Cahier du participant
2015
Les 15, 16 et 17 octobre 2015 Sainte-Adèle (Québec)
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
1
Coordination Cyril Frazao Édition, graphisme et réalisation Marie-Claude Chagnon ISBN 978-2-89725-106-2 (version imprimée) ISBN 978-2-89725-107-9 (version électronique) © Nature Québec, 2015
Imprimé sur papier Rolland Enviro 100. Contient 100 % de fibres postconsommation. Sans chlore. Accrédité Choix environnemental et FSC recyclé.
Crédits photographiques © Parc des Falaises
Plan de l’établissement Rez-de-chaussée
Jeudi Vendredi
19 h
1er étage
Rencontre des membres du RMN (ouverte à tous)
8 h 30 à 9 h 30
Changements climatiques : biodiversité et conservation
9 h 30 à 10 h 30
Nouveau guide de bonnes pratiques en intendance privée Les données sur la biodiversité : où les trouver, comment les utiliser ? Un projet de conservation, ça rapporte combien ? (partie 1)
11 h à 12 h 15
Le répertoire des milieux naturels protégés Travailler avec les villes : comment le faire ? Un projet de conservation, ça rapporte combien ? (partie 2)
13 h 30 à 15 h
Le paysage : un levier d’attachement au territoire Les projets de conservation notariés Impacts de la conservation sur le budget des villes
15 h 30 à 17 h
Le don écologique comme outil de conservation La gestion des propriétés protégées Les enjeux financiers de la conservation
17 h 30 à 19 h
Remise du prix Gens d’action
6 1-2 3 4 5 3 4 5 3 4 5 3 4 5 1-2
Samedi
8 h 30 à 11 h 30 8 h 30 à 10 h 30
Visite de la réserve naturelle Alfred-Kelly La connectivité, ça se planifie Les outils technologiques en conservation (partie 1) Municipalités et conservation, à la croisée des chemins
11 h à 12 h 15
Rédiger un plan de conservation : guide extra ! Les outils technologiques en conservation (partie 2) Méli-mélo d’embrouilles en conservation : démêlons-nous
13 h 30 à 15 h
Une meilleure cartographie des milieux humides [...] Cohabiter avec la nature : de la planification aux actions concrètes Urbanova, un projet exemplaire de développement durable Conservation du corridor Châteauguay-Léry Protection du massif des falaises Piedmont-Prévost-Saint-Hypollyte
15 h à 15 h 30
Bilan et mot de la fin
3 4 5 3 4 5 1 2 3 4 5 6-7
Sommaire
Plan de l’établissement
3
Programmation 7 Mot de bienvenue et comités
11
Conférence d'ouverture
13
Ateliers pour tous
21
Storytelling 47 Bloc-notes 55 Évaluez les formations
71
Écoresponsabilité 91
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
5
Programmation
Les numéros encerclés vous réfèrent au plan.
Jeudi 15 octobre 19 h – 21 h
Accueil et remise des documents
19 h
Rencontre des membres du RMN (ouverte à tous)
Vendredi 16 octobre (Jour 1), avant-midi 7 h 30 – 8 h 30 8 h 30 – 9 h
Accueil des participants Mot de bienvenue et conférence d’ouverture Changements climatiques : biodiversité et conservation Roxane Maranger (Université Laval)
ateliers de formation pour tous 9 h 30 – 10 h 30
Au choix : Niveau 101
Niveau 201
Niveau 301
10 h 30 – 11 h
Pause santé
11 h – 12 h 15
Au choix : Niveau 101
Niveau 201 Niveau 301
Nouveau guide des bonnes pratiques en intendance privée Prunelle Thibault-Bédard (Centre québécois du droit de l’environnement) Les données sur la biodiversité : où les trouver, comment les utiliser ? Louise Gratton (consultante) Un projet de conservation, ça rapporte combien ? (partie 1) Yves Bourassa (Environnement Canada)
Le répertoire des milieux naturels protégés Eduardo Fonseca et Delphine Favorel (Réseau de milieux naturels protégés) Travailler avec les villes : comment le faire ? Caroline Cormier (Réseau de milieux naturels protégés) Un projet de conservation, ça rapporte combien ? (partie 2) Yves Bourassa (Environnement Canada)
12 h 15 – 13 h 30 Dîner Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 16 octobre (Jour 1), après-midi ateliers de formation pour tous 13 h 30 – 15 h
Au choix : Niveau 101
Niveau 201
Niveau 301
15 h – 15 h 30
Pause santé
15 h 30 – 17 h
Au choix : Niveau 101
Niveau 201 Niveau 301
17 h 30 – 19 h
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Le paysage : un levier d’attachement au territoire Réjean Dumas (Fiducie Écosystèmes Lanaudière), Gérald Domon et Olivier Craig-Dupont (Université de Montréal), Louis-Philippe Rousselle-Brosseau (École d’urbanisme et d’architecture du paysage) Les projets de conservation notariés Romy Bazo et Anne-Marie Robichaud (Nature-Action Québec) Impacts de la conservation sur le budget des villes Dominic Thibeault (Ville de Trois-Rivières)
Le don écologique comme outil de conservation : rappels et nouveautés Luc Robillard (Environnement Canada) et Steeve Morasse (Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les Changements climatiques) La gestion de propriétés protégées Caroline Gagné (Conservation de la nature Canada) Les enjeux financiers de la conservation Discussion animée par Pierre Valiquette (Réseau de milieux naturels protégés)
Vin d’honneur et Remise du prix Gens d’action
Samedi 17 octobre (Jour 2), avant-midi Visite sur le terrain 8 h 30 – 11 h 30
Visite de la réserve naturelle Alfred-Kelly (30 personnes maximum, inscription à l’accueil) Guidée par Claude Bourque (président du Comité régional pour la protection des falaises)
ATELIERS DE FORMATION POUR TOUS 8 h 30 – 10 h 30
Au choix : Niveau 101
Niveau 201
Niveau 301
10 h 30 – 11 h
Pause santé
11 h – 12 h 15
Au choix : Niveau 101 Niveau 201
Niveau 301
La connectivité, ça se planifie Andréanne Blais (Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec) et Louise Gratton (consultante) Les outils technologiques en conservation (partie 1). Survol des outils disponibles Éric Malka, Geneviève Poirier-Ghys, Ludyvine Millien (Centre de la nature du mont Saint-Hilaire) et Marie-Michèle Rousseau-Clair (Conservation de la nature Canada) Municipalités et conservation, à la croisée des chemins Jean-François Girard (Centre québécois du droit de l’environnement)
Rédiger un plan de conservation : guide extra ! Kateri Monticone (Conservation de la nature Canada) Les outils technologiques en conservation (partie 2). Démonstration et exemples concrets Éric Malka, Geneviève Poirier-Ghys, Ludyvine Millien (Centre de la nature du mont Saint-Hilaire) et Marie-Michèle Rousseau-Clair (Conservation de la nature Canada) Méli-mélo d’embrouilles en conservation : démêlons-nous ! Jean-François Girard (Centre québécois du droit de l’environnement)
12 h 15 – 13 h 30 Dîner
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Samedi 17 octobre (Jour 2), après-midi Storytelling 13 h 30 – 15 h
Au cours des cinq dernières années, Villes et villages à la Rescousse a souligné le travail de collaboration entre les villes et les organismes de conservation.
Aujourd’hui, cinq projets exemplaires et stimulants vous sont présentés en simultané, et ce à deux reprises consécutives.
Assistez à 2 présentations au choix, 45 minutes chacune : Une meilleure cartographie des milieux humides, pour une meilleure gestion municipale Michèle Turcotte (mairesse de Saint-Étienne-de-Bolton) et Caroline Daguet (Corridor appalachien) Cohabiter avec la nature : de la planification aux actions concrètes Denise Papineau (Municipalité du Canton de Shefford) et Martine Ruel (Corridor appalachien) Urbanova, un projet exemplaire de développement durable Marc Léger (Ville de Terrebonne) et Romy Bazo (Nature-Action Québec) Conservation du corridor Châteauguay-Léry Christian Cléroux (Ville de Châteauguay) et Marc Delage (Nature-Action Québec) Protection du massif des falaises Piedmont-Prévost-Saint-Hyppolyte Clément Cardin (Municipalité de Piedmont), Germain Richer (Ville de Prévost), Bruno Laroche (Municipalité de Saint-Hyppolite), et Claude Bourque (Comité régional de protection des falaises)
15 h – 15 h 30
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Bilan et mot de la fin
MOT de bienvenue Chers participants, Nous avons le plaisir de vous accueillir cette année dans la belle région des Laurentides pour la tenue des Ateliers sur la conservation des milieux naturels. Le comité directeur est particulièrement fier de cette édition 2015, de sa thématique principale (la conservation en milieu municipal) et de la nouvelle image des Ateliers. En conférence d’ouverture, Roxane Maranger, écologiste écosystémique des milieux aquatiques, mettra la table quant à la situation et aux enjeux. La programmation a conservé son format de l’année dernière : des formations nombreuses, adaptées et conçues tant pour les personnes nouvellement impliquées en conservation que pour les personnes plus expérimentées (selon le principe bien connu dans les cégeps des cours 101, 201 et 301). Le storytelling 2015, fait corps avec la thématique annuelle et nous sommes fiers de recevoir des représentants du monde municipal pour nous présenter leurs bons coups en terme de conservation pour des villes et villages à la rescousse. En parallèle, nous avons aussi le plaisir de vous proposer une visite de la réserve naturelle Alfred-Kelly, guidée par Claude Bourque, président du Comité régional pour la protection des falaises. Grâce à la collaboration d’intervenants locaux et régionaux, cette réserve naturelle en terre privée est accessible au public pour la pratique d’activités récréatives légères et pour des activités de découverte de la nature. Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
L’excellente programmation 2015 a été rendue possible grâce à une importante innovation qui date de l’année dernière, soit la mise en place d'un comité de programmation. Ce dernier est chargé de mieux cerner les besoins en formation des membres des organismes de conservation et de recruter les personnes ressources et les formateurs en mesure d’y répondre. Le comité est animé par Pierre Valiquette et formé d'une dizaine de représentants d’organismes de conservation (la liste complète figure en page suivante de ce cahier.) Nous les remercions du fond du cœur pour cet engagement bénévole remarquable. Les Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015 : encore des nouveautés, mais toujours une même mission, celle de vous offrir des outils pour la planification et la réalisation de vos projets de conservation, afin de les faire connaître, d'intensifier vos partenariats et de diversifier vos sources de financement. Nous remercions ici celles et ceux qui donneront vie à cette édition 2015, notamment les formatrices et formateurs qui ont accepté de partager leur expertise et leur expérience. Nous espérons que cette nouvelle formule saura vous satisfaire et que les connaissances acquises porteront leurs fruits. Donnez-nous en des nouvelles. Bons Ateliers 2015 !
Le comité directeur des Ateliers 2015 11
Les comités Le comité directeur
Le comité de programmation
Christine Bélanger (Fondation de la faune du Québec)
Erik Bassil (Comité Écologique du Grand Montréal)
christine.belanger @fondationdelafaune.qc.ca
418 644-7926 poste 134 Luc Robillard (Service canadien de la faune d’Environnement Canada)
Andréanne Blais (Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec) Réjean Dumas (Fiducie Écosystèmes Lanaudière)
[email protected]
418 649-6136 Pierre-M. Valiquette (Réseau de milieux naturels protégés)
[email protected]
Cyril Frazao (Nature Québec) Mélanie Lelièvre et Martine Ruel (Corridor appalachien)
514 933-1558 Christian Simard (Nature Québec)
[email protected]
Tél.: 418 648-2104 Cyril Frazao (Nature Québec)
Jacinthe Letendre (Nature-Action Québec) Éric Malka (Centre de la nature du mont Saint-Hilaire) Kim Marineau (Éco-corridors laurentiens)
[email protected]
418 648-2104 poste 2053
Marie-Michèle Rousseau-Clair (Conservation de la nature Canada) Pierre M. Valiquette (Réseau de milieux naturels protégés)
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Vendredi, 8 h 30 à 9 h 30 — Conférence d’ouverture salles
Changements climatiques : biodiversité et conservation Roxane Maranger (Université Laval)
Roxane Maranger est écologiste écosystémique des milieux aquatiques et professeure à l’Université de Montréal au Département des sciences biologiques. Ses recherches portent sur l’impact des changements environnementaux et climatiques sur les grands cycles biogéochimiques de l’azote et sur le carbone en milieux d’eau douce et marin, ainsi que sur l’influence de la structure des communautés sur le fonctionnement des écosystèmes. Roxane Maranger a participé à plusieurs efforts locaux et internationaux pour promouvoir la recherche transdisciplinaire afin d’aborder des problèmes complexes liés à la protection de l’environnement. Elle s’est impliquée notamment dans le projet d’établissement de Montréal comme un des sites du secrétariat global de Future Earth, un grand programme international sur la recherche et l’implémentation du développement durable.
Plan de formation Écologistes écosystémiques de milieux aquatiques Biogéochimie de l’azote et de carbone Qualité de l’eau Gaz à effet de serre Cyanobactéries Plantes aquatiques Écoservices Utilisation du territoire Structure des communautés et fonctionnement des écosystème
[email protected] (514) 527-6559
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Pour découvrir les milieux naturels protégés en terres privées au Québec www.repertoiredesmilieuxnaturels.qc.ca
www.rmnat.org
Membre individuel : 20 $ par année Organisme affilié : 25 $ par année www.naturequebec.org/membre
© Denis Dumoulin
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Fière de soutenir les Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015. Nous travaillons en collaboration avec les organismes oeuvrant à la conservation des milieux naturels pour améliorer nos collectivités.
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Le logo TD et les autres marques de commerce sont la propriété de La Banque Toronto-Dominion.
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Une gracieuseté de la Fondation de la faune du Québec
Ateliers pour tous
Vendredi 9 h 30 à 10 h 30 — Niveau 101 (débutant) salle
Nouveau guide des bonnes pratiques en intendance privée Prunelle Thibault-Bédard (Centre québécois du droit de l’environnement)
Maître Prunelle Thibault-Bédard détient un diplôme en droit comparé de l’Université McGill et une maîtrise en Sécurité environnementale de University for Peace. Elle est membre du Barreau du Québec depuis 2006. Elle a agi comme conseillère en législation environnementale auprès d’Hydro-Québec. Elle y était responsable du dossier des aires protégées. Elle possède une expertise de pointe en conformité légale et est maintenant consultante en environnement. Elle conseille les entreprises et organisations désireuses d’améliorer leur performance environnementale en vue de réduire leurs risques de responsabilité légale. Ses services incluent le soutien à la conformité légale, la formation en milieu de travail, ainsi que l’accompagnement des entreprises et organisations dans la préparation de mémoires lors de consultations publiques. Me Thibault-Bédard met l’accent sur la relation à long terme avec ses clients et sur les retombées opérationnelles positives, notamment en offrant un service unique de suivi après-formation.
Plan de formation Nouvelle édition du Guide des bonnes pratiques en intendance privée : 12 normes et plus de 80 bonnes pratiques illustrées par des exemples québécois. Normes 1 à 7 : Pour des organismes de conservations solides Normes 8 à 12 : Pour des projets de conservation réussis
[email protected] (514) 792-6138
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 9 h 30 à 10 h 30 — Niveau 201 (intermédiaire) salle
Les données sur la biodiversité : où les trouver, comment les utiliser ? Louise Gratton (consultante)
Louise Gratton détient une maîtrise en biologie de l’UQAM (1981). Elle est consultante en écologie et conservation et cumule 35 ans d’expérience dans ces domaines dont 12 années pour Conservation de la nature Canada, à titre de directrice de la science pour la région du Québec. Louise Gratton est membre fondatrice et secrétaire du Corridor appalachien et siège au conseil d’administration de Deux pays, une forêt depuis son origine. Ces deux organisations sont vouées à la protection et au développement durable des écosystèmes des Appalaches nordiques. Son implication dans la conservation des milieux naturels lui a valu de nombreux prix, dont le prix Porteur d’espoir du Jour de la Terre, le prix PierreDansereau décerné par l’Association des biologistes du Québec et le prix Consciencia Hommage du Conseil régional de l’environnement de la Montérégie.
[email protected] (450) 242-3555
Plan de formation Un survol des sources de données sur la biodiversité et des limites de leur utilisation. Définition de la biodiversité Les écosystèmes àà Milieux forestiers àà Milieux humides àà Milieux aquatiques àà Milieux ouverts naturels et anthropiques Les espèces àà Habitats fauniques àà Espèces fauniques menacées et vulnérables àà Espèces floristiques menacées et vulnérables àà Espèces exotiques envahissantes Les aires protégées et d’intérêt écologique àà Aires protégées publiques àà Aires protégées privées àà Sites d’intérêt pour la biodiversité Autres sources d’informations pertinentes
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Vendredi 9 h 30 à 10 h 30 — Niveau 301 (avancé) salle
Un projet de conservation, ça rapporte combien ? (partie 1) Yves Bourassa (Environnement Canada)
Yves Bourassa est diplômé en foresterie et possède une maîtrise en économie de l’environnement. Il est chargé de cours en économie de l’environnement à l’Université de Sherbrooke et directeur de la division de l’analyse réglementaire et de l’évaluation à Environnement Canada. Depuis plus de 27 ans, il est économiste de l’environnement dans le secteur public, pour Ressources naturelles Canada, Parcs Canada et Environnement Canada. Il a notamment travaillé avec les communautés du Canada atlantique afin d’intégrer l’économie à la résolution de défis environnementaux. Yves Bourassa développe des cadres d’analyse économique afin d’estimer les bénéfices attachés aux biens et services écologiques pour les projets d’évaluation environnementale ou lors du développement de règlements environnementaux. Ses efforts permettent de traduire en termes monétaires les dommages environnementaux afin de mieux cerner les compromis environnementaux reliés à la prise de décision.
Plan de formation (parties 1 et 2) Détermination de la valeur des services écologiques Les différentes approches d’intégration des compromis environnementaux Bénéfice public ou privé : quelle approche à privilégier ? Valeur de l’utilité en soi et de l’utilité d'échange
[email protected]
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 11 h à 12 h 15— Niveau 101 (débutant) salle
Le répertoire des milieux naturels protégés Eduardo Fonseca et Delphine Favorel (Réseau de milieux naturels protégés)
Eduardo Fonseca est diplômé en gestion de l’environnement et détient une maîtrise en environnement et développement durable de l’Université de Montréal. Il cumule plusieurs années d’expérience en projets de développement durable dans des pays du sud comme le Brésil, le Sierra Leone et Haïti. Au Québec, Eduardo Fonseca a travaillé pour la Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP). Il y était responsable de l’élaboration du rapport d’évaluation de la mise en œuvre des Objectifs d’Aichi. Il est également coordonnateur du Réseau de milieux naturels protégés (RMN).
[email protected] (514) 441-3012
Delphine Favorel est diplômée de l’Université de Montréal en environnement et développement durable et possède une maîtrise en biologie. Son sujet de recherche portait sur la fragmentation et la connectivité de la forêt boréale soumise à l’aménagement forestier. Delphine Favorel s’est notamment intéressée à l’analyse spatiale de la forêt résiduelle au cours du temps. Elle s’occupe désormais de la gestion des données des milieux naturels protégés.
[email protected] (438) 877-8774
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Plan de formation Le Réseau des milieux naturels protégés La conservation en terres privées Le Répertoire de milieux naturels protégés par des intervenants non gouvernementaux
Vendredi 11 h à 12 h 15 — Niveau 201 (intermédiaire) salle
Travailler avec les villes : comment le faire ? Caroline Cormier (Réseau de milieux naturels protégés)
Caroline Cormier est biologiste, spécialisée en conservation et en environnement. Elle cumule 15 années d’expérience en gestion de projets et est impliquée auprès du conseil d’administration du Réseau de milieux naturels protégés (RMN) depuis 2006, y occupant le poste de présidente depuis 2012. Auparavant, Caroline Cormier a travaillé pour Nature-Action Québec de 2001 à 2012. Elle y a développé le domaine de la gestion des milieux naturels, contribuant à l’émergence de plusieurs projets tels le Corridor forestier du mont Saint-Bruno et le projet Protection et développement durable du mont Yamaska. Elle s’est investie pendant 10 ans au développement du Plan de gestion durable du mont Rougemont en réalisant des démarches de conservation volontaire et de protection légale sur plus de 1 130 hectares et avec une centaine de propriétaires. Caroline Cormier a également travaillé à des projets de connectivité et participé au mouvement de la Ceinture verte de Montréal. Œuvrant maintenant dans le domaine municipal, elle coordonne des projets en environnement, et assure le développement de politiques et de plans d’action.
Plan de formation Le Réseau de milieux naturels protégés travaille à promouvoir le mouvement de la conservation de milieux naturels au Québec. Mieux comprendre les outils disponibles et les collaborations réalisables à l’échelle locale pour assurer la conservation des milieux naturels Utiliser les outils municipaux pour intégrer la conservation des milieux naturels aux projets Comment organismes et municipalités peuvent-ils travailler ensemble ? Exemples inspirants pour illustrer les collaborations possibles pour le bienêtre des collectivités
[email protected] (514) 272-2666, poste 25
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 11 h à 12 h 15 — Niveau 301 (avancé) salle
Un projet de conservation, ça rapporte combien ? (partie 2) Yves Bourassa (Environnement Canada)
Yves Bourassa est diplômé en foresterie et possède une maîtrise en économie de l’environnement. Il est chargé de cours en économie de l’environnement à l’Université de Sherbrooke et directeur de la division de l’analyse réglementaire et de l’évaluation à Environnement Canada. Depuis plus de 27 ans, il est économiste de l’environnement dans le secteur public, pour Ressources naturelles Canada, Parcs Canada et Environnement Canada. Il a notamment travaillé avec les communautés du Canada atlantique afin d’intégrer l’économie à la résolution de défis environnementaux. Yves Bourassa développe des cadres d’analyse économique afin d’estimer les bénéfices attachés aux biens et services écologiques pour les projets d’évaluation environnementale ou lors du développement de règlements environnementaux. Ses efforts permettent de traduire en termes monétaires les dommages environnementaux afin de mieux cerner les compromis environnementaux reliés à la prise de décision.
[email protected]
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Plan de formation (parties 1 et 2) Détermination de la valeur des services écologiques Les différentes approches d’intégration des compromis environnementaux Bénéfice public ou privé : quelle approche à privilégier ? Valeur de l’utilité en soi et de l’utilité d'échange
Vendredi 13 h 30 à 15 h — Niveau 101 (débutant) salle
Le paysage : un levier d’attachement au territoire
Réjean Dumas (Fiducie Écosystèmes Lanaudière), Gérald Domon et Olivier Craig-Dupont (Université de Montréal), Louis-Philippe Rousselle-Brosseau (École d'urbanisme et d'architecture du paysage)
Réjean Dumas est titulaire d’un B.Sc. en biologie, spécialisation en écologie de l’Université McGill. Il effectue présentement un maîtrise sur les liens entre la biodiversité et le paysage à la Faculté d’aménagement de l’Université de Montréal. Il a vécu et travaillé dix années en milieu nordique pour la Société Makivik au Centre de recherche du Nunavik dont il est le co-fondateur. Pendant cinq ans, il a été gestionnaire au ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche (devenu Environnement et Faune) dans les régions des Laurentides et de Lanaudière. Depuis 20 ans, il travaille en gestion de la faune dans la plaine du Saint-Laurent, particulièrement en conservation, aménagement et restauration d’habitat. Réjean Dumas est l’instigateur d’Écosystèmes Lanaudière, une approche du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, et du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, visant la conservation et la mise en valeur des écosystèmes et leur contribution au développement régional. Il a créé le Fonds Nature Madeleine-Auclair, à la mémoire de sa mère. Ce fonds soutient financièrement des projets liés à l’éducation, aux arts ou à l’activité physique menés par des organismes dans les milieux naturels protégés. Depuis 2007, le fonds a financé 18 projets dans le cadre d’une entente avec la Fondation de la faune du Québec. Il est fiduciaire de la Fiducie Écosystèmes Lanaudière, dont le mandat est d’assurer la protection perpétuelle et la gestion de milieux naturels dans la région.
Gérald Domon détient une formation en sciences biologiques (écologie végétale), urbanisme et aménagement du territoire. Il est professeur titulaire à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal et directeur scientifique de la Chaire en paysage et environnement. Au cours des dernières années, il s’est intéressé aux statuts de protection des paysages, et plus particulièrement au statut de paysage humanisé. Gérald Domon a dirigé un ouvrage sur le sujet, paru en 2009 : Le paysage humanisé au Québec, nouveau statut, nouveau paradigme. Par ailleurs, en compagnie de Julie Ruiz, il est l’auteur d’Agriculture et paysage, aménager autrement les territoires ruraux paru aux Presses de l’Université de Montréal en 2014 et de Paysages ruraux, méthodes d’état des lieux et de diagnostic paru à l’été 2015.
[email protected] (514) 343-6298
[email protected] Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 13 h 30 à 15 h — Niveau 101 (débutant) ...suite...
Olivier Craig-Dupont est titulaire d’un baccalauréat en sociologie des sciences à l’Université du Québec à Montréal, d’une maîtrise en études québécoises à l’Université du Québec à Trois-Rivières et d’un Master 2 en sociologie politique à l’Université Jean Monnet, en France. Il est présentement doctorant finissant au programme d’aménagement de la Faculté de l’aménagement de l’Université de Montréal. Depuis 2008, il est associé aux activités de la Chaire en paysage et environnement de cette même université. Dans sa thèse, sous la direction du professeur Gérald Domon, il analyse la transformation des paysages ruraux québécois en regard des initiatives d’aires protégées privées (fiducies foncières ; servitudes écologiques) et de leurs enjeux quant à l’aménagement durable et viable des ressources naturelles et paysagères. Olivier Craig-Dupont est l’auteur d’un chapitre de livre A Century of Parks Canada, 1911-2011, portant sur l’histoire du parc national de la Mauricie, et d’un article scientifique sur l’histoire de l’écologie scientifique à Parcs Canada dans les années 1970 au Québec (dans Scientia canadensis, 2012 [35] 1). Ses plus récentes recherches seront publiées dans un numéro spécial de Recherches sociographiques sur l’environnement au Québec.
[email protected]
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Louis-Philippe Rousselle-Brosseau est titulaire d’une maîtrise en architecture de paysage de l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage (ÉUAP) de l’Université de Montréal. Son parcours professionnel s’articule autour des questions de l’aménagement régional, de la participation citoyenne, de la viabilité et de la revitalisation des communautés. De 2009 à 2013, sous la direction de Gérald Domon et de Julie Ruiz, il a collaboré au projet de recherche sur les paysages de la MRC des Maskoutains. Il a aussi travaillé pendant 4 ans à titre de chargé de projet pour l’organisme Rues principales, qui œuvre à la revitalisation des quartiers anciens de Saint-Jeansur-Richelieu. Depuis 2011, LouisPhilippe Rousselle-Brosseau enseigne les notions d’espace régional à l’ÉUAP, à titre de chargé de formation pratique, Il a aussi pris part à plusieurs colloques à titre de conférencier et formateur. Aujourd’hui, il est propriétaire de l’Atelier Le Méandre, jeune boîte spécialisée dans la pratique du paysage à l’échelle régionale. Il collabore ainsi à divers projets de mise en valeur du territoire en partenariat avec des MRC et organismes de développement.
[email protected] (514) 836-3671
Vendredi 13 h 30 à 15 h — Niveau 101 (débutant) ...suite...
Plan de formation Fondements et principes du paysage et des facteurs d'attachement Aspects liés au paysage dans les modes et les approches de conservation Méthodes et exemples de propositions d'aménagement dans des milieux naturels par des étudiants en architecture du paysage Cas concrets d'utilisation de propositions paysagères dans des milieux naturels aménagés
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 13 h 30 à 15 h — Niveau 201 (intermédiaire) salle
Les projets de conservation notariés Romy Bazo et Anne-Marie Robichaud (Nature-Action Québec)
Romy Bazo est chef du service d’acquisition, gestion et mise en valeur des propriétés pour la conservation chez Nature-Action Québec. Elle est responsable de mener à bien les dossiers d’acquisition et de donation. Elle est également chargée de projets senior chez Nature Action Québec. De 2006 à 2010, elle était responsable du projet de protection et de mise en valeur du Corridor forestier du Mont-Saint-Bruno.
Plan de formation
[email protected]
Exemples de questions :
Anne-Marie Robichaud possède un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal, ainsi qu’une maîtrise en gestion de l’environnement. Elle travaille en tant que chargée de projets pour Nature-Action Québec depuis maintenant cinq ans. anne-marie.robichaud @nature-action.qc.ca
Mesdames Bazo et Robichaud ont déjà réalisé plusieurs projets d’acquisition pour la protection à perpétuité des milieux naturels riches en biodiversité. Parmi leurs réalisations d’équipe on remarque entre autres : la protection de 100 hectares dans le boisé du Tremblay (Boucherville), de 230 hectares dans le bois de Brossard, de 12 hectares dans le bois du Mont-Saint-Bruno (Sainte-Julie) et de 110,5 hectares au mont Rigaud. 32
Cet atelier porte sur les projets d’acquisition, les organismes de conservation et le financement pour la protection des milieux naturels. Nous souhaitons répondre à VOS questions. Votre participation et les échanges dans l’audience sont essentiels à la réussite de l’activité. Vos questions, avant et pendant l’atelier, sont les bienvenues !
Outre les avantages environnementaux, quels sont les avantages pour un propriétaire privé de céder sa propriété ou une partie de celle-ci à un organisme de conservation ? Possédez-vous des terrains en copropriété (ex. : organisme et municipalité) ? Vous arrive-t-il de refuser un terrain ? Si oui, pourquoi ? Comment couvrez-vous les frais annuels de vos terrains ? Comment constituer un fonds de gestion ?
Vendredi 13 h 30 à 15 h — Niveau 301 (avancé) salle
Impacts de la conservation sur le budget des villes Dominic Thibeault (Ville de Trois-Rivières)
Dominic Thibeault est titulaire d’un baccalauréat en biologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières et d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke. Il est présentement coordonnateur du développement durable à la Direction de l’aménagement, gestion et développement durable du territoire de la Ville de Trois-Rivières. Dominic Thibeault est membre de l’Association des biologistes du Québec. Il cumule plus de quinze années d’expérience dans les domaines de la conservation et de la gestion environnementale, dont sept ans pour la Ville de Trois-Rivières.
[email protected] (819) 472-4641 poste 2339
Plan de formation L’aménagement du territoire, une compétence partagée àà Survol des types d’organisations municipales et des lois qui régissent les activités des villes Survol de la fiscalité municipale : àà Informations sur le budget annuel et les emprunts, sur les programmes triennaux d’immobilisation, sur l’évaluation et la taxation Impacts de la conservation : àà Liens entre la conservation des biens et services écologiques et le budget municipal àà Impacts financiers d’une démarche de conservation pour une organisation municipale Études de cas : àà Mises en garde àà Étude de cas de quatre organisations municipales et de leur approche économique de la conservation Conclusion : àà Constats et pistes d’actions
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 15 h 30 à 17 h — Niveau 101 (débutant) salle
Le don écologique comme outil de conservation : rappels et nouveautés Luc Robillard (Environnement Canada) et Steeve Morasse (MDDELCC)
Luc Robillard travaille comme biologiste au Service canadien de la faune d’Environnement Canada depuis 2001. Il y coordonne le Programme des dons écologique pour le Québec et côtoie ainsi régulièrement plusieurs organismes de conservation dans le cadre de projets d’acquisition de droits réels de propriétés à des fins de conservation. Son travail l’amène aussi à réaliser des inventaires fauniques et des suivis de populations d’oiseaux dans différentes régions du Québec. Fort d’une vingtaine d’années d’expérience à titre d’administrateur d’organisme dans la région de Lanaudière, Luc Robillard s’intéresse à la conservation des sites naturels, que ce soit par le biais des outils étatiques ou par les techniques de l’intendance communautaire.
[email protected] (418) 649-6136
Steeve Morasse est bachelier en biologie, option écologie. Au cours de sa carrière, il a œuvré à titre de chargé de projet en contrôle de l’érosion des sols, à l’aménagement d’habitats (protection de la faune), à la protection de l’environnement dans le milieu industriel (foresterie et aluminerie), de même qu’à titre de gérant d’un territoire public de chasse, de pêche et de villégiature. Depuis avril 2006, Steeve Morasse est chargé de projet à la reconnaissance des réserves naturelles pour le Service des aires protégées du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les Changements climatiques (MDDELCC). Depuis janvier 2013, il agit également à titre de coordonnateur provincial des « visas fiscaux » (dons écologiques).
[email protected] (418) 521-3907 poste 7095
Plan de formation Depuis 1995, les lois fiscales accordent un traitement avantageux aux propriétaires de milieux naturels qui font don d’un terrain ou établissent une servitude de conservation au profit d’un bénéficiaire admissible. Le don écologique peut ainsi s’avérer une alternative aux acquisitions de terrains, certes onéreuses, mais parfois nécessaires à la création d’aires de conservation. Cette 34
présentation effectuera un survol des principales caractéristiques du don écologique et des avantages et conditions qui s’y rattachent, tant pour les propriétaires que pour les organismes bénéficiaires. Les démarches nécessaires à la présentation d’une demande pour fins d’attestation seront également discutées.
Vendredi 15 h 30 à 17 h — Niveau 201 (intermédiaire) salle
La gestion des propriétés protégées Caroline Gagné (Conservation de la nature Canada)
Caroline Gagné est biologiste de formation, détentrice d’un baccalauréat en sciences environnementales de l’Université d’Ottawa et d’une maîtrise en biogéosciences de l’environnement de l’Université de Laval. Depuis 2009, elle travaille pour Conservation de la nature, région du Québec. Elle est chargée de projets pour l’Outaouais et est notamment responsable de la mise en œuvre des activités de protection et d’intendance des terres dans la vallée de l’Outaouais et la vallée de Gatineau. Ses tâches incluent la coordination des projets d’acquisition, de connaissances des espèces en péril, l’identification des priorités de conservation, l’acquisition de terrains, la gestion des milieux naturels protégés, la réalisation d’activité d ’amélioration de l’habitat et la collecte de fonds. Caroline Gagné siège également aux équipes de rétablissement des tortues du Québec et de la rainette faux-grillon de l’Ouest, et est membre du Groupe provincial de mise en œuvre (GMO) des tortues musquées et mouchetées.
Plan de formation Par quoi commencer ? Comment bien connaître son territoire et évaluer les risque ? Quoi inclure dans son plan de gestion ? Quels types d’actions se fixer pour atteindre ses objectifs ? Comment trouver des alliés ? Le financement des activités d’intendance à court et à long terme
caroline.gagne @conservationdelanature.ca (819) 205-9440
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi 15 h 30 à 17 h — Niveau 301 (avancé) salle
Les enjeux financiers de la conservation Discussion animée par Pierre Valiquette (Réseau de milieux naturels protégés)
Pierre Valiquette est architecte paysagiste. Il possède une solide expérience en planification, conception et exploitation de parcs et d’équipements récréotouristiques en milieu naturel et en milieu urbain. Depuis 1976, il réalise des mandats liés à l’aménagement du territoire, à la protection du patrimoine et à la mise en valeur touristique en utilisant l’approche du développement durable. Il propose régulièrement le concept d’intendance communautaire orienté vers la collaboration entre les intervenants privés, publics et communautaires afin de réaliser des projets de protection et de mise en valeur de milieux naturels et patrimoniaux. Conseiller et conférencier, Pierre Valiquette favorise la gestion patrimoniale des ressources naturelles et collectives. Il s’intéresse particulièrement à l’eau et aux plaines inondables. Il a entrepris un doctorat en études urbaines auprès de l’INRSUrbanisation, Culture et Société. Son projet de thèse porte sur les « Stratégies de protection des milieux naturels en milieu urbain, le rôle des organisations communautaires ».
[email protected] (514) 974-1558
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Sujet de la discussion La présentation d’Yves Bourassa (Environ nement Canada) a abordé la valeur économique des projets de conservation. Celle de Dominic Thibault (Ville de Trois-Rivières) nous a expliqué l’impact des interventions de conservation sur le budget des municipalités. Les organismes de conservation propriétaires de terrains affectés à la conservation ont l’obligation, comme tout propriétaire, de payer des taxes municipales. Dans certains cas, les organismes peuvent être exemptés de taxes ou bénéficier d’une réduction de taxes. Pour les municipalités autant que pour les organismes de conservation, ces taxes récurrentes sont un enjeu majeur. Nous allons bièvement présenter la position du RMN sur ce sujet et des démarches effectuées pour la faire connaître. Nous discuterons ensuite en table ronde du fondement de cette position et des stratégies que nous devrions mettre de l’avant au cours des prochaines années.
samedi 8 h 30 à 11 h 30
Visite de la réserve naturelle Alfred-Kelly Guidée par Claude Bourque, président du Comité régional pour la protection des falaises (CRPF)
Claude Bourque est biologiste de formation (M. Sc.), spécialisé en environnement et en conservation. Durant quelques années, il a œuvré à titre de consultant pour le secteur privé et enseigné la biologie au secondaire et au collégial. Il a aussi agi comme formateur en pédagogie au niveau universitaire. En 2003, il est devenu cofondateur du Comité régional pour la protection des falaises (CRPF). À la retraite depuis 2010, Claude Bourque promeut la cause de la conservation des milieux naturels auprès des élus et de la population régionale et agit comme administrateur dans la gestion de la réserve naturelle du Parc-desFalaises, propriété du CRPF. Il est aussi membre du comité consultatif de gestion de la réserve naturelle AlfredKelly, propriété de Conservation de la nature Canada.
Plan de formation Histoire du Parc-des-Falaises Défis passés, présents et futurs du Parc-des-falaises : àà Aux yeux du CRPF àà Aux yeux des instances municipales Le CRPF en bref
[email protected] (450) 335-0506
© Parc des Falaises Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
© Parc des Falaises 37
samedi 8 h 30 à 10 h 30 — Niveau 101 (débutant)
salle
La connectivité, ça se planifie Andréanne Blais (Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec) et Louise Gratton (consultante)
Andréanne Blais est biologiste, spécialisée en conservation volontaire et en planification de la conservation des milieux naturels. Elle cumule douze années d’expérience auprès d’institutions scolaires, de firmes privées et d’organismes sans but lucratif. Elle œuvre présentement au Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec où elle travaille à la protection des habitats de plusieurs espèces en situation précaire, à la prise en compte des milieux naturels par les municipalités, à la conservation des milieux humides et des écosystèmes forestiers exceptionnels et à la consolidation des corridors naturels. Andréanne Blais est aussi administratrice de Nature-Avenir, un nouvel organisme de conservation voué à la protection, la mise en valeur et la restauration des milieux naturels centricois.
[email protected] (819) 475-1048 poste 213
Louise Gratton détient une maîtrise en biologie de l’UQAM (1981). Elle est consultante en écologie et conservation et cumule 35 ans d’expérience dans ces domaines dont 12 années pour Conservation de la nature Canada, à titre de directrice de la science pour la région du Québec. Louise Gratton est membre fondatrice et secrétaire du Corridor appalachien et siège au conseil d’administration de Deux pays, une forêt depuis son origine. Ces deux organisations sont vouées à la protection et au développement durable des écosystèmes des Appalaches nordiques. Son implication dans la conservation des milieux naturels lui a valu de nombreux prix, dont le prix Porteur d’espoir du Jour de la Terre, le prix PierreDansereau décerné par l’Association des biologistes du Québec et le prix Consciencia Hommage du Conseil régional de l’environnement de la Montérégie.
[email protected] (450) 242-3555
Plan de formation Concept de connectivité àà Structure d’un réseau écologique àà Répercussions positives et négatives Planification de la connectivité àà Étapes essentielles àà Choix d’une méthode 38
Projets de connectivité àà Internationaux àà Nationaux àà Régionaux Implication des acteurs et des citoyens
samedi 8 h 30 à 10 h 30 — Niveau 201 (intermédiaire) salle
Outils technologiques en conservation (partie 1)
Éric Malka, Geneviève Poirier-Ghys, Ludyvine Millien (Centre de la nature du mont Saint-Hilaire) et Marie-Michèle Rousseau-Clair (Conservation de la nature Canada)
Éric Malka est détenteur d’une maîtrise en sciences de la Terre (géologie) et d’un baccalauréat en géographie physique. Il est directeur du Centre de la nature du mont Saint-Hilaire, un organisme dont la mission est de protéger des milieux naturels et d’offrir au public un accès et des activités compatibles avec les objectifs de conservation. Depuis 22 ans, Éric Malka travaille avec les équipes de gestion des visiteurs ainsi qu’à l’acquisition de milieux naturels et à la remise à l’état naturel. À titre de gestionnaire de l’organisme. il représente le Centre auprès du milieu des affaires, des instances politiques locales, provinciales et nationales. Toujours à l’affût des innovations, Éric Malka conçoit et maximise l’utilisation et les retombées des outils technologiques et cartographiques afin de soutenir la mission de l’organisme qu’il gère.
[email protected] (450) 467-1755 poste 226
Geneviève Poirier-Ghys est détentrice d’un baccalauréat en biologie, d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke et d’un diplôme de 2e cycle en éducation relative à l’environnement. À titre de responsable de la conservation pour le Centre de la nature du mont Saint-Hilaire, elle supervise les équipes de travail et gère la planification et la réalisation des projets de conservation. Depuis plus de dix ans, Geneviève Poirier-Ghys travaille donc avec les acteurs du milieu afin d’allier la conservation des milieux naturels, l’aménagement du territoire et la participation des citoyens.
[email protected] (450) 467-1755
Ludyvine Millien est détentrice d’une maîtrise en images, multimédias et science territoriale. À titre de responsable de la conservation au Centre de la nature du mont Saint-Hilaire, elle supervise les équipes de travail et gère la planification et la réalisation des projets de conservation, dans une perspective de protection et de bonne gestion des milieux naturels. Elle est plus spécifiquement responsable du département de géomatique. Depuis 2002, Ludyvine Millien travaille donc en partenariat avec les municipalités, les entreprises et les organismes de la région pour la protection de milieux naturels.
[email protected] (450) 467-1755
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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samedi 8 h 30 à 10 h 30 — Niveau 201 (intermédiaire) ...suite...
Marie-Michèle Rousseau-Clair est biologiste de formation, détentrice d’une maîtrise en montage et gestion de projets en aménagement du territoire, et d’un diplôme supérieur en gestion et développement durable. Depuis 2007, elle travaille pour Conservation de la nature Canada et agit actuellement à titre de directrice de la conformité en intendance à l’échelle nationale. À ce titre, elle est responsable des normes et pratiques en intendance, notamment en ce qui a trait à la collecte des données. MarieMichèle Rousseau-Clair veille à ce que les pratiques de Conservation de la nature soient toujours à la fine pointe en matière de gestion des milieux naturels. Elle est également membre du conseil d’administration du Centre de la nature du mont Saint-Hilaire depuis 2010. marie.rousseau @conservationdelanature.qc.ca (514) 688-1665
Plan de formation La carte topographique, la boussole et le crayon à mine sont toujours utiles pour nous aider à protéger les milieux naturels. Mais, aujourd’hui, pour effectuer le même travail, on a accès aux GPS à haute précision, aux applications pour tablettes, aux formulaires web, aux images satellitaires, aux podcasts, voire même aux détecteurs à ultrason et aux drones. Cette multitude d’outils technologiques peut simplifier la collecte, l’analyse et le transfert de données. Plus encore, ils deviennent des outils de présentation et de communication qui permettent une meilleure compréhension des enjeux et la participation des citoyens et partenaires en vue de favoriser la conservation des milieux naturels. Les outils technologiques peuvent toutefois être dispendieux, complexes et superflus s’ils sont mal utilisés. À travers des exemples concrets, nous explorerons donc les meilleurs choix qui s’offrent à vous en fonction de vos objectifs, du potentiel des outils, de leur coût et de l’expertise nécessaire.
Partie 1. Survol des outils disponibles
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samedi 8 h 30 à 10 h 30 — Niveau 301 (avancé) salle
Municipalités et conservation, à la croisée des chemins Jean-François Girard (Centre québécois du droit de l’environnement)
Jean-François Girard est biologiste et avocat, spécialisé en droit de l’environnement et en droit municipal, Il pratique au sein du cabinet d’avocats Dufresne Hébert Comeau où il offre depuis 2002 une expertise particulière aux municipalités qui désirent relever les défis du développement durable et qui veulent améliorer la qualité du milieu de vie de leurs citoyens. Me Girard est également membre du conseil d’administration du Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE), où il a auparavant été responsable du secteur Conservation et biodiversité, ce de septembre 1998 à janvier 2002. En plus de publier des articles dans des revues spécialisées, Jean-François Girard présente régulièrement des conférences et des séminaires de formation aux élus et aux groupes de citoyens dans les domaines du droit et de l’environnement. Il est également conférencier régulier des Ateliers de conservation des milieux naturels, ce depuis les tout débuts de l’événement.
Plan de formation L’adoption des plans métropolitain d’amé nagement et de développement (PMAD) dans les communautés métropolitaines de Montréal et de Québec a provoqué une certaine effervescence dans les municipalités. Ces dernières doivent maintenant adapter leur réglementation afin de protéger davantage les milieux naturels. Des modifications réglementaires sont en cours, ce qui provoque de vives réactions de la part de promoteurs immo biliers et de propriétaires fonciers. Des recours judiciaires viennent d’être entrepris, notamment à Léry et La Prairie. Les enjeux, importants, se chiffrent en millions de dollars. Plus que jamais, les municipalités sont maintenant placées à la croisée des chemins en matière de développement de leur territoire et de conservation des milieux naturels. Quelles seront les conséquences des dossiers judiciaires en cours pour l’ave nir de la conservation ? C’est ce dont nous discuterons dans cet atelier.
[email protected] (514) 331-5010 poste 5723
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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samedi 11 h à 12 h 15 — Niveau 101 (débutant) salle
Rédiger un plan de conservation : guide extra ! Kateri Monticone (Conservation de la Nature Canada)
Kateri Monticone est biologiste de formation. Elle détient une maîtrise en Sciences de l’environnement (2007) de l’Université de Québec à Montréal. Au cours de sa maîtrise, elle a travaillé comme chercheuse au Centro de Investigaciones de Ecosistemas, à Cuba (2004-2006). Elle est actuellement coordonnatrice en chef à la science pour Conservation de la nature Canada, région du Québec. Depuis 2008, elle y a développé et mis en œuvre des stratégies de conservation de milieux naturels en terres privées, en collaboration avec des scientifiques, des collectivités locales, des municipalités, des propriétaires, des organismes, des gouvernements. Kateri Monticone a mené avec succès divers projets tels que activités de recherche, d’intendance et de mise en valeur, ainsi que des acquisitions de terrains d’une importante valeur écologiques. Elle est également responsable de la conception de plans de conservation. kateri.monticone @conservationdelanature.ca (418) 609-2208
Plan de formation Les Normes ouvertes pour la protection de la nature (Open Standards) correspondent à un cadre conceptuel reconnu mondialement pour la planification de tout projet de conservation des espèces, des écosystèmes et des aires protégées, peu importe l’échelle, le durée et la portée du projet. La conception et la réalisation d’un plan de conservation efficace dépendent, entres autres, de la participation des parties prenantes déterminantes : personnels d’ONG, chercheurs, membres de la communauté, employés de municipalités ou du gouvernement, donateurs, membre de la communauté internationale et toute autre personne ou institution ayant des intérêts ou des liens avec le projet. Vue d’ensemble des Normes ouvertes Conceptualisation d’un projet de conservation Analyse de situation : implication des parties prenantes et développement d’un modèle conceptuel Planification des actions et du suivi : introduction au plan d’action
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samedi 11 h à 12 h 15 — Niveau 201 (intermédiaire) salle
Outils technologiques en conservation (partie 2) Éric Malka, Geneviève Poirier-Ghys, Ludivyne Millien (Centre de la nature du mont Saint-Hilaire) et Marie-Michèle Rousseau-Clair (Conservation de la nature Canada)
Éric Malka est détenteur d’une maîtrise en sciences de la Terre (géologie) et d’un baccalauréat en géographie physique. Il est directeur du Centre de la nature du mont Saint-Hilaire, un organisme dont la mission est de protéger des milieux naturels et d’offrir au public un accès et des activités compatibles avec les objectifs de conservation. Depuis 22 ans, Éric Malka travaille avec les équipes de gestion des visiteurs ainsi qu’à l’acquisition de milieux naturels et à la remise à l’état naturel. À titre de gestionnaire de l’organisme. il représente le Centre auprès du milieu des affaires, des instances politiques locales, provinciales et nationales. Toujours à l’affût des innovations, Éric Malka conçoit et maximise l’utilisation et les retombées des outils technologiques et cartographiques afin de soutenir la mission de l’organisme qu’il gère.
[email protected] (450) 467-1755 poste 226
Geneviève Poirier-Ghys est détentrice d’un baccalauréat en biologie, d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke et d’un diplôme de 2e cycle en éducation relative à l’environnement. À titre de responsable de la conservation pour le Centre de la nature du mont Saint-Hilaire, elle supervise les équipes de travail et gère la planification et la réalisation des projets de conservation. Depuis plus de dix ans, Geneviève Poirier-Ghys travaille donc avec les acteurs du milieu afin d’allier la conservation des milieux naturels, l’aménagement du territoire et la participation des citoyens.
[email protected] (450) 467-1755
Ludyvine Millien est détentrice d’une maîtrise en images, multimédias et science territoriale. À titre de responsable de la conservation au Centre de la nature du mont Saint-Hilaire, elle supervise les équipes de travail et gère la planification et la réalisation des projets de conservation, dans une perspective de protection et de bonne gestion des milieux naturels. Elle est plus spécifiquement responsable du département de géomatique. Depuis 2002, Ludyvine Millien travaille donc en partenariat avec les municipalités, les entreprises et les organismes de la région pour la protection de milieux naturels.
[email protected] (450) 467-1755
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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samedi 11 h à 12 h 15 — Niveau 201 (intermédiaire) ...suite...
Marie-Michèle Rousseau-Clair est biologiste de formation, détentrice d’une maîtrise en montage et gestion de projets en aménagement du territoire, et d’un diplôme supérieur en gestion et développement durable. Depuis 2007, elle travaille pour Conservation de la nature Canada et agit actuellement à titre de directrice de la conformité en intendance à l’échelle nationale. À ce titre, elle est responsable des normes et pratiques en intendance, notamment en ce qui a trait à la collecte des données. MarieMichèle Rousseau-Clair veille à ce que les pratiques de Conservation de la nature soient toujours à la fine pointe en matière de gestion des milieux naturels. Elle est également membre du conseil d’administration du Centre de la nature du mont Saint-Hilaire depuis 2010. marie.rousseau @conservationdelanature.qc.ca (514) 688-1665
Plan de formation La carte topographique, la boussole et le crayon à mine sont toujours utiles pour nous aider à protéger les milieux naturels. Mais, aujourd’hui, pour effectuer le même travail, on a accès aux GPS à haute précision, aux applications pour tablettes, aux formulaires web, aux images satellitaires, aux podcasts, voire même aux détecteurs à ultrason et aux drones. Cette multitude d’outils technologiques peut simplifier la collecte, l’analyse et le transfert de données. Plus encore, ils deviennent des outils de présentation et de communication qui permettent une meilleure compréhension des enjeux et la participation des citoyens et partenaires en vue de favoriser la conservation des milieux naturels. Les outils technologiques peuvent toutefois être dispendieux, complexes et superflus s’ils sont mal utilisés. À travers des exemples concrets, nous explorerons donc les meilleurs choix qui s’offrent à vous en fonction de vos objectifs, du potentiel des outils, de leur coût et de l’expertise nécessaire.
Partie 2. Démonstration et exemples concrets
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samedi 11 h à 12 h 15 — Niveau 301 (avancé) salle
Méli-mélo d’embrouilles en conservation : démêlons-nous ! Jean-François Girard (Centre québécois du droit de l’environnement)
Jean-François Girard est biologiste et avocat, spécialisé en droit de l’environnement et en droit municipal, Il pratique au sein du cabinet d’avocats Dufresne Hébert Comeau où il offre depuis 2002 une expertise particulière aux municipalités qui désirent relever les défis du développement durable et qui veulent améliorer la qualité du milieu de vie de leurs citoyens. Me Girard est également membre du conseil d’administration du Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE), où il a auparavant été responsable du secteur Conservation et biodiversité, ce de septembre 1998 à janvier 2002. En plus de publier des articles dans des revues spécialisées, Jean-François Girard présente régulièrement des conférences et des séminaires de formation aux élus et aux groupes de citoyens dans les domaines du droit et de l’environnement. Il est également conférencier régulier des Ateliers de conservation des milieux naturels, ce depuis les tout débuts de l’événement.
Plan de formation Si le mouvement de la conservation volontaire a atteint une vitesse de croisière depuis plusieurs années, ses acteurs sont régulièrement et de plus en plus souvent confrontés à des difficultés qui soulèvent plusieurs questions juridiques. Par exemple, un voisin « enclavé » peut-il exiger un droit de passage à travers une réserve naturelle qui ’interdit la circulation de véhicules motorisés ? Qu’est-ce qui doit primer, la réserve naturelle ou le droit de passage ? De plus, ces derniers mois, plusieurs batailles ont été menées par le CQDE en faveur de la protection d’espèces en péril. Quelles ont été ces batailles et pourquoi ont-elles eu lieu ?
[email protected] (514) 331-5010 poste 5723
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Storytelling Ateliers pour tous
samedi 13 h 30 à 15 h
salle
Une meilleure cartographie des milieux humides, pour une meilleure gestion municipale Michèle Turcotte (mairesse de Saint-Étienne de Bolton) et Caroline Daguet (Corridor appalachien)
Lauréat de la 3e édition du gala reconnaissance Villes et villages à la Rescousse (2013). La municipalité de Saint-Étienne-de-Bolton a posés des gestes concrets afin de protéger la biodiversité, les habitats fragiles et les paysages. Ainsi, la municipalité a procédé à la validation, à la caractérisation et à la cartographie des milieux humides localisés sur son territoire, en commençant par le périmètre urbain et par la zone autour des monts Gauvin et Foster (zone de paysage naturel d’intérêt supérieur). La municipalité compte également mettre à jour son plan d’urbanisme afin d’éviter l’empiètement de tout futur projet de développement sur ces milieux sensibles. La munipalité a également procédé à une modification réglementaire concernant la zone de paysage naturel d’intérêt supérieur, ce afin de densifier les lots voués au développement immobilier et ainsi viser la préservation d’une grande proportion de territoire fragile. Partenariat entre la municipalité de Saint-Étienne-de-Bolton, Corridor appalachien et le ministère des Ressources naturelles (Direction générale de l’expertise sur la faune et ses habitats). salle
Cohabiter avec la nature : de la planification aux actions concrètes Denise Papineau (municipalité du Canton de Shefford) et Martine Ruel (Corridor appalachien)
Lauréat de la 4e édition du gala reconnaissance Villes et villages à la Rescousse (2014). La réserve naturelle du Canton de Shefford est constituée de quatre secteurs distincts : parc de l’Impasse du Plateau, parc Jean-Paul-Forand, parc des Montagnards et le parc de la rue Chagnon. Cette réserve permet la protection d’habitats d’importance sur une montérégienne, notamment pour la salamandre sombre du nord et la salamandre pourpre. Bien que les quatre secteurs ne soient pas reliés entre eux, ils possèdent tous le même statut d’aire protégée, à perpétuité. En partenariat avec le Corridor appalachien, la conférence des élus de la Montérégie (CRRNT), le ministère du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte aux Changements climatiques (MDDELCC) et Environnement Canada (PIH). Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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samedi 13 h 30 à 15 h
salle
Urbanova, un projet exemplaire de développement durable Marc Léger (Ville de Terrebonne) et Romy Bazo (Nature-Action Québec)
Lauréat de la 5e édition du gala reconnaissance Villes et villages à la Rescousse (2015). Terrebonne souhaite devenir une référence en matière de développement durable, de conservation et de mise en valeur des milieux naturels. À cet effet, avec la mise en œuvre du projet Urbanova, sur la Côte Terrebonne, la Ville se doterait du premier quartier durable de cette envergure au Canada selon la Fédération canadienne des municipalités (FCM). Le projet comprendrait près de 463 hectares d’aires protégées composées de boisés, du Coteau, de milieux humides et de bandes riveraines. Appelé « Corridor de biodiversité », une grande partie du territoire ciblé par ce projet de conservation est de tenure privée. Partenariats entre la ville de Terrebonne, les promoteurs immobiliers et NatureAction Québec.
salle
Conservation du corridor Châteauguay-Léry Christian Cléroux (Ville de Châteauguay) et Marc Delage (Nature-Action Québec)
Lauréat de la 4e édition du gala reconnaissance Villes et villages à la Rescousse (2014). Acquisitions par la Ville de Châteauguay de terrains dans le corridor vert Châteauguay-Léry. Le projet représente des investissements majeurs : les deuxtiers des sommes investies seront assumées par le Gouvernement du Québec et par la Communauté métropolitaine de Montréal. Les acteurs municipaux se sont impliqués de façon remarquable avec les groupes environnementaux locaux pour la protection de cette richesse écologique. Réalisé en partenariat avec la Communauté métropolitaine de Montréal, Conservation de la nature Canada, le gouvernement du Québec, les Immeubles commerciaux et industriels Carrier inc., Héritage Saint-Bernard et Nature-Action Québec.
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samedi 13 h 30 à 15 h
salle
Protection du massif des falaises Piedmont-Prévost-Saint-Hyppolyte Clément Cardin (municipalité de Piedmont), Germain Richer (Ville de Prévost), Bruno Laroche (municipalité de Saint-Hypolite) et Claude Bourque (Comité régional de protection des falaises)
Lauréat de la 2e édition du gala reconnaissance Villes et villages à la Rescousse (2012). La municipalité a reçu un hommage pour ses nombreuses initiatives visant la protection de la biodiversité du massif des falaises dans son secteur avec, par conséquent, la protection de l’habitat des oiseaux de proie du Québec. Une belle façon de féliciter Saint-Hippolyte de se porter à la rescousse de la faune et de la flore des escarpements, que ce soit par l’acquisition de terrains ou par la création des sentiers écologiques. En collaboration avec la Société canadienne pour la conservation de la nature (CNC) et le Comité régional de protection des falaises (CRPF).
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Évaluez les formations
Pourquoi et comment ? Par souci d’amélioration, les organisateurs de cet événement souhaitent connaître vos commentaires pour chacune des formations (ateliers pour tous et storytelling) et pour l’événement en général. Des félicitations ? Des critiques ? Des recommandations ? Nous sommes preneurs !
Dès la fin de chaque atelier, repérez la fiche d’évaluation correspondante. Au recto, cochez le titre de l’atelier concerné. Si l’atelier est présenté en deux parties, cochez la ou les parties auxquelles vous avez assisté (vous pouvez ainsi évaluer une partie ou la totalité de l'atelier sur un seul et même formulaire. Répondez aux affirmations en utilisant la cotation suivante, selon le cas : -- - + ++
= Totalement en désaccord / J’ai détesté = En désaccord / Je n’ai pas tellement aimé = En accord / J’ai aimé = Totalement en accord / J’ai adoré
S’il-vous-plaît, évitez d’annoter les évaluations avec des demi-points ! Si aucun des choix n’est applicable, rayez la ligne ou inscrivez-y s/o (sans objet). Au verso, inscrivez vos commentaires. Nous les lisons toujours avec intérêt ! Sitôt complétée, détachez la fiche de votre cahier. Remettez-la à un bénévole, ou déposez-la à la sortie de la salle ou sur la table d’accueil et inscription. Samedi, 15 h 30. Avant de nous quitter, pensez à compléter l’évaluation générale. Vous contribuerez ainsi à l’amélioration de cet événement.
Merci pour le temps accordé !
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Vendredi, 9 h 30 à 10 h 30 Nouveau guide des bonnes pratiques en intendance privée Prunelle Thibault-Bédard
Les données sur la biodiversité : où les trouver, comment les utiliser ? Louise Gratton
Un projet de conservation, ça rapporte combien ? partie 1 et partie 2 Yves Bourassa
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) formateur(s) ou de la (des) formatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise me sera utile.
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Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi, 11 h à 12 h 15 Le répertoire des milieux naturels protégés Eduardo Fonseca et Delphine Favorel
Travailler avec les villes : comment le faire ? Caroline Cormier
Un projet de conservation, ça rapporte combien ? partie 1 et partie 2 Yves Bourassa
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) formateur(s) ou de la (des) formatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise me sera utile.
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Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Vendredi, 13 h 30 à 15 h Le paysage : un levier d’attachement au territoire Réjean Dumas, Gérald Domon, Olivier Craig-Dupont et Louis-Philippe Rousselle-Brosseau
Les projets de conservation notariés Romy Bazo et Anne-Marie Robichaud
Impacts de la conservation sur le budget des villes Dominic Thibeault
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) formateur(s) ou de la (des) formatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
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Vendredi, 15 h 30 à 17 h Le don écologique comme outil de conservation : rappels et nouveautés Luc Robillard et Steeve Morasse
La gestion de propriétés protégées Caroline Gagné
Les enjeux financiers de la conservation Animation : Pierre Valiquette
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) formateur(s) ou de la (des) formatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
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Samedi, 8 h 30 à 11 h 30 Visite de la réserve naturelle Alfred-Kelly Claude Bourque
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cette visite.
La visite était bien structurée et facile à suivre.
La visite me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du formateur Il était à l’aise avec le sujet traité.
Il a utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il a répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de la visite a bien répondu à mes besoins.
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Samedi, 8 h 30 à 10 h 30 La connectivité, ça se planifie Andréanne Blais et Louise Gratton
Les outils technologiques en conservation partie 1 et partie 2 Éric Malka, Geneviève Poirier-Ghys, Ludyvine Millien et Marie-Michèle Rousseau-Clair
Municipalités et conservation, à la croisée des chemins Jean-François Girard
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) formateur(s) ou de la (des) formatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
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Samedi, 11 h à 12 h 15 Rédiger un plan de conservation : guide extra ! Kateri Monticone
Les outils technologiques en conservation partie 1 et partie 2 Éric Malka, Geneviève Poirier-Ghys, Ludyvine Millien et Marie-Michèle Rousseau-Clair
Méli-mélo d’embrouilles en conservation : démêlons-nous ! Jean-François Girard
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Qualité générale de l’atelier De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) formateur(s) ou de la (des) formatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
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Samedi, 13 h 30 h à 15 h Une meilleure cartographie des milieux humides [...] Michèle Turcotte et Caroline Daguet
Cohabiter avec la nature de la planification aux actions concrêtes Denise Papineau et Martine Ruel
Urbanova, un projet exemplaire de développement durable Marc Léger et Romy Bazo
Conservation du corridor Châteauguay-Léry Christian Cléroux et Marc Delage
Protection du massif des falaises Piedmont-Prévost-Saint-Hyppolyte Clément Cardin, Germain Richer, Bruno Laroche et Claude Bourque --
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Qualité générale de la présentation De façon globale, je suis satisfait(e) de cette présentation.
La présentation était bien structurée et facile à suivre.
La présentation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
Qualité du (des) présentateur(s) ou de la (des) présentatrice(s) Il(s) ou elle(s) étaient à l’aise avec le sujet traité.
Il(s) ou elle(s) ont utilisé des moyens didactiques appropriés.
Il(s) ou elle(s) ont répondu adéquatement aux questions.
Qualité du contenu Le contenu correspondait à la description inscrite au programme.
Le contenu de la présentation a bien répondu à mes besoins.
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Évaluation générale
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Nouvelle image des Ateliers Logo Site web Inscriptions par Eventbright
Hébergement Choix de la ville d’accueil (facilité d’accès, etc.). Choix du site (qualité de l’établissement) Confort et commodité des salles (aménagement, température, etc.). Confort et commodité des chambres (propreté, isolation, etc.) Qualité des repas (fraîcheur, variété, abondance, etc.)
Organisation Qualité et efficacité de l’accueil. Qualité et pertinence du matériel (cahier du participant, etc.). Efficacité du découpage de l’horaire global (temps alloué aux ateliers, pauses, etc.). Efficacité du déroulement de chaque formation (temps pour présentation, temps pour questions, etc.)
Contenu Qualité et pertinence du mot de bienvenue (conférence d’ouverture). Qualité et pertinence des ateliers pour tous. Qualité et pertinence des storytelling. Qualité et pertinence du mot de fermeture.
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vers l’écoresponsabilité Notre engagement, en partenariat avec l’Hôtel & Spa Mont Gabriel : Hébergement et restauration
GOLF
Économie d’énergie et d’eau par réduction de la fréquence de lavage des serviettes (chambres occupées par les mêmes clients pendant plus d’une nuit).
Voiturettes électriques.
Depuis 2014, économie d’énergie, d’eau et de savon à la buanderie de l’hôtel (nouvelle machine à laver). Présence de bacs de recyclage dans les chambres et dans tous les bureaux de l’hôtel. Utilisation de papier recyclé pour les activités quotidiennes d’impression (imprimantes et photocopieurs). Achat de papier hygiénique fait de matériaux recyclés. Récupération et recyclage de l’huile de cuisson (envoi dans un centre spécialisé).
Entretien du terrain sans insecticide ou herbicide. Utilisation contrôlée de fongicides afin de préserver les zones de protection autour des lacs (en collaboration avec la municipalité de Sainte-Adèle et Environnement Canada). Utilisation d’engrais organique sur les verts au moins deux fois par année.
L’Hôtel & Spa Mont Gabriel demeure à l’affût des nouvelles tendances. Il cherche toujours à s’améliorer en adoptant de nouvelles habitudes de travail. Il cherche à inculquer ces valeurs à tous ses employés afin que ces derniers soient conscientisés à la protection de notre environnement.
Utilisation de serviettes de table en tissu (à la salle à manger en soirée et à la demande de certains groupes).
Ateliers sur la conservation des milieux naturels 2015
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Octobre 2015, Sainte-Adèle (Québec)
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