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NUMERO 10/273

ISSN1561-8366

PRIX DU NUMÉRO: EUR 3,50

NOVEMBRE 2013

AUDIT CORPORATE SERVICES IFRS www.masinternational.com

Lire l’article en page II (du cahier assurances) Lire l’article en page 29

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«Smart Commerce»: une réalité à anticiper via un support téléphonique mobile permettent une utilisation facile et rapide aux points de vente. Ceci est également le cas pour les paiements en ligne qui peuvent être effectués directement à partir d’un Smartphone.

Par Gaël DENIS (cf. portrait) et Patrice FRITSCH (cf. portrait page 2), EY Luxembourg*

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es nouvelles technologies, l’émergence de l’internet mobile, de la digitalisation et de la géolocalisation ont désormais un impact irréversible sur les offres de paiement. Ces derniers mois ont vu l’apparition d’acteurs qui ne cessent d’imaginer de nouveaux moyens de paiement et qui aspirent à offrir des solutions innovantes aux consommateurs. Les solutions dites de «Smart Commerce» présentent pour les commerçants, de nombreux avantages, notamment grâce à des services complémentaires liés aux services de paiement. Le volume de transactions de ces nouveaux modes de paiement, certes encore très faible par rapport aux canaux traditionnels, affiche néanmoins un taux de croissance élevé. Ainsi, les acteurs clés du paiement, telles que les banques, mènent une réflexion approfondie sur l’évolution de leur rôle, les menaces du «Smart Commerce» mais aussi les opportunités que ces changements peuvent susciter. D’un point de vue réglementaire, ces modifications sont suffisamment conséquentes pour que la Commission européenne propose une révision de la Directive relative aux services de paiement et un règlement sur les commissions interbancaires.

Un ensemble d’évolutions dans l’univers des paiements Les évolutions récentes dans le monde des paiements ont été possibles grâce à l’apparition d’offres technologiques innovantes autant pour les commerçants que pour les utilisateurs. Les paiements

Les commerçants s’intéressent particulièrement à ces outils aussi sécurisés que les autres moyens de paiement, car ils permettent, dans de nombreux cas, une collecte directe des fonds avec des coûts de règlement faibles ainsi qu’une réduction du nombre d’erreurs ; mêmes avantages pour le paiement des factures de la vie courante avec l’utilisation combinée de QR code ou code barre et d’un Smartphone. Les solutions de «Smart Commerce» sont généralement accompagnées de services commerciaux tels que les programmes de fidélisation des clients ou de fonctionnalités d’analyse du comportement des clients. Elles peuvent également inclure la facturation électronique, l’envoi de messages à des clients sélectionnés à l’approche d’un point de vente ou de la comparaison instantanée de prix scannés avec les prix de produits en ligne.

ment des services de «Smart Commerce» au cours des 5 prochaines années. Pour 40% d’entre eux, il faut même s’attendre à ce que le «Smart commerce» devienne un phénomène de masse dans les 24 prochains mois.

Les menaces pour les établissements financiers Cette étude met également en évidence que les acteurs du secteur financier considèrent ces évolutions comme étant de nature à modifier profondément leur rôle dans la chaîne de valeur et dans le développement des relations avec leurs clients. Ainsi, l’on peut noter plusieurs menaces majeures pour l’industrie financière. D’une part, les nouveaux acteurs risquent de jouer le rôle d’intermédiaire dans les paiements. D’autre part, les consommateurs seront vraisemblablement appelés à utiliser de plus en plus fréquemment de nouveaux supports de paiements plutôt que les produits bancaires traditionnels tels que la monnaie fiduciaire, les cartes de paiement ou les cartes de crédit. Cela conduirait à considérer les institutions financières, qui n’offrent pas de nouveaux outils adaptés, comme un «conduit pour le transfert de devises» alors que la valeur ajoutée dans le monde des paiements serait développée par d’autres acteurs nonfinanciers qui en collecteraient également la rémunération. Suite en page 2

L’apparition de nouveaux outils s’explique également par le fait que les nouvelles technologies facilitent l’interopérabilité entre les systèmes de paiement, facteur clé si une multitude d’acteurs est impliquée et les objectifs très différents. Dans ce contexte de changement profond des écosystèmes, EY a conduit une étude qui vient d’être lancée mondialement et qui s’intitule «Smart Commerce – Banks battle for customers at the frontline of digital retail». Cette étude a été réalisée auprès de 41 dirigeants des secteurs financiers et de télécommunications, média et technologie. Elle révèle notamment qu’une majorité des sondés du secteur financier s’attendent à un fort développe-

budgétaire et de baisse des coûts salariaux unitaires. Ces ajustements en termes de liquidité et de flux étant opérés, il s’agit désormais de traiter les stocks d’endettement public et privé hérités de la crise et de regagner des marges de solvabilité.

A

La récession dans la zone euro touche-t-elle à sa fin? La réponse à cette question est oui, mais ceci ne veut pas dire que le processus de sortie de crise est terminé. Après huit trimestres consécutifs de baisse, le volume du PIB de l’ensemble de la zone euro a légèrement augmenté au 2ème trimestre 2013 et cette tendance devrait se poursuivre au cours des trimestres suivants. Pour autant, cette reprise devrait rester très molle et inégale selon les pays. En particulier, cette croissance resterait insuffisante pour réduire les taux de chômage. La zone euro va entamer en 2014 la deuxième phase du processus de sortie de crise. La première a consisté à opérer les ajustements d’urgence qui étaient absolument vitaux dans les pays de la périphérie: assurer le financement des Etats et des banques via le Fonds européen de stabilité financière et la Banque centrale européenne (BCE), éliminer les déficits des balances des paiements courants par des politiques d’austérité

A défaut, comme le montre le précédent du Japon, le risque serait de s’enliser dans une ou plusieurs décennies de croissance zéro. Une première solution, la plus brutale et radicale, serait de réduire les dettes par des défauts unilatéraux de grande ampleur. C’est la voie qu’ont en général emprun tée dans le passé les économies émergentes, que ce soit directement ou indirectement via une forte dépréciation de leur taux de change (qui revient à amputer la valeur de leur dette extérieure en devises étrangères). Cette solution n’est toutefois guère envisageable à grande échelle dans la zone euro, car les dettes en question sont pour l’essentiel internes à la zone, contrairement au cas des pays émergents: ceci aurait des effets de contagion excessivement déstabilisateurs. La zone euro n’a donc guère d’autre choix que d’étaler cet ajustement sur plusieurs années, en combinant plusieurs types de politiques: maintien d’une certaine dose d’austérité dans les pays les plus endettés mais de façon moindre qu’au cours de la période récente, restructurations de certaines dettes en les rééchelonnant ou en les convertissant en fonds propres, et introduction sous certaines

www.agefi.lu

Sommaire t

Economie

Xavier Bettel chargé de former le gouvernement

p.4

Dette publique: la question existentielle est engagée (B. COLMANT, ULB, Université Luxembourg) p.6 La fondation patrimoniale et le mécanisme du «stepp.6 up» (E. LEBAS, F. SCHOLTUS, KPMG) «L’économie numérique est capitale pour la croissance en Europe» (J.-C. JUNCKER, Conseil européen) p.7 La BCE lance un processus d’évaluation complète dans le cadre du mécanisme de surveillance unique des banques (P. GOERGEN, Etude Patrick Goergen) p.8 L’Entrepreneur de l’Année au Luxembourg: le nom des finalistes dévoilés (EY) p.11

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Fonds/Bourse

Un cycle économique haussier modéré, mais long, est de bon augure pour les marchés actions (Invesco) p. 14

Par José Aubourg & Olivier Coekelbergs, EY Luxembourg Lire en page 15

Sortie de récession ne signifie pas sortie de crise l’occasion de la 4ème édition de «La Conférence» organisée le mercredi 6 novembre par Société Générale Private Banking (SGPB), Alexandre Cegarra, directeur des Investissements de SGPB à Luxembourg et Olivier Garnier (cf. portrait), chef économiste du groupe Société Générale, sont intervenus devant un parterre d’une centaine d’invités, sur les perspectives économiques pour 2014. Ces dernières soulèvent trois grandes questions. Rencontre avec Olivier Garnier.

Détail en page 7

conditions de mécanismes supplémentaires de mutualisation entre Etats-membres (comme par exemple la recapitalisation directe de banques viables par le Mécanisme européen de stabilité). La mauvaise nouvelle est que la durée de cette 2ème phase d’ajustement se comptera vraisemblablement en années plutôt qu’en trimestres. La bonne nouvelle est néanmoins que cette tâche est loin d’être insurmontable: n’oublions pas que si l’on considère la zone euro dans son ensemble, le taux d’endettement total public et privé (administrations + ménages + entreprises non financières) y est significativement moins élevé (225% du PIB au 1er trimestre 2013) non seulement qu’au Japon (3907% du PIB) mais aussi qu’aux Etats-Unis (245% du PIB) et au Royaume Uni (260% du PIB). La sortie par la Réserve fédérale américaine de sa politique de quantitative easing («QE3») peutelle se faire en douceur et sans correction excessive des marchés obligataires? Alors qu’elle avait préparé les marchés à un début de réduction du rythme de ses achats d’obligations, la Réserve fédérale américaine a finalement opté pour le statu quo lors de ses réunions de septembre et d’octobre. Suite en page 3

Le Baromètre Mensuel PwC (Indicateur de Confiance Economique) en collaboration avec AGEFI Luxembourg

AXA WF Optimal Income: Une gestion réactive face aux mouvements des marchés (S. PIZEM, AXAIM) p.16 Fonds d’investissement: la stratégie de distribution en question (B. GOLDAK, PwC) p.16 Une question de substance (C. CORNET, UBS Management Company Services) p.17

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Assurance/Pension

Modernisation des régimes de pension complémentaire du 2e pilier (M. HENGEN, ACA) p.23 L'avenir des retraites: Défis de la place luxembourgeoise (J.-P. ANDRÉ-DUMONT, Cardif Lux Vie) p.24 et 25 Les paradigmes de la TVA appliqués aux fonds de pensions: la Cour de justice de l’Union européenne ne bat pas en retraite (M. LAMBION, M. LETALON, EY) p.25 L’Association Luxembourgeoise des Fonds de Pension fête ses 10 ans (A.-C. LUSSIE, Présidente) p.29

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Immobilier

L’immobilier de bureaux luxembourgeois se maintient (V. BECHET, Property Partners) p.30 L’immobilier, un marché qui reprend (R. MULLER, Jones Lang LaSalle)

p.31

Le bail en l’état futur d’achèvement: une pratique née de l’après-crise (M. GERBER-LEMAIRE, OPF Partners) p.32 «L’immobilier luxembourgeois attire toujours autant p.35 les investisseurs» (L. CORREMAN, CBRE) Opportunities in European property (J. DANES, Aberdeen Asset Management)

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p.36

Ressources Humaines

La politique de rémunération: au cœur du développement des entreprises luxembourgeoises (C. SCHARFF, B. Burioni, PwC) p.37 «Les RH doivent devenir un partenaire du business» (B. VAES, R. VERHOOGEN, SAS) p.42 «Les employeurs restent relativement prudents à recruter» (P. GENICOT, ProfilerConsulting) p.42

Moral en baisse malgré l’optimisme européen (Lire la suite en page 5)

Sommaire détaillé en page 2

41, Zone Industrielle, L-8287 Kehlen - Tel: +352 305757 1 - Fax: +352 24611564 - Email: [email protected]

Novembre 2013

2 AGEFI Luxembourg

Suite page UNE

Economie

«Smart Commerce»: une réalité à anticiper (suite) de développer une solution en interne, soit d’utiliser des solutions existantes sur le marché. Ce dernier choix a pour avantage de faciliter l’accès aux nouvelles technologies ainsi que de réduire le temps d’accès au marché, notamment grâce à des systèmes existants robustes et répondant aux critères de sécurité exigés par la loi.

A cette perte de revenus s’ajoute un risque de dégradation de la relation client qui s’orientera progressivement vers d’autres prestataires. Ceci s’était d’ailleurs déjà produit dans les années 90 pour la majeure partie des crédits à la consommation ou les crédits offerts par les constructeurs automobiles.

L’expérience acquise lors des premiers projets met en évidence que les coûts de mise en œuvre sont réduits par rapport à des projets règlementaires actuels, mais engendrent de nombreux impacts organisationnels et opérationnels pour les établissements financiers.

Face à ces menaces, il convient maintenant pour les établissements financiers de prendre les mesures nécessaires pour éviter une nette baisse des revenus et voir les relations privilégiées tissées depuis des décennies avec leurs clients se détériorer.

Les principaux défis et opportunités pour l’industrie financière En réponse aux menaces, les banques ont tout intérêt à prendre part aux développements du «Smart Commerce» et les intégrer dans leur offre clients. Ainsi, en réponse à ce constat, plus de 80% des sondés ont la conviction que les banques peuvent jouer un rôle plus important dans les points de vente et supporter les commerçants dans leurs opérations promotionnelles avec des outils et services appropriés. Ainsi, les établissements vont devoir relever les défis quotidiens s’ils veulent faire évoluer leur «business model». Voici les principaux challenges auxquels les établissements financiers doivent aujourd’hui faire face pour anticiper ce changement: - Ecarter tout «conservatisme» interne et soutenir l’innovation, - Identifier et sélectionner la meilleure solution dans un environnement où la masse critique d’utilisateurs n’est pas encore atteinte et où les acteurs sont nombreux, - S’assurer de la conformité règlementaire de ces nouveaux services tout en assurant la protection des consommateurs et des utilisateurs. Pour la mise en place d’une solution de «Smart Commerce», les deux principales alternatives sont soit

Au-delà de ces défis, le régulateur a redéfini des règles auxquelles les établissements financiers devront se mettre en conformité.

Vers un ensemble de règles communes additionnelles La Directive 2007/64/CE concernant les services de paiement (Payment Services Directive, «PSD» ci-après) qui est entrée en vigueur au 1er Novembre 2009 avait pour objectif d’offrir un cadre juridique visant à accroître la transparence des services de paiement, la compétitivité entre acteurs et la protection des utilisateurs des services de paiement. La PSD a eu un impact positif en augmentant la transparence et les possibilités de comparaison des offres de produits de paiement tout en réduisant les temps d’exécution. Elle a également apporté le fondement légal à la mise en place de la Single European Payment Area, ou «SEPA», tout en définissant de nouveaux acteurs comme les «établissements de paiement». Une étude de 2012 publiée par la Commission Européenne intitulée "Vers un marché européen intégré des paiements par carte, par internet et par téléphone mobile" a mis en lumière de nombreuses ini-

tiatives de lancements de nouveaux acteurs. Cette étude a mené à la conclusion qu'une mise à jour de la législation sur les paiements ainsi que des mesures complémentaires s’imposaient. En conséquence, le 24 juillet 2013, la Commission européenne a proposé une mise à jour de la PSD et un Règlement sur les Commissions Interbancaires (les commissions que les banques se versent l'une à l'autre dans le cadre des systèmes de paiement par carte).

Les deux textes ont pour objectif d’instaurer des règles visant à protéger les clients (utilisateurs et commerçants), à faciliter l’exécution des transactions, à ouvrir les marchés, et à réduire, ou du moins contrôler, les coûts. Ces textes, toujours en discussion à ce jour, devraient être finalisés au premier trimestre 2014. La proposition de révision de la PSD inclut des mesures ayant pour objectif d’étendre le périmètre géographique, y inclus celui des devises, dans le champ d’application, d’introduire plus de règles similaires aux fournisseurs de services de paiement, tout en facilitant l’accès aux nouveaux acteurs. D’autre part, le projet offre un «régime réglementaire allégé» destiné aux petits établissements de paiement tout en s’assurant d’un niveau de protection adéquat. Enfin, de nouvelles règles tendent à faciliter l’interopérabilité et l’accès à l’information pour des intervenants tiers dans les chaînes de paiements. Ceci est un élément important qui aurait un impact conséquent sur les moyens de communication et de protection de l’information à mettre en place pour les banques. Dans ce contexte appelé à évoluer, les Institutions Financières devront développer une offre de service de paiement adéquate et adaptée à la nouvelle clientèle tout en anticipant des changements règlementaires liés à la PSD modifiée et le Règlement sur les Commissions Interbancaires.

stade, seule une faible part des transactions est effectuée via les nouveaux canaux de paiement, mais il est prévisible que le volume augmente avec l’accroissement du nombre d’établissement financiers ou d’acteurs non bancaires, qui proposent de nouvelles solutions. Ceci créera également l’émulation entre les acteurs et les utilisateurs et un accroissement du volume de paiement par Smartphone. Dans ce domaine, il faut noter que le Luxembourg ne se contente pas d’utiliser des solutions déjà largement adoptées à l’étranger. Il a su créer un environnement favorable à l’émergence du «Smart Commerce». Les résultats se font d’ailleurs déjà ressentir. Ainsi, le Luxembourg a déjà enregistré la création d’une dizaine de sociétés spécialisées dans le paiement et la monnaie électronique. L’ensemble de ces initiatives, qu’elles viennent des établissements bancaires ou de nouveaux entrants, sont de nature à dynamiser le marché et à positionner la place luxembourgeoise sur ce nouveau segment. Les défis et opportunités sont donc multiples et complexes dans le monde du «Smart Commerce». Chaque établissement financier peut opter pour des stratégies et des solutions multiples. Cependant, la plupart des acteurs s’accordent à dire qu’il est temps de se réinventer, d’investir dans le développement des services numériques afin de sécuriser les relations clients et les revenus. A l’heure où les banques mènent plutôt des stratégies de rationalisation de leurs activités historiques, le «Smart Commerce» est l’un des domaines où des investissements importants doivent être consentis. Les opportunités sont nombreuses pour se positionner et définir les services de «Smart Commerce» du futur.

* Patrice FRITSCH (cf. portrait), Directeur Associé, EY Luxembourg [email protected]

Le Luxembourg: rampe de lancement? Au Luxembourg, certains acteurs financiers ont d’ores déjà fait preuve d’audace en lançant des solutions en partenariat avec des prestataires tiers spécialisés et reconnus. Le réseau d’équipement des commerçants permettant l’exécution des paiements par Smartphone a également augmenté de manière exponentielle. A ce

Gaël DENIS, Partner, EY Luxembourg [email protected]

L’étude “Smart Commerce – Banks battle for customers at the frontline of digital retail” est disponible sur www.ey.com

SOMMAIRE t

Economie

«Smart Commerce»: une réalité à anticiper (Gaël DENIS, Patrice FRITSCH, EY)

p.1 et 2

Sortie de récession ne signifie pas sortie de crise (Olivier GARNIER, Société Générale) p.1 et 3

Nouveau siège social pour la banque Raiffeisen

p.12

BIL inaugure sa nouvelle succursale à Bruxelles

p.13

t

Les paradigmes de la TVA appliqués aux fonds de pensions: la Cour de justice de l’Union européenne ne bat pas en retraite (Michel LAMBION, Maite LETALON, EY) p.25 Campagne de sensibilisation: "Complétez votre carrière d’assurance pension!" (Mars Di BARTOLOMEO, ministre p.25 de la Sécurité Sociale)

Fonds/Bourse

p.3

Un cycle économique haussier modéré, mais long, est de bon augure pour les marchés actions (John GREENWOOD, Invesco) p. 14

Poursuite de la baisse de l’encaissement des entreprises d’assurances (Victor ROD, Commissariat aux assurances) p.26

Xavier Bettel chargé de former le prochain gouvernement p.4

Recipe for success (Christophe GIRONDEL, Nordea Asset Management) p.14

AXA ouvre une nouvelle agence à Esch-Belval

Private Equity: de vous à moi… 2013, l’année du retournement? (Olivier COEKELBERGS, José AUBOURG, EY) p.15

Channels: A fresh look at the meeting between technology and business (David STAQUET, Stephan SCHMITZ, Jan NORDMAN, FRONT Luxembourg) p.26

China Construction Bank moved to Luxembourg

PIB du 2ème trimestre 2013: +1.6% sur un trimestre, +2.4% sur un an (Publication mensuelle du STATEC sur l'état de p.4 la conjoncture luxembourgeoise) Regain d'optimisme et hausse du budget au Luxembourg (Georges KIOES, Deloitte) p.5 Bilan Compétitivité 2013: "Dix ans de Tableau de bord compétitivité: une évolution en dents de scie" p.5 Dette publique: la question existentielle est engagée (Bruno COLMANT, ULB, Université de Luxembourg) p.6 La fondation patrimoniale et le mécanisme du «step-up» (Emilien LEBAS, Frederic SCHOLTUS, KPMG) p.6 «L’économie numérique est capitale pour la croissance en Europe» (Jean-Claude JUNCKER au Conseil européen) p.7 Projet de plan budgétaire du Grand-Duché de Luxembourg 2013-2014 p.7 Partenariats internationaux: la clé de la réussite (Laurent PROBST, PwC’s Accelerator)

Reprise progressive mais risques externes (Prévisions économiques de l'automne 2013 de la Commission) p.9 p.9

Un plan AAA pour le Luxembourg: Ambition, Anticipation, Assainissement (Chambre de Commerce) p.10 Nouvelles opportunités pour les entreprises luxembourgeoises en Amérique Latine (Chambre de Commerce) p.10 L’Entrepreneur de l’Année au Luxembourg: le nom des finalistes dévoilés (EY) p.11 Le Conseil de la concurrence luxembourgeois et le cartel des producteurs d’aiguillages ferroviaires (PhilippeEmmanuel PARTSCH, Arendt & Medernach) p.11 PwC Luxembourg en pleine confiance

p.15

AXA WF Optimal Income: Une gestion réactive face aux mouvements des marchés (Serge PIZEM, AXA IM) p.16 Fonds d’investissement: la stratégie de distribution en p.16 question (Birgit GOLDAK, PwC) Bourse de Luxembourg: Actions & Obligations p.16 et 18 Une question de substance (Christophe CORNET, UBS Management Company Services) p.17 FundsEvent: an outlook of the Fund Industry at the n°1 event for fund selection professionals p.18 State Street Investor Confidence Index: l’Indice de confiance des investisseurs baisse de 5,6 points en octobre p.18

Le montant des assurances souscrites par voie numérique explose en Europe (Jean-Francois GASC, Accenture) p.27 Gérer les risques liés à la réputation (Ron VERHULSDONCK, ACE)

Perspectives de l’asset management (Philippe DEBATTY,Fuchs & Associés Finance)

p.19

p.27

Une révision indispensable de la loi encadrant les plans de pension (Pierre DOYEN, Association Luxembourgeoise des Fonds de Pension) p.28 et 29 L’Association Luxembourgeoise des Fonds de Pension fête ses 10 ans (Anne-Christine LUSSIE, Présidente) p.29 Les nouveautés en matière d’intermédiation d’assurance en France et en Belgique (Guglielmo de la GRANGE, FARAD International) p.29

Immobilier

Le monde est une véritable jungle (Alexander FRIEDMAN, UBS)

Le marché immobilier luxembourgeois retrouve ses fondamentaux… (DTZ) p.30

AIFMD: Leveraging regulation to boost your fund distribution - Make Europe your new playing field! (Philippe MATÉLIC, Kinetic Partners Management Company) p.21 «2013 has been a record year for the loan market» (Jeff BAKALAR, ING Senior Loan Group)

t

p.22

Assurance/Pension

Modernisation des régimes de pension complémentaire du 2e pilier (Marc HENGEN, ACA) p.23 La pension complémentaire pour expatriés, un métier spécialisé et sur mesure (Serge BONMARIAGE, Integrale) p.23 L'avenir des retraites: Défis et points forts de la place luxembourgeoise (Jean-Paul ANDRÉ-DUMONT, Cardif Lux Vie) p.24 et 25

Logement: des idées pour déloger l’immobilisme (Claudine SPELTZ, Fédération des Femmes Cheffes d’Entreprise du Luxembourg) p.36 Crédit immobilier au Luxembourg: Une politique plus restrictive en matière d’octroi de crédits logements? (IMMOTOP.LU) p.36 Opportunities in European property (John DANES, Aberdeen Asset Management)

p.36

Ressources Humaines

La politique de rémunération: au cœur du développement des entreprises luxembourgeoises (Christian SCHARFF, Bénédicte Burioni, PwC) p.37 Dégâts au véhicule de fonction: Auteur = payeur? (Guy CASTEGNARO, Ariane CLAVERIE, CASTEGNARO) p.38 Investir dans les Ressources Humaines en temps de crise, mission impossible? (Bart COONE, Securex) p.38 Recrutement: maîtriser les coûts et les erreurs de casting (Jérôme PITTIE, ZiDCard) p.38

Formation en coaching (S. REITER, CRP Henri Tudor) p.39 L’immobilier de bureaux luxembourgeois se maintient (Vincent BECHET, Property Partners) p.30

p.20

Pose de la première pierre du projet de construction de BNP Paribas à Luxembourg-Kirchberg p.35

Vers une meilleure protection des droits des travailleurs détachés (Nicolas SCHMIT et Mars Di BARTOLOMEO au Conseil EPSCO) p.39

Smart bêta: le nouveau passif? (Amélie GUITTET-GARREAU, Deutsche Asset & Wealth Management) p.19

p.12

EY Luxembourg augmente son chiffre d’affaires de 12% en 2013 p.12

t

Les espaces de travail flexibles fleurissent au Luxembourg (William WILLEMS, Regus) p.35

t

Situation des OPC et fonds d’investissement (CSSF) p.18 p.8

La BCE lance un processus d’évaluation complète dans le cadre du mécanisme de surveillance unique des banques (Patrick GOERGEN, Philippe LACOURT, Etude p.8 Patrick Goergen)

Qui pour surveiller les banques? (Enquête Eurobaromètre)

BIP lance son OPRA

p.26

«L’immobilier luxembourgeois attire toujours autant les investisseurs» (Laurent CORREMAN, CBRE) p.35

«Le secteur de la banque reste formidablement innovant pour l’emploi» (Stéphane DARIMONT, Banking Boulevard) p.40 Quelle éducation financière à l’école pour les luxembourgeois? (ING International Survey) p.40

L’immobilier, un marché qui reprend (Romain MULLER, Jones Lang LaSalle)

p.31

Le 65ème FIABCI World Congress au Luxembourg!

p.31

From product-based to personnel-driven: How AIFMD will shape the evolution of Luxembourg (Christopher PURDY, Greenfield) p.41

Le bail en l’état futur d’achèvement: une pratique née de l’après-crise (Martine GERBER-LEMAIRE, OPF Partners) p.32

L’emploi progresse, mais le taux de chômage aussi ... (Rapport «Travail et Cohésion sociale» du STATEC) p.41

L’immobilier d’entreprise ne connaît plus la crise (Michael CHIDIAC, RealCorp)

p.32

Sustainability: risk and performance measurement (Laurent ROUACH, Philip MAUEL, PwC) p.34 Luxembourg: comment l’immobilier d’affaires résiste à la p.34 crise (Ikogest) Investir dans l’immobilier? Optez pour l’immobilier coté p.34 en Europe (Petercam)

«Les RH doivent devenir un partenaire du business» (Baudouin VAES, Raf VERHOOGEN, SAS) p.42 Viser les RH en 2014 (J.-M. RANDOUR, alit’RH)

p.42

«Les employeurs restent relativement prudents à recrup.42 ter» (Philippe GENICOT, ProfilerConsulting) Recrutement: Aujourd’hui, cv et médias sociaux deviennent indissociables (Marc VANDELEENE, Manpower) p.43 Nominations

p.43