Communauté de Communes QUERCY – BOURIANE

Monsieur Pascal PAVAN, Directeur et Monsieur Anthony CHEVAL ..... Nozac devrait pouvoir trouver sa place dans un programme territorial « Agriculture – Forêt ...
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Communauté de Communes QUERCY – BOURIANE STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

Phase 2 : Elaboration du plan de développement

CERCLE 1 « Agriculture, Forêt, Biodiversité » SESSION n°1 : 22 Mai 2012, GOURDON

Compte-rendu / Synthèse

Participants à la Session n° 1 (Mardi 22 Mai 2012)

Monsieur et Madame CLODORE Association NATENPA (Nature, Environnement, Patrimoine) St Germain du Bel Air Monsieur Gérard DESTACAMP

Géomètre expert Gourdon Monsieur Yann CLEMENT Technicien forestier / CRPF Gourdon Monsieur Pascal PAVAN, Directeur et Monsieur Anthony CHEVAL SCIC Initiatives Environnement Gourdon Monsieur Grégoire MAS Conseiller de secteur, Chambre d’Agriculture, 46 Cahors Monsieur Thierry BARDOU Eleveur, représentant la Chambre d’Agriculture Masclat Monsieur Michel VERGNES Agriculteur / Eleveur Association des Marchés Fermiers Président du Crédit Agricole, Gourdon Saint Projet Monsieur Jean-Christophe ALIBERT Elevage ovin Saint Projet Monsieur Vincent LIGER Chargé de mission Développement Economique Pays Bourian Coordinateur du Cercle n° 1 Madame Sophie GIRAUDO Directrice Générale des Services Communauté de Communes Quercy Bouriane Gourdon Messieurs Joël BERTRAND et Albert LOUPPE Consultants « La Ville Demain » Co-animateurs du Cercle n° 1

CCQB / Phase 2 / Cercle n° 1 Compte-rendu Session 1 1. LES RESSOURCES DU TERRITOIRE (SUPERFICIES EXPLOITABLES, BIODIVERSITE, SAVOIRFAIRE AGRICOLES ET FORESTIERS…) SONT-ELLES AUJOURD’HUI SUFFISAMMENT REPERTORIEES, PRESERVEES, ENTRETENUES ? •

Pour la forêt (Y. CLEMENT), le Plan de Développement de Massif a donné lieu à un travail d’inventaire et de diagnostic. J’ai parcouru les 12 000 ha. Il y a des photos aériennes et des cartes cadastrales. Un indice de biodiversité potentielle a été mis au point et peut être établi pour les différents espaces composant le massif. Certaines parties de la forêt ne sont pas entretenues depuis longtemps (cas des anciennes vignes à l’abandon qui se sont peu à peu reboisées). Du point de vue de la préservation, ce n’est pas forcément un problème car cette forêt reconstituée naturellement peut être riche en biodiversité.



La question de la préservation se pose nettement pour les terres agricoles (JC ALIBERT) en raison des menaces permanentes liées à la construction et à l’urbanisation. Dans la plupart des communes rurales, le diagnostic agricole n’est pas fait avant les plans d’urbanisme. A Saint Projet, des terrains constructibles ont été délimités sur les meilleures terres



C’est une chose d’avoir des outils de repérage, c’est une autre chose de voir les acteurs du territoire accéder ou s’approprier les informations fournies par ces outils. P. PAVAN fait observer que les propriétaires de forêts ne savent que rarement la valeur ou l’intérêt environnemental de leurs terrains. Il estime que l’on retrouve le même problème avec les propriétés agricoles. « Quelqu’un vient se renseigner et on ne sait pas le guider ou lui dire ce qu’il y a de disponible à différents niveaux… »



A propos des données présentées en introduction sur l’espace forestier, Y. CLEMENT tient à préciser que, - sur les 4 000 propriétaires recensés sur le périmètre CCQB, la moitié ne disposent pas d’un hectare - et tous ne sont pas des « résidents » Il fait remarquer que, si le morcellement des espaces boisés est souvent cité comme un obstacle à une exploitation rationnelle, il n’est pas inintéressant du point de vue de la biodiversité.



Concernant les terres agricoles et l’accès au foncier, G. MAS indique l’existence du registre RDI (Répertoire Départ Installation) qui liste les propriétés avec des éléments d’évaluation (plusieurs personnes font observer qu’il serait intéressant de vérifier combien d’exploitations et de propriétés du périmètre CCQB figurent dans le RDI).



Vincent Liger indique que le RDI est intéressant mais il n’est pas une fin en soi : peu d’adéquation en offre et demande.

2. CES RESSOURCES SONT-ELLES SUFFISAMMENT VALORISEES EN TERMES D’EXPLOITATION ET DE TRANSFORMATION ? EN TERMES DE COMMUNICATION ET DE COMMERCIALISATION ? •

Pour la forêt, l’important est d’avoir des plans d’entretien et d’exploitation adaptés aux caractéristiques du lieu (Y. CLEMENT)

Il y a les espaces boisés des causses, les forêts des vallées. Au sein d’une même propriété, on peut trouver plusieurs étages avec chaque fois, différentes essences. L’environnement minéral compte également (sols, eau, roches…) On peut envisager de procéder par « coupe rase » dans des milieux pauvres (ex. taillis de châtaigniers) alors qu’on doit recourir à une démarche sélective (« cueillette ») dans les espaces mélangeant plusieurs essences •

La valorisation énergie pour les particuliers (bois de chauffage) s’organise déjà en circuit court : pas mal de petits propriétaires ont une dizaine de clients réguliers. En moyenne, on peut compter sur un prix de 10 € le stère sur pied (Y. CLEMENT)



Le potentiel local de bois de chauffage est-il suffisant pour répondre à la demande si celle-ci continue à croître (question de JC ALIBERT) ? Avec un taux de boisement de 40% (240 000 ha de forêt), le département possède de grandes réserves. De plus, le matériel de chauffage proposé aux particuliers est de plus en plus performant : avec un poêle à bois triple combustion, on chauffe une habitation de 150 m2 avec 10 stères par an (cas d’une maison neuve aux normes d’isolation actuelle / exemple Y. CLEMENT) Un problème d’approvisionnement peut se poser en revanche pour les chaudières collectives (ex. des grosses chaudières SYDED). La future chaufferie de Gourdon va avoir besoin de 5 000 t de bois par an. Jusqu’à présent, l’approvisionnement des chaufferies SYDED consistait en déchets de bois divers (palettes, produits connexes de scieries…) qui ne vont plus suffire. Les opérateurs SYDED vont donc devoir recourir de plus en plus à du bois forestier avec un problème de prix et un problème de contrôle des conditions de coupe (cf. négociations à venir dans le débat n° 4)



La valorisation matériau (« bois d’oeuvre ») se trouve freinée par la disparition progressive des scieries. La plus grande partie de la production s’en va dans les départements voisins : scieries de Dordogne et du Lot et Garonne qui alimentent un marché en expansion (parquets de châtaigniers, aménagements extérieurs…) mais de plus en plus concurrentiel (avec une adaptation du modèle économique de l’entreprise « scierie » incluant une part croissante de négoce).



Concernant la valorisation des productions agricoles, il est fait observer que la région Midi-Pyrénées bénéficie de nombreuses appellations et labels et que « Sud-Ouest » est devenue IGP JC ALIBERT, dont la production ovine est sous label « Agneau fermier du Quercy », estime que la grande distribution ne joue pas le jeu : il note que sur les 4 ou 5 supermarchés du secteur de Gourdon, aucun ne vend de l’agneau fermier labellisé. Même la passation de contrats avec de grandes plateformes n’assure pas de commercialisation efficace M. et Mme CLODORE (Association NATEMPA) observent qu’à Gramat, il y a un stand « Agneau fermier du Quercy » qui est bien fréquenté. Il leur paraît que les fournisseurs spécialisés sont plus nombreux (ou plus visibles) « dès que l’on passe la nationale » : communes à l’est de l’ex RN20 Concernant la valorisation de la viande ovine, la question de l’usage des bas morceaux et des abats (tout ce qui n’est pas gigot et côtelettes) est évoquée par certains avec l’idée de chercher différentes formes de transformation et de commercialisation



A côté de l’élevage et de l’exploitation forestière, le secteur de Gourdon voit se développer un ensemble de cultures « à haute valeur ajoutée » (Thierry BARDOU). Plusieurs exploitations se sont engagées dans la production d’asperges, de fraises, de tabac. Ces développements entraînent une demande accrue en terres cultivables et en approvisionnement eau. Des ASA (Association Syndicales Autorisées) sont créées pour la réalisation et la gestion de réseaux d’irrigation. L’irrigation à partir de la Dordogne, qui a été la base du développement de ce type de production, ne peut répondre à tous les besoins. La solution actuellement privilégiée consiste en la création de retenues collinaires afin de faire des réserves en hiver et pour l’irrigation. d’alimenter en été.

Certaines réalisations sont déjà avancées, plusieurs projets sont en préparation. Les exploitations bénéficiaires peuvent également ajouter du maïs à leur gamme et contribuer ainsi à l’alimentation animale des élevages lait et viande dans les périodes de sécheresse notamment. Il est demandé pourquoi on cultive des productions consommatrices en eau comme le maïs. G. MAS explique que le maïs n’est pas plus consommateur d’eau que l’herbe, voire moins, comparé au rendement à l’hectare et à l’apport nutritionnel pour les bêtes. 3. LES EVOLUTIONS RECENTES (10 DERNIERES ANNEES) DE L’AGRICULTURE LOCALE, DE LA GESTION DES FORETS ET DES RESSOURCES NATURELLES EN GENERAL, VONT-ELLES DANS LE BON SENS ? QUE PEUT-ON AMELIORER ? QUE DOIT-ON ENCOURAGER PRINCIPALEMENT OU CREER EN PLUS DE CE QUI EXISTE ?

Sont évoquées : la diminution du nombre d’exploitants agricoles et, en particulier, la raréfaction des exploitations de taille moyenne, l’intérêt ou non de jouer la carte des circuits courts, la question du prix des produits et du revenu des exploitants et l’acquisition de terres (agricoles et forestières) par des non professionnels. •

Le nombre d’exploitations : JC ALIBERT souligne la difficulté de rentabiliser un élevage de 400 à 500 brebis sur le Causse (les grandes exploitations avec de 2 000 à 2 500 bêtes s’en sortent mieux). La diminution du nombre d’exploitants (dans certaines communes il ne reste plus qu’une ou deux exploitations actives) fait qu’on prend moins en compte leurs besoins dans les municipalités. La reprise d’une exploitation agricole est parfois impossible car, dans le cas d’un foncier morcelé, les propriétaires n’acceptent pas toujours de reconduire la location de terres avec le nouvel exploitant.



Les circuits courts : Pour certains (M. VERGNE) on saurait les développer mais il manque un potentiel local : pas de pôles urbains importants. V. LIGER fait observer que le circuit court ne concerne pas seulement la desserte d’une clientèle de proximité, mais comprend aussi l’idée d’un petit nombre d’intermédiaires (quelqu’un qui vendrait une part importante de sa production à un seul acheteur d’une autre région ou même d’un autre pays serait aussi « en circuit court »). La discussion porte alors sur le coût et les efforts à entreprendre par un exploitant qui voudrait s’assurer des débouchés lointains par une prospection directe personnelle. G. MAS fournit plusieurs données qui conduisent à ne pas sous-estimer le potentiel départemental : - toute la production agricole du Lot pourrait théoriquement nourrir le tiers de la population du département - la communauté du Grand Cahors évalue les besoins de sa population à un million de repas par/an. La cuisine centrale du Grand Cahors travaille à un approvisionnement local. Pour JC ALIBERT, la vente en circuit direct lui paraît exclue car le label « Agneau fermier du Quercy » l’oblige à passer par la coopérative (C’est la coopérative qui est labellisée).



Prix des produits et revenu des exploitants : -

En, 1970 rappelle G. MAS, la vente d’un litre de lait permettait d’acheter 3 litres de fuel. Aujourd’hui, il faut à peu près 3 litres de lait pour 1 litre de fuel.

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La question du prix est également abordée pour la viande : JC ALIBERT ne voit pas d’issue dans son domaine (élevage ovin labellisé) sans augmentation des prix. A titre d’information, il indique qu’il vend l’agneau (en carcasse) à 6,10 € le kg, alors que c’est le prix auquel en supermarché se détaille le kg d’agneau de Nelle Zélande. Pour augmenter la rentabilité de l’exploitation, prendre un associé nécessiterait d’investir environ 300 K€ afin de diversifier la production (transformation, vente directe…) ou bien exploiter 40 ha supplémentaires et rajouter 200 brebis. P. PAVAN signale que dans le cadre d’un accompagnemt Adefpat, les producteurs de l’association Les Fermes

Quercy Bio ont effectué une étude de prix approfondie qui leur a permis d’affiner leur politique commerciale.



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La possibilité qu’ont certains agriculteurs de vendre du bois de chauffage à des particuliers peut leur apporter un complément de revenu appréciable. Y. CLEMENT indique des marges de 20 à 30 € par stère (peuvent justifier le recours à une main-d’œuvre d’appoint)

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P. PAVAN rappelle aussi que le prix n’est pas le seul élément qui attire les clients : information, facilité d’accès, commodité de commande et du lieu où l’on trouve tout…

Acquisition de terres par des non professionnels : -

Une des caractéristiques du secteur de Gourdon, est la part importante de petites exploitations qui ne sont pas vraiment professionnelles (G. MAS)

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Il y a de plus en plus d’exploitants « non professionnels » (JC ALIBERT) : ils n’ont pas vraiment de but d’exploitation ou de mise en valeur. Ils acquièrent des terres comme placement ou moyen de défiscalisation. Quelques nouveaux venus arrivent avec de gros moyens financiers (exemple : d’une exploitation de 195 ha rachetée 850 000 Euros)

4. PARMI LES ACTIONS EN COURS OU LES PROJETS EN PREPARATION, QUELS SONT CEUX QUI VOUS PARAISSENT LES PLUS STRUCTURANTS : CEUX QUI PERMETTENT D’AVANCER A LA FOIS AUX PLANS ECONOMIQUES, SOCIAL, ENVIRONNEMENTAL ? CEUX QUI SONT SUSCEPTIBLES D’AVOIR UN EFFET DYNAMISANT SUR L’ENSEMBLE DU TERRITOIRE ? •

Pour la partie forestière, c’est la sensibilisation et la formation des propriétaires qui est mise en avant (Y. CLEMENT : expliquer que l’exploitation de la ressource en bois de chauffage doit s’organiser essentiellement à partir des travaux d’entretiens, éviter que des terres riches soient utilisées pour faire du bois-énergie (ex. taillis d’acacias) Un ensemble d’accords et de règles communes doivent être élaborés concernant l’approvisionnement des chaufferies-bois collectives. V. LIGER évoque le processus de concertation entre le SYDED, les élus du CG 46, les propriétaires forestiers et les agriculteurs, avec un rendez-vous déjà prévu au 2ème semestre 2012 : évaluation des quantités nécessaires, prélèvements forestiers à prévoir en complément de l’approvisionnement déchets, conditions techniques de ces prélèvements, accord sur les prix (on n’est plus sur de la ressource gratuite), etc. A partir des données existantes (exemple : Indice de biodiversité), il serait intéressant de réaliser et diffuser une carte de la biodiversité.



Pour l’agriculture, sont mises en avant : -

le recours à des magasins de producteurs (exemple de la CAPEL qui a créé son propre magasin à Figeac)

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le développement d’une irrigation raisonnée (avec des avantages attendus pour plusieurs activités)

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une meilleure intégration de la ressource forestière par les agriculteurs ex. pâturages mixtes (prairie / forêt) ex. bois de chauffage (pour soi, pour la vente)

D’une manière plus transversale, il apparaît aux yeux de certains que le territoire (Pays Bourian ou Gourdonnais) a peut-être une carte à jouer en laissant sa place à une agriculture de petite dimension génératrice d’emplois et de qualité de vie. P. PAVAN évoque des expériences de création de micro-malterie et micro-brasserie (3 à 4 dans le Lot) qui peuvent trouver leur équilibre économique dans un marché régional (rayon de 200 à 300 km). Il fait observer que ce nouveau type de production nécessite un approvisionnement en orge céréale qui trouve localement un milieu favorable. Une unité de production de malt « bio » en voie de création à Anglars –

Nozac devrait pouvoir trouver sa place dans un programme territorial « Agriculture – Forêt – Biodiversité

5. Quelles dispositions prendre pour assurer la réussite de ces actions ou projets structurants ? Ce que les professionnels ont intérêt à faire ? Ce que les collectivités peuvent faire ? Les appuis ou les alliances à rechercher à l’extérieur •

L’accès au foncier reste un problème aussi bien pour les jeunes candidats qui cherchent à s’installer que pour les actifs qui veulent se développer. M. DESTACAMP estime que certains agriculteurs renoncent par manque de terres (difficultés à s’étendre). Il attire l’attention sur le projet de contournement de Gourdon qui risque d’être pénalisant si l’on ne prend pas vraiment en compte les besoins et les préoccupations des agriculteurs. Il est reproché aux municipalités de faire de la construction un but en soi comme si le fait de construire entraînait automatiquement la création d’activités. « On prend le problème à l’envers » (M. VERGNES à propos du PLU de Saint projet) M. DESTACAMP évoque un outil qui peut être mis en œuvre : le diagnostic d’aménagement foncier. Il s’agit d’un travail de planification qu’une collectivité peut mettre en oeuvre dans le cadre de sa politique d’aménagement du territoire. Tous les propriétaires sont contactés pour savoir ce qu’ils cherchent à faire avec leur bien : le vendre, le garder… En parallèle se pose la question de l’aménagement par rapport aux fonctions des lieux (voiries, dessertes). Ce diagnostic, qui est un moyen de travailler sur la restructuration foncière en concertation avec les propriétaires, peut être financé par le Conseil général.



L’aide à l’installation est également considérée comme cruciale. Les collectivités locales peuvent jouer un rôle d’accompagnateur et de facilitateur par leur compétences : « aménagement de l’espace » d’une part, « développement économique » d’autre part. La question est posée de savoir si une collectivité (commune, Pays…) peut acheter un terrain, des bâtiments et y installer un ou plusieurs agriculteurs comme elle le fait pour des artisans ou des entreprises en création. Pour certains, un des freins à la création ou à l’extension d’activités agricoles provient des règles du fermage, les propriétaires craignant, à tort ou à raison, de se trouver engagés par des clauses qui ne leur permettent pas de se retirer quand ils le souhaitent (ce point a donné lieu à des avis controversés et méritera donc une mise au point ultérieure)

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Cette première session est conclue par l’annonce d’une deuxième dont les dates seront précisées prochainement (objectif : deuxième quinzaine de septembre). Cette deuxième rencontre du cercle n° 1 sera organisée autour de présentations de projets par des acteurs « internes » (territoires proches) ou « externes » (départements ou régions environnants). Les participants sont également invités à s’inscrire sur le site collaboratif CCQBeco afin de mettre en circulation à disposition des participants aux différents cercles, les renseignements et données de leur choix.