Fédération des médecins omnipraticiens du Québec
Sondage sur la perception qu'ont les médecins omnipraticiens de l'euthanasie
Octobre 2009
1. Dans quelle langue désirez-vous répondre ? % Français
95,5%
Anglais
4,5%
Total réponses 1 037 49
nb de répondants
1 086
2. Sexe : % Femme
46,6%
Homme
53,4%
Total réponses 506 580
nb de répondants
1 086
3. Profil de pratique (vous pouvez cocher plusieurs cases) : %
Total réponses
Cabinet - CLSC - UMF
78,9%
857
Établissement de soins de courte durée
40,2%
439
Établissement de soins de longue durée
18,9%
205
6,9% Autre nb de répondants uniques
75 1 086
4. Groupe d’âge : %
Total réponses
35 ans et -
12,7%
138
36 à 45 ans
19,1%
207
46 à 55 ans
36,2%
393
56 à 65 ans
25,5%
277
+ de 65 ans
6,5%
71
nb de répondants
1 086
1 de 4
5. Dans ma pratique médicale, je suis confronté à des enjeux éthiques ou déontologiques concernant les soins appropriés à offrir à mes patients : * Total Sans objet Jamais Rarement Parfois Souvent réponses
a) en début de vie (ex. grands prématurés).
27,0% (277) 58,7% (602)
b) tout au long de la vie (ex. maladies chroniques).
2,8% (30)
c) dans des circonstances particulières (ex. réanimation ou traumatismes importants).
2,8% (30)
11,4% (119) 28,8% (300)
d) en fin de vie (ex. soins de longue durée ou soins palliatifs).
3,5% (38)
7,5% (81)
8,1% (84)
5,7% (58)
0,5% (5)
1 026
11,0% (117)
34,2% (365)
49,2% (526)
1 068
23,1% (240)
22,6% (236)
14,1% (147)
1 042
10,4% (112)
27,3% (294)
51,3% (552)
1 077
* On accepte qu'un répondant n'ait pas répondu à toutes les sous-questions
6. L’encadrement juridique et professionnel au Québec et au Canada régissant à l’heure actuelle les pratiques médicales par rapport aux soins à offrir aux patients confrontés à une dégénérescence importante ou dont la mort est imminente est approprié. % Tout à fait en désaccord
Total réponses
17,6%
191
Plutôt en désaccord
42,9%
466
Plutôt d'accord
29,7%
322
Tout à fait d'accord
9,8%
107
nb de répondants
1 086
7. L’euthanasie, définie par le Sénat canadien comme un « acte qui consiste à provoquer intentionnellement la mort d’autrui pour mettre fin à ses souffrances » et par Le Petit Robert comme un « usage de procédés qui permettent d’anticiper ou de provoquer la mort, pour abréger l’agonie d’un malade incurable, ou lui épargner des souffrances extrêmes » devrait être considérée comme une étape ultime de soins admise dans la pratique médicale au Québec et au Canada. %
Total réponses
Tout à fait en désaccord
13,0%
141
Plutôt en désaccord
12,3%
134
Plutôt d'accord
33,7%
366
Tout à fait d'accord
41,0%
nb de répondants
445 1 086
2 de 4
8. L’euthanasie, sous diverses formes et de façon indirecte, est actuellement pratiquée au Québec. %
Total réponses
Tout à fait en désaccord
12,4%
135
Plutôt en désaccord
34,9%
379
Plutôt d'accord
39,2%
426
Tout à fait d'accord
13,5%
146
nb de répondants
1 086
9. L’article 58 du Code de déontologie des médecins précise que « le médecin doit agir de telle sorte que le décès d’un patient qui lui paraît inévitable survienne dans la dignité. Il doit assurer à ce patient le soutien et le soulagement appropriés ». L’euthanasie devrait, à l’avenir, pouvoir être envisagée par un médecin comme moyen de remplir son devoir déontologique, conformément à l’article 58. %
Total réponses
Tout à fait en désaccord
13,3%
145
Plutôt en désaccord
13,2%
143
Plutôt d'accord
31,6%
343
Tout à fait d'accord
41,9%
455
nb de répondants
1 086
10. De nouvelles balises réglementaires et législatives devraient être adoptées afin de clarifier la notion de soins appropriés à offrir aux patients en début de vie, tout au long de la vie et en fin de vie. %
Total réponses
Tout à fait en désaccord
5,7%
62
Plutôt en désaccord
5,8%
63
Plutôt d'accord
29,5%
320
Tout à fait d'accord
59,0%
641
nb de répondants
1 086
11. De nouvelles balises réglementaires et législatives devraient être adoptées afin de permettre le recours à l’euthanasie. %
Total réponses
Tout à fait en désaccord
13,5%
146
Plutôt en désaccord
12,4%
135
Plutôt d'accord
27,6%
300
Tout à fait d'accord
46,5%
505
nb de répondants
1 086
3 de 4
12. La décision d’avoir recours à l’euthanasie devrait toujours se prendre dans un cadre clairement défini, notamment selon la volonté clairement exprimée du patient (ou des proches en cas d'incapacité du malade), du médecin traitant et d’un tiers (autre médecin).
%
Total réponses
Tout à fait en désaccord
8,5%
Plutôt en désaccord
4,2%
92 46
Plutôt d'accord
21,9%
238
Tout à fait d'accord
65,4%
710
nb de répondants
1 086
13. Si de nouvelles balises réglementaires et législatives permettant le recours à l’euthanasie étaient adoptées, je serais prêt à y avoir recours dans ma pratique médicale. %
Total réponses
Tout à fait en désaccord
15,9%
173
Plutôt en désaccord
12,8%
139
Plutôt d'accord
32,4%
352
Tout à fait d'accord
38,9%
nb de répondants
422 1 086
4 de 4