la métamorphose d'un territoire… les animations de fin d'année ... - EDF

de l'année 2017. 12,79 milliards de kWh. Échelle INES (International Nuclear Event Scale). Le saviez-vous ? La centrale de Belleville, partenaire de la 22ème ..... NIVEAU D'EXPOSITION AU RAYONNEMENT GAMMA AMBIANT indice d'activité bêta globale (μSievert/h). 4. < 8,8. < 13,7. 880. 570. 0,208. < 0,22. Valeur.
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Novembre 2017

N°234

LA LETTRE D'INFORMATION

Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire EN DIRECT DU SITE

Le saviez-vous ?

La centrale de Belleville, partenaire de la 22ème édition du festival des Avant-premières de Cosne-sur-Loire Pour la 22e année consécutive, la centrale EDF de Belleville-sur-Loire, partenaire historique de l’association Trait d’Union 58, s'est associée au festival des Avant-premières de Cosne-sur-Loire. Un week-end placé sous le signe du 7e Art qui a réuni nombre d'amateurs de salles obscures mais également quelques personnalités du petit et du grand écran.

SÛRETÉ - ENVIRONNEMENT

Le jury public et le jury de professionnels réunis ont été unanimes pour donner leur préférence au dernier film d'Yvan ATTAL "Le Brio", avec Camélia JORDANA et Daniel AUTEUIL entre autres.

• En juin 2016, lors d’un contrôle sur des supports de tuyauterie de l’unité de production n°1, une cheville manquante est constatée. Aucune demande d’intervention n’est émise et cet écart n’est pas traité en 2016. En 2017, l’ordre d’intervention est analysé et la remise en place de la cheville est effectuée. Suite à ce dysfonctionnement, une vérification de tous les dossiers sur les supportages met en évidence 2 anomalies similaires, non traitées en temps réel. Des dispositions sont prises pour remettre immédiatement en conformité l’installation. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 03/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 05/10/2017, les opérations dans le cadre du redémarrage de l’unité de production n°1 se poursuivent. Des appoints d’eau réalisés sur les générateurs de vapeur entraînent une baisse de température du circuit primaire. Dans ce contexte, un défaut de positionnement des grappes de commande* est alors identifié par les équipes d’EDF. Immédiatement, une intervention est engagée et la situation redevient conforme aux procédures d’exploitation. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 06/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. *Les grappes de commande, insérées plus ou moins profondément dans le cœur du réacteur, permettent de réguler la puissance fournie ou d’arrêter complètement le réacteur.

• Le 06/10/2017, les équipes de la centrale nucléaire de Bellevillesur-Loire ont procédé au repli de l’unité de production n°1, en toute sûreté et conformément aux procédures d’exploitation. Suite à la détection du dysfonctionnement sur un échangeur qui permet le refroidissement de la bâche d’alimentation de secours des générateurs de vapeur, un dépassement de température a été constaté. Les dispositions mises en œuvre ont permis la remise en conformité du système et le repli de l’unité de production n°1 a été stoppé. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 12/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • La turbine à combustion (TAC) est indisponible depuis le 14/09/2017. Les règles d’exploitation fixent un délai de réparation du matériel défaillant. Le site de Belleville-sur-Loire a obtenu un accord pour prolonger cette indisponibilité. La mesure préconisée dans le cadre de la prolongation est la mise en place d’une Unité Mobile Electrogène (UME) de substitution. Le 04/10/2017, pendant la réalisation de l’essai de fonctionnement hebdomadaire sur l’UME, le service maintenance détecte la présence d’une alarme apparue le 29/09/2017. Cette alarme rend indisponible un des six groupes électrogènes de l’UME mais ne remet pas en cause sa capacité de remplir sa fonction de substitution de la TAC. La détection tardive du défaut sur le groupe électrogène constitue l’écart. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 19/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 10/10/2017, une alarme apparaît en salle de commande de l’unité de production n°1. Rapidement, les équipes d’EDF mettent en évidence la mauvaise mise en configuration de vannes sur un des moteurs diesels pour une opération de maintenance. Cette anomalie a entraîné l’indisponibilité du moteur concerné pendant quelques minutes. Suite au diagnostic, les techniciens remettent immédiatement l’installation en conformité et la disponibilité du diesel est retrouvée. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 13/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 09/10/2017, un agent EDF du Service Prévention des Risques constate une incohérence de balisage entre les 2 portes d’accès du sas de stockage des déchets dans le Bâtiment des Auxiliaires Nucléaire de l’unité de production n°2. Rapidement, il corrige le balisage requis en raison du débit d’équivalent de dose mesuré dans le sas. Peu de temps après, un technicien radioprotection

met en place l’affichage définitif correspondant au classement préventif de la zone en phase d’arrêt de tranche. Le 13/10/2017, cet événement significatif radioprotection est déclaré à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 12/10/2017, une alarme apparaît en salle de commande de l’unité de production n°1 qui poursuit ses contrôles dans le cadre de son redémarrage. L’expertise réalisée par le Service Automatisme Électricité conclut à un défaut sur une cellule qui alimente une résistance. Rapidement, le contacteur est remplacé. Suite à une analyse, il s’avère que l'intervention du Service Automatisme Electricité a conduit à rendre volontairement indisponible la résistance. Cette indisponibilité volontaire n’est pas autorisée par les procédures d’exploitation. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 19/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 20/10/2017, une alarme apparaît en salle de commande de l’unité de production n°1 qui poursuit ses contrôles dans le cadre de son redémarrage. Lors de l’expertise réalisée par les techniciens, une fuite est rapidement identifiée. Elle provient d’un filtre sur une pompe qui n’a pas été placé correctement. Aussitôt les actions sont mises en œuvre pour isoler la fuite et la mise en place d’un filtre neuf est effectuée pour retrouver une situation conforme. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 25/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 17/10/2017, dans le cadre de la mise à l’arrêt de l’unité de production n°2, un dysfonctionnement dans l’enchaînement de la réalisation d’une intervention rend la mesure d’un capteur indisponible. Rapidement, la situation redevient conforme et la lecture du capteur fiabilisée. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 25/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Sur les réacteurs nucléaires exploités par EDF, toute indisponibilité ou dysfonctionnement d’un matériel donne lieu à la pose d’un événement. En fonction de leur importance pour la sûreté, ces indisponibilités sont réparties en deux groupes : - les évènements de groupe 1 rassemblent les événements impliquant des hypothèses de conception importantes pour la sûreté qu’il convient de respecter en exploitation. A ces événements sont associés des stratégies de gestion du réacteur assorties de délai de mise en œuvre qu’EDF doit impérativement respecter ; - les événements de groupe 2 peuvent compromettre le contrôle, le diagnostic ou la conduite à suivre en cas d’anomalie. Les évènements de groupe 2 sont considérés comme moins engageant pour la sûreté du réacteur. Cependant, lorsque 5 ou plus de ces événements se cumulent, ils donnent lieu à une conduite à tenir spécifique identifiée dans les règles générales d’exploitation. Le 10/10/2017, l’unité de production n°2 de la centrale de Belleville-sur-Loire poursuit ses opérations de mise à l’arrêt. Une analyse demandée suite à un dysfonctionnement met en évidence un cumul de 6 événements de groupe 2 pendant 1h34. Le non respect de la règle de cumul des événements de groupe 2 constitue l’écart. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 25/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES. • Le 22/10/2017, au cours du redémarrage de l’unité de production n°1, l’équipe en salle de commande a pour objectif de monter la puissance de l’unité de production par palier. Suite à une erreur d’interprétation des opérateurs au cours de la montée en puissance, l’unité de production n°1 s’est arrêtée automatiquement conformément aux dispositifs de sûreté. Cet événement sans conséquence réelle sur la sûreté des installations a été déclaré le 27/10/2017 à l’Autorité de Sûreté Nucléaire au niveau 0 de l’échelle INES.

LES 30 ANS DE BELLEVILLE 1

LA MÉTAMORPHOSE D’UN TERRITOIRE… Dans les années 70, le monde fait face au premier choc pétrolier de son histoire. La France, tributaire du pétrole décide de se doter d’une industrie nucléaire civile. Le lieu dit « La Glas » à Belleville-sur-Loire est finalement retenu pour participer à cette aventure industrielle.

Le 22 novembre 1978, un an après son dépôt en mairie, la déclaration d’utilité publique concernant l’implantation de la centrale de Belleville-sur-Loire est signée. Le permis de construire est reçu en janvier 1979. Dès lors, le site de Belleville-sur-Loire reçoit le label « Grand Chantier ». Un coordinateur est nommé, il assure la liaison entre EDF, la commune, le département et les pouvoirs publics. À l’issue de nombreuses discussions et de multiples réunions entre les élus locaux, Belleville-sur-Loire entame sa métamorphose. Il a fallu tout repenser : l’accueil du personnel, le renforcement du réseau routier, l’extension des voiries, des réseaux d’assainissement, de téléphone, d’électricité, les équipements sociaux ou de santé,

les équipements scolaires, les installations sportives ou de loisirs… Parmi ces équipement structurants, le plus visible aujourd’hui demeure le pont de Loire qui enjambe le fleuve depuis 1981 (voir photo ci-dessus). En 1975, la commune de Belleville-surLoire comptait 288 habitants ; en 1988, elle recensait 1 053 administrés.

Au 1er septembre 1986, un an avant son démarrage, le site atteignait son pic d’effectif avec 2 449 personnes (génie civil, mécanique, électricité, nettoyage et gardiennage). Pour connaître la suite de cette aventure industrielle, rendez-vous dans notre prochain numéro où nous retracerons la période de construction intense avec ses ouvrages gigantesques !

LES ANIMATIONS DE FIN D’ANNÉE AU CENTRE D’INFORMATION DU PUBLIC ! Durant les fêtes de fin d’année, du 20 décembre 2017 au 5 janvier 2018, la centrale de Bellevillesur-Loire propose un programme d’animations ouvertes au public. Dix ateliers et deux spectacles gratuits seront proposés pour les enfants à partir de 5 ans, au Centre d’Information du Public.

Les animations gratuites du Centre d'Information du Public en

DÉCEMBRE ET JANVIER

VIE INDUSTRIELLE

Échelle INES (International Nuclear Event Scale)

La production des unités 1 et 2 pour le mois d'octobre 2017

0,26 milliard de kWh

La production cumulée de l'année 2017

12,79 milliards de kWh

Exposition : la centrale en construction Pour fêter ses 30 ans, la centrale vous accueille dans son Centre d'Information du Public durant les horaires d'ouverture pour une exposition ouverte à tous retraçant la construction de la centrale nucléaire de Belleville. Tous les premiers mercredis du mois à 14h, une conférence inédite vous fera revivre 30 ans d'histoire de la centrale.

Animations gratuites Infos et incriptions obligatoires 02 48 54 50 92 [email protected]

RÉSULTATS DU MOIS DE OCTOBRE 2017

Contrôles radiologiques

4

1 51

5

2

10

CONTRÔLES RADIOLOGIQUES

Un convoi est constitué du moyen de transport (wagon ou camion) et des emballages spéciaux adaptés à la nature des produits transportés (combustible neuf ou usé, outillages ou déchets). Les convois sont contrôlés au départ de la centrale et à leur arrivée à destination. Un écart est signalé si un convoi présente une contamination supérieure à 4 Bq/cm2 à son arrivée. Les déchets radioactifs sont liés à l’exploitation et à la maintenance des installations : filtres, tenues de protection, gants, chiffons par exemple. Les déchets non radioactifs font l’objet d’un contrôle d’absence de radioactivité. Pour cela, ils passent par un portique de contrôle situé à la sortie de la centrale et à l’entrée du site éliminateur de déchets.

5

Contrôles des rejets

6 8 3

7

2

9

VÉGÉTAUX Activité potassium 40 (Bq/kg sec)

Le lait et les végétaux proviennent de deux fermes situées à Neuvy-sur-Loire (58) et Santranges (18).

Neuvy-sur-Loire

Santranges

880 660

Valeur du mois écoulé

570

510

Moyenne 2016

5

Les rejets gazeux et liquides de la centrale sont réglementés par un arrêté de rejets dans lequel l'Autorité de Sûreté Nucléaire fixe les autorisations annuelles.

La centrale de Belleville-sur-Loire prélève de l’eau en Loire pour alimenter le circuit de refroidissement des installations(1). Cette eau n’est jamais en contact avec la partie nucléaire. La centrale contrôle en continu les valeurs de pH(2) et de température à l'amont, au rejet et à l'aval.

5 000

Autorisation annuelle

95,16

• Gaz rares (GBq) 25 000

70,1 44,08

cumul annuel

• Iodes (GBq)

Autorisation annuelle

0,8

cumul annuel

0,007250 0,000603

JOURNALIER DE LA LOIRE

Neuvy-sur-Loire

Valeur du mois écoulé

Santranges

51 51

La limite réglementaire d’échauffement est fixée à 1 °C mais peut être portée à 1,5 °C si le débit de la Loire est inférieur à 100 m3/s et si sa température à l’amont est inférieure à 15 °C.

Autorisation annuelle

cumul annuel Octobre 2017

54 46

Valeur journalière minimale

L’EAU SOUTERRAINE DU SITE

Indice d'activité bêta globale (Bq/l)

Activité tritium (Bq/l)

La limite réglementaire de pH est comprise entre 6 et 9. Dans le cas où le pH mesuré à l’amont est supérieur à 9, le pH de l’effluent ne devra pas être supérieur à celui mesuré à l’amont du site.

Autorisation annuelle

1 400

0,0120000

0,38 0,18

-0,04

5.2 pH AU REJET GÉNÉRAL

La qualité de l’eau souterraine du site est mesurée chaque mois. Des prélèvements sont effectués dans la nappe phréatique en 5 points du site. La valeur correspond à la moyenne des prélèvements effectués.

• Carbone 14 (GBq) Autorisation annuelle

324,00

Moyenne 2016

3

• Autres radioéléments (GBq) 0,1

Valeur journalière maximale Moyenne mensuelle

Valeur journalière maximale

8,4

0,0001422

10

169,90

cumul annuel Octobre 2017

cumul annuel 2016 3ème trim. 2017

PROPRETÉ DES TRANSPORTS Nombre de convois 0

0

Année : 2017

7

1

Nombre de convois

Nombre d'écarts

Déchets radioactifs Mois : octobre

4

0

Année : 2017

31

0

Emballages vides servant au transport du combustible neuf Nombre de convois

Valeur du mois écoulé Moyenne 2016

< 13,7 < 8,8

Les rejets liquides proviennent du circuit primaire. Ils sont collectés, stockés pour faire décroître leur radioactivité et contrôlés avant d’être rejetés dans la Loire. Le tritium est un radioélément, de la famille de l’hydrogène, qui existe à l’état naturel. Dans les centrales nucléaires, sa production est directement liée au fonctionnement et à la puissance des réacteurs. Il est mesuré indépendamment des autres radioéléments. L’iode est un élément radioactif dont l’activité décroît naturellement au bout de quelques jours. Il est comptabilisé à part.

0

0

Année : 2017

14

0

Nombre de convois

Nombre d'écarts

Mois : octobre

11

0

Année : 2017

140

0

Déchets non radioactifs Mois : octobre

45

Année : 2017

506

Nombre de déclenchements des portiques en sortie de site Mois : octobre

0

Année : 2017

0

Nombre de déclenchements des portiques à l’entrée du site éliminateur Mois : octobre

0

Année : 2017

0

8

PROPRETÉ RADIOLOGIQUE DE LA VOIRIE DU SITE Nombre de campagnes de contrôle

Nombre de points de contamination détectés sur les voiries du site

Mois : octobre

0

0

Année : 2017

1

0

Des contrôles sont effectués sur la voirie du site pour détecter les éventuels points de contamination dont la radioactivité est supérieure à 800 Bq. Le seuil de détection est fixé à une valeur 1 250 fois inférieure au seuil réglementaire.

L'exposition aux rayonnements La radioactivité, phénomène naturel La radioactivité fait partie de notre environnement : rayonnements cosmiques, matériaux de l’écorce terrestre, radioéléments présents dans l’eau, l’air, le corps humain, les aliments. Gaz radioactif, le radon représente à lui seul 87 % de la radioactivité naturelle

2,4

Radioactivité moyenne naturelle en France (dose annuelle)

1

Limite de dose pour la population (dose annuelle)

0,7

Radiographie pulmonaire

(dose prise en une fois)

8,3

60 000

• Iodes (GBq) Autorisation annuelle

8,2

cumul annuel

2 601

< 0,22 0,208

0,1

0,011000 0,0016270

Octobre 2017

Autorisation annuelle

0,03

0,01 cumul annuel Octobre 2017

< 0,001

Paris- New York à 11 000 m

(rayons cosmiques dose prise en une fois)

Séjour à la montagne à 1 500 m (rayons cosmiques dose prise en une fois)

Rejets annuels liquides et gazeux d’une centrale nucléaire (dose annuelle)

• Autres radioéléments (GBq)

4

Nombre d'écarts

Mois : octobre

39 400 Valeur journalière minimale

Nombre d'écarts

Mois : octobre

mSv

ACTIVITÉ REJETÉE DANS L'EAU

• Tritium (GBq) Moyenne mensuelle

7

Combustible usé

Octobre 2017

Octobre 2017

LE LAIT Activité potassium 40 (Bq/l)

2

Lorsqu’une personne quitte la centrale de Belleville-sur-Loire, elle passe obligatoirement par le portique "C3", un ultime contrôle de l’absence de radioactivité. Le seuil de détection très faible de ce portique garantit qu’aucune particule radioactive ne quitte le site. En cas de contrôle positif, la personne est prise en charge par la centrale pour éliminer la source de radioactivité avant la sortie.

1080,00

5.1 ÉCHAUFFEMENT MOYEN

2

442 202

Nombre de convois

438 R appel : le refroidissement est assuré par l'air ambiant, via les tours aéroréfrigérantes. (2) Mesure de l'acidité de l'eau.

0

Année : 2017

• Tritium (GBq)

LE DÉBIT DE LA LOIRE (m3 seconde)

(1)

Nombre d'écarts

49 918

Outillages contaminés

Les rejets gazeux proviennent de l’épuration des circuits. Ils sont stockés, un mois au minimum, dans des réservoirs où des contrôles réguliers sont effectués. Leur radioactivité décroît naturellement avec le temps. Ils sont rejetés par une cheminée spécifique à la sortie de laquelle des contrôles sont effectués en permanence.

MESURES EN LOIRE & DANS L'ENVIRONNEMENT 1

ACTIVITÉ REJETÉE DANS L’AIR

Nombre de contrôles Mois : octobre

NIVEAU D'EXPOSITION AU RAYONNEMENT GAMMA AMBIANT indice d'activité bêta globale (μSievert/h)

Maxi du mois Moyenne du mois Moyenne 2016

0,112 0,096 0,095

L'exposition au rayonnement ionisant est évaluée par la “dose“, ici exprimée en microsievert/heure. Le niveau d'exposition au rayonnement gamma ambiant est mesuré et enregistré en continu par un réseau d'une vingtaine de balises spécifiques situées autour du site de Belleville-sur-Loire. Ces mesures sont transmises à l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN).

CNPE de BELLEVILLE-SUR-LOIRE BP 11 – 18240 LÉRÉ TÉL. : 02 48 54 50 11 SA au capital de 1 054 568 341,50 euros 552 081 317 R.C.S. Paris

Directeur de la publication : Jean-Marie BOURSIER Rédacteur en Chef : Thierry TAPONARD Responsable d'édition : Emmanuelle WOIMBEE Rédaction : Sylvie DUPONT

www.edf.com

N°ISSN 1267-768 X - Dépôt légal à parution

10

0,2040 0,0314

Autorisation annuelle

• Carbone 14 (GBq) 190

Autorisation annuelle

12,3 cumul annuel Octobre 2017

0,63

cumul annuel Août 2017

Le becquerel (Bq) est l’unité qui mesure l’activité d’une source radioactive. Un becquerel correspond à une transformation naturelle par seconde d’un atome radioactif. 1 gigabecquerel (GBq) = 1 milliard de becquerels 1 térabecquerel (TBq) = 1 000 milliards de becquerels Le Gray (Gy) mesure la dose de rayonnement absorbée par lamatière. Il permet de caractériser une irradiation et de mesurer son importance. C’est la référence essentielle en radiobiologie. 1 nGy = 1 nanogray = 10 –9 Gy Le Sievert (Sv) mesure les effets des rayonnements radioactifs reçus pour un être vivant en tenant compte de l’énergie transmise et de la nature du rayonnement. 1mSv = 1milliSievert = 0,001Sv

Retrouvez En Direct et toute l'actualité de la centrale de Belleville-sur-Loire sur le site Internet : http://belleville.edf.com et sur son compte Twitter en vous abonnant à : @EDFBelleville

Novembre 2017

9

5 6 7

PROPRETÉ RADIOLOGIQUE VESTIMENTAIRE EN SORTIE DE SITE

Le groupe EDF est certifié ISO 14001

La centrale de Belleville-sur-Loire réalise une surveillance systématique de l’eau, de l’air, de la faune et de la flore. Plusieurs milliers de prélèvements autour du site et d’analyses en laboratoire sont réalisés chaque année. Les analyses, leur fréquence, ainsi que les modes opératoires utilisés sont définis par un organisme indépendant, l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), qui effectue un contrôle des résultats ici présentés et réalise, comme d’autres organismes, ses propres prélèvements et mesures.

6

Illustrations : Sharpnose, Oh design, Roccomontoya Crédits photographiques : EDF, centrale de Belleville-sur-Loire, Sylvie Dupont

SURVEILLANCE DE L'ENVIRONNEMENT