Chapitre 12 ; Les catégories morphologiques

Syntaxe : détermine les possibilités de combinaison des classes de mots pour ... Le genre est une categorie grammaticale assez abstraite et souvent tres.
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FREN3230 STRUCTURE OF FRENCH – REVISION POUR L’EXAMEN FINAL

Chapitre 12 ; Les catégories morphologiques L’analyse des unités significatives  Le but de la communication n’est pas d’échanger des sons, mais des messages. Les sons permettent de renvoyer aux structures significatives (morphologie, syntaxe, sémantique) qui constituent l’essentiel du message.  Morphologie : l’étude de la structuration grammaticale des mots ainsi de l’analyse des éléments du système qui transmette surtout une information grammaticale  Syntaxe : détermine les possibilités de combinaison des classes de mots pour former des groupes et les combinaisons de groupes pour former des phrases. Elle analyse également les relations entre les différents types de phrases.  Sémantique : est l’étude du sens propre des mots, des groupes et des phrases et aussi des implications secondaires qui résultent de la combinaison particulière de certains mots, groupes, et phrases. Les parties traditionnelles du discours  Le classement traditionnel en parties du discours est fondé sur l’analyse du rôle des différentes catégories de mots dans la description du monde.  Ceci est hérité de la philosophie grecque…9 catégories : -

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Les noms servent a designer les êtres, les choses, et les notions abstraites Les adjectifs permettent de modifier et de spécifies les qualités attribuées aux noms. Sert a préciser la nature de l’être de la chose ou de la situation. Les verbes servent a designer unune actions, en etat ou un processus. Les verbes peuvent apparaître sous une forme simple ou composee, ils permettent d’exprimer plusieurs points de vue temporels (present, futur), differents degres d’aggirmation et deux voix (active et passive). Les adverbes servent a qualifier l’action exprimee par le verbe, de specifier la qualite exprimee par un adjectifs, de modifier un autre

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adverbe ou bien d’introduire une proposition. ** DIFFERENTS TYPES** temps, lieu, maniere, quantite, interrogation, negation, affirmation Les articles permettent de sprcifier le nom. Les pronoms servent a remplacer le nom. Les conjonctions servent a relier deux propositions Les prepositions expriment des relations de type spatial, temporel et causal entre les noms, verbes et adjectifs. Les interjections possedent une valeur semantique sans contions grammaticale, par ex : ah, oh, hmm..e

Les categories morphologiques : mot, moneme, morpheme, lexeme  La morphologie opere un decoupage des unites significatives base sur leur role grammaticale et leurs possibilites de combinaison avec d’autres unites linguistiques  Un mot n’est pas un unite morphologique de base mair plutot une unite graphique comprise generalement entre deux blancs.  Moneme : une unite minimale de sens : -Morphemes (non-modifiables) -qui servent a exprimer des distinctions grammaticales (genre, nombre, temps, mode, etc.) - Lexemes (modifiable par term, suff, prefixes)- qui servent a exprimé des informations de type conceptuel (l’action, l’idee, l’objet en cause) *Exemple de découpage morphologies en lexèmes vs. Morphèmes : chat-te : lexeme – nominal +morpheme- feminin, singulier

 Les dictionnaires reprennent la classifications grammaticale traditionelle. On y trouve toutes les unites morphologiques qui constituent les mots ex : NOUS mais pas les unites morphologiques non-isolables ex : -ONS (terminaison verbale)   Trois classes lexicales (des lexemes) : Lexemes nominaux (pomme, pommier), lexemes verbaux (vais, irai, allais) et lexemes adjectivaux.  Flexion verbale/ desinence verbale : morpheme qui exprime des distinctions porphologiques par les semes grammaticauses : personne, nombre, temps, mode, aspect, et voix. EX : -aient

 Flexions nominales et adjectivales : morphemes qui expriment le genre et le nombre  L’autonomie des morphemes- Morphemes dependents/liees vs. Independents/libres : des mots detaches (articles, adjectifs, adversbes. Prep, conj) vs. Les morphemes qui doivent s’atttacher toujours a un mot (flexions verbales, nominales, adjectivales. Prefixes, suffixes)  Amalgames morphologiques : deux morphemes independants en une seules unite. EX : au (a + le)  Morpheme zero : aucune distinction grammaticale est representee par un indices morphologique. EX : table (genre ??) vs. danseuSE (fem)… ou…. Gros(m, s) vs. Gros (m, plur)  La comparaison des marques ecrites et orales des distincitions morphologiques montre en generale les marques du code ecrite sont plus nombreuses que celle du code orale. Le code ecrite est tres redondant alors que le code oral est tres economique du point de vue des marques morphologiques EX : elles louent de belles robes pour les fetes.

Chaptire 13 ; Le genre La distinction entre le genre et le sexe  Le genre est une categorie grammaticale assez abstraite et souvent tres arbritraire. Deux genre pour tous les substantifs, adjectifs, et pronoms, soit qu’ils designent des etres animes ou inanimes. ( pas universel, ex : allemand avec genre neutre et l’anglais avec aucune distinction)  Le sexe, differenciations entre male et femelle est fondee sur des criteres physiologiques et biochimiques universels qui s’appliquent sans exceptions. Le genre morphologique en français  Pour un certain nombre d’etres animees, il existe des paires de substantifs, tres different au niveau phonologiques, qui font coincider le genre grammatical et le sexe. EX : un coq/une poule….un taureau/une vache. Il y a alors un substantif masculin qui designe un etre male et un substantif feminin qui designe un etre femelle.  Parfois il y a un substantif avec un seul genre. La difference de sexe n’est pas marquee par une difference linguistiques EX : un escargot, un crapaud. Dans ce cas, il faut ajouter l’adjectif male ou femelle EX : une girafe male.

 Les distinction de genre peuvent causer des glissement de sens selon les signifiess potentiel du substantif. EX : jacques a une maitresse (enseignante ou amante ?) La difference corresponde donc a une distinction semantique plus importante que le simple changement de sexe. Le genre et la distinction lexicale  Dans certains cas, le genre permet de distinguer certaines paires de substantifs ayant une forme phonologique identique mais un sens tres different : Masculin Feminin un moule (pour mouler) Une moule (un crustacee) un livre (pour lire) Une livre (unite de mesure) Le poste (emploi) La poste (service courrier) Le solde (l’argent qui rest dans La solde (salaire d’un soldat) banque) Le page(du roi) La page (du livre) Le secretaire (meuble ou personne) La secretaire (personne) Le critique (personne) La critique (ce que le critique ecrit) Marques écrite du genre Type de finale Parfum Bureau Camp Rein Feu Marine Graphie Chance Bougie Glaneuse

Pourcentage de mots masculins 100% 100% 99.3% 99% 97%

Pourcentage de mots feminins

94% 94.2% 97.3% 98% 100%

Chapitre 14 ; Le nombre  Certains substantifs sont non-denombrables, donc ils sont accompagnees d’un article special appellee le substantif. EX : du pain, du vin, etc.  Il y a une categorie de substantifs francais qui apparaissent toujours au singulier et ne peuvent jamais se mettre au pluriel. Ce sont des derivees d’adjectifs et de verbes, tels que : le vrai, le boire, le manger.  D’autres representent des categories abstaites : la veritee, la justice, le pain, le bin, le nord, l’odorate, la botanique, la linguistique, ect… ***on peut parfois les

mettre au pluriel pour changer le style de l’ecriture/menotymie/metaphore. EX : les joies d’un mariage.  Certain mots qui apparaissent presque toujours au singulier : les gens, les alentours, les confins, les environs, les funerailles, les mœurs.  Singulier  Pluriel  Le ciseau (du sculpteur)  Les ciseaux  La pate (a pain) Les pates (spaghetti)  Une nouille (impecile)  Des nouilles (chinois)  La parole (faculte du  Les paroles (mots a l’oral) language)

Chap 16 ; morphologie du verbe : mode, temps, aspect  Les verbes francais peuvent se conjuger selon quatre modes differents. Les modes permettent au locuteur d’exprimer son attitude par rapport a l’action qu’il decrit. L’infinitif et le participe  Deux modes a part. Ils n’ont pas de personnes, de nombre, et de temps. Ils servent sutout a classer les verbres en trois grans groups : ER – le plus simple, sert de modele a la construction de nouveau verbes. IR- avec le participe passe en ISSANT. 3e groupe des formes irregulieres- avoir, etre, voir, coudre, bouillir.  L’infinitif remplace l’imperatif dans les conseils culinaires ou les injonctions publiques « ajouter du sel. Remuer, faire bouillir »… »ne pas traverser » Le mode indicatif  Permet au locuteur d’affirmer l’action quil decrit, ou au moins de la presenter comme une observation. EX : Le chien mange. (j’affirme). Le mode impératif  Permet au locuteur de donner un ordre a 1)2)un interlocuteur ou a une troisième personne de faire l’action du verbe. EX : 1)mange tes légumes !! ou 2) qu’il revienne immédiatement ! Le mode subjonctif  Permet au locuteur d’affirmer d’une facon moins absolue. Facultative vs. Obligatoire .  Obligatoire : determinee par certaines locutions conjonctives comme bien que, quoique, jusqu'à ce que et par certains verbes comme j’aimerais ue, il faut que et par certaines structures de comparaison comme c’est le meilleur livre que  Facultative : permet ai locuteur de reduire le degre d’affirmation. EX : je ne pense pas que Georges est deja arrivee (je m’en fou) vs. Soit deja arrivee. (pas sure)

Le mode conditionnel- ses formes peuvent s’employes comme mode ou comme temps  En tant que mode, le conditionnel s’apparaît dans les phrases dites 1)hypothetiques d’autre part dans la presentation 2)d’evenement non’confirmes.  1) Si Olivier avait plus d’argent, il acheterait une nouvelle voiture Si Olivier avait eu plus d’argent, il aurait achetee une nouvelle voiture.  2) Le gouvernement serait sur le point d’introduire son nouveau projet de loi. Les dirigeants de l’equipe auraient decidee de remplacer l’entraineur. Le temps reel vs. Verbal  Le temps reel est generalement diviser en trois majeurs : le present, futur, et le passee. Les te,ps verbaux servent a situer les actions decrites dans une succession chronologique. Ils permettent de preciser le moment ou une action a lieur par rapport au moment de locution. Les differents types de temps verbaux repose sur le rapport entre le moment ou le locuteur parle et le moment ou l’action décrite par le verbe a lieu.  Le present bornee : il pleut depuis trois heures. Je sors dans cinq minutes. Revenons a nos moutons.  Le present non-bornee : La terre tourne autour du soleil. J’ai toujours soif.  Le present transposee : En 1789, le peuple se revolte. Il y a un type qui arrive et qui dit : qui est-ce qui s’appelle Georges ici ?  Les formes absolues : present, futur, imparfait, passee composee et le passee simple.  Les formes relatives : se definissent par le moment de locution et le moment d’une autre action. Plus-que-parfait, passee composee (aussi), passee surcompose. Passee anterieur, conditionnel present (employee pour exprimer le futur dans le passee, et le conditionnel passee.  Le plus-que-parfait : designe une action passee que a eu lieur avant une autre actions passee EX : ilsavaient deja mangee quand je suis rentree.  Le futur anterieur : decrit une action future qui aura lieu avant une autre action future. EX : ils auront deja mangee quand je rentrerai  La forme du conditionnel peut avoir une valeur temporelle dite de future dans le passee. EX : il m’a promis hier qu’ils auraient fini les renovations ce soir. L’aspect verbal- sert a designer l’état de l’action du verbe achevé vs inachevé  Se concerne seulement avec les verbes au passe  Accomplie : passé sampler (il chanta), passé composée (tu as chantée), passé surcomposé (après que nous avons eu chanté), plus-que-parfait (elles avaient chanté) et future antérieur (nous aurons chanté)  Inaccomplie : imparfait sert surtout a établir l’arrière-plan autour des actions. EX : il pleuvait quand je suis sorti.

Les verbes transitifs et intransitifs  Les verbes transitifs : certaines formes se combinent avec un complément d’objet direct EX : je mange la pomme, nous chantons les chansons. (l’action du verbe porte sur une entitee precise). Peuvent aussi apparaître sans complement d’ojet direct comme EX : je mange. (tu manges quoi ?)  Les verbes intransitifs : ne peuvent pas se combiner avec un complement d’objet direct. Ces verbes renvoient a des actions qu n’ont pas de patient car il est impossible de dire qu’une etre a subit directement l’action decrite EX : aller, venir, parler, penser, reflechir, etc, Peuvent se combiner avec un complement introduit par un preposition comme : Je pense a mes vacances. Robert parle de sa famille.  *** Dans les construction intransitives, le francais a le choix entre ETRE et AVOIr comme auxiliaire du passee : Il a bien vieilli (actif)/ Il est bien vieilli.(achever)  *** sous-categorie de verbes intransitifs : attributifs : verbes qui n’expriment pas vertibalement une action, ils servent a relier un sujet grammatical et un attribut )qualitee que l’on veut donner au sujet) devenir, etre, rester, sembler, avoir l’air, paraître, etc…EX : elle semblre heureuse. Ce chat devient enorme.  Certains verbes francais peuvent accepter a la fois un emploi transitif et intransitifs. Le verbe sortir par exemple est intransitif dans la phrase je sors ce soir mais il est transitif dans je sors une chaise. Les auxiliaires modaux et temporels  Auxiliaires temporels : verbes qui permettent de preciser le moment de l’action. AVOIR : exprime une action qui aura lieu dans un avenir proche ;Francine va revenir d’ici peu. L’avion va partir dans 5 minutes. ETRE sur le point : exprime une action ayant lieu dans un avenir immediat ; Le bateau est sur le point de partir.  Forme progressive : souligne la coincidence entre le moment de locution et celui de l’action ; je suis en train de livre. Nous etions en train de regarder la tele.  Auxiliaires modaux : sont censee exprimer la probabilitee (il doit avoir faim), l’obligation (tu devrai l’accompagner, il faudrait le faire), et la possibilitee (je peux me tromper)

Chapitre 17 ; La dérivation et la composition Mots simples, derivees et composees  Mot simple : designe toute unitee graphique comprise entre deux blancs. Il peut s’agir de plusieurs types de formes : 1) moneme radical ; prince, roi, bon, nous. 2) un mot contenant un lexeme et un ou plusieurs morphemes ; fleur,

metropolitain, mangeons, inimaginable,. 3) une abreviation ; photo, cine, prof, auto, fac  Les mots dérivés : sont formees en ajoutant un prefixe ou un suffixe au mot original, soit en restant dans la meme categorie EX : agreable/desagreable…soit en changeant de categorie EX : marchee/supermarchee.  Les mots composees : sont des monemes qui resultent de la combinaison de deux ou plusieurs mots en une nouvelle unitee. Chef de gare, laisser-passer, commissaire de police, tire-bounchon, roman-fleuve, etc….sont dit d’une seule emission de voix et ne presentent qu’un seul concept. Dans certains cas, les sens sont tres different de ceux des mots d’origines. **les deux definitions dernieremment mentionees illustrent la productivitiee du system linguistique.  Terme de base : terme designe toute unitee a laquelle on peut ajouter un affixe (flexion ,pref, suff). TdB + affixe = terme dérivé. Les prefixes  Sont lies au terme de base (ce sont des elements dependants) tel : illegal, depourvu  Ils sont placees avant le terme de base  Ils modifient le sens du terme de base en y ajoutant un complement d’information ; FAIRE  defaire  Ils ne modifient pas la categorie grammaticale du terme de base ; ESTIMER sous-estimer  Ils sont polyvalents, c’est-a-dire qu’ils peuvent se combiner avec des termes de base de plusieurs categories morphologiques. EX : -DE demystification, defacorablement, etc.  Les prefixes separables : qui sont empruntees a des categories grammaticales diverses (en majorite des prepositions) et qui peuvent apparaître seuls dans d’autres contextes linguistiques EX : avant-, apres-, bien-, contre-, entre-, mal-, non-, par-, pour-, sur-, etc.  Les prefixes inseparables : qui sont en general des emprunts savants au grec et au latine et qui n’apparaissent jamais seuls, EX : de-, e-, in-, im-, il-, ir-, me- ,pre-, re-, archi-, anti-, ante-, mini-, dia-, trans-, extra-, mega-, hyper-, para-, hypo-, super-, multi-, etc. **recemment, certains prefixes inseparables ont eu tendence a devenir independants et se sont ainsi lexicalisees comme ADJ ou SUBSTANTIFS EX : il est super. Classement sémantique des préfixes VERBES : Privatif : de- : déshabiller Réitératif : re- : recommencer ADJ ou NOM

Privatif : in-, il-, im- : intolérable, illisible, impossible Intensif : archi- : archiduc Extra- : extraordinaire Hyper- : hyperactif Super- : super-sensible Sur- : surnuméraire Ultra- : ultra-chic Temporel : Apres- : apres-midi Post- : postscolaire Pre- : prehistorique Spatial Entre- : entrevue Inter- : interurbain Trans- : transcontinental Quantitatif Bi- : bimensuel Semi- : semi-finale Tri- : tripode Oppositif : anti- : antiraciste Approbateur : pro- : pro-gouvernemental La suffixation    

Sont liees au terme de base ; maisonnette Ils sont placees apres le terme de base Ne modifient que légèrement le sens du terme de base ; nom, nominal Ils changent la catégorie grammaticale du terme de base ; blanc, blancheur. NOMINAUX : -age, -issement, -issage, -ment, -ition, -ation, -ure, -ade ADJECTIVAUX : -aire, -ien, -eux, -al, -aire. –el VERBAUX : -er, -iser, -r, -er, -iser, -iter ADVERBIAUX : -ment,-amment, -emment DIMINUTIF/PEJORATIF : -iste, -erie, -ee, -ment, -ette, -ard

La composition  Designe la combinaison de deux noyaux lexicale et morphologique indépendant en un unité nouvelle = mot composé EX : navette spatiale, machine a laver. EX @ pg 160.  La composition des sigles/acronymes : change la prononciation La troncation

 Processus d’economie linguistqiue qui fait que l’on raccourcit un mot. EX : cinematographe, cinema, cine  Abreviation par la chute de debut du mot (APHERESE) : autocar  car, boy-scout scout, cyclo-cross  cross  Abreviation par la chute de la fin du mot (APOCOPE) : adolescent  ado, composition  compo, professeur  prof, faculte fac, pornographie  porno La cohesion des mots composees  Mot composes forment une nouvelle unite lexicale et morphologique. Cette unitee creee par la composition forme un groupe figee. Les terms de base qui etaient autrefois independants perdent cette autonomie. EX : grand-mere n’est pas qualification du mot mere. Se comporte comme unitee unique. Se forment en blocs donc ne permettent pas, en general, d’ajouter ou enlever un element.. ni commutation EX : pot-a-feu  pot-a-incendie

Chapitre 18 ; La structure du lexique

L’heterogenite du lexique francais  La base lexicale du francais vient du latin vulgaire parlee par les soldats de l’Empire romain. EX : latin classique edere latin vulgaire manducarefrancais manger.  EMPRUNT LEXICAUX : d’origine populaire et savante. EX : etymon (forme originel) latin pensare  populaire, peser vs. Savante PENSER base sur la graphie latine. Les onomatopees et les mots expressifs  LES DEUX SONT Termes lexicaux qui sont generalement des creations propres a chaque langue, destinees a imiter des bruits. ET des signes motivees comme claquer, cliqueter, glouglou, tic-tac, boum, ou la forme sonore semble calquer le reel.  Mots expressifs : creation d’origine metaphorique. EX : leche de chat petits biscuits secs et minces  Les mots d’origine celtique sont peu nombreux en francais. Ils concernent essentiellement des mots liees a la terre EX : le bouleau, le chene, l’alouette, le balai.  Les emprunts modernes refletent les contacts avec d’autres peuples et sont liees a des contacts culturels, a des guerres, des experditions, des emprunts techonologiques, etc. On emprunt beaucoup de l’anglais moderne des E-U pour decrire la technologie (jet, jeep, software), sport (jogging, surfing, volley-ball), jeu de societe (poker, monopoly, scrabble), musqiue (disco, techno, rap), danse (twist, jerk), cinema (star, vamp, traveling), societe (gangster, holdup, cowboy, OK, byebye) Les mots populaires, mots savants, doublets

 Lorsque deux formes, populaire et savant, d’un meme etymon coexist avec des emplois differents, on les appelles des doublets. EX : natal/noel, liberer/livrer. EX : Forme latine Acrem Advocatum Causa

Doublet savant Acre Avocat Cause

Forme populaire Aigre Avouee Chose

L’etymologie populaire  L’etymologie cherche a retracer l’origine des mots. La conscience populaire tente parfois de refaire une forme savante sur un modele connu de la langue.  La forme nouvelle est refaite par un processus d’attraction paronymique appelee etymologie populaire.  Ainsi, le mot sauerkraut a ete adaptee en francais avec un fausse etymologie, sous la forme actuelle de choucroute. De la meme maniere, country dance en anglais est devenu contredanse en francais. L’integration phonologique des emprunts  Lorsqu’un emprunt est integree au systeme de la langue emprunteuse, c’est qu’il s’est soumis aux regles phonologique et morphologiqes de cette langue.  EX : balcone  balcon, roast-beef rosbif, shopping shoppIng, (TOUS des adaptation de la langue d’arrivee a partir d’une perception auditive)…riding coatredingote, bowling green  boulingrin (representent une adaptation a partire de formes ECRITES) L’integration morphologique  Le cas plus frequent est ou l’on integre le mot emprunter a un paradigme morphologique du francais (comme le francais canadien a fait lorsqu’on etait couper du francais de la France) check, switcher, piqueniquer.  Le cas plus rare, ou un morpheme etranger est importee tel que l’anglais – ING parking, building  Le francais a empruntee a l’anglais beaucoup de termes a fonction nominale, terminees en –ER… EX : reporter. EUR en francais L’emprunt traduit  Certain nombre de termes ont ete traduits literralement d’une langue etrangere. Ce type d’emprunt s’appelle un calque. EX : blue-stocking bas bleus, sky scraper gratte ciel, hot-dog chien chaud Calque semantique

 Un terme comme realiser (rendre une chose reelle) a changee de sens au contact de l’anglais to realize (comprendre).  A un meme signifiant, s’est aujoutee un signifee different. EX : diet, dete (regime), supporter. Le voyage des mots  Certain mots empruntees par une langue et revient dans la langue d’origine sous une forme etrangere. Echange entre France et l’Angleterre au XVIe siecle. Tonnelle empruntee pas l’anglair revient sous la forme de tunnel. Lancien francais fleureter donne naissance a flirter en anglais et revient en francais. La morphologie des neologismes  le neologisme est un mot de fome et de sens nouveau. Jean-Paul Colin resume comment se fait morphologiquement la nouveautee lexicale :  ajout : chimi> biochimie ; fidele> fideliser  suppression : glisser> glisse, intellectuel> intellect  siglaison : SIDA, TGV, SDF  contraction : camescope > came (ra), Le lexique et le vocabulaire  le lexique est l’ensemble des termes d’une langue. C’est une liste ouverte, c ;est-a-dire qu’on peut toujours y ajouter des termes nouveaux. Pas exemple dans le domaine des emprunts techonologique.  Les lexqiues specialises se concentre dans des domaines particulier  Le lexique de l’informatique par exemple qui comporte tous les terms recences sur le sujet.  le vocabulaire est un inventaire de termes lexicaux, ou vocables, employes dans l’usage de la parole s’appliquant a des types de discours particuliers et relevee par des enquetes sur le vocabulaire d’un individu, d’un groupe social, d’une profession, etc. Il est donc une les de termes limites a un certain usage qu’on en fait par rapport au lexique qui donne toutes les possibilites de la langue. Les enquetes sur le francais parlee  le francais elementaire : compte 1374 mots  le francais fondamental : compte environ 3000 mots.  Les mots les plus frequents de la langue ne representent qu’un vocabulaire de 800 a 1000 mots  300 mots grammaticaux, 100 adj, 200 verbs, 300 substantifs, 100 divers

Chapitre 19 ; L’analyse syntaxique La syntaxe  l’analyse syntaxique a trois buts principaux :  definir la structure des groupes, en precisant les combinaisons possible des categories des mots

 etablir la structure des phrases en specifiant les combinaisons des groupes qui permettent de former des phrases  decrire les interpretations possibles des differentes structures syntaxiques, en fournissant une definition precise des notions traditionnelles telles que sujet grammatical, predicat, complement d’objet direct, etc.  la syntaxe d’une langue est constituee d’un ensemble de regles qui decrivent les structures phrastiques appartenant au repertoire de cette langue. Cette description nous permet d’identifier les phrases qui suivent les regles syntaxique et celles qui les transgressent  les regles syntaxique nous permet de créer un nombre de phrases infins. Nous n ‘avons pas une liste de phrases deja produites dans nos tetes. Elle etablit des regles generales de combinaison et d ;interpretation qui lui permet d’encoder et de decoder tout enonce possible dans sa langue. Syntaxe parlee et syntaxe ecrite  La syntaxe de la langue parlee spontanee est souvent marquee par des reprises, des ruptes, des construction inachevees, ponctuees de termes d’hesitations, par ex : le metro, euh, vous savez, selon moi, ya, ben, faudrait voir,… ». Souvent, on ne trouve pas de phrase achevee dans la langue parlee. L’analyse syntaxique  Consiste a déterminer les groupes qui constituent la phrase et a établir les relations entre ces groupes appelle constituant immédiats./sytagme/ groupe Ils correspondent aux unites de sens majeures que l’on percoit dans une phrase telle que : ma mere/ arrive/ a huit heures. CN, GV, GP La phrase globale  Toute phrase en francais appartienne a une des trois modalites phrastique. Elle est soit declarative, interrogative ou imperative.  La phrase globale (€)sigma, comprend une MODALITE PHRASTIQUE (M) et une PHRASE (P), la phrase particuliere a laquelle la modalite s’applique. EM, P ou le  = indique que le E se reecrite comme M et P.  EX:

E

/ M / imperative

\

P

\ (les enfants chantent)

 Toute phrase francaise contient obligatoirement deux constituants essentiels : un GN et un GV.  EX d’une analyse syntaxique : P

/ \ GN GV / \ Det N Adj V GN etc…..

Chapitre 20 ; la syntaxe et l’ambiguïté Type A ; le GP avec effacement de la preposition  1)Celine Dion chante une chanson ce soi vs 2) Celine Dion chante ce soir. Si on le met au passive : Un chanson a etee chantee par Celine Dion vs Ce soi a ete chantee par Celine Dion. Dans phrase (1), le GN une chanson est un complement d’objet direct du GV chante. Type B ; meme structure de surface mais les structures profondes sont diff.  1) la belle ferme voile vs. 2) la belle ferme voile. 1) le GN est la belle GV elle ferme la voile 2) GN la belle ferme GV le voile (chache) Type C ; le GP complement de nom et le GP complement circonstanciel  1) les voyageurs regardent le chauffeur de l’autocar (complement de nom) vs. 2) les voyageurs regardent le chauffeur de l’autocar (circ de lieu)

Chapitre 21 ; les phrases interrogatives, impératives, négatives et passives Les modalitees phrastiques  Le choix depends de l’attitude du locuteur par rapport au contenu de sa phrase ET par son attitude par rapport a son interlocuteur   La modalitee declarative sert a presenter le contenu de l’enonce comme une simple observation, un constatation que le locuteur cherche a paratger avec son interlocuteur EX : alice arrive a midi   Declarative permet au locuteur de poser une question a son interlocuteur. Il cherche la confirmation de l’information contenue dans son enonce. EX : alice arrive a midi ? a quelle heure Alice arrive-t-elle ?   Imperative exprime un ordre emis par le locuteur a l’intention de son interlocuteur. Il cherche a imposer a son interlocuteur un compotrtement specifique : restez tranquille ! Les polarités  La phrase globale possede une deuxieme propriete, la polarite soit positive soit negative. La polarite POSITIVE permet au locuteur de confirmer ll’information de son enonce en la presentant de facon positive : ses sernier

films sont interessants. Elle adre le gateau. Sa fille es ttombee dans la cour de l’ecole. Negative : aucun de ses dernier films n’est interessant ils ne nous appellent jamais. La voix  Soit active, soit passive.  A la voix active le GN sujet est l’actant. A la voix passive, le GN sujet est le patient de l’action.

Chapitre 23 ; les phrases complexes : la relativisation Les phrases relatives  La relativisation permet, comme la coordination, de combiner deux phrases autonomes. Cette fois-ci, l’une des phrases perd son autonomie syntaxique pour devenir une proposition relative introduite par un pronom relatif. EX : je regarde l’etudiant  l’etudiant ecrit un composition…. La relativisation du GN sujet  Je regarde l’etudiant vs L’etudiant, ecrit un composition. La phrase (1) est consideree comme la phrase matrice (proposition principale) et la phrase (2) comme la proposition enchasee (proposition subordonnee relative). Phrase (2) devient /pronom relatif/ ecrit une composition = Je revgagrde l’etudiant qui ecrit uune composition.  La relativisation du GN complement d’objet direct  QUE…..L’etudiant que je regarde ecrit une composition La relativisation du GN complement d’objet indirect (1) je parle a l’etudiant (2) letudiant mange un sandwich  On veut enchasse la phrase (1) contenant un complement indirect de verbe intransitif dans le groupe nominal. A + pronom relatif. = l’etudiant a qui je parle mange un sandwich.  De meme avec (1) je parle de l’etudiant et (2) l’etudiant ecoute la radio. = L’etudiant dont je parle ecoute la radio. Relativisation du GN complement de nom (1) je regarde l’etudiant (2) je lis la composition de l’etudiant

 = je regarde l’etudiant dont je lis la composition La relativisation et l’interpretation semantique (1) les invitees qui etaient fatigues sont partis. (2) les invites, qui etaient fatigues, sont partis.  La phrase (1) est relative restrictive. Dans ce cas, la proposition relative sert a definir qqc. Le groupe nominal sujet et la proposition relative restrictive forment une unitee prosodique homogene (sans rupture) LES INVITES QUI ETAIENT FATIGUES…… sont partie.  phrase (2) qui est relative appositive. Il s’agit cette fois-ci d’une sort de parenthese qui fournit quelques renseignements supplementaires sur les entites mentionnees. Les RA sont marquees par :  une pause placee entre le GN et la proposition appositive ….  une paranthese basse contenant la proposition appositive…  une pause apres la proposition relative.

Chapitre 24 ; L’analyse sémantique Sens linguistique, sens contextuel et sens situationnel  la sémantique analyse les différentes manifestations du sens d’un énoncé.  Toute acte de communication linguistique humaine est un echange d’information mais elle est constitutee de sens a plusieurs niveaus. Elle peut comporter un sens linguistqiue AKA signification, et des sens contextuels (vous avez vu ce livre ?)et situationnel (j’aime bien cette glace-la). La signification  Tele que l’entend Saussure, la signification linguistique est le passage du signifiant au signifiee  Le signifiant est une image acoustique qui renvoie a l’image mentale d’un mot (ex : arbre), Ce transert appelees signification est consignee dans le dictionnaire. Qui est un repertoire de signifiant dont on donne, sous forme d’explication, des signifiees EX : arbre ; pante dont la tige, ou tonc, …. Le signe linguistique et le referant  Le signe linguistique est une unitee de type abstrait composee d’un signifiant et d’un signifiee. Le signe permet cependant de renvoyer a un referant du monde reel. Le referant est alors n objet partiulier concret ou abrait, dehors du signe. EX : locuteur qui dit le telephone sonne renvoie a un objet specifique a un moment specifique.

 Le signe linguistique permet plusieurs interpretations.Une seuk et meme signe peut renvoyer a plusieurs sens et referants differents. Dans ce cas, c’est le contexte qui permettra de preciser. EX : canard….son article est parut dans le canard (journal)….le chanteur fait un canard (mauvaise note)

La denotation et connotation  Le sens propre d’un terme est egalement appelee le sens denotatif. C’est generalement le premier sens qu’indique le dictionnaire. 2ieme definition  connotatif La connotation du signifiee  Les connotations est a cause des facteurs culturels, des jugements de valeurs, ou autres appreciations stylistique qui modifient la valeur attribuee au signifiee (glissement de sens).  Meme si on peut utiliser des adjective comme : cette histoire est triste/sombre/morne….chaque mots a ses propres connotation…emotion/ inquietude / manque de vivacitee. La connotation du signifiant  Il y a des signifiants de connotation associee a un symbolisme phetique +/universel EX les sanglot longs des violon = triste.  Il y aussi des signifiants de connotations sociale et dialectale Ils sont lies a des facons de parler qui depndent de substrats linguistique. EX : les gens du nord de la France trouve l’accent méridional amusant pcq = caractere gai. La metonymie  Est une figure de rhetorique consistant a prednre la partie pour le tout. EX manger un plat, boire un verre, tout Toronto en parle. La metaphore  Est une figure de rhetorique consistant a substituer un terme imagee a un autre, ce qui revient a une comparaison mais en supprimant son lien grammatical. La grille d’analyse semique  On etablit une grille qui permet l’analyse des differents sememes en semes. On note la presence d’un seme par + et son absence par - . **fig 38 @ pg, 249**

Les limites de l’analyse semique  Ne parvient pas toujours a rendre compte du sens d’un sememe. Peut se produire quand on a affaire a un mot composee, a une expression figee dans la langue, a des termes qui changenet de sens dans le contexte de la phrase. EX : eau de vie, comment allez-vous ? on m’a posee un lapin.

La syntaxe et l’interprétation sémantique  Les regles syntaxiques nous permettent de dire la meme chose en changeant la phrase EX : Marie ecoute la radio, La radio, marie ecoute. Mais, peut faire confondre au niveau du sens.  EX : Le mur parle lentement. A) +/- material B) +/- anime C) +/- humain… mais PARLE pour MUR pose des conflits.

Chapitre 25 ; Synonymie, Antonymie, Polysémie (* qui peuvent etre employer differement dependant de la stylistique. Peut varier de neutre, populaire, snob, dialectal, etc.) La synonymie  La synonymie designe une relation de similaritee entre les signifiees. Deux termes sont synonymes lorsqu’ils ont des siginifiees tres proches.  La coincidence de sens n’est jamais complete en raison des connotations comme EX : pomme de terre qui est neutre par rapport a patate qui a une connotation populaire ou rurale.  On dira que les synonymes sont des sememes qui possedent les memes semes positifs. Les quasi-synonymes  Des termes qui possedent des semes commun mais qui ne sont pas totalement synonymes car certains semes permettent de les differencier.  EX : ecolier, lyceen, etudiant, partagent les semes HUMAIN et APPRENANT mais sont differencier par PRIMAIRE, SECONDAIRE et UNIVERSITAIRE.  *** revoir les DOUBLETS qui étaient des synonymes a formes originelles. L’antonymie lexicale  Designe une relation d’opposition entre les signifiees. (sens opposer)  En semantique, on diraient que ce sont des sememes contenant les memes semes mais que l’un comporte + et l’autre – EX : noir et blanc

 Avec les clichees, l’antonymie ne se fait pas trop. Les clichees sont des expression qui sont entrees dans l’usage de la langue courante. L’antonymie morphologique  Un grand nombre d’antonymies sont produits par l’adjonction d’un morpheme negatif. EX : asocial, antireligieux, desespoir. La polysemie  La polysemie represent le case inverse de la synonymie: un meme signifiant renvoie a plusieurs signifiees ou sememes differents (ils partagent un lien semique). EX : FILLE  terme generique opposer a garcon  opposer a fils  jeune femme celibataire prostituee L’homonymie  L’homonyme est un mot avec le meme signifiant sonore ou ecrit mais les signifiees sont different. En termes semantique, un meme signifiant peut renvoyer a plusieurs sememst differents qui n’ont aucun seme en commun. HOMOPHONE (ver, verre, vert) et HOMOGRAPHE (portions, portions, couvent, couvent).

Le champ notionnel, champ lexical et champ morphologique.  Le champ notionnel s’’interess a tous les mots qui peuvent se regrouper autour d’un mem sememe. La social de la notion. EX : Maison  cabane, cottage, isba, pavillon.  Le champ lexical se delimite a partir d’un mot theme pour en definir les emplois. EX : theme de justice : liberter, democratie, divison des pouvoirs  Du PDV semantique, le champ morphologique est constituer par l’ensemble des unitees significatives construites a partir de classes de radicaux. EX : certain prefixes entrent dans la formation de la negation.

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