Halbjahresergebnis 2006

tudes qui pèsent sur le cadre politique et législatif en matière de production électrique, FMB – et sans doute aussi la société et notre économie - ne peut pas se ...
333KB taille 4 téléchargements 260 vues
Excercice 2007

Seul le discours prononcé fait foi

Exploiter toutes les ressources pour garantir la sécurité d’approvisionnement

Exposé de Monsieur Kurt Rohrbach, président de la direction d’entreprise

Madame, Monsieur, J’ai le plaisir de vous accueillir à la conférence de presse annuelle de BKW FMB Energie SA (FMB). Je commencerai par commenter brièvement les résultats et les principales activités de FMB au cours de l’exercice 2007, puis je traiterai quelques thèmes spécifiques. Je laisserai ensuite la parole à Monsieur Hermann Ineichen, chef du secteur d’activité Énergie, qui vous vous décrira en détail les événements majeurs dans ce domaine et les projets de développement de la production. Monsieur Christian Sahli, chef Finances et Controlling du groupe FMB, passera en revue les aspects financiers du résultat. Nous nous tiendrons ensuite à votre enti ère disposition pour répondre à aux questions.

Vue d’ensemble de l’exercice 2007 L’année écoulée a été caractérisée par une importante dynamique. La mission visant à fournir suffisamment d’énergie à l’avenir et les préparatifs pour répondre à la nouvelle réglementation liée à l’ouverture du marché étaient au centre de cette dynamique. Mais des incertitudes su bsistent en ce qui concerne les conditions-cadres, d’où la nécessité d’opérer sur un large front.

2

Pour garantir la sécurité d’approvisionnement de demain, FMB entend augmenter ses capacités de production. Cette nécessité a conduit au lancement et à la mise en œuvre d’un grand nombre de projets parallèles exigeant des ressources ad hoc. Viennent s’y ajouter des activ ités liées à l’ouverture du marché de l’électricité, telles que le renforcement de la présence de FMB sur le marché en dehors de sa zone d’approvisionnement traditionnelle. Sur le plan p urement financier, ces activités ont neutralisé une part de l’évolution positive de la marge des activités liées à l’électricité.

Le résultat 2007 du groupe FMB est marqué par une forte augmentation du chiffre d’affaires, soit 19 %, ou 441 millions de CHF, pour s’établir à 2 814 milliards de CHF. Cette croissance reflète la position de FMB sur le marché. Au premier abord, le résultat d ’exploitation avant dépréciations et amortissements, qui s’inscrit en repli de 28 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 436 millions de CHF, peut sembler étonnant. Mais en regardant de plus près, il s’avère que ce chiffre se situe au même niveau que le résultat ajusté de l’année précédente (441 millions de CHF). Le critère d’évaluation qui prime pour FMB est le résultat d’exploitation, c’est-à-dire l’EBIDTA corrigé. Comparé à l’année précédente, ce dernier se présente comme relativement stable, même s’il est en repli de 5,3 millions de CHF, puisque cela ne correspond qu’à une très légère baisse de 1 %. Cette stagnation du résultat s’explique principalement par un hiver étonnamment doux et un été plutôt frais. Les températures ont fait baisser la demande et fait pression sur les prix du marché international.

Nous n’avons pratiquement aucune influence sur l’évolution défavorable des actions détenues par le Fonds pour la désaffectation d’installations nucléaires et par le Fonds de gestion des déchets radioactifs. L’évolution défavorable des marchés financiers ainsi que des amortissements importants ont entraîné un fort recul du résultat financier. Au total, il en résulte un bénéfice de 245 millions de CHF, en repli de 13 %, soit 38 millions de CHF, par rapport à celui de l’année précédente. Le résultat est donc inférieur aux attentes.

Monsieur Hermann Ineichen vous fournira de plus amples informations sur les activités liées à l’énergie et Monsieur Christian Sahli sur les résultats financiers. Je v ais à présent passer à la stratégie FMB et à l’évolution de certaines conditions-cadres.

3

Mise en œuvre de la stratégie En 2007, le renforcement prévu des capacités de production, qui joue un rôle central pour le développement du groupe, est resté au cœur de la stratégie de FMB et. Étant donné les incertitudes qui pèsent sur le cadre politique et législatif en matière de production électrique, FMB – et sans doute aussi la société et notre économie - ne peut pas se permettre de privilégier quelques agents énergétiques au détriment d’autres. Il s’agit donc de couvrir un large éventail de production, même si cela est synonyme d’efforts considérables. Des investissements préal ables sont incontournables si nous voulons à l’avenir disposer d’un portefeuille énergé tique diversifié.

Ce n’est pas un hasard si la stratégie de FMB, qui repose sur l’efficacité énergétique, les no uvelles énergies renouvelables et les grandes centrales, va dans la même direction que la polit ique énergétique du Conseil fédéral.

L’efficacité énergétique Contrairement à ce que l’on prétend, l’utilisation rationnelle de l’énergie n’est pas du tout en contradiction avec les intérêts d’une entreprise de distribution d’énergie, mais peut même lui permettre – surtout sur un marché libéralisé – de disposer d’avantages compétitifs. Seul un monopoliste peut se permettre de l’ignorer et de ne pas se positionner dans ce domaine. Mais la tâche de FMB n’est certainement pas d’édicter des directives ou d’agir par le biais d’obligations ou d’interdits. Le rôle de FMB consiste bien plus à fournir à ses clients des conseils en leur proposant des mesures adaptées et réalisables, à épauler ses pa rtenaires pour des projets dans le domaine de l’efficacité énergétique et à lancer ses propres projets, comme elle le fait actuellement avec son offre spéciale « Gros électroménager ».

On oublie parfois dans tous ces débats que la majeure partie des efforts consentis en matière d’efficacité ne vise pas en premier lieu la consommation d’électricité, mais la réduction d e la consommation énergétique globale à l’échelle de toute la Suisse. Les trois quarts des besoins sont couverts par des sources énergétiques fossiles. Si on remplace ces dernières pour tenir compte des impératifs en matière de politique climatique, la consommation en électricité va

4

augmenter

légèrement.

Cette

hausse

n’a

pas

de

conséquences

négatives

pour

l’environnement, puisqu’elle contribue à réduire les émissions de CO 2 en Suisse. La réduction de ces émissions est également au centre de la nouvelle stratégie énergétique de l’ETH Zurich. Et l’électricité doit y apporter sa contribution. Pour l’ETHZ, une politique énergétique durable repose, en plus de l’efficacité énergétique et des nouvelles énergies renouvelables, sur une plus grande part d’électricité neutre en CO2 dans le bouquet énergétique. Son postulat n’est donc pas la « société à 2 000 watts » mais la « société à une tonne de CO2 ».

Les nouvelles énergies renouvelables Outre la force hydraulique, qui est aussi une source renouvelable, FMB a pris, il y a quinze ans déjà, des mesures permettant d’exploiter et de promouvoir les technologies dans le domaine des énergies renouvelables. Elle a misé sur le libre choix des consommateurs et proposé du courant solaire et éolien non subventionné au prix de revient, donc à un prix relativement élevé. Étant donné la demande croissante en éco-courant, FMB a successivement procédé à l’extension de ses installations de production.

FMB salue la décision du législateur suisse d’exploiter le potentiel des énergies r enouvelables et d’édicter la réglementation correspondante. Ce dernier préconise que, jusqu’en 2030, la Suisse devra couvrir environ 10 % de la consommation d’électricité actuelle, soit 5,4 térawattheures, par le biais des énergies renouvelables. D’une part, le législateur pose une exigence claire et d’autre part, il signalise qu’un tel changement ne se fait pas en un jour et que l’objectif visé ne pourra être atteint sur la base du libre choix. FMB mettra tout en œuvre pour atteindre cet objectif et entend même dépasser son quota.

Pour procéder à des investissements ciblés en faveur des nouvelles énergies renouvelables, FMB a fondé une filiale l’année passée, sol-E Suisse SA. Cette dernière permettra à FMB d’investir, d’ici à 2011, plus de 250 millions de CHF dans le domaine de la minihydraulique, du solaire, de l’éolien, de la biomasse, de la géothermie et des réseaux chaleur. À moyen terme, FMB compte procéder à des investissements d’environ un milliard de CHF dans les nouvelles énergies renouvelables. Si ces projets sont enthousiasmants, il ne faut pas sous-estimer que,

5

tout comme pour les technologies conventionnelles, les oppositions et les procédures sont a utant de freins au développement de cette filière. Nous sommes donc impatients de mettre en œuvre les mesures du nouveau plan d’action « énergies renouvelables » du Conseil fédéral, destiné à simplifier les procédures et à réduire les obstacles juridiques et administratifs.

En ce qui concerne les 5,4 térawattheures préconisés dans la loi sur l’approvisionnement en énergie, la Suisse ne pourra pas produire suffisamment d’électricité provenant de sources r enouvelables d’ici à 2030 pour pouvoir renoncer aux centrales à haut rendement. Certes, FMB s’engage pour garantir l’approvisionnement de la Suisse grâce à des investissements à l’étranger, mais importer du courant ne résout pas le problème à long terme. Les installations de production à l’étranger peuvent, comme c’est déjà le cas aujourd’hui, apporter une contrib ution importante, mais elles ne peuvent en aucun cas remplacer des installations suisses.

Centrales à haut rendement La Suisse ne peut pas assurer l’autonomie de sa production sans avoir recours à des grandes centrales. En effet, celles-ci présentent les meilleurs résultats en matière d’efficacité énergétique. Lors de la construction de nouvelles installations, FMB utilise les technologies les plus modernes. L’énergie hydraulique suisse, qui assure aujourd’hui une grande partie de la production nationale d’électricité, est peu susceptible de connaître des évolutions technologiques importantes à l’avenir et ne recèle donc qu’un potentiel limité. De plus, il n’est pas envisageable de créer de nouveaux sites destinés à la production de ce type d’énergie. À cela viennent s’ajouter des interventions extérieures, comme l’initiative « Eaux vivantes », qui remettent en question l’exploitation optimale de l’énergie hydraulique, et les renouvellements de concessions avec de nouvelles directives portant sur les débits résiduels, qui entraînent des pertes im portantes au niveau du rendement. C’est pourquoi nous devons nous estimer satisfaits si nous parvenons à conserver les potentiels existants à plus long terme. Certaines associations de d éfense de l’environnement jouent avec le feu, ou devrais-je plutôt dire ici, avec l’eau. Je comprends tout à fait que l’on puisse avoir des priorités différentes et que l’on puisse accorder plus d’importance à la protection des cours d’eau. Mais l’on ne peut alors pas exiger que, dans le même temps, la production d’énergie hydraulique augmente de 6 % !

6

L’une des installations clés de FMB est la centrale nucléaire de Mühleberg (CNM) qui fournit de manière fiable une partie importante de la production d’électricité suisse. Dans le domaine de l’énergie nucléaire, de nouvelles avancées techniques sont constamment réalisées. Les installations existantes ayant été rééquipées de façon continue afin de répondre aux nouvelles ex igences, elles doivent rester en service aussi longtemps qu’elles sont sûres et rentables. Ceci est aussi valable pour la centrale nucléaire de Mühleberg. Début février de cette année, le Tr ibunal fédéral a créé les conditions préalables pour que la CNM puisse bientôt être traitée de la même façon que toutes les autres centrales nucléaires suisses. La CNM jouant un rôle décisif dans l’approvisionnement du nord-ouest de la Suisse, nous sommes convaincus que les autorités compétentes sauront entreprendre sans tarder les démarches nécessaires.

Au vu de la longueur des procédures, FMB a déjà commencé à planifier le remplacement de la CNM. Afin de mener à bien ce projet, elle a créé une société de planification en collaboration avec la société partenaire Axpo. Nous espérons qu’Atel se joindra bientôt à cette association. La procédure de construction d’une centrale nucléaire prenant une vingtaine d’années dans notre pays, il ne nous reste plus beaucoup de temps si l’on veut mettre en place en Suisse des structures de production destinées à relayer les centrales nucléaires existantes et les import ations d’énergie en provenance de la France.

Des centrales combinées à gaz seraient nécessaires pour assurer le relais en atte ndant la mise en service des nouvelles centrales nucléaires. En effet, seules des centrales de ce type nous permettaient de satisfaire la demande en énergie de base et de produire la charge moyenne nécessaire sur le court terme. Or, les conditions-cadres actuelles rendent impossible la réalisation d’un tel projet. FMB comprend tout à fait la nécessité d’établir des mesures visant à réduire les émissions de CO2 et est disposée à payer pour ces émissions, tout comme le reste de la branche l’est certainement. En revanche, il est inacceptable que les distributeurs suisses se trouvent désavantagés par rapport à leurs concurrents de l’Union européenne parce q u’ils ne bénéficient pas des mêmes conditions-cadres. Il est souhaitable que la Suisse soit intégrée dès maintenant au système européen d’échange de droits d’émission. En effet, il n’est à l’heure a ctuelle pas possible d’exploiter de façon rentable de telles installations en Suisse compte tenu des conditions particulières que notre pays est tenu de respecter, comme le fait que 70 % des compensations doivent être effectuées au niveau national. Les distributeurs d’énergie qui sou-

7

haitent investir en Suisse pour la sécurité d’approvisionnement se voient contraints d’investir en dehors des frontières pour ne pas alourdir le bilan CO 2 de notre pays - une politique pour le moins hypocrite. En plus d’aspects d’ordre moral, des considérations matérielles et technique s nous font nous prononcer en faveur de la construction de capacités de production en Suisse. Hermann Ineichen évoquera à ce sujet le projet de centrale combinée à gaz à Utzenstorf.

Libéralisation Les jalons pour la mise en œuvre de la libéralisation du marché de l’électricité sont enfin posés. Contrairement à l’Allemagne et aux autres pays de l’Union européenne où l’ouverture du ma rché a coïncidé avec une offre excédentaire dans le domaine de l’énergie et donc, avec une baisse des prix, la Suisse a des difficultés à répondre à la demande face à la hausse de prix à l’international. Ceci rend la libéralisation plus dure à accepter pour l’opinion publique. Certains acteurs économiques et politiques, qui tablaient auparavant sur une baisse des prix, s’inquiètent des conséquences de l’ouverture du marché et réclament désormais de l’électricité à prix coûtant. Ce changement d’attitude est regrettable car il pourrait annuler à nouveau la dynamique créée par l’ouverture du marché. Si l’ouverture du marché devait réellement représenter un défi, il faut agir de façon conséquente.

Renforcement des activités à l’étranger Outre ses activités en Suisse, FMB renforce également sa présence sur les marchés étrangers, comme en Italie et en Allemagne, son objectif étant de privilégier un mix énergétique aussi diversifié que possible. Les types de production, qui varient selon les marchés, représentent en effet un avantage stratégique important pour FMB.

La centrale de Livorno Ferraris en Italie devrait être prochainement mise en service ; le projet de centrale en Allemagne est quand à lui un peu moins avancé. Comme lors de toute entrée sur un nouveau marché, FMB a procédé à l’évaluation de différents projets et a engagé des discussions avec différents partenaires. J’ai déjà évoqué l’importance des coûts engendrés par une telle démarche.

8

Pour garantir la rentabilité, l’entreprise entre maintenant comme prévu dans une nouvelle phase consistant à se concentrer sur des projets réalisables à plus court terme. C’est donc dans ce tte optique que FMB a pris une participation minoritaire dans une centrale à charbon à Wilhelmshaven et développé un projet de centrale à charbon à Dörpen en Basse-Saxe. Dans le cadre de ce projet, et conformément à ce qui a été annoncé, FMB est à la recherche de partenaires afin de diminuer sa participation et de répartir différemment les responsabilités. Après études, FMB a renoncé à certains projets - par exemple celui de Nordenham - et a décidé de vendre ses droits relatifs au projet de centrale combinée à gaz à Bocholt afin de restructurer de manière optimale son portefeuille de projets en Allemagne.

Comme tous les projets de grande envergure, la construction prévue d’une centrale à charbon à Dörpen suscite l’intérêt de l’opinion publique. Depuis le début, FMB fournit un important travail d’information et bénéficie du soutien des autorités compétentes ; le parlement régional, le Kreistag de l’Emsland, a encouragé FMB à poursuivre dans cette voie dans le cadre d’une r ésolution. En revanche, une initiative citoyenne s’oppose à la construction de la centrale. À Dörpen comme ailleurs, il s’agit pour FMB et ses actionnaires de trouver le juste équilibre entre d éveloppement durable, sécurité d’approvisionnement et rentabilité. La population, les autorités ainsi que les acteurs économiques de l’Emsland mettent de grands espoirs dans ce projet. La présence de la plus grand usine de papeterie d’Europe près du site d’implantation de la centr ale crée des conditions particulièrement propices pour l’exploitation du c ouplage chaleur-force, ce qui serait un avantage au niveau écologique et une plus-value indéniable pour le site industriel de Dörpen. La construction de cette centrale permettrait en outre de remplacer des install ations plus anciennes dont les émissions de CO2 sont plus élevées de 30 %. Le processus de décision est encore en cours en Allemagne.

On ne peut donc pas encore considérer ce projet comme une affaire classée. FMB entreprend actuellement les démarches nécessaires en vue de créer une nouvelle sociét é responsable. Il suffit de connaître un tant soit peu la stratégie de FMB pour savoir que celle -ci n’a nullement comme objectif de devenir un actionnaire majoritaire de la centrale de Dörpen. En réduisant sa participation au projet, FMB rejoint la position du Canton de Berne, son actionnaire majoritaire, qui ne s’est pas prononcé en faveur de ce projet. Il a toutefois précisé qu’il ne souhaitait pas s’immiscer dans les activités d’exploitation de notre entreprise. FMB doit donc trouver un

9

moyen de concilier le fait que la réalisation de ce projet lui tienne à cœur avec sa responsabilité auprès des autorités, de la population de l’Emsland et de ses partenaires tout en conservant sa position et sa notoriété sur le marché. Dans un tel contexte, nous ne pouvons nous permettre d’agir à la va-vite ; conscients de nos responsabilités, nous voulons procéder par étapes successives et de manière réfléchie. Il en va de la crédibilité de l’entreprise et d’enjeux financiers importants.

Réorganisation Comme je l’ai déjà dit, les activités de FMB à l’étranger jouent ainsi un rôle décisif, notamment au niveau de la satisfaction de la demande nationale. Dans le modèle d’intégration ve rticale de FMB, le négoce revêt une grande importance stratégique. C’est dans ce contexte q ue notre entreprise a procédé à une réorganisation de sa structure. Ainsi, comme vous avez déjà pu le lire, le secteur d’activité « Énergie » a été divisé en deux domaines : « Énergie Suisse », dirigé par Hermann Ineichen - jusque-là chef Énergie - et « Énergie et Commerce international », placé sous la direction de Samuel Leupold, jusque-là chef Production. FMB comprend désormais cinq secteurs d’activité (contre quatre auparavant) et donc, cinq membres de la direction d’entreprise.

Perspectives Le groupe FMB entend consolider sa position de leader sur le marché pour l’exercice en cours et vise une légère augmentation de son chiffre d’affaires. Même si les ventes d’énergie d evraient connaître une évolution positive, les projets stratégiques auront de nouvea u un impact sur l’EBITDA, qui devrait ainsi rester au même niveau qu’en 2007. Si les marchés financiers parviennent à se rétablir d’ici la fin de l’année, nous pouvons tabler sur un bénéfice net équ ivalent à celui de l’exercice précédent.