Diogène - Société de Criminologie du Québec

Notre philosophie d'intervention. ✓ Nos services ... ✓Philosophie de l'approche alternative en santé mentale ..... Le langage utilisé est souvent diff est souvent ...
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Un exemple d’un continuum de services entre le Service de police de la ville de Montréal, Montréal Urgence psychosocialepsychosociale-justice et l’organisme Diogène

Diogène Préparé dans le cadre du colloque santé mentale et justice organisé par la Société de criminologie du Québec

Apprendre de l’autre… et se donner le pouvoir d’agir

Christiane Cadieux Coordonnatrice clinique

Montréal, le 20 octobre 2010

DIOGÈNE

Suivi alternatif communautaire en santé mentale. mentale Organisme de soutien communautaire qui a vu u le e jour jou en e 1988 988 et fut ut incorporé co po é en e 1990 comme organisme sans but lucratif.

Énoncé de mission «Offrir et rendre des services adaptés aux besoins exprimés par des adultes ayant des problèmes de santé mentale sévères et persistants associés à la judiciarisation et/ou l’itinérance, dans le but d’atténuer leur détresse psychosociale et de favoriser la quête d’autonomie».

Aperçu de la présentation 9Statistiques sur la santé mentale et l’itinérance

9Mandat de Diogène 9 Notre philosophie d’intervention 9 Nos services actuels 9 Le travail au niveau de la judiciarisation

9Philosophie de l’approche alternative en santé mentale appliquée à Diogène

9Bibliographie et outils de références 9Échanges É h ett questions ti

Santé mentale 9 Un Québécois sur cinq est atteint d’une maladie mentale; 9 2% % de la a population popu at o adu adulte te de Montréal o t éa souffre sou e de ttroubles oub es g graves a es et de longue durée;

9 29% seront aux prises avec une dépression majeure majeure, des troubles

anxieux ou encore des troubles liés à l’usage de drogues ou d’alcool;

9 La proportion de suicide chez les personnes de 40 40--49 ans n n’a a cessé d’augmenter depuis quelques années.

Itinérance Montréal 30 000 personnes en situation i i d’itinérance d’i i é Moyenne d’âge des hommes 1998 2008

55 ans 37 ans

• Nous nommons notre clientèle «demandeurs» «demandeurs».. Cette appellation traduit le type de relation qui s’établit entre la personne qui demande des services et l’i t l’intervenant. t Cette C tt relation l ti repose sur le l volontariat l t i t ett l’implication du demandeur, puisqu’il demeure le maître d’œuvre tout au long g de son suivi.

Nous croyons qu’en toute personne réside une force vitale, une capacité à se mobiliser en vue de se réapproprier sa vie. vie

Diogène a un mandat régional de soutien dans la communauté (l`Île de Montréal) visant deux clientèles distinctes • Clientèle adulte, hommes ou femmes.





Vivant des problèmes de santé mentale de type sévères et persistants auxquels sont nécessairement associées des difficultés avec la justice et/ou vivant en situation d’itinérance d’ itinérance;; Ou Vivant des problèmes de santé mentale de type sévères et persistants lesquels sont nécessairement associés à un grand risque d’avoir des difficultés avec la justice et/ou un risque de vivre en situation d d’itinérance avec la d’itinérance justice et/ou l’itinérance l’itinérance..

Notre p philosophie p d’intervention •

Elle s’inspire des approches alternatives en santé mentale;



Les principes de volontariat, de respect du rythme d’é l ti d’évolution, d de l’i l’intervention t ti basée b é sur les l besoins exprimés par la personne, sont au cœur de notre action.

Le volontariat de la personne Nous misons beaucoup sur le volontariat de la personne et nous ne voulons jamais être mentionnés dans une probation ou sur tout document imposant un suivi avec nous.

DEUX ÉQUIPES POUR UN MÊME SERVICE D’ACCOMPAGNEMENT DANS LA COMMUNAUTÉ

9 Le service de soutien transitoire : 3.5 intervenants;

9 Le service de soutien continu : 8.5 intervenants. Les services de Diogène sont toujours rendus dans le milieu de vie de la personne et jamais dans nos bureaux.

Le service de soutien transitoire (court terme) Accompagnement, support, assistance et dé démarches aidant la personne à se stabiliser dans ses besoins de base aux niveaux: 9 Hébergement 9 Sant Santé é mentale

9 Toxicomanie 9 Défense des droits

9 Financier ( Sé Sécurit curité é du revenu, curatelle, fiducie) 9 Judiciaire 9 Apprentissage

9 Papiers d’ d’identit identité é 9 Achats 9 Références à des organismes communautaires

9 Mat Maté ériel(Banque alimentaire, vestiaire, meubles) 9 Médical

• Proaction dans les centres carcé carcéraux provinciaux et les ressources communautaires en itiné itinérance.

Selon les années, années nous pouvons rendre des services de soutien transitoire à plus de 340 personnes différentes.

La proaction La proaction se fait dans deux types de milieu.



Milieu de l’itinérance : refuges et centre de jour;



Milieu carcéral : Bordeaux pour homme et Tanguay pour femme.

Aller au devant de la clientèle potentielle pour nous faire connaître et offrir nos services. S’ d t aux besoins S’adapter b i de d ces milieux ili d de proaction ti d de façon à maximiser le partenariat et la complémentarité.

Le service de soutien continu (moyen--long terme) (moyen Vise principalement à accompagner et soutenir la personne afin de :

• • •

Maintenir ses acquis;

• •

Faire de la résolution de problème;

Développer de nouvelles habiletés sociales; Éviter la récurrence des comportements à risques pouvant entraîner des conséquences judiciaires, médicales édi l ou au niveau i d l’hébergement; de l’héb Briser l’isolement.



La personne soutenue sera rencontrée, dans son milieu de vie, à raison d’une fois par semaine ou aux deux semaines semaines, mais minimalement une fois par mois, lorsqu’ elle est en processus de désengagement;



Elle aura aussi la possibilité de nous contacter, par téléphone, téléphone lors de crises ou de moments de plus grande tension;



Les suivis ont une durée de quelques mois à plusieurs années, mais on s’entend que l’objectif à long terme est ll’appropriation appropriation du pouvoir et l’autonomie de la personne.

Dans l’année 2009-2010, le service de soutien continu a suivi 153 personnes

L’U.P.S.J

Centres de transition Refuges

Centres de détention

Avocats (couronne ou défense)

Centres de crise

C PL M C.P.L.M.

Tribunal en santé mentale

DIOGÈNE

Dollard-Cormier

Policiers Centres d’hébergement Les hôpitaux Pinel Organismes communautaires

Suivis probatoires

Le projet Chez soi •

Diogène a un troisième volet de services;



Nous sommes fournisseur de services pour le projet Chez soi;



Diogène è est l’une des deux é équipes qui offrent le soutien d’intensité é variable;



Équipe composée de 5 intervenants et d’une coordonnatrice É clinique;



Projet de recherche et de démonstration sur la santé mentale et l’itinérance d’une durée de q quatre ans;;



Sous la responsabilité de la Commission de la santé mentale du Canada;



But: fournir les éléments probants sur les interventions les plus susceptibles de favoriser la stabilité en logement et d’améliorer d améliorer la santé et le bien-être des personnes vivant en situation d’itinérance, ainsi que des problèmes de santé mentale;



Projet réalisé simultanément dans les villes de Vancouver, Winnipeg, Toronto, Moncton et Montréal;



Philosophie Phil hi générale: é é l d donner aux personnes lla possibilité ibilité d’intégrer d’i té un logement de leur choix, tout en leur offrant un suivi personnalisé (plus ou moins intensif selon leurs besoins);



Modèle qui vise à réduire le phénomène de l’itinérance et à favoriser l’intégration des participants dans la collectivité;



L’un des principes fondamentaux du modèle «Le logement d’abord» est son approche centrée sur la personne et qui vise le rétablissement;



Philosophie qui permet de procurer aux personnes qui vivent une situation d’itinérance leur propre appartement et ce, sans conditions en matière tiè d de ttraitement it t ou d de dé désintoxication. i t i ti

Le travail au niveau de la judiciarisation • Près de 60% des personnes suivies par

nos services ont actuellement ou ont eu, par le passé, un statut judiciaire;

• Un certain nombre présente un risque de judiciarisation. judiciarisation

Ce q qui contribue à développer pp des comportements illicites • Consommation abusive de substances • • • • •

intoxicantes; Instabilité mentale; Difficultés financières; Réseau social dysfonctionnel et non supportant; Difficultés multiples:biologiques, psychologiques, sociales et spirituelles; Cumul des difficultés qui vont fragiliser la personne.

L intervention L’intervention •

À tous les niveaux: biologique, social, psychologique et spirituel;



Aider la personne à établir ses besoins et ses aspirations;



Travailler avec la personne sur ses forces, compétences et motivations qui faciliteront l’atteinte de ses objectifs par le biais d’un projet de cheminement;



Aider la personne à s’approprier le pouvoir sur sa vie et à poser ellemême les gestes nécessaires pour améliorer ses conditions de vie en vue de satisfaire ses besoins de bases et acquérir une plus grande stabilité.



Discussion avec la personne sur les avantages qu’elle pense en retirer et sur les conséquences possibles de ses comportements illicites, afin qu’elle puisse faire des choix éclairés;



Susciter chez la personne une réflexion sur sa consommation et l’encourager dans la réduction des méfaits, ce qui s’inscrit dans une perspective à long terme;



Aider à atténuer le risque de judiciarisation;



Le but ultime de ce cheminement est de permettre à la personne de sortir du cycle qui l’amène à poser des geste illicites;



Lorsque la situation l’exige et que l’intégrité physique de la personne est menacée, nous serons dans l’obligation de faire appel aux autorités concernées;



Nous accompagnons les personnes qui le désirent dans tout le processus judiciaire;



S’il y a incarcération, nous gardons le contact avec la personne et pouvons si elle le désire reprendre les rencontres de suivi lors de sa sortie de détention;



LLa personne en détention dét ti pourra sii elle ll le l souhaite h it être êt rencontrée té par l’intervenante qui fait la proaction;



L’ensemble de nos intervention visent à ce que la personne fasse des liens avec sa vie et se sente concernée par la globalité de sa situation.

Types d’interventions d interventions possibles •

Pro action à Bordeaux et à Tanguay;



Référence et accompagnement chez l’avocat;



Accompagnement à la cour, entente de paiement de contravention, entente pour des travaux compensatoires et mise en lien avec le YMCA qui en a la gestion;



Préparation de la sortie de détention;



Accompagnement à la sortie de détention;



Accompagnement et contact avec le bureau de probation;



Écoute, soutien, permettre à la personne de ventiler ce qui peu aider à la réduction des méfaits;



Accompagnement dans le processus de demande de pardon (réhabilitation).

Philosophie p de l’approche pp alternative en santé mentale appliquée à Diogène g •

Il s’ s’agit d’ d’une conception globale de la personne qui tient aussi compte de ses forces, de ses habilité habilités, de son potentiel, de même que sa dé détresse psychologique, ses problè problèmes relationnels, ses conditions sociosocio-économiques et son ré réseau;



Le langage utilisé utilisé est souvent diffé différent de celui employé employé dans le réseau de la santé santé. Nous parlons de souffrance émotionnelle et psychologique et non uniquement de troubles sé sévères et persistants. Nous privilé privilégions la personne souffrante plutôt que les symptômes de la maladie;



S’il nous arrive d’utiliser ces termes, ils ne sont pas employés comme une fin en soi mais comme un élément parmi bien d’autres qui caractérisent la globalité de la personne;



L’attention est portée sur la souffrance et les ressources ainsi que sur les forces des personnes plutôt que sur les faiblesses et les incapacités;



On fait preuve de préjugés favorables en ce qui a trait à la capacité des individus à se responsabiliser (on parle ici du potentiel de se réapproprier un pouvoir sur sa vie). vie) La relation n’est pas amorcée sur des stigmatisations;



Nous mettons ll’accent accent sur le présent en vue d’ouvrir d ouvrir l’avenir; l avenir;



Le contact humain est un point d’importance dans les rapports entre l’intervenant l intervenant et la personne qui reçoit nos services services. L’écoute, l’échange et le dialogue sont des éléments centraux. Dans ce sens, la souffrance n’est pas que médicalisée;



L respectt du Le d rythme th d’évolution d’é l ti ett de d vie i de d la l personne estt au cœur du suivi;



Le rapport entre l’intervenant l intervenant et la personne aidée se veut égalitaire;



Les femmes et les hommes sont accueillis dans leur réalité et spécificités é ifi ité propres;



La demande formulée par la personne est au centre de la relation aidantaidant-aidé. C’est à partir de cette demande que les interventions se préciseront. Ceci n’exclut n exclut pas la possibilité pour l’intervenant de faire des suggestions ou de stimuler la personne à emprunter une autre route. Cependant, la personne détient toujours j le pouvoir p d’accepter p ou de refuser,, la laissant libre de faire ses propres choix;



Il n’y aura pas de rejet de la personne et le suivi se poursuivra i même ê sii les l choix h i effectués ff t é ne semblent bl t pas les plus appropriés aux yeux de l’intervenant;



La personne qui reçoit l’aide demeure au centre de son suivi et elle sera appelée à se prononcer sur les décisions à prendre ou dans les discussions à son sujet;



Le recours à la psychiatrie n’est pas exclu, mais il n’est pas considéré comme la seule trajectoire au soulagement de la souffrance et des difficultés de la personne;



Le traitement pharmacologique est considéré comme un élément d’aide pa parmi mi bien d’autres, d’a t es puisque p isq e les souffrances so ff ances et difficultés des personnes ne sont pas en lien uniquement avec la pathologie psychiatrique;



Nous travaillons en partenariat et en complémentarité avec les hôpitaux, les autres ressources du réseau de la santé et services sociaux de même qu’avec les différents partenaires du réseau sociaux, de la justice et nous souhaitons que ces derniers n’aient pas, à eux seuls, le pouvoir décisionnel sur l’intervention;



Les interventions visent l’autonomie de la personne et elles évitent les prises en charge à moins de circonstances particulières;



L’appropriation du pouvoir du demandeur sur sa vie oriente nos interventions;



Les rencontres se font toujours dans le milieu de vie de la personne;



Les interventions et les accompagnements touchent toutes les sphères de la vie de la personne: aspect financier, hébergement, souffrance psychologique, santé physique, réseau social, symptomatologie, activités récréatives, etc.;



La personne sera invitée et épaulée afin qu’elle puisse prendre une place active dans son traitement psychiatrique psychiatrique, plutôt que de demeurer passive et attendre qu’il lui soit dit quoi faire, quoi prendre ou quoi penser;



Nous visons à ce que les personnes ne soient pas de simples consommatrices de services, mais apprennent à devenir actives dans les services dont elles ont besoin;



L’intervenant ne met pas de pression sur la personne, mais lui propose plutôt de considérer ou d’évaluer certaines pistes;



La personne doit avoir le choix de débuter un suivi ou de l’abandonner et d’y revenir quand elle le jugera opportun. Dans ce sens, la notion de volontariat est primordiale;



L’intervention touche aussi le réseau social de la personne en visant l’intégration et l’implication de tous les acteurs concernés dans la recherche de solutions afin qu’elle qu elle puisse vivre dans un milieu plus harmonieux;



La souplesse et la créativité sont des éléments essentiels dans l’approche alternative appliquée à Diogène. L’intervenant a un cadre régissant ses interventions (code d’éthique), mais à l’intérieur de ce cadre, il lui est possible d’être créatif et ce, dans le meilleur intérêt de la personne à qui il offre un suivi;



L’approche alternative se veut humanisante dans les soins et les services dispensés en santé mentale mentale. La pathologie n’est n est qu’un qu un des aspects de la vie d’un individu et il est aussi important de tenir compte de son milieu social, son réseau, ses moyens financiers, etc.;



La personne pourra bénéficier d’accompagnements dans diverses démarches et recevoir de l’information sur différents sujets et des références é é e ces co concernant ce a t l’hébergement, ébe ge e t, les es ressources essou ces a alimentaires e ta es ou vestimentaires, le travail, etc.;



L’intervention vise le respect et la défense des droits de la personne;



Le recours aux instances policières et/ou ambulancières aura lieu si la personne est estimée dangereuse pour elleelle-même ou pour les autres. Cependant, l’intervenant fait tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas p p utiliser de tels moyens y et incite plutôt p la personne p à se rendre elleelle-même à l’urgence de son hôpital ou dans un centre de crise;



L’intervenant peut accompagner la personne dans cette démarche. Cette façon de procéder est expliquée aux demandeurs dès le début de chaque suivi.

Éléments d’appropriation du pouvoir i • CHOISIR CHOISIR:: avoir la possibilité d’exercer des choix libres et éclairés;

• DÉCIDER DÉCIDER:: participer ti i activement ti t aux

décisions qui on un impact sur la vie de la personne elleelle-même;

• S’ACTUALISER S’ACTUALISER:: pouvoir actualiser son potentiel de croissance personnelle, personnelle professionnelle et sociale;

• EXERCER SES DROITS: DROITS: pouvoir connaître connaître, comprendre,exercer et défendre ses droits .

«La L qualité lité ett le l soin i que l’l’on prendd pour ét établir bli ett vivre une relation d’aide peuvent favoriser le rétablissement afin de faire battre la vie ie plus pl s fort qquee la souffrance.»

Christiane Cadieux

Bibliographie et outils de références

Pour mieux comprendre et approfondir le travail de suivi long terme effectué par le service de soutient continu: La vie qui bat - Du désespoir à l’autonomie en passant par la relation d d’aide aide, de Christiane Cadieux et Jacky Levac, Levac, Édition internationales Alain Stanké, Stanké, Montréal,2003. Histoire d’une renaissance , d’un rétablissement et de son long cheminement. Stigmatisée g borderline et s’en sortir…faire mentir ceux qui la déclaraient irrécupérable, un parcours de résilience. Bref,, faire battre la vie plus fort que la souffrance! Un récit de vie à deux voix, celle de l’aidée et celle de l’aidante qui l’a qu a acco accompagnée pag ée pe pendant da t s six ans. Une rencontre avec la personne devant l’étiquette du diagnostic…

Parole et parcours d’un pouvoir fou Guide pour une réflexion et un dialogue sur l’appropriation du pouvoir individuel et collectif des personnes utilisatrices de services en santé mentale

Le comité de pilotage du guide Blais Denise,Bourgeois Denise Bourgeois Linda, Judon Jean Jean--Claude En collaboration avec Larose Andrée,Lecomte Andrée Lecomte Micheline

Mai 2004

L’itinéraire ’ é d du rétablissement é bl Guide personnel de rétablissement axé sur les forces Ridgeway Priscilla,Mcdiarmid Diane Davidson Lori,, Bayes y Julie & Ratzlaff

Version française publiée par Le Pavois Éditeur 2009 Version anglaise Pathways to recovery: A strengths recovery selfself-help workbook est publié par l’Université l Université du Kansas.

Vivre son rétablissement Un outil d’animation et de formation

Soucy Brigitte Bourque Mireille Publié par Le Pavois Éditeur 2008

Le Modèle de soutient communautaire axé sur les forces des individus Formation traduite de l’anglais par l’l’AGIR AGIR(( Alliance des groupes d’intervention pour le rétablissement en santé té mentale) t l )

Formation donnée par l’organisme communautaire de Q Québec Pech (programme d’encadrement clinique et d’hébergement) Le modèle de soutien communautaire axé sur les forces des individus a été mis au point par Ronna Chamberlain à l’Université é du Kansas aux État É -Unis, ÉtatUnis, développé et systématisé dans les années 1980 par Charles A. Rapp et d’autres d autres collègues de ll’Université Université du Kansas.