Untitled - Unil

S'ótant gorgé comme s'il avait bu du vin ; il t'ni,lrÃ¥"ri, ,o31,)^ Prt'o* qrrand il s'cst gotgó dc neclrr ; c'cst àu. 1ä rin n'exiálait pas encolc' ['a Nuit' dans urplteÙ' ...
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Y 598

PORPTTYRE

L'ANTIIE DES NYLTPITES

599

ont facile d'expliquel pourrluoi lloulèr'e a réscrl'é lc nord aux nii¿i au* cliäux, au lieu d'uiiiiser plutôt en la oircilconstance le levant,ct le couchant: clans prosquc tous lcs

consacré cc lieu aux divi_ cette consécr,ation h sagcssc

hurnains, fó

sancluaires, ].a statuc et l''entrée ne sont-'cllcs pas toulnées vers l'cst ? Ccr-rx qui y pónòtrent; r'egalclcnt I'ers l'oucst, quand, debout facc à la siatJrc, ils adlesscnt à la c'livinitó leui:s pliòres ,et leul culte.

4. Toutes ocs

tenant

cLe tre

obscuritós accumulécs

font quc ce r'écit

ne

e.

-t-eìle quc l,ol rechcrcli ct

5. l-cs anciens consaclaient, ciì!erncs au nìonrlc, soi I'rrnc orr l'arri.rc rlc scs

bplc rlc la matiòre qrLi parl,aicnt cle là pour. grol lcs rcpr'óscnf aicnI porrl nuy les grottes sonf crr nf[,,1. ]o

découvrir.

Du point de vu,c de I'exaciitudc góographique, on peut oer'tairrelnãnt taxer clc négligcnoe tres auteurs clont I'opinion est ohoisissons la lccturc de M : oúòavòc ê1Xeo¡rÉvtov a,.rcun dcs liquides vclsés (dans cc-s rúcipicnls) ne se par lui (t{omère) ¡. Lcs divers óditcurs ont a(trotç

(t) p. 56, r? : nous aÛtQrãpelle¡r¡rávou, t¡ouvant rnenl,iomó

au licu de øÜtti,.

u

(r) p. 5f, i , *n). taüte öpetà alv*¿ &xoútov Nauck : xaì tnõtc ôpeeà eÏuär M. Dn lisant g".or'ou.oc, lc texto de M devient très satisf ri",iàoui" sant.

av,oc

raison cornme symbole des prrrpriétós quc l,uniyers doit

à la matièr.e. n'ÍlÐn,L

to'rin,; i:,,:-:ï','":,';î:l

aJoutó

lar

l\atrck n'est pas indispensablo.

PORPËIYfr¿

600

I,'ANTIlll DES I\'lyMpÍlUS souf'{lo

c.[o

Mrrse r]ise son chant rìivin. Et sur r'ó1.rarr,la.t lôrrrs e,'ux, eìles appor'r.cnt lrrrx mor.tels lu 'i;"i"1."'ir,l.'." J'lrrI irrlrtli.s;rlrlt' ilo lcur.s tlorrt.cs urrrics > (d*,*;, (J,..,

6. Bn tant que matière' le obscur, rnais gr'âce à la forme à I'0rcanisation qu'il lcçoit iI cst"beo.u ct chãr'mant' On P

Ie sol pa.rrrrt

IrI,

Osf).

apr,òs c Cìr

"#"niÏti.'iJå,:"îiîîlïä¿ :f "conduc_

une

,eu reffctr

tlioês

r

(Gcn''I' z)' lo soullle do Dieu se mouvait au-ilossus

raison' croiont clue toutcs ies diviLes Eç-ptiens, pour Ia même

;itót"Ït'îie'neni lott pu1 sgr.la ir;;ï". : Ie soleil aussi et to savcnt nécessarrernt"i--q"t-

ff;;åT: rlloarner

I*

Il'or\ la iio,t.nr sul les eaux' lltle nrol'[ dr: t[cvt'ni' ( noru'los ântes c'est un Pl.^i','l: et non pi\s ; lt,,n,iil", > (l/olso/;'?' zz ß 11) \") la chu[e clans la génór'ation' roul elles c'est un plaisir que iléraclitc dit ailleuls qttc rrolrc tnolt à ( Iìous vivorrs Ia rnort cle ces âmes' elles vivcnt '.rouo-,,

(Volsolu't, ibid')'

lrrrmicìcs

(i) )

ceux gut

\/oilà poulquoi lc pog.t^o afrf]cllc..< lrumi'lc' Ces âóes airncttt le sortl cn vic, ccux ¿onì I'e*o'õst nouroelles des plantes ont pcur sang et la sernenoe*ittt"úJt ; tihrle I'cau. êtres qui' -*'t 1111:-1":* * L1. Certains alfirrnent qrc trcs mdnÉcs *î;t"t:;:ilÏ: å'tupttt"' dans le ciel se "otttt'ì'"t

ql"]

fleuves, . ou cloyaient .que Ic. t

mer

qui monÍent t{c la uÅr* de sources ou li sortent de Ia terre. -di; f1;rl'"'es des -irbeliiLx de rivières' qui

; la lune, oe .

3;Ï $î,ü"Ïlï.;*iqo'ot genl,cs

irro..,

(/r) Àu licu dc tåpr!'v q'," lo,trngm".''

¡r"ì'

lJiols supposc 0úvatov' porl'ó tlans notro tcxlc' l(ra'z proposc t' v"rì oivr'tov'

o'"u'XÏii"!'i;;;' I

ôáuo'ou

uïuT

".".'"i., o;l i,l' ,:tÌ' ;:. 'i;ì" it',.,i¿",ct i ".. I..,. i'"::l l: ï:î;";iJ"r¡';rór'ar'ion synonynlo dc viv:tnl' mot cst .1" auc Porplty,.o ' ò'-Pd:';"; i; ;;;Ì i Qv i' ; iru-i'ìitó, "r' "ilT::"1*:,l,lJlït1äjjll;l

"'piìq";ìl pourquor J,"l".u¡,ilr",u.ìrt la mort' Voilù r' ceur qui n'ont Plus do sòvo

lcs

L'ANTRE DES

NYIWPHT]S

603

víìpOlrrs tlc Ia [el'l't'. ["es âm'os pal' consórJuenf, et cclles rrui song cr-rrponcJlcs t't ccllcs t¡rri sont irrcolporôllcs mais lrainunl. un

et lout spécia]emcnt lcs ârnes prôles à sc lier. à du sangr e[ à cles co.ps humidcs, touûes oes ânies doivcnt nécessair.eme't so tou.ner r,ers J'élémcnt, hurnide et prcndr.c consistalce en s'inrpf^égnant rl'humiclité. -Voilà pourqúoi bile ct sang, par leur e.lfusion, atlir,err[ 1c) lcs âmei dcj molls ; et ocilõs qui aspirrent à.'n,co'ps irnprègne'l cl'hruriclil.é tre pncuma qu'eil,es trãi_ nent, ¿ì I'instar d'un nuagc dc'l'air, en se - c'cst l'humidité conclen_sant, qui constituc' tre nuage : et une fois oonclensé, en elles, _l'excès de pncurna humide- (r), elles sont visibles ;- e t c'cst dc rlanièrc analogue qu. lcs ânics qui sc próscnteut is) I oertains 'en vision donnenl ã leul pn.,r,nã I'apparcncc dc 'fantô¡nes. I,cs i,mes_pures, ,elles, se détournent ãõ la génération. Comrne clit lIér.acliio lui-nri,me : colps,,

< I'ârnc sèche est lrr plus sago

)

(Vorsoh.l

, rz B rrB)

1s¡.

Voilà pou.quoi enc,ore, ici-bas, qua'd on désir.e l'union sexuelle, on mou_illo son pneuma, o' augmcnfe son humictité : ca' l,àme tra.inc dc. la. v.rpcur htuniCr,, apròs la procluction (r0) tle cc qui (rolr, sorvtr a la rcprocluctron,

L2,. carner. jeunes ti¡óe à cles ea

donc lcs ârnes qui yoni s,intl'app,eler < nymphc,s r lcs conti.ãctent n',esi-clic ¡ras .lesrouturne aussi clc lcs baigirei. ar"ec fontaincs au jaillisscní.nt "o¡rtinu (rox"¡. Mais pour. les âmes qui s'initiení ¿ lu vie clans-la nal,ure et pour les génies des naissanoes, le moncl,e cst u' lieu (6) p. 64, ¡3-r4. Irlous choisissons la lcçon .. a',y.øra ê1¡úoer ngotoéneo0zr(vorl¡c au rnoy"rr).

de lf . : òrò zrì 7o),ì,v

. (f) p- 6d, r7-r8 : ici encorc, nous trarluisous sur le texte clc [f,

2r.,,

bien

: nz¡uv0évtoç ô, èv rûrøìç t.ù nveú¡røroç ú^ycoù ,,.),aovio¡rou. (8) p. 64, rg : rìorrs lisons avnc [I r'i ouvzvr,-orr. (g) cu f.agment d'I{ér'aclite rrous esl pa¡venu do diverses sorrrces sou6 plusieurs for.mcs différentes. Cf. Vorsoh,l , I, r77, noto. (.t") p. 64, z5 : nous tratìuisons le texto ¿e 'nt ¿x tlc ngò; civ 'suitc 1åveorv 1svéoet,,rç. Si I'on gardc veúoetoç, il faut trarlui.e : ( par dti ,lósir (qui la porte) vors la génór.ation r. et ens, comportcnt .rne qu , mort. D'où les préur n, leul iit nuptial : in aux soulces où l,ao., s, rcl.ros, ctc, Cf. BoucnÉ_Lncr,nncq, arL Lustrotio, dans Dict. des Ant. do Dar.-Sag., p. r4rg et rfizt¡, plus

.satislaisant

60r

PORP¡iyRE

des courants d'eau vive'

L'ANTRE DES

NYMPHES

605

ou les liens qui attachent l'âme à lui. C'est ainsi que dans Orphée on nous montre Coré, éphorre de tous les êtres à train de tisser' ; les anciens ont par ailleurs nommé Ie ciel un voilc, qui envelopperait les dieux celestes. selnenoe, 'en

15. Pourquoi

clonc les amphor'es sont-elles remplies, non pas

? Le poète dit en effct que dans ces amphores cles abeilles construisent leurs rayons. Cela veut dire qu'elles y dóp,osent I'eur nourritur',e. Or nourriture 'et boisson (rs) dcs abcilles, c'est le miel. Les theologiens clonnent au rniel plusieur,s symbolisrnes diver,s, paroe qu'il renferme plusieurs propriétés, ayant à Ja fois la vertu d,e purifier et celle de conscryer. Grâoe au miel, biea cles ch.oses rcstent à I'abri de la corruption, ,et les bl,essures anciennes sont nettoyées au miel. II ,est d'autre part doux au palais, et extrait des fleurs par les aboilles, -- abeilles qui peuvent le cas échéant naitre cles bceufs. Dans les mystères léontiqu,es, quand on vers,e sur les mains des initiés pour les purificr du miel au lieu d'eau, on leur demande de galder leurs mains punes dc tout ce qui pourrait causer chagrin, clomnage ou souillure ; et le feu étant, pour un myste, le grand purificateur, on lui fait cles ablutions spéciales (tu), "n excluant I'eau comme l'ennemie du freu. On lui purifie également avec du miel la lang'uc de tout péché. cl',eau, mais de layons de miel

des os; La chail s'élabore en eff'et clans les-os et autour êt¡æ vivants, des lïntérieur à plrr". clelniers sont hienä."tules métiers pourquoi ä'ö".räï*¡f""t"ä î"r'li.ror.. Voin

or

ocs

16. Bt lolsqu'on offre du miel au Perse (tz) en tant quo

prol.ecteur des fruits, c'est Ia vertu proúectrioe du miel qu'on voit dans oe symbole. Certains ont cru par .suite que le nectar et I'ambroisie, qure le poèüe fait instiller dans les narines des morts pour empêcher la corruption, pouvaient fort bien être le miel, le miel ét¿nt un aliment des dieux. Voilà pourquoi Homère appelle quelqr-le part (11., XIX, 38) tre n'ectar ( rouge > : c'est Lo sens est clair

:

si les os no sont pas tout à fait de la picrre, ils ressenr-

blent fort en tout cas à do la pierre.

(t5) p. 66, zz :

lignes plus bas' doux ôä taõt¿ èv (tirorç (lì) it¿l i, 66, 7 : nous lisons )'iOac

trl0orc Èo,*6¡a"

nous lisons avec He¡chcr póorç òà :taì tóorç.

(16) Co sonl ces vlntpc. avec du miel.

(r7) Mithra.

PORPHyR¿,

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à neu p¡'òs la coirlcur cìu rniol ( Ic'micf ? Nous examincl'ons ccl chez Orlhóe, on voit Cronos to embirchcs de Zeus. S'ótant gorgé comme s'il avait bu du vin ; il t'ni,lrå"ri, ,o31,)^ Prt'o* qrrand il s'cst gotgó dc neclrr ; c'cst urplteÙ' suggèrc àu. 1ä rin n'exiálait pas encolc' ['a Nuit' dansmiel : il"";; tr.*ot à Zcus le coup de rrtse avec lc < Ouancl ttr le verras, sous le haut fcuillage !les cliônes' s'eniv[atrt > d,r p;;J;it clcs bourclonnautes abeiiles' attache-le'

' Ouranos r"Jiit,- "o-rit. n"tit "r"t clire quc Ie P u.tt tu genéraLiã 3"ir"r"r ifs- ¿..rotL.nt certiines puissanoe C'est cc qui arrive

on

le

te alléet tres

L'ANT'[ìU ÐDS

*

h*YMPI]ES

607

ct palt là-haut ll (tc). [,cs prôtrcsscs de Déméter, par.oc Er'ellos par.tici¡laicnt a*x mys_ tòr'cs clc la clóosse chthonienne, se-nomtna-ient ri abeilles , , teime qui s'applique égaIement aux âm'es, puisqu',elles sont, en soi ou (11.,

< secouan[ les portes solides eu suppliant son

V, 75r ; VIII, 395). C'es[ pour cela qu'clles sonf mugissanües, car les coups de tonnerre passent par les nuages : < D'elles-mêmes mugirent les poltes du ciel, que garcìaient les

, (11.,\, lltg; VIII, 393). 28. II parle aussi quelque (Or¿., XXIV, rz) en songeánt sont les limites de sa course : cend vers le sud et de là il Heurcs

sotreil >. corne. Ce éal il clesbor'éales.

Los.coura¡ts

de PaYs éloignés' . Vorsok,7, zz A,5r (I, 16z, 3-[). Porphyre cite d'al¡orcl lc début, avcc urìc variante que connalt aussi Plutarque: nctrivtovo6 áp¡r. : cf. note de Kranz, dans Vorsoh,I, ad locum. Puis il cite une deuxième forrrrule qui paraplrrase Hóraclite, folt probablement: tc,{eÚet ôtà tóv èv¿y¡íov (s. e. I'archer). (rg) Il n'est question, daus Hésiode, que d'une jarre, Pandore ôte son couverclo et tous les maux se disperscnt. Dans I'exégèse do Porphyre, la jarre qui se répantl, c'est l'ûme qui laisse perdro toutes sos richesses ; ct Pandorc ouvrant, la jarre syrnbolise le plaisir qui disperse l'âme. (3o) Porphyro fait sans doute allusion au cratère du Tímëe (4r d) où lo démiurgo mélango le Même et l'Autre pour former l'âme du Torrt, puis Iorme los mólenges d'où sorlonl les dive¡ses catégories d'âmes.

pORpHyR"E

614

L'ANTRE DES

NYMPHES

615

et tliéÓMais I'exposó des doctrines d,es anciens.philosophcs

trop troin : -no.ls pensons ilil; ;;ã;ia pas nous cntraïner avons dit' toutæ les nor¡rs quo o0 par l"åi;.., i"åJ;ril; intentions ds Ia descriPtion'

exposcr lo symbolisme-que pcut bicn avoir là. Bñ vórité, oet arbre ottre un cârtclere r55s2 non pas sur tre côté' extraorclinaire : on nous dit qu'il a poussé' : somûlet au mai¡ en panache' et < Sur le sommet du port, un olivier au^'feuillage p.;t d. t"i "". grotte > (Od'' XIII' roz-3)' Iit le croile, un simPle hasarù lui, oet arbne, I'exPlication du tre monde ne s'ost Pas fait à t l'æuvre de la sagesse de Dieu

32. Il resle à

I'oúvier pìantó

a trouvó l'cndroit

äu** ,o--.t

aPProprió cn

ao p'o'*=ç"¿;J,l

I îg.ît,#$iîî

tuî:r":i"Jg:

qu'il est I'æuvre cl'un êtro -uit ãoute séparée de lui mais sans ãtt oä tôt" d. l'cnsemble du Port'

aru",l,

8.*. il faut donc, nous clit llornèr,e, déposer dans oette grotte tous les biens d'origine extérieure ; il faut se mettre ã ro, revôtir la livróe du lnendiant, sc lacérer le corps, rejeter tout le superflu, se détourn,el des sens : et alors,^ délibércr aveo Athéna, assis avec elle au piecl dc l'olivier, sur la manière dont ou se dóbarlassera de touDes les passions, traîtresses ennemios de notro âme.

prcsente un'e par38. Albre à feuillage p'ersistant' I'olivier. que subisvicisiitudes lcs avec f"il-;;-r.åpport à ticu_larité tout

a Jusqu'à ce que tu anives. pròs des hommes qui ignorent la mer et. rre mangent pas de nourriture mêlée de sel marin ) (Od., XI, r 22 scl.). [-e moncle cle la matiènc, chez Flaton aussi, s'appelle mer, grand large, flots agités (3b).

3,5. Clest la raison, aussi, je pense, qui lui a fait donner au polt Ie nom de Phorkys : < C'est un port cle Pholkys, le vieillarcl de la mer, (OI..,XIII,96),

4).

sur sa placo dans la (3r) Sur Athéna, hég6monique du rnonde' et z8 r ' u tì1tc ', ct. suPra, P. t¿;aí¡"" sur sonI d'un ve¡t sornbre sur uno face' (32) Lcs {etrillcs fc'rillos jeuncs lcs printcmps' o¿' la 'tin clu l'aut.c d'un blu"" "";;;;"i' faco blanche' : lcur face vcrte est tournés n""' ii""l"u ;^ c'est la se cìressent

tournée vers l'extérieur' qu'on tPer 133) Bn hivcr, lcs feuillcs sc

d'"ìflnu"t, parce qrr'cllc a

Perdr

au sol. C'óst lo côtó vcrt des 13ú) La ramurè de I'olivicr' qtt tantôt blanchàtrc, figuro le passago rupplian!s.

(35) Cf. l'exégèse de Calypso, s¿¿prd, p. d6r sq. La grande lauto d'Ulysro contre Pos6idon esl