Lexique

Acidification (d'un sol*) : l'acidité d'un sol* se définit par son potentiel hydrogène ...... Haie : barrière naturelle, faite d'arbres* et d'arbustes souvent sur des talus.
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A Abri : endroit où un être vivant* trouve refuge. Il sera alors protégé des pluies, du vent, du soleil*, du danger, etc. Acidification (d’un sol*) : l'acidité d'un sol* se définit par son potentiel hydrogène (pH). En dessous d'un certain seuil, le sol* est trop acide et l'activité biologique (fertilité*) s’en trouve réduite. La structure du sol* est aussi dégradée car l'acidité a une influence sur l’assimilation des nutriments et oligo-éléments par une plante. L’utilisation d’engrais* chimiques peut conduire à l’acidification des sols. Aération (bassin d’aération) : deuxième bassin d’une station d’épuration. Il est aéré mécaniquement, ce qui va permettre aux bactéries* présentes de s’y reproduire rapidement et ainsi accélérer l’absorption de la pollution. Agriculture : utilisation des milieux naturels* pour l’élevage* des animaux* et la culture des végétaux* utiles à l’homme* (culture de céréales, de fruits ou de légumes, élevage*, etc.). Agriculture biologique : agriculture* qui respecte les équilibres des écosystèmes*, préserve la qualité des sols* et le bien-être* des animaux*. Elle n’utilise donc pas de produits chimiques artificiels pour éliminer les plantes*, les animaux*, les champignons* ou les bactéries* dont on veut se débarrasser. Cette agriculture* permet de respecter la biodiversité*. Agriculture industrielle et agro-industrie : agriculture qui produit des aliments (végétaux* et animaux*) en grande quantité, en utilisant des engrais*, des pesticides* (pour vaincre les maladies), des herbicides* (pour tuer les mauvaises herbes) et d’autres produits chimiques ou pharmaceutiques (pour soigner les animaux*). Selon les écologistes, cette agriculture* n’est pas durable car elle use les sols* et les pesticides*

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sont souvent dangereux pour les végétaux*, les animaux* sauvages et la santé* de l’homme*. Agriculture raisonnée ou durable : agriculture* qui permet de respecter davantage l’environnement* que l’agriculture* classique. Elle évite d’utiliser trop d’engrais* chimiques ou de pesticides*. Les agriculteurs qui l’ont choisie, cherchent à limiter les mauvais effets de la production agricole sur les végétaux* et les animaux* sauvages, sur les sols*, sur l’eau, tout en pratiquant une agriculture* qui leur permet de vivre de façon correcte. Air : fluide gazeux, principalement composé d’azote* et d’oxygène*, constituant de l’atmosphère*. Altération : modification de la nature*, de la structure d’un élément (par exemple d’une roche*). Détérioration, dégradation. AMAP : Association pour le Maintien de l’Agriculture* Paysanne qui est un partenariat entre un groupe de personnes et une ferme. Le principe est la distribution de « paniers » composés des produits de la ferme. Les AMAP sont, pour le producteur, un moyen de gagner un salaire garanti et pour le consommateur un moyen de recevoir dans son panier, pour un prix raisonnable et équitable, des aliments frais, de saison, souvent biologiques, produits à partir d’une grande biodiversité* végétale* ou animale*. Ce système est donc bénéfique pour l’environnement* et notre santé*. Animal : les animaux sont l’une des quatre grandes familles d’êtres vivants* aux côtés des végétaux*, des champignons* et des bactéries*. Ce sont des organismes vivants ayant une alimentation soit carnivore, soit herbivore. Ils sont munis d’un système nerveux et de muscles qui leur permettent de se déplacer. Arbre : végétal* d’une certaine hauteur dit « ligneux » dont le tronc est enterré profondément grâce à ses racines et qui possède des branches munies de feuilles ou d’épines. Assainissement : processus permettant de rendre notre environnement plus sain. Cela comprenant l'évacuation et le traitement des eaux usées et de ruissellement, des déchets solides, etc. Assolement : division d’une parcelle agricole en vue d’y exercer des cultures différentes. Atmosphère : couche de gaz qui entoure la Terre. L’atmosphère terrestre se compose d’azote (78 %), d’oxygène (21 %) et d’autres gaz (1 %). Elle est indispensable à la vie car elle contient l’oxygène que nous respirons, nous protège des chutes de petites

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météorites, filtre les rayons ultra-violets très dangereux pour les êtres vivants* et stabilise la température. Sans l’atmosphère, la température de la Terre serait de 100°C. le jour et -150°c la nuit. Azote : élément chimique. C’est le composant majoritaire de l’atmosphère terrestre, on le trouve aussi dans les engrais minéraux.

B Bactérie : organisme vivant microscopique constitué d’une seule cellule*. Les bactéries sont présentes un peu partout : dans l'air, le sol, l'eau, la peau. Elles sont nécessaires à l’équilibre* des écosystèmes*. Certaines espèces* se nourrissent de matière morte et jouent un rôle important dans le recyclage des nutriments* et donc dans l’équilibre* de l’écosystème*. D’autres se nourrissent d’êtres vivants* : on les appelle parfois germes, car ils provoquent des maladies. Besoin : sensation de manque qui nous pousse à désirer des choses pour être bien. Le développement durable*, par exemple, est fait pour que les hommes* mais aussi tous les autres êtres vivants* vivent bien ou de mieux en mieux. Il permet donc de satisfaire les besoins de chacun. Bien-être : sensation de bonne santé* morale et physique qui survient quand on a satisfait ses besoins*. L’objectif d’un véritable développement durable* est le bienêtre* de tous les êtres vivants* sur Terre. Biodégradable : qui peut être totalement détruit par l’action de la nature* (notamment des micro-organismes). Un sac en papier par exemple est biodégradable. Le temps de décomposition varie selon la nature du papier. Afin d’éviter de brûler nos déchets* et donc de produire des gaz polluants ou de les entasser dans des décharges qui polluent le sol, une des solutions est l’utilisation d’emballages biodégradables. Car, toute ordure qui ne se dégrade pas est très souvent un poison pour la nature*. Il faut donc faire en sorte que nos déchets* ne cassent pas l’équilibre* des écosystèmes*. Biodiversité : diversité de tout ce qui vit, c’est à dire des espèces* (un ours, un lion, une gazelle, un baobab, un sapin, etc.), des gènes (les différentes races de chiens ou variétés de pommes par exemple) et des écosystèmes* (une forêt*, une mare, une souche d’arbre, etc.). Le terme de biodiversité signifie que la vie naturelle dure que si elle est variée et donc qu’elle réunit différentes espèces* de plantes*, d’animaux*, de champignons* et de bactéries*, qui vivent ensemble dans un écosystème* en équilibre*. Document réalisé par l’association e-graine pour sa mallette pédagogique “Le développement durable et moi : l’eau, l’air, le sol”. Reproduction et utilisation libres de droit. www.e-graine.org

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Biodiversité passée (ou fossile) : matière qui provient de la décomposition de végétaux* et d’animaux*, survenue il y a plusieurs millions d’années. C’est le cas du calcaire, issu de la décomposition de coquillages ; ou encore du pétrole*, du charbon* et du gaz naturel* provenant principalement de la décomposition de végétaux*. Biomasse : masse que représente la matière organique d’un milieu naturel*, c’est-àdire la biodiversité* vivante ou morte. Le fumier ou la bouse de vache, par exemple, sont de la biomasse qui peut servir d’engrais* ou permettre de produire du gaz. Boues d’épuration (boues de station d’épuration) : dans le quatrième bassin de la station d’épuration, les bactéries (micro organismes) s’alourdissent en absorbant la pollution contenue dans les eaux sales, puis ces dernières s’accumulent au fond du bassin et forment les boues d’épuration. Celles-ci sont composées essentiellement d’eau, de sels minéraux et de matière organique. Si certaines boues d’épuration peuvent être épandues en agriculture pour enrichir les sols, ce n’est pas le cas de toutes les boues. Leur composition doit être vérifiée car, selon le degré de pollution des eaux, les processus de traitement, ou encore d’autres facteurs elles peuvent contenir des micro organismes dangereux pour l’homme, les animaux et les végétaux.

C Carence nutritive : manque de substances nécessaires à la croissance et à l'équilibre d'un organisme animal* ou végétal*. Chez les végétaux*, la carence peut être primaire, lorsque des éléments nutritifs du sol* font défaut, ou induite, lorsque l’assimilation de l'élément nutritif par la plante* est contrariée par des conditions physico-chimiques défavorables. Par exemple, un excès de fertilisant peut perturber les mécanismes assimilateurs de la plante. CFC (chlorofluorocarbure) : gaz composé de chlore, de carbone et de fluor. Les CFC sont nocifs pour l’environnement car ils contribuent à l'effet de serre* (Les CFC sont 20 000 fois plus destructeurs que le CO2) et détériorent la couche d'ozone*. Ils restent 100 ans dans l'atmosphère*. Ils sont désormais interdits dans de nombreux pays et peuvent être substitués par les HFC*. Chaîne alimentaire : suite d'êtres vivants* dans laquelle chacun mange celui qui le précède. Champignon : les champignons représentent une des quatre grandes familles (ou règnes) d’êtres vivants* aux côtés des animaux*, des végétaux* et des bactéries*. Ils puisent leur nourriture dans la matière vivante ou morte. Ils jouent un grand rôle dans Document réalisé par l’association e-graine pour sa mallette pédagogique “Le développement durable et moi : l’eau, l’air, le sol”. Reproduction et utilisation libres de droit. www.e-graine.org

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les écosystèmes*, car ils recyclent la matière organique* morte qui sera, une fois décomposée en matière minérale*, utilisée par les végétaux*. Changement climatique : changement du climat* de la Terre dû au réchauffement de l’atmosphère (voir réchauffement climatique*). Charbon : roche* issue de la décomposition des végétaux* survenue il y a plusieurs millions d’années (mais on peut aussi obtenir du charbon de bois en faisant brûler du bois). Le charbon que l’on trouve dans le sous-sol (mines de charbon) provient donc de la biodiversité passée*. Constitué de carbone, le charbon est brûlé pour produire de l’énergie*. Chlorophylle : pigment donnant leur couleur verte aux plantes*. Il leur permet de réaliser la photosynthèse*. La chlorophylle absorbe la lumière et une réaction chimique transforme alors l'énergie* lumineuse en énergie* chimique. La chlorophylle d’un arbre* fruitier, par exemple, lui permet de produire de l’énergie* et des réserves pour grandir, faire circuler sa sève, donner des fleurs*, des fruits*, de nouvelles feuilles, etc. Climat : le climat d’une région est déterminé sur une longue période par la température, l’ensoleillement, les pluies et l’humidité de l’air. Le climat peut être tropical*, tempéré, équatorial, polaire, etc. Selon le type de climat, on retrouve des écosystèmes* et donc des biodiversités* très différentes. CO2 (dioxyde de carbone ou gaz carbonique) : gaz à effet de serre* constitué de carbone et d’oxygène* présent naturellement dans l’air* et produit en grande quantité par les activités humaines et la respiration des êtres vivants*. Il provient surtout de la combustion des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) mais aussi de certaines activités industrielles (ex. fabrication de ciment). Sa durée de vie dans l’atmosphère est d’environ 100 ans. Cycle du carbone : Il lie les être vivants* les uns avec les autres: certains organismes fixent le carbone du CO2, d’autres par leur respiration* libèrent du carbone, tandis que les végétaux, par le processus de la photosynthèse*, peuvent absorber du CO2. Ainsi, des échanges de carbone existent entre les océans, les roches*, la matière vivante, et l’atmosphère*. Depuis les révolutions industrielles*, les modes de production, des secteurs agricoles et industriels notamment, ont évolué et notre développement s’est intensément lié à la transformation et à la consommation de charbon* et pétrole*. Ceci a rapidement entraîné un déséquilibre de la balance carbone: l’atmosphère* est donc de plus en plus chargée en carbone, ce qui accroît l’effet de serre*. Condensation : transformation de la vapeur en liquide voire solide.

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Croûte terrestre : c’est la partie superficielle et rigide du globe, partie supérieure de la lithosphère qui forme les plaques tectoniques. On distingue la croûte continentale, sous les continents, d’une épaisseur moyenne de 35 kms et la croûte océanique, sous les océans, d’une épaisseur moyenne de 10 kms. Coupe à blanc : abattage complet et enlèvement d’un peuplement. Cette pratique détériore le sol par sa mise à nue. Couvert végétal : au lieu de laisser un sol* nu entre deux cultures, un couvert végétal peut être mis en place. Cette pratique peut permettre de lutter contre l’érosion*, de dépolluer et d’enrichir le sol*. Cycle : enchaînement ininterrompu de phénomènes qui se reproduisent dans un ordre similaire. Croissance démographique : c’est le fait que le nombre d’habitants sur Terre augmente. À l’échelle du monde, la croissance démographique se produit si le nombre de naissances dépasse le nombre de décès. En 2005 dans le monde, elle était positive, de l’ordre de 1,2 % par an. Cela signifie que chaque année, il y a plus de 80 millions d’humains supplémentaires (chiffre supérieur à la population française).

D Décantation (bassin de décantation) : fait de se décanter. Dans les stations d’épuration*, l’eau sale reste un certain temps dans des bassins de décantation. En reposant dans ces bassins, les impuretés contenues dans l’eau sale vont pouvoir se déposer dans le fond du bassin. L’eau sale a ainsi subi une seconde phase de nettoyage, la première étant le dégrillage*. Décharge : lieu aménagé pour le stockage de déchets en surface ou en sous-sol. Déchet organique : résidu que produit un être vivant*. Un déchet organique peut être réutilisé. Dans un écosystème*, les êtres vivants* produisent des déchets (animaux*, plantes* mortes, excréments...). Ils sont très vite recyclés car ils servent de nourriture à un grand nombre d’espèces*. Pour cette raison, l’écosystème* est en équilibre*. Décomposeur : être vivant* (bactéries, champignons, acariens, insectes, etc.) dégradant la matière organique morte et la recyclant progressivement en éléments minéraux indispensables au fonctionnement des organismes chlorophylliens. Déforestation : destruction des forêts*, par abattage des arbres* ou incendie. Les hommes* abattent les arbres pour créer des parcelles agricoles ou des espaces urbains, pour se chauffer ou pour utiliser le bois comme matériau de construction. La Document réalisé par l’association e-graine pour sa mallette pédagogique “Le développement durable et moi : l’eau, l’air, le sol”. Reproduction et utilisation libres de droit. www.e-graine.org

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déforestation appauvrit la biodiversité*, menace les écosystèmes*, aggrave l'effet de serre*, érode les sols* et modifie le climat* local. Dégazage : opération d’élimination des huiles et mazout des cuves d’un navire. La réalisation de cette opération est encadrée et doit se faire dans les ports. Malheureusement, l’argument économique pousse encore trop souvent les pétroliers à l’effectuer en mer ce qui entraîne d’importantes pollutions (marées noires). C’est même la première cause de pollution des eaux de mer. Dégradation : détérioration. Dégrillage : les eaux usées passent à travers des grilles qui permettent de filtrer et retenir les objets volumineux comme les gros déchets ou le bois, le papier, qui pourraient gêner les traitements ultérieurs voire abîmer les installations de traitement. Désertification : avancée du désert qui se produit dans des régions au climat* aride (comme le Sahel, situé au sud du Sahara). La désertification survient le plus souvent quand l’équilibre* de l’écosystème* est rompu. Ainsi, les êtres vivants* disparaissent petit à petit. Dessalement : action de dessaler : enlever le sel, rendre moins salé. L’eau douce est une ressource rare. C’est pour cette raison que des techniques ont été développées pour dessaler l’eau de mer et produire de l’eau douce*. Deux procédés sont principalement utilisés: l’osmose inverse (méthode par filtration et désinfection) et la distillation (méthode par évaporation). Des pays au Moyen Orient, ou l’Espagne ont recours au dessalement mais il est important de préciser que cela reste peu répandu car très onéreux. Développement : manière de vivre conduisant à l’amélioration du bien-être* des humains. Le but est qu’il permette aussi aux générations futures de vivre bien. Il faut donc pour cela préserver les ressources indispensables à la vie de tous les êtres vivants* : eau, air, biodiversité*, matières minérales*. Développement durable : développement* qui permet de répondre aux besoins* des générations actuelles en permettant aussi aux générations futures de satisfaire leurs propres besoins*. Ainsi la biodiversité*, comme c’est elle qui nous permet de nous nourrir (animaux*, végétaux*, etc.), de nous soigner, de nous abriter (bois, chaume, chanvre, etc.), de nous vêtir (coton, laine, etc.), doit être préservée pour que les générations d’après puissent aussi en profiter. Dioxyde de carbone (CO2) : gaz à effet de serre* constitué de carbone* et

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d’oxygène* présent naturellement dans l’air* et produit en grande quantité par les activités humaines et la respiration des êtres vivants*. Il provient surtout de la combustion des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) mais aussi de certaines activités industrielles (ex. fabrication de ciment). Sa durée de vie dans l’atmosphère est d’environ 100 ans. Douce (eau douce) : eau qui naturellement ne contient pas de sel*. L’eau douce est une ressource extrêmement rare, en effet seulement 3% de l’eau disponible sur Terre est douce, l’immense majorité étant donc salée. De plus, les deux tiers de l’eau douce est sous forme glacée (glaciers, banquise). Seulement 1% de l’eau disponible sur Terre est donc douce et sous forme liquide (nappes phréatiques, rivières, fleuves). De plus, sa répartition est déséquilibrée, abondante dans certaines régions, quasiment inexistante dans d’autres. Pour ces raisons, les enjeux d’accès à l’eau et de réduction de consommation d’eau sont d’une grande importance.

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Écolabel : label certifiant qu'un produit a un effet réduit sur l'environnement* et donc sur la biodiversité* : moins d’eau et d’énergie* consommées, moins de pollution*. Écologie : étude scientifique des relations des êtres vivants* entre eux et avec le milieu dans lequel ils vivent : les écologues étudient les écosystèmes*. Écosystème : ensemble composé d’êtres vivants* et de l’espace qu’ils occupent. Il y a d’immenses écosystèmes*, comme les mers et les océans, et de petits écosystèmes*, comme une souche d’arbre* dans un pré qui abrite des végétaux* et des animaux *que l’on ne trouve pas dans le reste du pré. Ainsi, à l’image des poupées russes, un écosystème peut être emboîté dans un autre. Il aura aussi très souvent une durée de vie différente d’un autre. Effet de serre : phénomène naturel permettant à la Terre d’avoir une température vivable. Il est dû à la présence des gaz à effet de serre (vapeur d’eau, gaz carbonique, méthane, etc.) dans l’atmosphère qui piègent la chaleur (provenant du soleil*) qui s’échappe de la Terre. Ainsi cette chaleur reste dans l’atmosphère*. Les activités humaines produisent en grande quantité ces gaz, ce qui renforce l’effet de serre et risque d’entraîner de gros problèmes climatiques. Égout : conduit étanche et sous-terrain qui transporte les eaux usées depuis leur source jusqu’à une station d’épuration ou un cours d’eau. Électricité : phénomène énergétique dû aux différentes charges électriques de la Document réalisé par l’association e-graine pour sa mallette pédagogique “Le développement durable et moi : l’eau, l’air, le sol”. Reproduction et utilisation libres de droit. www.e-graine.org

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matière. C’est une source d’énergie* très importante dans le monde moderne. Elle nous éclaire, nous permet de nous chauffer, etc. Aujourd’hui, l’électricité dans le monde est essentiellement produite grâce aux centrales hydro-électriques (fonctionnant grâce à l’énergie* des cours d’eau), aux centrales thermiques (fonctionnant grâce aux énergies fossiles* comme le charbon* ou le pétrole* : issus de la biodiversité passée*) et aux centrales nucléaires (fonctionnant grâce à l’énergie* atomique). Élevage : ensemble des pratiques agricoles qui entretiennent des animaux* pour consommer leur chair, leur lait ou leur toison. Émergé : qui sort d’un liquide (mers, océans), et apparaît à la surface, on parle alors de terres émergées. Émission : rejet dans un milieu de substances solides, liquides ou gazeuses, ou encore de rayonnements. Empreinte écologique : outil permettant de mesurer l'impact des activités humaines sur l'environnement*. L’empreinte écologique évalue la surface de terre nécessaire pour produire tout ce que consomme une personne ou une population (transport, logement, alimentation, etc.) et pour absorber ses déchets. Elle s'exprime ou en hectares (ha) par personne et par an, ou en planètes Terre. Aujourd’hui, si tout le monde vivait comme un américain moyen, la population mondiale aurait besoin de 5 planètes Terre pour se nourrir, s’habiller et héberger chacun d’entre nous. Énergie : tout ce qui permet d'effectuer un travail, fabriquer de la chaleur, de la lumière et de produire un mouvement. L’énergie joue un rôle dans le développement*. L’Homme* a besoin de se chauffer, se nourrir, se vêtir et se soigner. Nous savons que la biodiversité* fournit de l’énergie*. Par conséquent, la biodiversité* joue un rôle dans le développement*. Énergie de la biomasse : énergie* produite par les plantes* utilisées soit directement (bois de chauffage), soit après de nouvelles transformations chimiques (biogaz, agrocarburant). Énergie éolienne : énergie renouvelable utilisant la force du vent pour produire de l’électricité. Énergie fossile : source d’énergie* qui provient de la transformation de la biomasse* (plancton, arbres*, plantes*…) par l’activité terrestre. Ce sont les hydrocarbures comme le charbon*, le pétrole* ou le gaz naturel*, avec lesquelles on fabrique de nombreux produits : essence, plastique*, engrais*, huile …

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Énergie non renouvelable : les énergies non renouvelables ont pour origine la biodiversité passée* : c’est le cas du charbon*, du pétrole* et du gaz naturel*. On ne peut pas re-fabriquer ou reproduire ces ressources. Elles sont donc épuisables donc nonrenouvelables. Énergie renouvelable : les énergies renouvelables sont celles que l’on peut ré-obtenir en produisant des ressources organiques : du bois qui peut être brûlé, du maïs et de la canne à sucre qui servent à fabriquer de l’éthanol, capable de remplacer l’essence des voitures. Engrais : produit servant à enrichir le sol* en éléments qui serviront à nourrir les plantes*. Les engrais* peuvent être chimiques (fabriqués à partir de pétrole* par exemple) ou naturels (directement extraits de la nature* et très souvent de la biodiversité*). Parmi les engrais naturels, on peut citer le trèfle qui, une fois planté, absorbe l’azote de l’air, très important pour les plantes*. Il est ensuite enfoui dans le sol, ce qui permettra à la plante*, qui sera cultivée ensuite, d’absorber facilement cet azote (matière nécessaire à sa vie). Épuration (station d’épuration) : installation permettant la dépollution des eaux usées urbaines domestiques. Environnement : ensemble des éléments naturels (biodiversité*, minéraux, eau, air, sol*) et de tout ce qui a été créé par l’homme* (villes, routes, voies ferrées, commerce, etc.) qui constitue le cadre de vie des êtres vivants*. Équilibre naturel : situation stable de la nature*. On parle souvent d’équilibre naturel, car il est nécessaire, pour qu’il puisse durer, qu’un équilibre existe au sein d’un écosystème*. Il permet de conserver un nombre stable d’espèces* et d’individus* et donc de maintenir la biodiversité* au sein de cet écosystème*. Mais, quand on regarde de plus près, on constate que l’équilibre de la nature* n’est jamais parfait. Il y a toujours des transformations : des particules de sol* entraînées vers une rivière, une plante* broutée par un herbivore, un rongeur mangé par un félin, etc. Érosion (des sols) : usure produite par le vent ou la pluie, qui supprime une partie du sol*. L’érosion des sols* survient le plus souvent lorsqu’il n’y a plus suffisamment de végétation pour les protéger. En Amazonie par exemple, la déforestation* expose le sol* nu aux fortes pluies qui, à leur tour, usent le sol*. Il n’y a alors plus assez de sol* pour permettre à une nouvelle forêt* de pousser. Ainsi, la disparition de la biodiversité* favorise l’érosion, qui met en danger la biodiversité*. C’est ce qu’on appelle un cercle vicieux.

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Espèce : groupe d’organismes vivants capables de se reproduire entre eux et non avec d’autres espèces*. Un éléphant ne peut pas se reproduire avec un zèbre, car ils sont d’espèces* différentes. Un cheval et un âne sont deux espèces* différentes, car, même s’ils peuvent se reproduire entre eux et donner ce qu’on appelle un mulet (dans le cas de l’accouplement d’un âne et d’une jument), ce même mulet ne pourra pas à son tour se reproduire. Espèce indicatrice : espèce* dont la présence permet de savoir si un écosystème* va bien ou non. Elle donne des informations sur le climat*, les relations entre les êtres vivants*, le sol*, les gaz présents dans l’air, les minéraux, l’altitude, le peuplement des espèces*. Par exemple, le saumon dans une rivière indique que la qualité de l’eau est bonne et donc qu’une grande partie de la biodiversité* qui vit dans cette rivière pourra vivre correctement. Espèce menacée : espèce* qui risque de disparaître. De nombreuses espèces* de végétaux* et d’animaux* (mais aussi de champignons* et de bactéries*) disparaissent chaque jour ou sont menacées de disparaître. Si elles disparaissent, elles ne réapparaîtront plus : c’est un phénomène irréversible. L’UICN (Union mondiale pour la nature) classe des espèces* en trois catégories, selon le degré de la menace : les espèces* en danger immédiat de disparition, les espèces* menacées d’extinction* à brève échéance et les espèces* vulnérables pour lesquelles la menace est plus faible. Être-vivant : organisme vivant sur Terre. Les quatre grandes familles ou règnes d’êtres vivants sont : les animaux*, les végétaux*, les champignons* et les bactéries*. Extinction (des espèces) : disparition définitive d’espèces*. Les phénomènes d’extinction font partie des choses normales qui ont marqué l’évolution de la vie à la surface de la Terre. Les espèces* vivantes finissent en général par disparaître après avoir existé pendant parfois plusieurs millions d’années. Nous serions actuellement entrés dans ce qu’on appelle la sixième grande extinction des espèces* : ce phénomène n’est plus naturel aujourd’hui car il est dû à l’action de l’homme*. Évaporation : transformation d’un liquide en vapeur. Évapotranspiration : émission de la vapeur d’eau peut avoir deux causes : l’évaporation, et la transpiration des plantes. Elle englobe la perte en eau due au climat, les pertes provenant de l'évaporation du sol et de la transpiration des plantes.

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F Faune : ensemble des animaux vivant dans un même espace géographique ou un habitat déterminé. La faune du sol*, plus particulièrement, regroupe les invertébrés qui participent d’une part, à la transformation de l’humus* en toutes petites particules organiques*, d’autre part, à l’intégration de ces petites particules dans le sol*. Fermentation : transformation de la matière organique sous l’action de microorganismes*. Fertile : se dit d’un sol* ou d’une région qui donne d’abondantes récoltes. Filtration : procédé qui permet de retenir les particules en suspension contenues dans un liquide par exemple, ou dans l’air. Flore : ensemble des plantes sur une région. Fosse septique : si une maison n’est pas reliée au réseau d’égout et à une station d’épuration, il est possible qu’elle dispose d’une fosse septique. Les déchets domestiques sont déversés dans ce réservoir: les matières en suspension des eaux usées y décantent puis les eaux liquides sont évacuées par un système de tuyaux percés. Fragmentation : réduction d’un élément en multiples morceaux. Fleur : partie d’une plante* (à fleur) contenant les organes de reproduction. Après la pollinisation, la fleur est fécondée et se transforme en fruit* contenant les graines*. Par leurs couleurs et leur parfum, les fleurs attirent un grand nombre d’insectes comme les abeilles, qui viennent butiner ou prélever du nectar. Forêt : écosystème* qui accueille de nombreux arbres* et bien d’autres espèces* animales* et végétales*. En France, il n’existe plus aucune forêt dans son état d’origine (forêt primaire*). Ces forêts, même si elles sont entretenues, sont l’une des principales images de la nature pour les gens des villes. Forêt primaire : forêt dont l’homme* n’est jamais venu déranger l’écosystème*. Il ne reste plus beaucoup de forêts primaires dans le monde, car l’homme* est désormais présent dans de nombreux milieux. On en trouve encore en Indonésie, en Amazonie, dans le Bassin du Congo, à l’ouest du Canada, etc.

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G Gaz à effet de serre : gaz présent en faible quantité dans l’atmosphère*, qui absorbe une partie de l’énergie* renvoyée par la Terre (qui a été préalablement fournie par le Soleil*). La forte augmentation des émissions de gaz à effet de serre*, qui ont pour origine les activités humaines, est la cause principale du changement climatique*. Gaz naturel : produit fossile incolore et inodore extrait du sol* et que l’on trouve généralement en abondance au-dessus des gisements de pétrole*. Tout comme le charbon* et le pétrole*, il est issu de la biodiversité passée*, c’est-à-dire de tous les organismes vivants qui se sont décomposés, il y a de ça plusieurs millions d’années. Graine : partie des plantes* à fleur* qui leur permet de se reproduire et donc de donner de nouvelles plantes* (graine de Tournesol, noyau de pêche, pépins de pomme, etc.). Géologie : étude des constituants de la Terre : composition, structure, l'histoire et l'évolution des couches de la Terre, et des processus qui la façonnent. Géothermie : se présente sous forme de réservoirs de vapeur ou d’eaux chaudes ou encore de roches chaudes. Lorsque le réservoir géothermique est à une température modérée, cette ressource est exploitée pour produire de la chaleur distribuée par un réseau de chaleur. Lorsque la température du réservoir géothermique est la plus élevée et permet de produire de la vapeur, il est possible alors de produire de l’électricité par cogénération.

H Habitat : lieu et environnement* où vit une espèce. Ainsi l’habitat du pic noir est constitué de hêtres qui ont pour certains d’entre eux des trous permettant au pic noir d’y creuser son nid. Pour préserver la biodiversité*, il est donc important de préserver les habitats des différents êtres vivants*. Haie : barrière naturelle, faite d’arbres* et d’arbustes souvent sur des talus. Les

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haies permettent de garder le bétail, de protéger un champ ou un jardin. Elles ont un rôle écologique important, car elles limitent la vitesse du vent et l’érosion des sols*, servent d’abris* et de source de nourriture aux oiseaux, aux petits mammifères, aux insectes. Elles fixent aussi l’eau du sol*, ce qui évite les inondations. Elles constituent des habitats* indispensables aux espèces* et préservent donc la biodiversité* de ces écosystèmes*. Herbicides : produits chimiques qui permettent de supprimer les mauvaises herbes sans avoir à les arracher. Mais l’utilisation abusive de ces produits conduit à l’appauvrissement des espèces* sauvages (situées aux alentours), à leur infiltration dans les nappes d’eau souterraine et donc à la pollution* de celles-ci. Herbiers : fond de la mer ou de l’océan où poussent des plantes*. De nombreuses méthodes de pêche comme le chalutage (pêche au chalut*) détruisent des habitats* sensibles comme les récifs coralliens* et les herbiers sous-marins où se reproduisent les poissons. HFC (hydrofluorocarbure) : ils sont un des types de gaz fluorés. Ils n’existent pas à l’état naturel. Utilisés, par exemple, dans les systèmes de climatisation et les réfrigérateurs, ils ont remplacé les CFC* dans les années 1990. Leur potentiel de réchauffement global est moins élevé que celui des CFC* mais il reste 2800 fois plus élevé que celui du CO2. En savoir plus, voir définitions effet de serre et CFC*. Homme : espèce regroupant les hommes actuels. Cette espèce* fait partie de la grande famille des animaux* (ou règne animal*). Humus : ensemble de substances (matières organiques*) présentes dans le sol*, résultant de la décomposition partielle de déchets végétaux (flore) et en plus faible proportion d'animaux (faune). Hydrosphère : enveloppe externe de la Terre qui regroupe l'eau sous forme liquide, solide ou gazeuse. Les écosystèmes* n’existeraient pas sans hydrosphère, car tous les êtres vivants* ont besoin d’eau pour vivre.

I Imperméabilisation : Nos territoires se couvrent de logements, de routes, de zones industrielles ou autres qui entraînent une imperméabilisation du sol*, souvent

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irréversible. Un sol* imperméable n’est par définition plus en mesure d’absorber l’eau pou la stocker, ni de la filtrer pour la nettoyer. En revanche, cela accélère le ruissellement, l’érosion* et les inondations*. Individu : types d’êtres vivants* appartenant à une même espèce*. Par exemple, la vache normande est un individu appartenant à l’espèce* « vache ». La biodiversité* est la diversité des espèces*, des écosystèmes* mais aussi des individus*. Industrie : ensemble des activités économiques qui fabriquent des produits issus de la transformation des matières premières*. L’industrie produit par exemple du plastique* à partir d’une matière première* comme le pétrole* ou encore du tissu à partir d’une matière première* comme le coton. Infiltration : phénomène du passage de l'eau (ou d'un autre fluide) à travers la surface du sol (ou d'une roche poreuse), de sa pénétration dans le sol* et de son mouvement descendant dans la zone non-saturée du sous-sol. Inondations : présence d’une grosse quantité d’eau, provoquée le plus souvent par le débordement d’une rivière et/ou par de fortes pluies qui ne sont pas complètement absorbées par le sol*. Les inondations sont souvent dues, directement ou indirectement à la disparition de la biodiversité*. La disparition du couvert végétal* du sol*, en milieu aride par exemple, entraîne très souvent une érosion* des sols* qui ne peuvent alors plus absorber l’eau de pluie. Les inondations deviennent alors très fréquentes. L’absence d’arbres* en montagne, suite à une déforestation*, ne permet plus à l’eau qui ruisselle* d’être retenue et absorbée. Ceci favorise aussi les inondations. Insecticide : produit chimique permettant de lutter contre les insectes ravageurs qui détruisent les récoltes. Mais son utilisation intensive, dangereuse pour la santé* des agriculteurs, détruit une grande partie des insectes, même ceux qui sont « utiles », comme les abeilles. Invertébré : animal dépourvu de colonne vertébrale. Irrigation : désigne un apport artificiel en eau sur des terres à des fins agricoles. L'irrigation peut être pratiquée pour modifier la température et/ou l'humidité de l'air, pour apporter des engrais* et éventuellement des limons, pour apporter des pesticides*, pour détruire certains parasites, pour dessaler* des sols en régions sèches, pour recharger des nappes, etc.

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L Labour (labourage) : retournement de la terre pour l'ameublir, enfouir ce qu'elle porte en surface, et préparer ainsi son futur ensemencement. Aujourd’hui, les agriculteurs labourent le plus souvent à l’aide de charrues en métal tractées par un tracteur. Le labour peut avoir des conséquences négatives sur le sol* en mettant en danger son cycle naturel de formation : disparition de la couche d’humus*, exposition du sol* à l’érosion*, à la déshydratation et aux ultra violets solaires, diminution de la quantité de matières organiques* en surface, enfouissement des résidus végétaux* de surface.

M Manteau : partie intermédiaire de la planète Terre entre la croûte* et le noyau*, allant de 5 à 2 900 km. Le manteau, pourtant solide, est animé de courants qui évacuent la chaleur et qui sont responsables des déplacements des plaques. Marée noire : déversement d’une grande quantité de pétrole* dans la mer, à la suite du naufrage d’un pétrolier, de la rupture d’un oléoduc ou d’un accident grave sur une plateforme pétrolière. Matériau : matière servant à la fabrication. Le bois, le ciment, le fer, le sable, etc. sont des matériaux. Matière minérale : substance provenant de minéraux. C’est le cas par exemple des roches* que l’on trouve dans la nature (calcaire, granit, argile, sable, etc.). Elle est donc constituée d’éléments qui ne proviennent pas du vivant. Ainsi, cette matière n’évolue pas dans le temps, en opposition à la matière organique*. Matière organique : ensemble des substances provenant d’êtres vivants* (peaux, poils, os, coquilles d’escargot, etc.). Ces substances peuvent être en cours de décomposition*. Matière première : matière d’origine naturelle qui est amenée à être transformée par l’industrie* (pétrole*, bois, fer, etc.). Médicament : substance que l’on nous donne pour guérir d’une maladie. La découverte d’un médicament se fait souvent grâce à la biodiversité*. Méthane : composant principal du gaz naturel*. C'est aussi le principal constituant du biogaz.

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Microfaune : ensemble des animaux* de très petite taille présents dans un milieu* donné. Micro-organisme : être vivant* microscopique comme les bactéries*, les virus, les champignons* unicellulaires, les levures... Milieu naturel : endroit où la biodiversité n’a pas été perturbée ou changée par l’homme*. On trouve de moins en moins de milieux naturels aujourd’hui car les activités humaines s’étendent. Moisissure : champignon* dont on ne distingue que les petits filaments, sous la forme d’un velours blanc ou coloré. Mondialisation : phénomène qui s’étend dans le monde entier. C’est le cas du commerce aujourd’hui.

N Nappe phréatique : eau contenue dans une sorte de poche souterraine. Nature : désigne des lieux où la présence de l’homme* est faible : une forêt* ou une prairie non exploitée, un champ non cultivé, un bord de mer sauvage, etc. Noyau : partie centrale du globe terrestre, située sous le manteau, de 2  900  km de profondeur jusqu'au centre de la Terre. Nutriment : nourriture directement utile pour un être vivant*. Il n’est donc pas un déchet*. Le glucose, les protéines, les vitamines sont par exemple des nutriments pour l’homme* et aussi bien d’autres espèces*. Nuage : un nuage désigne un ensemble de particules d’eau très fines maintenues en suspension dans l’atmosphère* par des mouvements d’air*. Un nuage se forme lorsque de l’air* chaud monte lentement, se dilate, se refroidit et perd de l’eau.

O OGM : abréviation pour « organisme génétiquement modifié ». Désigne les espèces* végétales* et animales* dont on a modifié les gènes* par introduction de gènes* étrangers permettant de changer leurs caractéristiques. Ainsi, il est possible d’implanter dans un végétal* des capacités à résister à certaines maladies, à des conditions difficiles

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(sécheresse, gel) ou encore d’en améliorer la conservation. Dans la nature, les modifications génétiques pourraient se transmettre à d’autres plantes* sans que l’on puisse en prévoir les conséquences. Nous n’avons aucun recul aujourd’hui pour mesurer l’impact sur l’environnement* des OGM. Oxygène (dioxyde) : l’oxygène est un gaz présent dans l’air*. Il nous est indispensable pour assurer les fonctions vitales du corps humain. Ozone : gaz présent à la fois dans l’atmosphère* à très haute altitude - où il protège la Terre des UV du soleil - et à très basse altitude — où il constitue un polluant dangereux.

P Parasite : être vivant* qui puise les substances nécessaires à sa survie, dans le corps d’un autre être vivant*. Par exemple, le gui, qui est un parasite, pousse sur certains arbres* en se nourrissant de leur sève. Parcs naturels : zones où la nature* est protégée par l’homme*. Il peut s’agir de lieux réservés aux plantes* et aux animaux* mais aussi d’espaces où les hommes* peuvent continuer à cultiver et à élever leur bétail, en respectant l’environnement*. Paysage : c’est un espace que l’on peut voir lorsque l’on se trouve à un certain endroit. Ainsi le paysage change selon notre point d’observation, mais aussi selon ce qu’on y trouve. La variété des paysages dépend très souvent de la variété des écosystèmes*. Les préserver, c’est aussi préserver la diversité de nos paysages. Pédofaune : faune* du sol. Elle regroupe les invertébrés qui participent d’une part, à la transformation de l’humus* en toutes petites particules organiques*, d’autre part, à l’intégration de ces petites particules dans le sol*. Pédologie : c’est la science qui étudie la formation et l'évolution des sols* sous l'action du milieu (climat*, activité biologique, végétation) et dans un paysage donné (plaine, vallée, versant, etc.). La pédologie vient du grec Pédon (sol) et logos (science). Perturbation : état de l'atmosphère* caractérisé par des vents violents et des précipitations*. Péri-urbanisation : construction de routes, d’habitations, de zones d’activités à proximité d’une ville. La péri-urbanisation, lorsqu’elle n’est pas maîtrisée, remplace tous les espaces

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naturels* et les terres cultivables par des espaces artificiels. Pesticide : produit chimique destiné à lutter contre les parasites* animaux* et végétaux* dangereux pour les cultures. Pétrole : hydrocarbure liquide naturel, produit par la décomposition de plancton marin et autres plantes* soumis à des pressions et des températures élevées pendant son enfouissement dans l’écorce terrestre. Il fait partie de la famille des sources d'énergie* fossile*. Étant non renouvelable*, il s’épuisera un jour. Il est donc nécessaire de l’économiser. De plus, sa combustion rejette de nombreux polluants et augmente l'effet de serre*. Photosynthèse : processus chimique par lequel les végétaux*, en utilisant l'énergie* du soleil*, transforment l'eau et le gaz carbonique en matière végétale. Phytosanitaire (produit) : produit utilisé pour soigner ou prévenir les maladies des organismes végétaux*. Ils font partie de la famille des pesticides*. Il existe plusieurs types de produits phytosanitaires* : des produits chimiques de synthèse et des produits naturels. Ces derniers sont à privilégier car ils ne risquent pas de porter atteinte à l’environnement. La France occupe la deuxième place mondiale pour le volume de produits phytosanitaires consommés. Prédateur naturel : prédateur se dit d’un organisme se nourrissant d’une autre espèce*, en général, plus petite. La coccinelle est par exemple un prédateur naturel du puceron. En agriculture durable* ou biologique*, l'utilisation d'organismes vivants pour prévenir ou réduire les dégâts causés par un ravageur est privilégié au lieu d’utiliser des pesticides*. L’on parle de lutte biologique. Le prédateur naturel du ravageur devient alors un auxiliaire du jardinier. Il s’agit de faire appel à la nature en employant les prédateurs naturels pour combattre les ravageurs. Plante : être vivant* faisant partie de la grande famille des végétaux* (ou règne végétal*). Enracinées dans le sol*, les plantes n’ont pas de membres qui leur permettent de se déplacer. Les plantes sont essentielles à la vie sur terre puisqu'elles sont à la base de la chaîne alimentaire* et qu'elles produisent de l'oxygène* (par photosynthèse*). Plastique : le plastique est une matière artificielle fabriquée à partir de pétrole*. Pollution (polluants) : rejet dans l'environnement* de substances toxiques dangereuses pour la santé* humaine et pour les écosystèmes*. Précipitations : désigne des apports en eau parvenant au sol sous forme liquide (pluie ou

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rosée) ou solide (neige ou grêle) en provenance directe ou indirecte de la condensation de la vapeur d'eau atmosphérique. Les précipitations constituent l'unique alimentation de la partie terrestre du cycle de l'eau. Préservation : action de mettre à l’abri du danger un animal*, un végétal* ou un espace naturel*.

R Raffinerie (pétrolière) : usine permettant de transformer le pétrole* brut en produits dérivés comme l’essence, le gasoil, le kérosène, etc. Réchauffement climatique : augmentation de la température moyenne à la surface de la Terre. Le réchauffement est dû aux gaz à effet* de serre rejetés par les activités humaines (industrie, transport, agriculture*...) et piégés dans l'atmosphère*. La température a augmenté en moyenne de 0,5°C durant le XXe siècle. Si nous ne ralentissons pas nos rejets de gaz à effet de serre*, la température risque de grimper de 1,5°C à 6°C d’ici à la fin du XXIe siècle. Les conséquences pourraient être très graves (avancée du désert, montée du niveau des mers et des océans, multiplication des tempêtes, fonte des glaciers). Région tropicale : zone géographique qui se trouve sous l’un des deux tropiques* : cancer pour l’hémisphère Nord et capricorne pur l’hémisphère Sud. En matière de biodiversité*, les régions tropicales sont directement concernées, car de nombreuses forêts primaires*, qui appartiennent à ces régions et qui contiennent une extraordinaire biodiversité*, sont aujourd’hui menacées par le déboisement. C’est le cas de l’Amazonie, de l’Indonésie et du Bassin du Congo. Réseau trophique : c’est l’ensemble des chaînes alimentaires* qui ont toutes des relations entre elles. Réserve naturelle : zone où les plantes* et les animaux* sont protégés. Comme les parcs nationaux ou régionaux, certaines réserves sont ouvertes au public ; d’autres sont fermées pour mieux préserver les espèces* qui y vivent. En plus des réserves propres à chaque pays, on a créé en 1974 dans le monde, des réserves dites « de biosphère ». Elles sont divisées en trois parties : une zone centrale réservée strictement aux plantes* et aux animaux*, et deux autres où les habitants peuvent pratiquer agriculture* et élevage*, à condition qu’ils respectent l’environnement*. Ces deux zones servent aussi à étudier les

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plantes* et les animaux*, à accueillir les touristes, à former et informer sur la protection de la nature*. Ressource naturelle : matière première* (extraite de la Terre) considérée comme nécessaire aux besoins* essentiels de l’homme*. Respiration : fonction biologique par laquelle l'organisme absorbe l'oxygène* et élimine le gaz carbonique*. Présent chez tous les organismes où les substances organiques* sont décomposées pour fournir de l'énergie*, elle s'oppose à la photosynthèse* et entraîne la production de dioxyde de carbone*. Révolution Industrielle : phénomène majeur du XIXe siècle qui marque le passage d'une société surtout rurale à une société industrielle. Roche : pierre formée de minéraux* qui constitue la croûte* terrestre. Il existe différents types de roches : composée (ex : le granit), feuilletée (ex : le schiste), sédimentaire, éruptive, argileuses, calcaires, granitiques, etc. La pétrographie (du grec petra, pierre, et graphê, description) est la science de la description et de l'analyse des roches, alors que la pétrologie (du grec petra et logo, étude) est la science qui étudie les mécanismes de formation et de transformation des roches. Ruissellement : écoulement des eaux sur un versant à la suite d'une averse.

S Santé : état de bonne condition physique, mentale et sociale. Elle n’est possible que si les besoins* vitaux sont satisfaits. La biodiversité* contribue à la santé des personnes, car sans elle, les besoins* élémentaires comme manger et se soigner ne seraient plus possibles. Sécheresse : se produit quand les pluies ont été insuffisantes par rapport à la moyenne. Elle entraîne de graves déséquilibres pour les cultures et les plantes* sauvages. Un grand nombre d’espèces* est alors menacé. Sels minéraux : ce sont des matières minérales* nécessaires aux organismes vivants. Aussi appelés oligo-éléments, on y retrouve le calcium, le magnésium, le sodium, le phosphore, le potassium, etc.

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Sol : fine couche composée de matières minérales* (argile, limons, sable, ..) et organiques, qui recouvre l’écorce terrestre. Elle est d’une importance capitale pour la vie sur Terre, car c’est dans le sol que s’enracinent la quasi totalité des végétaux*, et c’est en utilisant le sol - pour des cultures végétales* ou pour l’élevage* - que les agriculteurs produisent la quasi totalité de la nourriture que nous consommons. Soleil : étoile la plus proche de la Terre (150 millions de km), le soleil est principalement composé d'hydrogène (70 %) et d'hélium (28 %). Station d’épuration : installation permettant la dépollution des eaux usées urbaines domestiques. Surexploitation : exploitation d’une ressource naturelle* renouvelable (arbres*, poissons, etc.) au-delà de sa capacité à se renouveler. La biodiversité* marine est aujourd’hui surexploitée, car un grand nombre de poissons, trop souvent pêchés, n’ont plus le temps de se renouveler. L’écosystème* est ainsi perturbé. Surpâturage : exploitation excessive de la végétation d'une surface par le bétail. Sylviculture : culture des arbres, entretien et exploitation des forêts. Symbiose : association entre deux organismes d’espèces* différentes dans laquelle l’un profite de l’autre et réciproquement. Le lichen* est le résultat d’une symbiose entre une algue et un champignon*.

T Tassement : action de tasser. Comprimer un élément pour en réduire le volume. Transpiration : chez l’homme, élimination de la sueur par les pores de la peau. Chez les plantes, rejet de la vapeur d’eau*. Tropique : ligne imaginaire, que l’on observe sur les cartes du monde ou sur les globes terrestres, et située entre l’équateur et les régions tempérées. Le tropique du cancer appartient à l’hémisphère nord, le tropique du capricorne à l’hémisphère sud.

U Urbanisation : phénomène démographique de concentration des populations dans les villes.

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Usine : établissement où sont transformées des matières premières* en objets ou en énergie*.

V Vapeur d’eau : fines gouttelettes d’eau en suspension dans l’air*. Végétal : ensemble des êtres vivants* regroupant les plantes* terrestres et les algues. Les végétaux sont l’une des quatre grandes familles (ou règnes) d’êtres vivants* aux côtés des animaux*, des champignons* et des bactéries*. Ces êtres vivants* effectuent la photosynthèse* et sont constitués de cellulose. Vent : Mouvement de l'air se déplaçant d'une zone de hautes pressions vers une zone de basses pressions.

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Bibliographie THÉMATIQUE DE L’EAU Ouvrages : BARLOW Maude, CLARKE Tony, 2002, « L’or bleu : l’eau, le grand enjeu du 21ème siècle », S.L. Fayard, 390 p. ✤ FRONTY Mireille, MOREAU Fabienne, 2009, « L’eau », Paris, Auzou, 44 p. ✤ MIRA PONS Michèle, 2005, « L’eau », Toulouse, Milan Jeunesse, 32 p. ✤ HOURTOLLE Colette, 2005, « L’eau à tout prix », Mouans Sartoux, PEMF, 64 p. ✤ GODARD Philippe, MERLE Claude, 2010, « Une histoire de l’eau : des origines à nos jours », Paris, Autrement, 64 p. ✤ KALMAN Bobbie, SJONGER Rebecca, 2007, « Le cycle de l’eau », Montréal, Bayard Canada, 32p. ✤ ANDREASSIAN Vazken, LERAT Julien, 2009, « Le surprenant cycle de l’eau », Paris, Éditions le Pommier, 63 p. ✤

Sites internet : ✤ Eau France, le portail de l’eau en France : http://www.eaufrance.fr/index.php ✤ Portail des agences de l’eau : http://www.lesagencesdeleau.fr ✤ SOeS : Service de l’Observation et des Statistiques, rattaché au Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement : http:// www.stats.environnement.developpement-durable.gouv.fr/ ✤ Le site des Éco-labels de l‘AFNOR : http://www.ecolabels.fr/fr ✤ Centre d’information sur l’eau : http://www.cieau.com/cieau-junior ✤ L’Agence de l’eau Artois Picardie, l’école de l’eau : http://www.cieau.com/cieau-junior

Documents Internet : World Health Organization, UNICEF, 2010, « Progress on sanitation and drinking water, 2010 update », France, 60 P. ✤ Entreprises pour l’Environnement, Août 2008, « Roadmap environnementale, l’eau à l’horizon 2025 », 16 p. ✤ Commissariat général au développement durable, Service de l'observation et des statistiques, Références « L’environnement en France », juin 2010, 26 p. ✤ Ritimo, Bioforce, dossier thématique « L’eau, un enjeu planétaire, une ressource limitée », septembre 2007. ✤ La documentation française, dossier d’actualité, « L’eau en France : la gestion d’un bien pas comme les autres », 2009. ✤ Sagasciences-CNRS, dossier « L’eau douce, une ressource précieuse », Octobre 2000. ✤

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Articles : ✤

Altermondes, Mars 2008, dossier « Accès à l’eau : en panne de solutions ? », N°13.

THÉMATIQUE DE L’AIR Ouvrages : ✤ « Problèmes économiques : relever le défi climatique », 2009, La Documentation française, No 2.983, 48p. ✤ VIEILLEFOSSE A., 2009, « Le changement climatique : quelles solutions ? », N°5290-91, La Documentation française, 184 p. ✤ « Le petit livre vert pour la Terre », 2005, Fondation Nicolas Hulot, Editions Larousse ✤ CHAVEAU L., 2005, « Le petit Atlas des risques écologiques », Edition Larousse ✤ Brochures du C.I.EAU (Centre d’Information sur l’EAU), 2007 ✤ Les sciences de la Terre en 18 mots clefs, 2007, La Recherche, hors-série n°3 Sites internet : ✤ ATMO : Réseau National des Associations Agréées pour la Surveillance de la Qualité de l'Air : http://www.atmo-france.org ✤ AirParif : http://www.airparif.asso.fr/ ✤ Our planet : http://www.ourplanet.com/ ✤ Futura Sciences : http://www.futura-sciences.com ✤ CRDP Amiens : http://crdp.ac-amiens.fr/ ✤ Espaces des sciences : http://www.espace-sciences.org ✤ Les petits débrouillards : http://www.lespetitsdebrouillards.org ✤ INRP (Institut National de Recherche Pédagogique) : http://www.inrp.fr/lamap/ ✤ Les outils pédagogiques de l’APPA (Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique) : http://www.appa.asso.fr/ ✤ L’ADEME (L’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) http://www.ademe.fr ✤ Enerdata : http://www.enerdata.net Documents internet : Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), 2005, « Préservation de la couche d'ozone et du système climatique ». ✤ Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), 2007, « Changements climatiques 2007 : rapport de synthèse », 114 p. ✤

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THÉMATIQUE DU SOL

Ouvrages : DUBOIS Philippe Jacques, ROUSSEAU Élise, MALENFER Frédéric, 2007, « L’agriculture racontée aux enfants », Paris, De la Martinière, 73 p. ✤ BERTRAND Bernard, RENAUD Victor, 2009, « Le génie du sol vivant », Espagne, Éditions de Terran, 263 p. ✤ GOBAT Jean-Michel, ARAGNO Michel, MATHEY Willy, 2010, « Le sol vivant », Presses Polytechniques et universitaires romandes (PPUR), 820 p. ✤ MATHIAS Xavier, 2010, « Le sol : la clé du jardin » , Paris, Rustica, 79 p. ✤ NEBOIT René, 2010, « L’homme et l’érosion », Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, 350 p. ✤ PRACHE Denys, BILLOUT Dominique, 2008, « Le monde des déchets », Paris, Circonflexe, 31 p. ✤ BERTOLINI Gérard, DELALANDE Claire, HUBESCH Nicolas, 2007, « La poubelle et le recylage à petits pas », Arles, Actes Sud Junior, 71 p. ✤

Sites Internet : Site national des AMAP (Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) : http:// www.reseau-amap.org/ ✤ Confédération paysanne : http://www.confederationpaysanne.fr/ ✤ Site du RAD (Réseau Agriculture Durable) : http://www.agriculture-durable.org ✤ CRDP (Centre Régional de Documentation Pédagogique) d’Amiens : http://crdp.ac-amiens.fr ✤ Académie de Grenoble : http://www.ac-grenoble.fr ✤ INRA (institut scientifique de recherche agronomique) : http://www.inra.fr/ ✤ Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) : http://www2.ademe.fr ✤ Académie de Grenoble : http://www.ac-grenoble.fr ✤

Documents Internet : Pôle INPACT (Initiatives pour une agriculture citoyenne et territoriale), 2003, « Socle commun de la durabilité », 5 p. ✤ Confédération Paysanne et FADEAR (Fédération Associative pou le Développement de l’Emploi Agricole et Rural), « Charte de l’agriculture paysanne, Pour inscrire l’agriculture dans le développement durable », 12p. ✤ ADEME, Programmes GESSOL (Fonctions environnementales et gestion du patrimoine sol), Commissariat général au développement durable du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement Durable et de la Mer, « La vie cachée des sols, l’élément essentiel d’une gestion durable et écologique des milieux», 2010, 19 p. ✤

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LE LEXIQUE Ouvrages : BAUD P., BOURGEAT S., BRAS C., 2002, « Dictionnaire de géographie », Paris, Hatier. ✤ BIORET F., ESTEVE R. et STURBOIS A., 2009, « Dictionnaire de la protection de la nature », Presses Universitaires de Rennes, 537 p. ✤ BRODHAG C., BREUIL F., GONDRAN N., OSSAMA F., 2005, « Dictionnaire du développement durable », Afnor. ✤ BURNIE D., 1994, « Dictionnaire Jeunesse de la nature. 2000 mots clés classés par thème », Seuil, 192 p ✤ DE PANAFIEU J.B., 2009, « L’environnement », Gallimard Jeunesse, 96 p. ✤ Fondation NH et HULOT N., 2006, « Ecologuide de A à Z pour les juniors », 173 p ✤ GEORGE P. et VERGER F., 2008, « Dictionnaire de la géographie », Paris, Presses Universitaires de France, Nouvelle édition. ✤ GODARD P., 2006, « Le dico de l’écologie », Editions de la Matinière Jeunesse, 125 p ✤ LAROUSSE, 2008, « Le Petit Larousse illustré, grand format », Paris, Editions Larousse. ✤ LE ROBERT (dir. Rey-Deboué Josette et Rey Alain), 2008, « Le nouveau Petit Robert. Dictionnaire de la langue française », Paris, Dictionnaire Le Robert. ✤ RAMADE F., 2002, « Dictionnaire encyclopédique de l’écologie et des sciences de l’environnement », Dunod 2e édition, 1075 p. ✤

Sites Internet Cité des Sciences et de l’Industrie : http://www.cite-sciences.fr/actu/dossiers/ D98_1_biodiversite/html/dossier7.html ✤ Cité des Sciences et de l’Industrie, “Le lexique : le défi du vivant”, http://www.citesciences.fr/lexique/ ✤ Encyclopédie Universalis, “Universalis.fr le portail de la connaissance”, http:// www.universalis.fr ✤ Sciences et vie : http://www.science-et-vie.net/definition-panneau-solaire-581.html ✤ Dictionnaire Actu environnement : http://www.dictionnaire-environnement.com/ dico_env.php ✤ Glossaire de l’ADEME : http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow? sort=-1&cid=96&m=3&catid=12843&p1=4 ✤ Glossaire de l’OCDE (Organisme de Coopération et de Développement Économique) : http:// www.oecd.org/glossary/0,3414,fr_2649_37425_1969293_1_1_1_37425,00.html ✤ Dictionnaire Larousse en ligne : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais-monolingue ✤ Glossaire Futura Sciences, le magazine de l’innovation, de la science et de la découverte. http://www.futura-sciences.com/ ✤

Document internet : ✤ Sciences et vie, “Glossaire encyclopédique”, http://www.science-et-vie.net/

Document réalisé par l’association e-graine pour sa mallette pédagogique “Le développement durable et moi : l’eau, l’air, le sol”. Reproduction et utilisation libres de droit. www.e-graine.org

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