Communiqué Pour diffusion immédiate

COMITÉ DE MISE EN OEUVRE DES RECOMMANDATIONS DE LA COMMISSION COULOMBE L'initiative Aux arbres citoyens! invite les groupes environnementaux à envoyer une requête à la sous-ministre associée à Forêt Québec. Montréal, le 28 janvier 2005. Alors que le gouvernement du Québec se penche sur la composition du comité chargé de mettre en oeuvre les recommandations de la Commission Coulombe, le Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada), le Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE), la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) et l'Union québécoise pour la conservation de la nature (UQCN) invitent les groupes environnementaux à envoyer une requête à la sous-ministre associée à Forêt Québec, Madame Paule Têtu, afin que des organismes non-gouvernementaux occupent des sièges au sein du comité. Cette démarche vise à aller de l'avant avec le processus de consultation initié par la Commission Coulombe, dont l'objectif était de considérer la position des multiples intervenants concernés par le dossier de la gestion de la forêt publique au Québec pour l'élaboration de ses recommandations. La participation, entre autres, des groupes environnementaux, ne fera qu'accroître la crédibilité de la démarche gouvernementale en ce qui a trait à une réforme globale et profonde de la gestion forestière du Québec. - 30 Sources : Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada) : Lucie Taliana (514) 866-7800 # 25 Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE) : Henri Jacob (514) 392-0096 Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) : Jean-François Gagnon (514) 278-7627 Union québécoise pour la conservation de la nature (UQCN) : Jean-Éric Turcotte (418) 648-2104 Depuis 2001, le Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada), le Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE), la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) et l'Union québécoise pour la conservation de la nature (UQCN) unissent leurs efforts afin de mettre à l'ordre du jour la protection de la forêt boréale et l'importance comme l'urgence d'établir un véritable réseau d'aires protégées au Québec.