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T xt s d Sa nt J
3 0 n ovem bre : Ma rie, plein e Ams d D u, 292
Il peut sefaireque, parmi vous, que habituel denotrevie, neseprêtepas aussi purequeNotreDame. Jevousi mêmesansyfairespécialement atte deDieu nous animeet quenous tra qui est bon, propre, cequi apportela sont toujours là? C’est vrai ; mais p avecdavantagedeclartéquenotreo serein, humain et surnaturel. Une c Mère, Marie a joui ici-bas de ce bon Père, du Fils et del’Esprit Saint, en qui s’est donnéeauSeigneur dèsson qui amisaumondeNotreSauveur, q idéauxseréalisent enelle; nousned sagrandeur nouslarendent inaccess de toutes les perfections et elle es obtiendracequenouslui demandons aussi en tant queMèrequ’elleconn excuse, ellerendfacilelechemin, elle rienn’est pluspossible.
Sa nt Rosa r , comm nta r au
Une fois accompli le temps de la pu l’Enfant pour le présenter au Seign
1 er de´cembre: Notre Me` re a` t Ams d D u, 276
LaMaternitédivinedeMarieest lara dont elleest ornée. À cetitre, ellea vierge, montéeauxcieuxencorpset entière, au-dessus des anges et des vierge, pour êtreMèredeDieu, poss Dieu, bieninfini. Aucunrisqued’exag ineffable; nousnesauronsjamaisas SainteTrinitéqu’ellenousaprocurée
S llon, 801
Ya-t-il un cœur plus humain que ce PenseàSainteMarie, lapleinedegrâ deDieuleSaint-Esprit : il yaplaceda rencesni discriminations. —Chacun
Quand l Chr st pass , 140
Jean, le disciple bien-aimé de Jésus vie. Les auteurs spirituels ont discern adresséeàtousleschrétiens, pour q cesprécisionssont presquesuperflue quions, quenousnousapprochionsd’ maternel, enlapriant de«semontrer prier, qui vamêmejusqu’àdevancer n rapidement ànotreaide, enmontrant ses enfants. Chacund’entrenous, lo
de´cembre: Marie, Ma tre Quand l Chr st pass , 174
Le Seigneur vous a sans doute déj réponse fidèle de la Très Sainte Vi nous invitent à la prendrepour mod sagénérosité, safidélité... Jevoudr tous, car il est laconditionduprogr Si nousvoulonsprofiter desgrâcesq àtout moment lesinspirationsdel’E attacher sérieusement àdévelopper nous cacher dans l’anonymat; si la avec Dieu, ellen’existepas. Lasupe dans lalutteascétique, équivaut às nous recherche un par un et nous d puisquetum’asappelé. Nous sommes des chrétiens ordinai nosactivitésempruntent desvoiesn Nosjournéessemblent toutespareil qui paraît si commune, aunevaleur ner dansnosoccupations, et animer
Quand l Chr st pass , 174
Pensez à cela dans la prière. Profite alors que vous serez pleinement co partout. Voilàlapremièreleçonque Jésus-Christ. Cetteleçon, c’est Mar
3 de´cem bre: Marie, em me
Ams d D u, 284 Maîtressedefoi. Oui, bienheureusec l’accueille, quandNotreDamepart, d deMarieavait étéunemerveille: jes taparole. ÀlanaissancedesonFils unchœur d’angesest là, et lesberge adorer l’Enfant. Maispeuaprès, laS intentionscriminellesd’Hérode. Ensu ordinaire, commecelled’unefamille
Ams d D u, 204 Adressons-lui, nousaussi, cesparole jecrois. J’ai apprisàcroireentoi, et dema vie, j’ai imploréta miséricord engendrer tant demerveillesdansle moi àcroire, plus, mieux !
Quand l Chr st pass , 173 LaViergen’apasseulement dit sonf cisionfermeet irrévocable. Faisons nousdécouvrironscequ’Il veut, et s et àl’êtrevraiment. Car cen’est pas
de´cem bre : Marie, Me` re du Ams d D u, 277
JesuislaMèredubel amour, delac uneleçonqueSainteMarienousrap d’un cœur sensible et passionné pou l’Église. Il nes’agit pasden’importe trahisons, lescalculs, lesoublis. Unb aleDieutroisfoisSaint, qui est det Mais il a aussi été question de cra denous écarter del’Amour. Car Die comme ayant peur de nous donner. délicats. Lacraintequeletextesacré del’Écriture: j’ai cherchécelui quem trouvé. Celapeut arriver, quandonn dire. Il arrivealors quelecœur sela Seigneur. Et alorsnousleperdonsde qui secache: lui seul sait pourquoi. Il et, enledécouvrant, nousnousécrie
Ch mn, 144
C’est lapuretétransparentedetoute Lesautresapôtresfuient leGolgotha N’oubliepasquelapuretéraffermit,
Ams d D u, 183
Notre cœur est né pour aimer. Or q
de´cem bre : ain te Marie, Ams d D u, 286
Maîtresse d’espérance. Marie procl bienheureuse. Humainement parlant les hommes et pour les femmes d’a Judith, Esther, Déborah, obtinrent dé par le peuple, exaltées. Le trône de pendant lerestedesonexistence, ju âme, c’est saprésencesilencieuseq bien, notequ’elle était aux côtés de éternellement louéedescréatures, t Comme l’espérance de Notre Dame dons souvent àDieu depayer dere plaignons à la moindre difficulté. N soutenu, et loindegarder l’espéranc parcequetuascruenl’accomplisse
Ams d D u, 221
Pleine d’espoir ! Tel est le prodige pérance, et d’Amour ; et l’Espéranc jevous ai écrit, jeunes gens, parce
de´cem bre : Marie, n otre re Ams d D u, 288
C’est aumoment duscandaleduSac avec tristesseles passants qui blasp détruis leTempleet en trois jours le descends de la croix ! ” Notre Dame douleur : « MonDieu, monDieu, pou Sefondredansl’amour rédempteur d uneépéetranchante, transperçait so Jésus sesent à nouveau réconforté Marienecriepas, Ellenes’affolepa alors queJésus laregarde, setourna fils. ” PuisIl dit audisciple. “ Voici ta leshommesàsaMèreet spécialeme Felix culpa chante l’Église, heureuse Rédempteur si grand. Heureuse faut recevoir SainteMariepour Mère. Nou préoccuper, parcequeNotreDame, c puissancesuppliantedevant Dieu. Jé delamêmeMère.
Ch mn, 508
Admirela forced’âmedela ViergeM douleur humaine—il n’est pasdedou meté. —Et demande-lui unpeudece
de´cembre: Marie, maitre
ee
Quand l Chr st pass , 173
Imitonsl’élégancenaturelleet surnat l’histoire du salut: en Elle, leVerbes témoindélicat, inaperçu; ellenetint p sa gloire personnelle. Marie est tém normaux si l’on peut s’exprimer ains desfoules, elles’efface. AJérusalem acclamécomme unRoi, Marien’est ont fui. Cetteconduiteal’allure, non saintetédesonâme.
Quand l Chr st pass , 172
Pour êtredivins, pour nous « endieu face à Dieu dans notre condition d’h apparente. Ainsi vécut Marie. Celle sance de Dieu, qui a étéétablieau-d existencenormale, Marie, est unec capabledejoieset d’allégresse, deso muniquelavolontédeDieu, NotreDa êtrelaMèreduMessie. Elleparlede profonde, queleTout-Puissant afait
Quand l Chr st pass , 148
N’oublions pas quela presquetotali sesont dérouléesd’unemanièrebien
de´cembre: ainte Marie, Quand l Chr st pass , 145
L’onnesaurait avoir avecMariedes soi, àses propres problèmes. L’onn avoir d’égoïstes problèmes personn mogenitus inmultis fratribus, lepre Jésus, c’est réaliser que notre vie servicedesautres. Un chrétien ne saurait s’arrêter qu’ tournéversl’Égliseuniverselle, enp
Quand l Chr st pass , 145
Danscet esprit-là, nosprières, même résolutionspersonnelsenapparence autres. Et si nousavançons delama sentions frères detous les hommes dont Elleest Fille, Épouseet Mère.
Quand l Chr st pass , 149
Soyezaudacieux. Vous comptezsur sans pour autant cesser de se com devant leurs responsabilités précise vie, Marieacceptetoujours deles a