Recherche sur la sécheresse dans la Prairie canadienne

eux-mêmes, qui n'arrivent plus à joindre les deux bouts. D'autres difficultés surgissent, notamment liées à l'énergie. Pour exporter le blé des. Prairies vers l'Asie, ...
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FICHE

6.13

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Recherche sur la sécheresse dans la Prairie canadienne – 3

DOSSIER 6 SA 4

Témoignage d’une représentante de la Commission canadienne du blé

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Le témoignage ci-dessous sera présenté au groupe de chercheurs qui étudie le phénomène de la sécheresse dans la Prairie canadienne. À l’aide du manuel (p. 292-300), complétez ce témoignage. Je travaille à la Commission canadienne du blé. Nos bureaux sont situés à Winnipeg, au .

D’autres difficultés surgissent, notamment liées à l’énergie. Pour exporter le blé des Prairies vers l’Asie, il faut l’acheminer jusqu’aux ports de et de . Cela représente de longs trajets, et les coûts du augmentent sans cesse. Les agriculteurs se plaignent que leurs revenus . Le gouvernement a beaucoup investi dans la modernisation des à grande capacité et dans les systèmes d’irrigation. Mais il a réduit son aide au secteur du transport. Notre problème est le suivant : comment augmenter la tout en prévenant la des sols dans les Prairies, et en préservant l’ qui est si rare ?

2

6-16

Formulez deux questions que ce représentant du milieu agricole pourrait soumettre à l’équipe de chercheurs.

TERRITOIRES – GUIDE D’ENSEIGNEMENT 2 – 1ER CYCLE DU SECONDAIRE

© ERPI – Reproduction autorisée

La dernière grande sécheresse a placé l’économie canadienne du blé dans une situation précaire. D’une part, on assiste à une importante de la demande de céréales du côté de l’Asie : des pays comme la et le Japon représentent tout un marché pour notre pays! Que se passera-t-il si les conditions climatiques vont en se dégradant et que le ne peut pas répondre à la demande? En raison de la du commerce, il y a une forte concurrence entre les pays. Les agriculteurs sont forcés d’accroître leur pour rester dans la course. Devant cette situation, nous subissons à la fois la pression des écologistes, qui craignent la surexploitation des terres, et celle des eux-mêmes, qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts.