivité par la galerie Charron s’interrogent tous deux sur l’imaginaire et le réel, le visible et l’invisible en projetant à travers deux médiums différents, la photographie et la peinture, l’invisible comme présence ou absence. L'exposition Mimesis sera présentée du 2 au 30 juin 2016 simultanément au sein des deux galeries partenaires. Vernissage en présence des artistes, le 2 juin.

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champselyseesfilmfestival.com

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Galerie Mathias Coullaud

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Lisa Roze « Pink » jusqu'au 9 juillet 2016 12, rue de Picardie, Paris 3e www.mathias-coullaud.com

Galerie Charlot

Lisa Roze avec sa série de photos intitulée, avec fausse naïveté, « Pink », nous livre un corpus d’une totale préciosité – chaque photo est une pièce unique tirée avec un appareil polaroïd transformé, sur du papier qui n’existe déjà plus. Toutes les photos sont rehaussées à la feuille d’or et repeintes par l’artiste elle-même accentuant la singularité de chaque tirage. 

Thomas Israël « EXILT » jusqu'au 4 juin 2016 47, rue Charlot, Paris 3e www.galeriecharlot.com

Fusion des mots « exil » et « exit », « EXILT », le titre de la troisième exposition de Thomas Israël à la galerie Charlot, fait référence à l'urgence de sortir d'un pays et aux conséquences de ces départs forcés.

Mais l’univers de Lisa Roze est sur un fil entre un esthétisme baroque à la limite de la décadence et une vision acerbe et politique – une transgression par la beauté.

Lisa Roze, Pink 7 – Léa Seydoux, 2008, pièce unique, tirage argentique peint à la main (peinture et feuille d'or), détail, 16x20 cm © Lisa Roze, courtesy galerie Mathias Coullaud.

En collaboration avec trois photographes reporters (Reza, Johanna de Tessières et Olivier Papegnies), ses dessins, vidéos et tirages photo rendront hommage aux vies des réfugiés contemporains, en nous invitant à nous recentrer sur l'humanité.

Prises entre 2008 et 2016, ces photos ont pour modèles Vanessa Paradis, Clotilde Hesme, Mélanie Laurent, Louise Monot, Mélanie Thierry, Mélanie Doutey, Louise Bourgoin, Marie-Agnès Gillot, Cécile Cassel mais aussi Thomas Dutronc ou Nicolas Le Riche…

Thomas Israël, artiste multimédia basé à Bruxelles, propose des installations et des performances vidéo qui sont autant d’œuvres immersives et interactives. Issu des arts de la scène, son approche atypique tourne autour des thématiques du corps, du temps et de l’inconscient.

Mathias Coullaud, avril 2016. À l'occasion des Jeudis Arty, visite‑conférence de l'exposition par Patrick Scemama – La République de l'Art à 19h30 et 20h30.

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© Olivier Papegnies and Thomas Israël, courtesy galerie Charlot.

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8 Enfants Rouges

Galerie JPHT

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PatMoli « Femmes secrètes » du 2 au 21 juin 2016 4, rue de Saintonge, Paris 3e www.galeriejpht.com

Galerie Lazarew

Elles dansent, elles ondulent au rythme d'une musique invisible et envoûtante. Leurs courbes sont insolentes et gracieuses, une lumière d'or chamarrée les éclaire.

PatMoli, Rivière d'or, courtesy galerie JPHT.

Sergey Konovov, Cinq Bouches Ouvertes, 2015, huile et bombe aérosol sur toile, 62x80 cm, courtesy galerie Lazarew.

Les créations aquatiques, milieu marin, ou les héroïnes de PatMoli associent matière et lumière, couche après couche, pour transparaître comme des émaux.

Sergey Kononov « Rouge » jusqu'au 14 juillet 2016* 14, rue du Perche, Paris 3e

PatMoli invente, crée, bâtit son œuvre avec sincérité et conviction, avec sensualité et effronterie. L'artiste nous emmène dans son rêve coloré, épique, et sa vibration appelle à la sérénité.

« Pourquoi rouge ? Pour moi, c’est le sang qui coule à travers tout le corps, c’est la pulsion animale de la vie, la force omniprésente du physique qui domine toute autre forme d’expression, telles que celles de l’âme, du spirituel ou de la pensée. »

www.galerie-lazarew.fr

Ses femmes secrètes nous guident dans son univers onirique dans lequel elle sait si bien détourner les œuvres des grands maîtres sans les dénaturer.

C’est ainsi que Sergey Kononov, prodige ukrainien de 21 ans, introduit son travail récent : une galerie de portraits saisissants, entre réalisme et néo-expressionnisme qui dépeint avec acharnement l’âge charnière du jeune adulte et que l'artiste nous invite à visiter (en particulier ceux dont le cadrage est le plus serré) comme on visiterait un zoo. Ce n’est qu’en captant les regards de cette jeunesse dure, sous pression, que l’on peut y déceler une lueur d’humanité, d’espoir et de grandeur.

Pierre Massis. Vernissage le 2 juin en présence de l'artiste.

Qu’est-ce que grandir ? C’est la question centrale de son travail. Présence de l'artiste lors des Jeudis Arty. * La galerie sera fermée du 20 au 30 juin.

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Galerie Pascal Gabert

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Al Martin, détails d'œuvre, courtesy galerie Pascal Gabert.

Galerie Eva Meyer

Al Martin « Faire ailleurs, pour ne pas rouiller » jusqu’au 20 juillet 2016 11 bis, rue du Perche, Paris 3e

Werner Büttner « Boucle d'attente dans le néant » jusqu’au 26 juin 2016 5, rue des Haudriettes, Paris 3e

Depuis près d’une quarantaine d’années Al Martin travaille la peinture sous toutes ses coutures et de tous ses bords. Après avoir tâté du dessin […] sur le mode ironique du pastiche, il s’est engagé dans la peinture et le dessin. Car ce qui l’intéresse, ce sont eux tout simplement et non ce qu’ils devraient vouloir dire ou montrer. L’objet même de son activité est ce que la fabrication de la peinture permet de mettre à jour, comme expérience visuelle et comme aventure possible.

Sous le titre de « Boucle d’attente dans le néant » (Holding pattern in the void), l’exposition personnelle de Werner Büttner (1954 – Allemagne) à la galerie Eva Meyer propose d’approcher l’univers pictural de l’artiste en découvrant une dizaine de ses dernières productions. Chaque toile est constituée d’images extraites de la banalité du quotidien et de leurs implications politiques ; elles coexistent dans des fictions picturales souvent grotesques ou insolentes.

[…] Al Martin travaille en couches successives (jusqu'à 365) avant de creuser la peinture d'où émerge la polychromie, d'où surgit la figure. Il cultive également « l'art d'accommoder les restes », comme les « peaux de peinture » qui sont autant de matière pour la réalisation d'œuvres. Chez Al Martin, rien ne se perd, tout se transforme, tout se recycle.

Depuis les années 80, Werner Büttner n’a cessé de développer un regard distant et plein d’humour sur notre société, insistant parfois férocement sur la culture artistique de ses contemporains. Son travail se nourrit de sources variées dont la littérature, révélant un vif intérêt pour les travaux de Baltasar Gracian, Michel de Montaigne, François Rabelais ou Jonathan Swift.

www.galeriepascalgabert.com

galerieevameyer.com

Tiré de la préface de Philippe Cyroulnik pour la monographie de l'artiste La Planète du Peintre parue en avril 2016.

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Werner Büttner, Boucle d'attente dans le néant, © Egbert Haneke, courtesy galerie Eva Meyer.

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12 Sainte-Avoye

expositions

François-Mitterrand jusqu’au 28 août 2016

Galerie Marie -Robin

Chantal Atelin, Trait 56, courtesy galerie Marie-Robin.

Chantal Atelin « Espace-Trait » jusqu'au 19 juin 2016 18, rue de Montmorency, Paris 3e

Musée national Picasso-Paris jusqu’au 31 juillet 2016

www.galerie.marie-robin.com

Chantal Atelin présente un ensemble de sculptures et des graphismes de sa série les Traits qui privilégie une figure géométrique simple : le triangle. Disposant des tiges de métal autour de l’espace, elle les soude suivant un protocole qu’elle s’impose. Chaque Trait, par la ligne de son dessin, appelle sa couleur. Les intersections des plans sont ainsi mis en évidence, constituant une hybridation entre abstraction géométrique et travail autour de l'espace. Le jeu des Traits avec la lumière est primordial, créant des ombres – projections jamais figées – comme autant de dessins évoluant avec le temps. En rapport avec les architectures contemporaines, chaque Trait est un volume creux qui questionne les notions de structure, de support, de surface et bouleverse les repères géométriques usuels. Les plans spatiaux multiplient les perceptions à l’infini. Les graphismes issus des Traits en sont l’écho. Vernissage en présence de l'artiste, le 2 juin.

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13 Sainte-Avoye

Galerie Pascaline Mulliez

14 Sainte-Avoye

Johanne Skovbo Lasgaard « Hazy Memory Pool (1) » jusqu'au 18 juin 2016 42, rue de Montmorency, Paris 3e

www.pascalinemulliez.com

Jeu de porosités entre matériaux, accumulations et jeux de couleurs sont à l’œuvre dans un travail qui se veut essentiellement expérimental, « Hazy Memory Pool (1) » est la première étape d’une exposition présentée d’abord à Paris à la galerie Pascaline Mulliez, puis cet automne à Copenhague (Danemark) à la galerie Marie Kirkegaard. La relation au corps dans le processus de création est au cœur des préoccupations de cette jeune artiste danoise. La préparation de l’exposition a nécessité une résidence à Paris soutenue financièrement par la Danish Arts Foundation.

Installation : Silver Doodle, 2016, feuille d'aluminium, 35 cm de diamètre ; Indigo Balance, 2016, cire et pigment, 70x8x8 cm ; Magenta Pool, 2016, plâtre, acrylique, encre, 30x20x7 cm.

Galerie Gilbert Dufois

Tony Soulié, Hong Kong, techniques mixtes sur photo, 125x125 cm, courtesy galerie Gilbert Dufois, Senlis–Paris.

Johanne Skovbo Lasgaard est défendue au Danemark par la galerie Marie Kirkegaard, galerie de référence pour l’art contemporain expérimental danois, implantée depuis 2013 dans le centre de Copenhague.

galeriegilbertdufois.com

Tony Soulié est un artiste de renommée internationale qui a déjà fait l'objet de nombreuses expositions personnelles, d'expositions dans les plus grandes manifestations internationales et dont les œuvres sont conservées dans une cinquantaine de musées français et étrangers. Adepte des techniques mixtes, la plupart de ses réalisations ont la photographie comme support. La photographie peinte ou « photopeinture » présentée ici est basée sur des tirages grand format en noir et blanc de photographies prises lors de ses nombreux voyages, qu’il recouvre d’encre, d’acrylique, de vernis et de carborundum. Pour « Exploration », seconde exposition de l'artiste dans la galerie, c'est la ville de Honk Kong et les fleurs exotiques qui sont à l'honneur. Parallèlement aux toiles, Tony Soulié réalise, des œuvres sur papier composées sur fond de lithographies bicolores en aplats (gris et noir).

Lors du salon de la Jeune Création Européenne (JCE) à Montrouge en octobre 2015 Johanne Skovbo Lasgaard représentait le Danemark.

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Tony Soulié « Exploration » jusqu’au 18 juin 2016 4, rue du Bourg l’Abbé, Paris 3e

Présence de l'artiste à l'occasion des Jeudis Arty.

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15 Sainte-Avoye

Jola Sidi Gallery

Lucas Talbotier, Sans titre, huile sur toile, terre, huile, bâton d'huile, bombe de peinture, 162x129 cm © Roman Eremchenko.

16 Sainte-Avoye

Lucas Talbotier « Biome » jusqu'au 30 juin 2016 80, rue des Gravilliers, Paris 3e www.jolasidi.com

Galerie ALB

Actuellement en troisième année des Beaux-Arts de Paris où il étudie le dessin et la peinture dans l’atelier de James Rielly, Lucas Talbotier voue un engouement particulier pour le monde végétal. Ses derniers travaux en attestent qui développent une façon organique de déployer le trait qui germe, serpente puis se déploie, tantôt en oscillations saccadées rappelant les accidents des courbes d’activités sismiques, tantôt s’étalant en fanes sinueuses. Une manière de faire qui s’inscrit dans la tradition de l’Action Painting : l'artiste attaque la toile au pinceau, à la spatule ou même avec une clé de châssis, laisse libre cours aux giclures, aux coulures, applique l’empreinte de la paume de sa main, étale la matière aux doigts ou l’essuie grossièrement : tout pour garder le geste visible, non lissé, délibérément brut. Tout, afin de témoigner sans artifices du déroulement de la mise en œuvre. Ainsi le tableau s’affirme comme un acte, une séquence de gestes dont la progression reste expressément lisible.

Anouck Durand-Gasselin « Tamogitake » jusqu'au 2 juin 2016 47, rue Chapon, Paris 3e www.galeriealb.com

« Le travail quasi photographique d’Anouck Durand-Gasselin s’abreuve à la pénombre des sous-bois, à l’humidité des forêts, aux galeries souterraines, aux champignons qu’elle laisse ou fait évoluer pour en recueillir la production. La source importe, oui, mais n’est pas apparente, seule l'est sa trace, son éjection, sa production, son expansion dans l’espace et son dépôt sur la surface. L’artiste donne à voir le processus d’apparition d’une forme, d’une image à partir d’un élément naturel, la sporulation du champignon ; elle capture le mouvement entre les parois transparentes et le fige au plus haut degré de son potentiel d’imagination. « Tamogitake » est le nom japonais du pleurote jaune, et le nom de la nouvelle série présentée à la galerie ALB. » Extrait du texte de Sally Bonn, docteur en esthétique, curator et éditeur de la revue N/Z. Finissage le 2 juin en présence de l'artiste. À 19h : performance « Le champignon dans tous ses états ». Une collaboration entre Anne-Marie Jeannou et Anouck Durand-Gasselin.

Inspiré du texte de Marion Delage de Luget.

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Anouck Durand-Gasselin, « Tamogitake » sporée, courtesy galerie ALB.

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une collaboration avec

Laboratoires 12

l’art Dominique Blais Attila Csörg Edith Dekyndt Ólafur Elíasson eRikm Fischli & Weiss

Gego Véronique Joumard Jugnet + Clairet Žilvinas Kempinas Piotr Kowalski Sophie Krier

Musée des 28 arts et métiers – 60 rue Réaumur Paris 3e www.arts-et-metiers.net #ArtLabs

Bertrand Lamarche Agnieszka Polska Evariste Richer Conrad Shawcross Guido van der Werve Raphaël Zarka

Conception : zoo, designers graphiques Figures de Trouvelot (1888) © Musée des arts et métiers – Cnam / photo : Michèle Favareille

de

10.05.16 → 04.09.16 Musée des arts et métiers

17 Sainte-Avoye

Galerie Anne -Sarah Bénichou

Julien Discrit « Le souvenir des Pierres » jusqu'au 22 juillet 2016 45, rue Chapon, Paris 3e annesarahbenichou.com

La géographie, en tant que tentative pour « décrire le monde », constitue pour Julien Discrit, artiste plasticien français, une source importante de réflexion. Ses œuvres évoquent des espaces aussi bien physiques qu'imaginaires, et cherchent à installer une tension dialectique entre le visible et ce qui reste dissimulé. L’expérience du temps, au travers du parcours et du récit est également essentielle dans sa pratique qui se déploie de l’installation à la performance, de la photographie à la vidéo. Pour sa première exposition personnelle à la galerie Anne-Sarah Bénichou intitulée « Le souvenir des Pierres », il combine deux notions qui semblent s’opposer en tous points : un temps immuable que les roches incarnent d’un côté, et de l’autre ce qui se dissipe sans cesse, le fugace, que la mémoire tente de maintenir en nous sous la forme précaire du souvenir.

Julien Discrit, États inversés – Walla-Walla, courtesy galerie Anne-Sarah Bénichou.

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Artist talk. Pour les Jeudis Arty, la galerie proposera une conversation avec l’artiste autour des thèmes principaux qui s’articulent dans son travail.

18 Sainte-Avoye

Galerie Fatiha Selam

Alexandre Delamadeleine, p. 37, tirage photographique sur papier transparent contrecollé sur page de livre (Harvard University Press), 15,5×23,5 cm, 2016, courtesy galerie Fatiha Selam.

19 Sainte-Avoye

Alexandre Delamadeleine « Tathāgatagarbha » jusqu’au 18 juin 2016 58, rue Chapon, Paris 3e www.fatihaselam.fr

Galerie Placido

Christian Lhopital, Voyage organisé, techniques mixtes sur papier 70x55 cm, courtesy galerie Placido.

Inspiré du texte de Claude Guibert. Présence de l'artiste à l'occasion des Jeudis Arty.

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www.galerie-placido.com

Ugo Giletta, Veronika Holcová, Marine Joatton, Christian Lhopital, Barthélémy Toguo, Sandra Vasquez de la Horra, Fabien Verschaere.

Pour sa première exposition personnelle à la galerie Fatiha Selam intitulée « Tathāgatagarbha », Alexandre Delamadeleine présente une série de travaux photographiques sur papier transparent contrecollé sur les pages du livre « Nature » du poète et philosophe américain Ralph Waldo Emerson (1803-1882) ainsi qu'une vidéo performative. Cette trame révèle l'intérêt que le photographe porte à celui qui, faisant table rase de l'héritage culturel et historique européen, trouve en 1836 dans l'Amérique, une nature vierge, sauvage, sans « Histoire » qui le mènera à développer l'idée que cette nature est une entité divine qui englobe tout. Le salut des hommes tient à la fusion du Soi et de la Nature, un éveil bouddhique auquel se réfère explicitement Alexandre Delamadeleine. Le titre mystérieux de l'exposition commence alors à se dévoiler : « Tathāgatagarbha » désigne le germe renfermant la nature essentielle, universelle et immortelle présente en tout être sensible.

Group Show « Incertitudes insignifiantes » jusqu'au 19 juin 2016 41, rue Chapon, Paris 3e

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En écho à la sortie du livre Significanti incertezze de Lóránd Hegyi, directeur du Musée d'art moderne et contemporain de Saint‑Étienne aux éditions Hapax Editore (Turin), l'exposition « Incertitudes signifiantes » est un hommage à la pratique de l’œuvre sur papier. De nombreux artistes se révèlent dans ce moment de création particulier. La galerie a choisi de présenter les travaux de quelques‑uns d'entre eux dont le point commun réside dans une approche minimaliste, essentielle, donnant naissance à une image forte et dépouillée, presque barbare. Dans ce sens, les courageux, grands et « implacables » artistes modernes, « s’éloignent de la figure humaine traditionnelle, solennelle, noble, adoubée de toutes les offres sacrificielles du passé, pour s’adresser à l’homme nu de notre temps qui, criant comme un nouveau-né, gît dans les couches sales de notre époque ».

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Lebenson Gallery

21 Sainte-Avoye

Pascal Mennesson, Vanitas vanitatum, néon, courtesy Lebenson Gallery.

Galerie Zürcher

Pascal Mennesson « Back to the future » jusqu'au 7 juin 2016 56, rue Chapon, Paris 3e

Michel Huelin « Landscape recovery » jusqu’au 9 juillet 2016 56, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

www.lebensongallery.com

www.galeriezurcher.com

Le travail de Pascal Mennesson est produit à partir de données bancaires qu’il réussit à traduire et à détourner en une œuvre stylisée. Les œuvres néons produisent en elles-mêmes une attirance immédiate succédant aussitôt à une lecture profonde du gain et de la perte. Son travail sur papier original du Wall Street Journal de 1929, abrite quant à lui autant de messages cachés que de lectures complexes sur l’ordre économique et ses différentes révolutions.

« Mes travaux s’inscrivent dans une relation équivoque avec la nature » souligne Michel Huelin, qui procède par une approche transdisciplinaire, entre peinture, video et programmation numérique. Il crée des paysages tellement détournés dans leur représentation qu'ils apparaissent comme la manifestation d’un trouble, à commencer par celui de la vision. L'artiste brouille les repères, entremêle environnements naturel et artificiel, au point de donner l'illusion même de la réalité. Imaginant les représentations possibles d'un écosystème du futur, hybride et inquiétant, il initie une esthétique organique complexe, jusque dans le processus pictural : les images sont obtenues autant de manière physique par la peinture (huile et résines alkydes) que de manière numérique.

Fruit d'une réflexion sur le monde actuel et son évolution, l'œuvre de Pascal Mennesson nous interpelle sur les dérives de notre système économique mondialisé fondé sur la quête du graal, la fortune. Elle parvient à produire une esthétique post-constructiviste et résolument contemporaine associant des algorithmes et messages cachés qu’il nous revient de décoder.

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Michel Huelin, Recovery Landscape 5, 2015, jet d'encre pigmentée sur papier Hanenmühle, 67x105 cm, courtesy galerie Zürcher, Paris–New York.

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22 Sainte-Avoye

Galerie Virginie Louvet

Hélène, Centralia, 2016, tirage argentique sur papier RC, 80x80 cm ed 1/5 +1EA, courtesy galerie Virginie Louvet.

Camille Ayme « Sédimentalisme » jusqu'au 30 juin 2016 48, rue Chapon, Paris 3e virginielouvet.com

Première exposition personnelle de Camille Ayme à la galerie, « Sédimentalisme » est une proposition plastique mêlant énergies fossiles et nostalgie, un portrait générationnel entre la France et l’Amérique du Nord, où les routes deviennent des murs et les roues des stylos. Sur les traces de Centralia, California City ou de Chevrolet, l'artiste place l’extraction et la combustion au cœur de son exposition, questionnant à la fois l’impact écologique et physique que l’activité humaine a sur la nature. Camille Ayme est diplômée de l’École d’Architecture de Paris –La Villette et de l’École d’Art de Paris–Cergy et poursuit un travail plastique autour des composantes de la ville moderne et de la mobilité.

Nous vous invitions à découvrir la collection Sandcast imaginée par Henry Wilson dans notre boutique Aesop Saint-Honoré du 30 mai au 30 juin 2016.

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« Savoir n’est rien, imaginer est tout. » Anatole France

Aesop Saint-Honoré 256 rue Saint-Honoré 75001 Paris

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Galerie Mi*

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Igor Baloste, image de CRYING CAT.

Klaus Fruchtnis, Igor Baloste « SEFLIC, CRYING CAT » jusqu'au 2 juin 2016 19, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

Galerie Armel Soyer Stéphane Moufflette, Garniture, trois vases ornementaux, courtesy galerie Armel Soyer.

Exposition collective 19, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

www.armelsoyer.com

www.armelsoyer.com

À l’occasion de la 7e édition des Jeudis Arty, la galerie Armel Soyer propose de découvrir le travail de Stéphane Mouflette, nouveau designer porté par la galerie, dans une scénographie inédite présentant également Emmanuel Bossuet, Pierre Gonalons, Ruth Gurvich, Mathias Kiss, Julian Mayor, Denis Milovanov, Ifeanyi Oganwu, Gilles Pernet.

À l'occasion des Jeudis Arty, la galerie Mi*, mi-galerie, mi-studio de création digitale présente deux œuvres d'art new media (digitales interactives, web connectées), projetées dans la galerie et sur les murs de la rue Chapon aux alentours de la galerie : SELFIC (Igor Baloste–Klaus Fruchtnis) : vidéo interactive programmée en première création au festival Nomade 2016 proposé par la Mairie du 3e arrondissement de Paris et en avant‑première de la rétrospective de Klaus Fruchtnis au Musée national de Bogota en juillet 2016.

La galerie de design Armel Soyer Éditions se consacre aux Arts Décoratifs du XXIe siècle, proposant ainsi une approche contemporaine et globale, tout en mettant en œuvre des savoirs-faire parfois oubliés. Fruit d'une aventure commune à une génération d'artisans et d'artistes, les talents émergents ou reconnus peuvent ici s'exprimer dans un élan commun d'inspiration, de qualité, de rareté et d'exception. L'ambition de la galerie est de mettre l'œuvre en dialogue avec son environnement comme une « Period Room » du XXIe siècle. Elle accompagne également collectionneurs et artistes dans la création de projets spéciaux et de décors sur-mesure. 

CRYING CAT (Igor Baloste) : vidéo interactive, création inédite. Présence des artistes. Artist talk sur l'art new media.

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Galerie Linz

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Group Show « Cousu main » jusqu'au 3 juillet 2016 19–21, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e www.galerielinz.com

Avec : Adam Nidzgorski, Mahé Boissel, Véronique Durieux, Marie-Noël Fontan, Rieko Koga, Natalie Mei, Michel Nedjar, Virginie Rochetti, Michel Devoisin, Sati Zech, Lucas Weinachter.

Under Construction Gallery © Rebekka Deubner.

Ken Sortais « Âme prise » jusqu'au 18 juin 2016 6, passage des Gravilliers, Paris 3e

… Broderie : d’Assise, africaine, élisabéthaine, suédoise ou contemporaine, à points comptés, en laine sur toile, au point de croix, à fils tirés…

Michel Nedjar (prêt, galerie christian berst, Paris).

www.underconstructiongallery.com

… Points : de chaînette, d’épine, de pointe, de plume, de chevron, de fougère, de feston, de grébiche, de Boukhara, de chaînette en rosette, de Ceylan, de Boulogne ou de Crête…

Dans sa nouvelle exposition « Âme prise », Ken Sortais continue d'explorer les territoires qui lui sont chers. Ici, il sera question de l'imagerie religieuse et mythologique khmère découverte par l'artiste lors d'un voyage au Cambodge en janvier 2016. De retour à Paris, il constate que certaines figures issues de cette iconographie foisonnante peuplent les paysages de son quotidien, aussi bien sur les plans physiques que référentiels.

… Pousser–tirer ; réparer–couturer ; lier–relier ; nouer ; tendre ; couper ; coudre–découdre… Parce que la broderie, c’est tout cela et plus. En fils, tissu et matériaux divers, les œuvres des onze artistes présentées ici ne sont rien de cela. Des broderies aux points de perte sur une trame du temps que rien ne justifie.

À travers une série d'interventions qui associent le moulage, la peinture et la vidéo, il se réapproprie les fragments des êtres mythiques qui croisent son chemin, sculpte les ruines de temples lointains, collectionne les traces d'un répertoire de formes codées, réminiscences de mystère, de croyance et de magie.

Vernissage lors des Jeudis Arty en présence d'une majorité d'artistes.

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Présence de l'artiste à l'occasion des Jeudis Arty.

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Galerie christian berst art brut

Melvin Way, C76H52046, 2003. Stylo bille bleu et noir et crayon sur papier avec ruban adhésif, 8,5x10,5 cm, courtesy galerie christian berst art brut.

Melvin Way / Andrew Castrucci « A vortex symphony » jusqu'au 16 juillet 2016 5, passage des Gravilliers, Paris 3e www.christianberst.com

Galerie Sator

Première exposition solo en Europe de l'américain Melvin Way, révélé en 1989 par l'artiste Andrew Castrucci.

Yevgeniy Fiks « Landscapes of the Jewish Autonomus Region » jusqu'au 2 juillet 2016 8, passage des Gravilliers, Paris 3e

La densité graphique des billets graciles de Melvin Way leur confère un magnétisme rare. Ses lambeaux de papiers récupérés, manipulés, recouverts d’écritures, de chiffres, de formules mathématiques et chimiques, de figures géométriques, de partitions de musique, de rubans adhésifs témoignent de son obsession pour l’espace et le temps, et ses équations semblent vouloir calculer les passerelles qui mènent de l’un à l’autre. Comme une manière de s’en affranchir, d’abolir la place qui nous est assignée par ces concepts et, ainsi, offrir des voies nouvelles à celui qui signe parfois lui-même Melvin « Milky » Way.

www.galeriesator.com

Le Birobidjan est une région autonome juive de la Fédération de Russie créée en 1934 par Staline. L’Union soviétique encourageait alors les minorités ethniques à créer des régions autonomes en Russie et à développer un langage et une culture en accord avec leur tradition et leur identité tout en promouvant l’idéologie nationale du socialisme soviétique. Le Birobidjan était censé devenir une patrie pour la majorité des juifs soviétiques, résolvant ainsi la « question juive » dans l’Union soviétique. Le Birobidjan existe encore aujourd’hui mais la population juive n’y représente plus que 5% de la population totale, soit environ 4000 personnes.

Aujourd’hui, Melvin Way est salué par des critiques éminents comme Jerry Saltz qui le qualifie de « génie mystique visionnaire ».

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Yevgeniy Fiks, « Landscapes of the Jewish Autonomus Region », 2015-2016, Utopia, huile sur toile 85x150 cm, courtesy galerie Sator.

L’exposition « Landscapes of the Jewish Autonomus Region » présente plusieurs projets illustrant les (dé)connexions entre les questions d’identité, de terre et de paysage et les notions d’appartenance, d’(inter)nationalisme et d’utopie.

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Galerie Papillon

David Raffini, Chemical trail, 2015, peinture sur toile libre, 180x290 cm, courtesy galerie Papillon.

Arty Défis © Ghizlene Lachachi.

David Raffini « INSULAE, suite » jusqu'au 21 juin 2016 13, rue Chapon (au fond de la cour), Paris 3e

Développez votre créativité en relevant nos défis. Les participants les plus arty seront récompensés par de beaux cadeaux de nos partenaires.

#artydefi1 : « Selfie Arty »

galeriepapillonparis.com

Vous devant votre œuvre préférée exposée lors des Jeudis Arty.

Le point de départ d'INSULAE (nom latin de « île », mais également zone du cerveau où se forment la mémoire et le goût), est une vidéo du même nom en cours de réalisation que l’on découvre « en l'état » : inachevée et démultipliée sur plusieurs moniteurs.

#artydefi2 : « Page blanche » les Jeudis Arty c’est…

Champ d’expérimentation protéiforme, cette première exposition personnelle de l'artiste David Raffini à la galerie Papillon, se vit comme une déambulation initiatique où le regardeur ricoche d’une proposition à l’autre, par le filtre de cette vidéo romantique. L’installation nous fait côtoyer des peintures-paysages ainsi que des interventions in situ. Le déploiement des œuvres dans l’espace devient ainsi le témoignage direct d’une pratique d'atelier disséquée, où des événements en provoquent d’autres par stratification, ce qui génère des œuvres frontières entre figuration et abstraction, ces paysages abstraits formés par l’expérience de l'atelier.

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#artydefi3 : « Abstraction » Représentez le nom d’une galerie visitée de manière créative.

Comment participer ? 1 • Réalisez un maximum de défis le soir des Jeudis Arty. 2 • Postez chacune de vos participations grâce à une photo ou une vidéo sur votre compte Instagram. 3 • Utilisez pour toutes vos publications le hashtag #lesjeudisarty et #artydefi1, 2 ou 3. Vous avez relevé nos trois défis ? Rendez-vous à notre soirée de clôture pour une belle surprise !

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Je vote pour mon exposition coup de cœur de la soirée (ne 12 cocher qu'une case, participation limitée à un vote par personne)* : *Bulletin à déposer au Jules, 2, rue Perré, Paris 3e, le 2 juin 2016, entre 18h30 et minuit.

Save the date ! e

8 édition Jeudi 20 octobre 2016 #FollowYourArt

Nom / Prénom : Email : Galerie Claire Corcia

Jola Sidi Gallery

School Gallery

Galerie ALB

Ody Saban « Bourgeons de fêtes utopistes » Nicolas Dhervillers, konrad, Raphaël Tachdjian « No(s) Drawings »

Galerie Riviere / Faiveley

Thomas Devaux « Cet obscur objet du désir »

Galerie Vincenz Sala

Group Show « Notation »

Galerie Charron

Mickaël Doucet et Cerise Doucède « Mimesis »

Galerie Mathias Coullaud Lisa Roze « Pink »

Galerie Charlot Thomas Israël « EXILT »

Galerie JPHT

PatMoli « Femmes secrètes »

Galerie Lazarew Sergey Kononov « Rouge »

Galerie Pascal Gabert

Al Martin « Faire ailleurs, pour ne pas rouiller »

Galerie Eva Meyer

Werner Büttner « Boucle d'attente dans le néant »

Galerie Marie-Robin Chantal Atelin « Espace-Trait »

Galerie Pascaline Mulliez Johanne Skovbo Lasgaard « Hazy Memory Pool (1) »

Galerie Gilbert Dufois Tony Soulié « Exploration »

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Lucas Talbotier « Biome »

Anouck Durand-Gasselin « Tamogitake »

Galerie Anne-Sarah Bénichou Julien Discrit « Le souvenir des Pierres »

Galerie Fatiha Selam Alexandre Delamadeleine « Tathāgatagarbha »

Galerie Placido

Group Show « Incertitudes insignifiantes »

Lebenson Gallery Pascal Mennesson « Back to the future »

Galerie Zürcher

Michel Huelin « Landscape recovery »

Galerie Virginie Louvet Camille Ayme « Sédimentalisme »

Galerie Mi*

Klaus Fruchtnis, Igor Baloste « Seflic, Crying Cat »

Galerie Armel Soyer Exposition collective

Galerie Linz Group Show « Cousu main »

Under Construction Gallery Ken Sortais « Âme prise »

Galerie christian berst art brut Melvin Way / Andrew Castrucci « A vortex symphony »

Galerie Sator

Yevgeniy Fiks « Landscapes of the Jewish Autonomus Region »

Galerie Papillon David Raffini « INSULAE, suite »

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De 21h à minuit Arty Party au Carreau du Temple Rendez-vous dès 21h au bar du Carreau du Temple pour l’Arty Party, la soirée de clôture des Jeudis Arty sur le thème « L’art et la vie confondus ». Une proposition de Natacha Lorthios en collaboration étroite avec Léonore Chirol.

Arty Party au Carreau du temple (5e édition) © Rubens Ben.

Au programme, une soirée « Happening » autour de performances visuelles et sonores mettant en lumière la notion de processus de l’art performatif. Une soirée durant laquelle le public se voit proposer de passer à l’acte pour une réelle immersion au centre d’un univers artistique déployé par les performeurs intervenants. Performances et DJ set à partir de 21h. Un bar est à votre disposition pendant toute la soirée. Entrée à l'Arty Party par le 2, rue Perrée, Paris 3e. Repère sur le plan : CT

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Le Carreau du Temple Accueil des Jeudis Arty 2, rue Perrée, Paris 3e

« L'art et la vie confondus »

Somnambule Recordings La performance musicale et sonore sera assurée pendant toute la soirée par Somnambule Recordings, un collectif de musiciens originaires de Saint‑Germain‑en‑Laye, maintenant dispersés entre Paris, Brooklyn, Londres et Montréal. Le collectif a déjà animé de nombreuses soirées à Paris, notamment au Quai des Nautes et au Bric-à-brac.

Alma Jélavy.

Les performances et DJ sets se répètent et se développent en quinconce durant toute la soirée de 21 h à minuit.

Déborah Moreau © Axelle Manfrini.

Hélène Mourrier © Margot Mourrier.

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Alma Jélavy Naviguant à travers la foule, Alma Jélavy propose une performance en miroir qui invite le public, s’il le souhaite, à reproduire ses gestes : des portraits dessinés dans l'air destinés à déclencher l'échange. On perd alors les frontières entre performeur et spectateur.

© Somnambule Recordings.

Déborah Moreau : « Viens, on souffle » La performance de Déborah Moreau est basée sur nos gestes quotidiens qui deviennent mécaniques et inconscients et l’aspiration du corps à en sortir. Le public est invité à participer à cette routine de gestes.  

© Image tirée de TheBlu Encounter.

Hélène Mourrier : « Obviously » Au sein d’un espace de danse matérialisé par un carré de lumière, Hélène Mourrier danse et tente de faire entrer certaines personnes dans sa transe. L'idée étant de rejouer pour un cours instant la rencontre amoureuse, par la parade, et les étincelles qu'elle peut provoquer.

TheBlu Encounter : un avant goût de « The Experience is present » Intégrée à la programmation de l'Arty Party et réalisée en partenariat avec Virtual by Backlight et le Champs-Élysées Film Festival, une expérience de réalité virtuelle emmène le public au fond des océans à la rencontre d'une baleine géante, grâce à des casques Oculus Rift diffusant un film de 2 minutes : TheBlu Encounter. Une expérience visuelle et sonore qui donne un bon avant-goût de « The Experience is present », nouvelle section du Champs‑Élysées Film Festival (du 7 au 14 juin 2016) dédiée au film expérimental et aux nouveaux langages visuels dont les Jeudis Arty ont l'honneur d'être le parrain.

2016

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Notes

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CONCERTS ET SOIRÉES

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Retrouvez l’essentiel des sorties sur

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TIMEOUT.FR

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#FollowYourArt

Conception graphique & illustration : Camille Esayan

www.lesjeudisarty.net