REVUE DE PRESSE

Les leçons ne sont jamais récitées dans l'automatisme, l'alphabet est inédit, Pauline et Romain ont écrit leur encyclopédie à leur manière, particulière, unique, ...
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PREMIER ALBUM

Disponible depuis le 26 janvier 2015

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REVUE DE PRESSE MISE À JOUR : JUIN 2015

PROMOTION NATIONALE

MARTINGALE Jean-Philippe Béraud

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PROMOTION WEB YOTANKA Vincent Bazille

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Les inrockuptibles Chronique - 25/02/15

PRESSE NATIONALE

lesinrocks.com

Groupe à suivre : l’omniscience géniale de Ropoporose De la pop en tubes à l’électricité brûlante, deux très jeunes gens savent tout faire, tout bien faire, mais tout bien faire à leur manière : Ropoporose, groupe à suivre. Une sœur, Pauline, un frère, Romain. Deux très jeunes gens, deux preuves, vivantes, vitales, que la valeur n’attend pas le nombre des années. Car à eux deux, ils font tout : la guitare, les claviers, les voix, l’écriture, les arrangements. Et surtout à eux deux, les Vendômois, en duo depuis 2012, savent tout faire. Ils ont appris la science pop, les déliés mélodiques, ils ont appris à dessiner des arcs-en-ciel et à apprivoiser la force du soleil, à faire danser les couleurs. Ils ont aussi appris à faire rugir l’électricité, à cogner dur, à distordre leurs beautés dans tous les sens, à briser leurs désirs sur de rugueux murs de son. Mais ce grand savoir tous-azimuts n’a rien d’académique. Les leçons ne sont jamais récitées dans l’automatisme, l’alphabet est inédit, Pauline et Romain ont écrit leur encyclopédie à leur manière, particulière, unique, pas sage, bricoleuse, un peu vicieuse, toujours très joueuse. Ils se disent influencés par Arcade Fire comme par Sonic Youth, par Pneu comme par Piano Chat. Leurs morceaux, passionnants, peuvent être des merveilles de pop pastel, éthérée et mélancolique, de véritables petits tubes multicolores pour masses amoureuses, d’intenses cavalcades rythmiques et mélodiques. Ils peuvent à l’inverse être des brûlots rock, des moteurs à explosions noises, des uppercuts rouillés et méchants, des cris sombres dans la nuit noire. Mais quels que soient les chemins empruntés, ils sont toujours de traverses, imprévisibles et sinueux : les contrepieds sont permanents, surprenants, euphorisants, les harmonies se brisent en une seconde, l’orage peut éclater en plein ciel bleu, les arabesques psychédéliques ou les angles kraut emporter une chanson douce dans des dédales fascinants. Un album, enregistré par Lionel Laquerrière (leader NestorIsBianca et collaborateur de Yann Tiersen notamment) et nommé Elephant Love est prêt à voir le jour dans les prochains mois : l’avenir leur appartient, et la conquête peut commencer.

25/04/15

PRESSE NATIONALE

Rock’n’Folk

Chronique - Février 2015

PRESSE NATIONALE

GUITARE X TREME

numéro mars / avril 2015

PRESSE NATIONALE

LONGUEUR D’ONDES

Chronique - Février/Mars/Avril 2015

PRESSE NATIONALE

batterie magazine

chronique - Numéro Avril

PRESSE NATIONALE

Guitar Part magazine Chronique - 20/03/15

PRESSE NATIONALE

New Noise

chronique - mai 2015

RADIOS NATIONALES

FIP

Diffusion - 24/02/15 “Empty Headed” - Diffusions “Consolation” Diffusion depuis le 19/05

France Culture

L’atelier intérieur - 12/01/15 http://www.franceculture.fr/emission-l-atelier-interieur-numero-20-liberte-2015-01-12

RADIOS RÉGIONALES

Partenariat Ferarock

semaine du 26 au 30 janvier 2015 http://www.ferarock.org/ROPOPOROSE-Elephant-Love

FERALISTE - FÉVRIER 2015 : 3ÈME POSITION FERALISTE - Mars 2015 : 3ÈME POSITION FERALISTE - Avril 2015 : 21ÈME POSITION FERALISTE - MAI 2015 : 67ÈME POSITION Le TRENTE DE FRANCE - Mars 2015 : 2e position Le TRENTE DE FRANCE - AVRIL 2015 : 14e position

WEB RADIOS

“Empty-headed”

en diffusion depuis le 10/01/15 http://www.lagrosseradio.com

PRESSE RÉGIONALE

Le populaire du centre

Annonce concert - 03/03/15

PROG!, agenda culturel d’Indre-et-Loire

PRESSE RÉGIONALE

“le groupe du coin”

6

LE COIN DU GROUPE DU COIN

By Le Quart d’heure tourangeau, tous les mardis de 18h15 à 19h sur Radio Béton (93.6)

ROPOPOROSE HTTP://ROPOPOROSE.COM

F

« Musique peinte avec les doigts »

ratrie vendômoise au pied-à-terre tourangeau, à peine 40 ans à eux deux, Ropororose trace sa route depuis quelques années, avec simplicité et sincérité, dans le paysage musical local et d’ailleurs. Composé de Pauline (chant, guitare, clavier, percussions) et Romain (batterie, guitare, chœurs), le duo s’affranchit des genres pour proposer un rock à base de boucles, rêveur, aérien, entraînant et enthousiasmant, parfois limite hypnotique, à l’image des excellents Empty-headed ou 40 Slates. Leur musique semble peinte avec les doigts et empreinte d’une sorte de fragilité, au sens délicat du terme, impression renforcée par la voix juvénile de Pauline. Mais entre envolées pop classieuses et autres mélodies subtilement efficaces et entêtantes, Ropoporose passe également par des pulsions noises, bruts (de décoffrage) et sans détours, sans ces fioritures parfois inutiles et qui caractérisent certaines musiques « sur-arrangées » d’aujourd’hui. Alors la batterie de Romain s’énerve, ça crie, ça sature, ça secoue. Bref, le frère et sœur n’en font qu’à leurs têtes et ça nous va bien. Leur premier album, Elephant Love, est sorti le 26 janvier 2015 chez Yotanka (Differ Ant distribution). ACTUALITÉS : CONCERT LE 7 FEVRIER POUR L’INTIME FESTIVAL À ST AVERTIN, AVEC BOYS IN LILIES ET JAY JAY JOHANSON (Nouvel Atrium, 11 à 15€).

Retrouvez l’interview intégrale dans le Quart d’Heure Tourangeau en podcast sur www.fracama.org

PRESSE RÉGIONALE

Parallèle(s) Magazine

Chronique - numéro Janvier/Février

37degres-mag.fr

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INTERVIEW - 27/01/15

Ropoporose pose sa première pierre

Article écrit par La Redac - Le 26 01 2015 à 14:01 http://www.37degres-mag.fr/actualites/ropoporose-pose-sa-premi

Quant à l’album, il devrait être dispo chez Madison, le disquaire d vite : le vinyle est tiré à 150 exemplaires et le CD à 350...

Ropoporose pose sa première pierre 26 janvier 2015. Le voilà enfin cet «Elephant Love», premier album du jeune duo vendômois reniflé de très près par les dénicheurs de talents de tout poil, des Inrocks à Férarock en passant par Esprit Musique. Nous avons installé Pauline – la sœur – et Romain – le frère – dans notre canapé et ils nous ont parlé, entre autres, de ce passage symbolique et important pour tout groupe qu’est la sortie d’un premier album. Alors que la plupart des groupes passent par plusieurs E.P, Romain et Pauline ont choisi de sortir un album après seulement un EP. Un choix naturel à en croire Romain : « Au bout d’un an d’existence on avait dix morceaux en stock, on s’est simplement dit : pourquoi ne pas en faire un album ? ». Un choix ambitieux avec le risque de faire un pot-pourri de leurs titres, travers classique du premier album pour des centaines de groupes… Mais quand les morceaux sont bons, où est le problème ? « On n’a pas travaillé en imaginant préalablement l’album, on a juste pris les morceaux qui pourraient aller ensemble en fait », poursuit Pauline. Une spontanéité à l’image de leur musique et de leur attitude en général. Bien qu’«Elephant Love» soit un album autoproduit, enregistré dans un studio troglodyte à Thoré-la-Rochette, «sorte d’excroissance culturelle de Vendôme» selon Romain, il est en licence chez le label Yotanka : « Yotanka est arrivé alors que l’album était déjà en cours de production, nous explique Romain, ils ont souhaité apporter une aide humaine. Ils nous ont aidés à accélérer les choses en apportant leur expertise sur la production du disque ».

Et dans cet album alors on y retrouve quoi ? « On a été assez exhaustifs au final, on n’en a pas laissé beaucoup de côté. Mais on a plein d’idées pour de futurs morceaux » raconte Romain qui semble autant satisfait du travail accompli que sa sœur qui précise : « Cet album est une finalité, on est content de l’avoir réalisé, c’était très enrichissant. On ne sait pas où on va par la suite, mais je le vois aussi comme une sorte de départ ». Une occasion idéale vous est donnée de (re)découvrir le duo sur scène à Saint-Avertin dans le cadre de l’incontournable «Intime Festival» le samedi 7 janvier 2015. Une affiche de rêve, partagée avec le crooner suédois Jay Jay Johanson et les soyeux troubadours de Boys in Lilies.

Ropoporose pose sa première pierre

Article écrit par La Redac - Le 26 01 2015 à 14:01 http://www.37degres-mag.fr/actualites/ropoporose-pose-sa-premi

Romain : Oui et puis il s’appelle «Day of May» et notre premier c Pauline : Pfff, n’importe quoi, je ne veux pas qu’on dise ça, hein 2. «Desire»

Romain : C’est un des premiers titres qu’on a composés. On l’a 2012, la trompette de Pierre Lambla apporte beaucoup au morce Tiersen, qu’on aime beaucoup. C’est un morceau assez orches deux sur scène.

Pauline : Le morceau existe dès le départ pour être joué à de choses en studio, donc ce sera toujours deux versions très différe

Romain : Cette version est une sorte d’instantané, fruit d’une c une autre dimension au morceau, mais sa version plus simple, à

«Elephant Love» track by track, commenté par Ro 1. «Day of May»

Pauline : Je ne me souviens de rien ! (rires) Romain : C’est moi qui l’ai composé à la guitare.

Pauline : Je crois que le titre est inspiré de « Month of May» d’A «nouveaux morceaux» qu’on a composés, il y a deux ans à peu p

Romain : On gérait assez mal le côté «percu» à l’époque, mais o qu’on l’a joué, c’était lamentable. Je peux dire où c’est, mais je le

Pauline : Je trouvais ça logique d’ouvrir l’album avec ce morcea «ardu». Ce côté évolutif annonce pas mal d’autres morceaux de ouvrir un album...

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Quant à l’album, il devrait être dispo chez Madison, le disquaire de la rue Colbert et il est déjà à la Fnac. Faites vite : le vinyle est tiré à 150 exemplaires et le CD à 350…

3. «Moira»

Romain : C’est marrant, ce morceau n’a pas changé du tou

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PRESSE RÉGIONALE premiers, on l’a joué aux Rockomotives en 2012. Nous on l’aime toujours comme ça. On voulait un morceau qui soit très brut, très incisif. A l’époque on écoutait beaucoup Peter Kernel et Sonic Youth, on avait envie que ça sonne comme ça, avec une ambivalence sur la voix, entre sage et sombre et une espèce d’éclat au refrain.

«Elephant Love»

track by track, commenté par Romain et Pauline. «Whu whu»

Pauline : C’est le morceau qui m’a valu le prestigieux surnom de «Kim Gordon de poche» ! 4.

1. «Day of May» Pauline : L’origine du nom est obscure. C’était un titre provisoire de Romain et puis c’est resté. Pauline : Je ne me souviens de rien ! (rires) Romain : C’est leRomain morceau: C’est le plusmoi long… qui l’ai composé à la guitare. Pauline : …et le Pauline plus lent :également. Je crois que le titre est inspiré de « Month of May» d’Arcade Fire, qu’on adore. C’est l’un des premiers «nouveaux morceaux» qu’on a composés, il y a deux Romain : C’est une ballade, quoi. ans à peu près. Ultra-skimming Touraine : On dirait du Galaxie 500. Romain : On gérait assez mal le côté «percu» à l’époque, mais on voulait faire ça quand même. première fois l’a joué, lamentable. Romain et Pauline : On nous La parle souvent dequ’on groupes qu’onc’était ne connaît pas. Il Je peux dire où c’est, mais je va falloir qu’on aille écouter ça.le dirai pas ! : Je trouvais ça construit logique d’ouvrir l’album avec ce?morceau. Il commence Ultra-skimmingPauline Touraine : Vous l’avez comment ce morceau doucement, mais il finit un peu «ardu». Ce côté évolutif annonce pas mal d’autres Romain : C’est souvent la mélodie qui est au départ… morceaux de l’album. Je trouvais qu’il était tout mignon pour ouvrir un album… Pauline : Là je me souviens trèsetbien, venais d’apprendre à jouer un morceau Romain : Oui puis je il s’appelle «Day of May» et notre premierde concert a eu lieu King Krule (qui un s’appelait Kid à l’époque) et la guitare était désaccordée à mois deZoo mai… peu près pareil. Cela a été la base de mon travail. Pauline : Pfff, n’importe quoi, je ne veux pas qu’on dise ça, hein ? Tu me caches Romain : Lionel des Laquerrière a apporté une très belle touche à ce morceau. Le fait trucs. (rires) qu’il a travaillé pour Tiersen se sent et ça nous plaît beaucoup, même si là encore, 2. «Desire» cette touche est absente de la version live. Romain : C’est un des premiers titres qu’on a composés. On l’a pas mal retravaillé «Empty-headed» depuis la version de l’EP de 2012, la trompette de Pierre Lambla apporte beaucoup Romain : C’est notre titre le plus «radio». beaucoup A une époque ne voulait plusTiersen, le au morceau. Il ressemble à unon morceau de Yan qu’on aime jouer et il a bien failli ne pasC’est être un surmorceau l’album, parce qu’il n’est pas vraiment beaucoup. assez orchestral, mais impossible à vraiment bien représentatif de Ropoporose et parce qu’on s’en était un peu lassé. Mais finalement restituer à deux sur scène. on l’a gardé parce qu’on l’aime bien, tout simplement. Pauline : Le morceau existe dès le départ pour être joué à deux, mais c’est vrai Pauline : Il a fallu réapprendre l’aimer. peut-être un peu plat, luitoujours a qu’on y a ajoutéà pas mal Ildeétait choses en studio, donc ce on sera deux versions donné un peu detrès volume, mais il n’a pas beaucoup évolué. différentes. 5.

Ultra-skimmingRomain : On ne peut vraiment desorte «tube» pourtant, aucun de vos : Cette versionparler est une d’instantané, fruit d’une collaboration morceaux ne «dépasse» vraiment les autres cet une album, ce dimension qui est plutôt bien. spontanée avec Pierre, cela sur donne autre au morceau, mais sa Quand on pense àversion des morceaux comme «Creep» de Radiohead qui a littéralement plus simple, à deux, nous paraît toujours intéressante. écrasé leur premier album, voire un peu le deuxième dans la foulée, on se dit que «Moira» ce n’est pas plus 3. mal… Vous avez envie d’écrire un «tube», toutes proportions gardées ? Romain : C’est marrant, ce morceau n’a pas changé du tout. C’est l’un de nos Pauline : On avance tranquillement, on pense qu’il y a des influences différentes premiers, on l’a joué aux en 2012. on l’aime toujours comme dans chaque morceau. On expérimente, onRockomotives se cherche, mais on n’aNous pas trop ce ça. On àvoulait quiqui soit très brut, très incisif. A l’époque on écoutait côté «pop» qui consiste écrire un desmorceau morceaux correspondraient à des attentes beaucoup Kernel aux et Sonic Youth, on avait envie que ça sonne comme ça, particulières, même si on estPeter très attachés mélodies. avec une ambivalence sur la voix, entre sage et sombre et une espèce d’éclat au Ultra-skimmingrefrain. : Vous avez quand même un morceau préféré dans cet album, que vous considérez un cran au-dessus des autres ? Pauline : C’est le morceau qui m’a valu le prestigieux surnom de «Kim Gordon de Pauline : «Forty poche» slates». ! «Whu whu» Romain : «Forty 4. slates», oui, moi aussi. 6.

Pauline : L’origine du nom est obscure. C’était un titre provisoire de Romain et c’est resté. «Elephantpuis Love»

Romain C’est le morceau le d’un plus an long… Romain : L’idée de l’album: est arrivée au bout d’existence. On a regardé notre parcours et on s’est dit qu’il y avait d’un côté quelque chose d’écorché, mais Pauline : …et lequi plus lentenvie également. aussi quelque chose de puissant, avait d’avancer. Le côté enfantin de l’éléphant me plaîtRomain aussi. : C’est une ballade, quoi. Pauline : On avait envie je pense de mettre ce morceau en Galaxie avant parce qu’il nous Ultra-skimming Touraine : On dirait du 500. semble assez à part, donc en donnant son nom à l’album, on lui donnait une place particulière. Il y aRomain aussi uneetallusion au:«Forever Dolphin Love» de Connan Pauline On nous parle souvent de groupes qu’on ne connaît pas. Il Mockasin, un album qu’onqu’on a beaucoup aimé ça. et écouté. va falloir aille écouter Ultra-skimmingUltra-skimming Touraine : Qui écrit les textes ? l’avez construit comment ce morceau ? Touraine : Vous Pauline : C’est moi. Souvent ça ne veut pas dire grand-chose, ne suis pas une Romain : C’est souvent la mélodie qui est au je départ… songwriter. Le sens de phrases isolées m’intéresse plus que de raconter une souviens je venais d’apprendre à jouer un morceau de Pauline : Là je meaussi, histoire. Certains sons m’intéressent bientrès sûr.bien, La voix est aussi un instrument. King Krule (qui s’appelait Zoo Kid à l’époque) et la guitare était désaccordée à 7. «Consolation» peu près pareil. Cela a été la base de mon travail. Romain : Ce seraRomain notre prochain qu’une graphiste train de réaliser. : Lionelclip, Laquerrière a apportéest uneentrès belle touche àIlce morceau. Le fait va sortir début février. sera unpour trèsTiersen joli clip,se très narratif, l’histoire petite même si là encore, qu’il aCe travaillé sent et ça nous plaîtd’une beaucoup, fille qui se balade cette dans touche ses cauchemars. est absente de la version live. Pauline : C’est l’illustratrice qui a choisi ce morceau et elle s’en est inspiré pour 5. «Empty-headed» faire sa création. Romain : C’est notre titre le plus «radio». A une époque on ne voulait plus le Ultra-skimmingjouer Touraine Votrefailli univers renvoie au l’album, début des années et il a:bien ne pas être sur parce qu’il90… n’est pas vraiment représentatif de Ropoporose et parce qu’on s’en était un peu lassé. Mais finalement Romain : Oui, sans doute. On aime beaucoup de groupes de cette époque, les on l’a gardé parce qu’on l’aime bien, tout simplement. Pastels, Slowdive, et un peu plus tard Blonde Redhead, c’est vrai. On était tout petits pourtant à cette époque Pauline : Il a! fallu réapprendre à l’aimer. Il était peut-être un peu plat, on lui a donné un peu de volume, mais il n’a pas beaucoup évolué. 8. «My god» Ultra-skimming : On ne peut vraiment parler de «tube» pourtant, aucun de vos Romain : C’est une chansonnequi a été écrite par Céline Lumeau, aussi fait la est plutôt bien. morceaux «dépasse» vraiment les autres surqui cetaalbum, ce qui pochette de l’album. On aoneupense peur àque chanson ne résiste pas de à Radiohead qui a littéralement Quand descette morceaux comme «Creep» l’enregistrement, comme si elle ne voulait pasvoire se laisser apprivoiser. écrasé leur premier album, un peu le deuxième dans la foulée, on se dit que ce du n’est pas plus mal…sonner Vous avez envie «tube», toutes Pauline : On a mis temps à la faire comme ond’écrire voulait,un mais à force on a proportions gardées ?

INTERVIEW - 27/01/15 Pauline : On avance premiers, tranquillement, on l’a jouéon aux pense Rockomotives qu’il y a des en influences 2012. Nousdifférentes on l’aime toujours comme dans chaque morceau. expérimente, on se n’aincisif. pas trop ce ça. OnOn voulait un morceau quicherche, soit trèsmais brut,on très A l’époque on écoutait côté «pop» qui consiste à écrire des morceaux qui correspondraient à des attentes beaucoup Peter Kernel et Sonic Youth, on avait envie que ça sonne comme ça, particulières, même si on très attachés mélodies. avec uneest ambivalence suraux la voix, entre sage et sombre et une espèce d’éclat au refrain. Ultra-skimming : Vous avez quand même un morceau préféré dans cet album, que vous considérez un cran au-dessus des autres ? valu le prestigieux surnom de «Kim Gordon de Pauline : C’est le morceau qui m’a poche» ! Pauline : «Forty slates». 4. «Whu whu» Romain : «Forty slates», oui, moi aussi. Pauline : L’origine du nom est obscure. C’était un titre provisoire de Romain et puis c’est resté. 6. «Elephant Love» Romain : C’est le morceau le plus long… Romain : L’idée de l’album est arrivée au bout d’un an d’existence. On a regardé notre parcours etPauline on s’est :dit qu’il avait d’un côté quelque chose d’écorché, mais …et le yplus lent également. aussi quelque chose de puissant, qui avait envie d’avancer. Le côté enfantin de Romain l’éléphant me plaît aussi. : C’est une ballade, quoi. Ultra-skimming Touraine : On dirait du 500. Pauline : On avait envie je pense de mettre ce morceau en Galaxie avant parce qu’il nous semble assez à part, donc et en Pauline donnant :son l’album, on luidedonnait une place Romain On nom nousàparle souvent groupes qu’on ne connaît pas. Il particulière. Il y ava aussi une allusion au «Forever Dolphin Love» de Connan falloir qu’on aille écouter ça. Mockasin, un album qu’on a beaucoup aimé et écouté. Ultra-skimming Touraine : Vous l’avez construit comment ce morceau ? Ultra-skimming Touraine : Qui écrit les textes ? Romain : C’est souvent la mélodie qui est au départ… Pauline : C’est moi. Souvent ça ne veut pas dire grand-chose, je ne suis pas une songwriter. Le sens de phrases isolées m’intéresse de raconter une à jouer un morceau de Pauline : Là je me souviens très plus bien,que je venais d’apprendre histoire. Certains King sons m’intéressent aussi, bien voix est aussi instrument. Krule (qui s’appelait Zoosûr. KidLa à l’époque) et laun guitare était désaccordée à peu près pareil. Cela a été la base de mon travail. 7. «Consolation» Romain : Lionel Laquerrière a apporté une très belle touche à ce morceau. Le fait Romain : Ce seraqu’il notre prochainpour clip,Tiersen qu’une se graphiste en train réaliser. Ilmême si là encore, a travaillé sent et est ça nous plaîtdebeaucoup, va sortir début février. Ce seraest un absente très joli clip, narratif, cette touche de latrès version live. l’histoire d’une petite fille qui se balade dans ses cauchemars. 5. «Empty-headed» Pauline : C’est l’illustratrice qui a choisi ce morceau et elle s’en est inspiré pour faire sa création. Romain : C’est notre titre le plus «radio». A une époque on ne voulait plus le jouer et il a bien failli ne pas être sur l’album, parce qu’il n’est pas vraiment Ultra-skimmingreprésentatif Touraine : Votre univers renvoie au qu’on début s’en des était années de Ropoporose et parce un 90… peu lassé. Mais finalement on l’a gardé l’aimedebien, tout de simplement. Romain : Oui, sans doute. Onparce aimequ’on beaucoup groupes cette époque, les Pastels, Slowdive,Pauline et un peu tardréapprendre Blonde Redhead, c’estIl vrai. était tout : Ilplus a fallu à l’aimer. était On peut-être un peu plat, on lui a petits pourtant à donné cette époque un peu! de volume, mais il n’a pas beaucoup évolué. 8.

«My god»Ultra-skimming : On ne peut vraiment parler de «tube» pourtant, aucun de vos morceaux nequi «dépasse» vraiment les autres sur qui cet aalbum, ce qui Romain : C’est une chanson a été écrite par Céline Lumeau, aussi fait la est plutôt bien. Quand pense descette morceaux comme «Creep» pochette de l’album. On on a eu peuràque chanson ne résiste pasde à Radiohead qui a littéralement écrasé leur premier album, voire un peu le deuxième dans la foulée, on se dit que l’enregistrement, comme si elle ne voulait pas se laisser apprivoiser. ce n’est pas plus mal… Vous avez envie d’écrire un «tube», toutes proportions Pauline : On a mis du temps à la faire sonner comme on voulait, mais à force on a gardées ? réussi et elle a toute sa place dans l’album. Pauline : On avance tranquillement, on pense qu’il y a des influences différentes chaque morceau. On expérimente, se cherche, mais on n’a pas trop ce Ultra-skimmingdans Touraine : Si vous deviez choisir un seulonterme entre «énergie» côté «pop»cequi morceaux correspondraient à des attentes et «émotion» pour qualifier quiconsiste domineàleécrire plus des votre musique,qui vous choisiriez particulières, même si on est très attachés aux mélodies. quoi ? Ultra-skimming : Vous avez quand même un morceau préféré Romain : L’émotion sur disque, plutôt l’énergie sur scène. C’est vrai que les deuxdans cet album, queIlvous considérez au-dessus des autres ? nous vont très bien. me semble que un surcran scène, c’est l’énergie qui capte les spectateurs et les emmène vers l’émotion. C’est un sentiment de satiété sonore qui Pauline : «Forty slates». semble plaire à notre public. : «Forty slates», oui, moi aussi. Ultra-skimmingRomain Touraine : Etes-vous sensibles à des choses très construites, comme Can ou Pink Floyd ? 6.

«Elephant Love»

Romain :pose Non, on plus danspierre un esprit «lo-fi», très spontané. Ropoporose saest première

Romain : L’idée de l’album est arrivée au bout d’existence. ArticlePauline écrit par: La Redac - Le mais 26 01de2015 à 14:01 Je ne sais pas, manière générale j’ai parfois dud’un mal an à bien voir la On a regardé etet onces’est dit fait. qu’il y avait d’un côté quelque chose d’écorché, mais http://www.37degres-mag.fr/actualites/ropoporose-pose-sa-premiere-pierre/ frontière entre cenotre qu’onparcours aime bien qu’on 9.

aussi quelque chose de puissant, qui avait envie d’avancer. Le côté enfantin de l’éléphant me plaît aussi. «Forty Slates»

Paulinea:réussi OnRopoporose avait envie pense desa mettre ce morceau en avant parce qu’il nous Romain : Cette chanson à être ce je qu’elle devait être, elle nouspierre paraît pose première semble assezceàqu’on part, donc en ydonnant à l’album, aboutie, bien remplie de tout a voulu mettre. son On anom réussi à capteron lui donnait une place Il y a aussi une Love» de Connan quelque chose. A particulière. la fin, c’est très «nous» : onallusion s’en va,au ça«Forever se termineDolphin sur un gros un «Elephant album a beaucoup et écouté. pas d’éléphant, unMockasin, peu militaire, commequ’on uneLove», fin de film oùaimé tout s’est bien passé.duo vendômois reniflé d 26 janvier 2015. Le voilà enfin cet premier album du jeune C’est un happy end. Je trouve ça joli de terminer un album qui a beaucoup près par les dénicheurs de talents de tout poil, à ?Férarock en passant par Esprit Mu Ultra-skimming Touraine : Quides écritInrocks les textes d’embranchements par une piste douce.

Nous avons installé Pauline - la sœur - et Romain - le frère - dans notre canapé et ils nous ont parlé, Pauline : C’est moi. ne veut pas dire grand-chose, je ne suis pas une Pauline : C’est aussi très ouvert. Surimportant laSouvent suite… ça autres, de ce passage symbolique et pour tout groupe qu'est la sortie d'un premier album. songwriter. Le sens de phrases isolées m’intéresse plus que de raconter une histoire. Certains sons m’intéressent aussi, bien sûr. La voix est aussi un instrument. 7.

«Consolation»

Romain : Ce sera notre prochain clip, qu’une graphiste est en train de réaliser. Il va sortir début février. Ce sera un très joli clip, très narratif, l’histoire d’une petite fille qui se balade dans ses cauchemars. Pauline : C’est l’illustratrice qui a choisi ce morceau et elle s’en est inspiré pour faire sa création. Ultra-skimming Touraine : Votre univers renvoie au début des années 90… Romain : Oui, sans doute. On aime beaucoup de groupes de cette époque, les Pastels, Slowdive, et un peu plus tard Blonde Redhead, c’est vrai. On était tout petits pourtant à cette époque ! 8.

«My god»

Romain : C’est une chanson qui a été écrite par Céline Lumeau, qui a aussi fait la pochette de l’album. On a eu peur que cette chanson ne résiste pas à l’enregistrement, comme si elle ne voulait pas se laisser apprivoiser. Pauline : On a mis du temps à la faire sonner comme on voulait, mais à force on a

Alors que la plupart des groupes passent par plusieurs E.P, Romain et Pauline ont choisi de sortir un album seulement un EP. Un choix naturel à en croire Romain : "Au bout d'un an d'existence on avait dix morcea stock, on s'est simplement dit : pourquoi ne pas en faire un album ?". Un choix ambitieux avec le risque de fa pot-pourri de leurs titres, travers classique du premier album pour des centaines de groupes... Mais qua morceaux sont bons, où est le problème ? "On n'a pas travaillé en imaginant préalablement l'album, on a jus les morceaux qui pourraient aller ensemble en fait", poursuit Pauline. Une spontanéité à lʼimage de leur m et de leur attitude en général.

Bien quʼ«Elephant Love» soit un album autoproduit, enregistré dans un studio troglodyte à Thoré-la-Ro

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Chronique - 25/O1/15

ROPOPOROSE « Day of May », morceau avec lequel s’ouvre « Elephant love », premier album de Ropoporose, fait mouche. « Moïra » séduit par sa capacité à souffler le rock. On se laisse transporté par le phrasé entêtant de « Empty-Headed ». Rock, post-rock... Inutile de chercher à ranger ce duo familial dans une case tant il manie l’art du contre-pied, d’être là où on ne l’attend pas. Ropoporose, c’est un gars, une fille, deux jeunes qui touchent à tout. Pauline est au chant, aux claviers et aux percussions. Romain donne dans les choeurs, la guitare et la batterie. Les influences multiples ont été digérées et intégrées pour donner un son qui sonne. C’est frais, inspiré, mélodique et sans fard. Stéphane Guihéneuf © Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/musique/ropoporose-25-01-2015-10504012.php

Nouvelle république  - Loir-et-Cher

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Vendôme - 21/01/15

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VENDÔME Premier album des Ropoporose 22/01/2015 05:24 Le duo vendômois composé de Romain et Pauline, frère et sœur à la ville, sort officiellement Elephant love lundi 26 janvier. L'album de 10 titres a été autoproduit et enregistré à Thoré-la-Rochette avec les collaborations des musiciens Pierre Lambla et Lionel Laquerrière. L'un des titres, Empty-head, est déjà distingué parmi les titres de janvier 2015 par le magazine Inrockuptibles, tandis que Radio béton en a fait son album phare cette semaine. À Vendôme, c'est la boutique Figures libres, rue Poterie, qui le commercialise. Une écoute gratuite est proposée actuellement sur le site mowno.com qui donne également les dates de concerts. Une présentation de l'album aura lieu à Paris le 6 février et le duo sera à Saint-Avertin le 7 février dans le cadre de l'Intime Festival.

Elephant Love disponible chez Figures libre

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5 morceaux live plateau en diffusion du lundi 19 Janvier au Vendredi 23 février à 18h00.

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Exclu clip - 02/02/15

Ropoporose : le clip de “Consolation” en avant-première le 03 février 2015 à 16:53 •

On qualifiait les jeunes, très jeunes mais doués, très doués Roporose de “groupe à suivre” il y a quelques mois. L’écoute d’ “Elephant Love”, premier album de Pauline et Romain, frère et sœur à la ville et brillants tordeurs de sons à la scène, ne déçoit pas : nous en parlerons plus longuement bientôt mais sa maturité furieuse et son indomptable électricité impressionnent fortement. Un exemple ? L’âpre, belle et très folle “Consolation”, extrait d’ “Elephant Love” dont le groupe nous offre en avant première le très beau clip animé, réalisé par Margaux Chetteau. Le groupe tourne en ce moment : ses dates, dont un showcase demain à Paris, avant une date au Petit Bain le 6 février, sont à retrouver sur sa page Facebook. Thomas Burgel

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session acoustique - Mars 2015

ACOUSTIQUES

ROPOPOROSE – DAY OF MAY – ACOUSTIQUE (NOUVELLES SCÈNES 2015) ROPOPOROSE ––DAY MAY – – ROPOPOROSE DAYOFOF MAY ACOUSTIQUE (NOUVELLES ACOUSTIQUE (NOUVELLES SCÈNES 2015) SCÈNES 2015) ACOUSTIQUES ACOUSTIQUES

The White Stripes version française ? On va se calmer. Cela étant, dans la catégorie « duo de frère et sœur rockeurs », Ropoporose fait le job. Et le fait bien. Pauline et Romain ont bravé le vent froid pour installer batterie et guitare sur la terrasse des Planches, un café situé le long de la Sèvre niortaise. Une The Whitequi Stripes version ? On va se calmer. Cela étant, dans la catégorie « duo frère et session amplifiée n’est pas française sans rappeler l’univers de Sonic Youth, même si de leur premier album », Ropoporose fait plus le job.chaleureuse. Et le fait bien. Pauline et Romainfamiliale ont bravé n’y le vent pour (Elephant sœur Love)rockeurs dégage une approche La complicité estfroid probablement pas installer batterie et guitare sur la terrasse des Planches, un café situé le long de la Sèvre niortaise. Une pour rien. session amplifiée qui n’est pas sans rappeler l’univers de Sonic Youth, même si leur premier album dégage une approche plusva chaleureuse. La Cela complicité familiale probablement pas de frère et The White(Elephant StripesLove) version française ? On se calmer. étant, dansn’ylaestcatégorie « duo pour rien. sœur rockeurs », Ropoporose fait le job. Et le fait bien. Pauline et Romain ont bravé le vent froid pour installer batterie et guitare sur la terrasse des Planches, un café situé le long de la Sèvre niortaise. Une session amplifiée qui n’est pas sans rappeler l’univers de Sonic Youth, même si leur premier album (Elephant Love) dégage une approche plus chaleureuse. La complicité familiale n’y est probablement pas pour rien.

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soul-kitchen .fr

Son du jour - Consolation - 28/02/15

Après Empty-Headed, Consolation est le deuxième extrait du premier et formidable album de Ropoporose, Elephant Love. Ropoporose fait de drôles de rêves sur Consolation avec une guitare cristalline, un clavier céleste, un saxophone enivrant pour une consolation fœtale et protectrice.

C’est ce contraste d’humeurs changeantes qui nous remue tout au long de ce disque. Pendant pre minutes, les deux musiciens n’en finissent pas de jongler habilement entre des passages d’une flu d’autres où l’agitation est à son comble. Et ce qu’on aime par-dessus tout chez lisaient, Ropoporose, c’est cetteQuelques envie, presque innocente, de vouloi On garde tous une certaine nostalgie des histoires que nos parents nous enfants. sûrement le fait de leur « bonne » éducation goût. des aventures qui, illustrations pour éveiller notre imaginaire et des protagonistes colorés, lancésaudans Ainsi, la ballade pop « Why-Whu » croise le chemin d’un math-rock bien réveillé sur « Empty-Heade encore aujourd’hui, nous reviennent en mémoire. noise « Elephant » vient rattraper la locomotive expérimentale « Love ».

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[LP] Ropoporose – Elephant Love

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Chronique - 27/01/15

par Fred Lombard le 27 janvier 2015 dans Chroniques

On garde tous une certaine nostalgie des histoires que nos parents nous lisaient, enfants. Quelques illustrations pour éveiller notre imaginaire et des protagonistes colorés, lancés dans des aventures qui, encore aujourd’hui, nous reviennent en mémoire.

[LP] Ropoporose – Elephant Love par Fred Lombard le 27 janvier 2015 dans Chroniques

On garde tous une certaine nostalgie des histoires que nos parents nous lisaient, enfants. Quelques [LP] Ropoporose – notre Elephant Loveet des protagonistes colorés, lancés dans des aventures qui, illustrations pour éveiller imaginaire encore aujourd’hui, nous reviennent en mémoire. par Fred Lombard le 27 janvier 2015 dans Chroniques C’est certainement de ces–souvenirs d’enfance, ceux d’une sœur et d’un frère – Pauline au chant, à la guitare, au [LP] Ropoporose Elephant Love

clavier et aux percussions, Romain à la batterie et aux chœurs – qu’est né Ropoporose (joli nom), belle pousse de trois ans, nourrie des ruissellements indie dans un terreau pop. pop magistrale « 40 Slates », hommage instrumental autour des notes vibrantes du piano. On les connaît, ces innombrables projets de fratries, souvent complices depuis le plus jeune âge ; mais celui-ci a On garde tous une certaine nostalgie des histoires que nos parents nousetlisaient, enfants. cette fraîcheur, cette insouciance jamais impertinente qui séduit, séduit, passionne résonne envéritables nous.Quelques Non sans libres nostalgie, On est parfois souvent surpris, par ces titres, électrons de créativité. En em illustrations pour éveiller notre imaginaire et des protagonistes colorés, lancés dans des aventures qui, non sans mélancolie, on se laisse porter par lad’univers douce énergie du jeune duo de qui Vendôme. distincts, comme un juke-box n’en ferait plus qu’à sa tête, Ropoporose coud son prop encore aujourd’hui, nous reviennent On garde tous une certaine nostalgieen desmémoire. histoires que nos parents lisaient, enfants. Quelques musical, résolument inclassablenous et étonnant. Récréatif et atypique, « Elephant Love », album des talentueux Pauline et Romain Ropopo illustrations pour éveiller notre imaginaire et des protagonistes colorés, lancés dans des aventures qui, « Elephant Love », avancée sans filin pour nos deux intrépides fonceurs, Lara etpremier Indiana dans une autre vie, en quête C’est certainement de ces souvenirs d’enfance, ceux d’une sœuroffre et d’un frère – Pauline aubeaux chant,témoignages à la guitare, au respirations et nous certainement l’un des plus de l’éclectisme indé actu encore aujourd’hui, nous reviennent en mémoire. d’un trésor englouti au cœur d’une jungle luxuriante et habitée d’esprits curieux et agités. En avant ! Brillant ! chœurs – qu’est né Ropoporose (joli nom), belle pousse de clavier et aux percussions, Romain à la batterie et aux trois ans, nourrie des ruissellements dans pop.à leurs débuts en 2012, sinon une introduction On pourra ainsi sûrement voir dans «indie Day of Mayun» terreau un clin d’œil On les connaît, ces innombrables projets de fratries, souvent complices le plusnous jeuneaccueille âge ; mais a sereine. Ici, la voix douce de Pauline, accompagnée par le frérot Romaindepuis aux chœurs, surcelui-ci un air de cette fraîcheur, cette insouciance jamais impertinente qui séduit, passionne et résonne en nous. Non sans nostalgie, guitare, prestement électrisé, et quelques coups de cymbales. Petit à petit, chaque note et chaque souffle nous non sans mélancolie, sel’avant, laisse porter la brise doucequi énergie du jeune defaire Vendôme. poussent un peu plus on vers commepar une s’intensifie pourduo nous passer de la marche à la course.

par Fred Lombard le 27 janvier 2015 dans Chroniques Enfin, le solennel « Consolation » viendra allumer les fumées du folk alternatif « My God » avant la

Le cœur palpitant, on prend l’allure, tant et si bien que la musique fait désormais corps avec nous. L’aventure ne fait « Elephant Love », avancée sans filin pour nos deux intrépides fonceurs, Lara et Indiana dans une autre vie, en quête que commencer ! d’un trésor englouti au cœur d’une jungle luxuriante et habitée d’esprits curieux et agités. En avant !

On pourra ainsi sûrement voir dans « Day of May » un clin d’œil à leurs débuts en 2012, sinon une introduction sereine. Ici, la voix douce de Pauline, accompagnée par le frérot Romain aux chœurs, nous accueille sur un air de guitare, prestement électrisé, et quelques coups de cymbales. Petit à petit, chaque note et chaque souffle nous poussent un peu plus l’avant, comme une brise qui s’intensifie pour faire passer de laau marche la la course. C’est certainement de vers ces souvenirs d’enfance, ceux d’une sœur et nous d’un frère – Pauline chant,à à guitare, au Le cœur palpitant, on prend l’allure, tant et si bien que la musique fait désormais corps avec nous. L’aventure ne fait clavier et aux percussions, Romain à la batterie et aux chœurs – qu’est né Ropoporose (joli nom), belle pousse de que commencer !

trois ans, nourrie des ruissellements indie dans un terreau pop. OnAttisé les connaît, innombrables projets de fratries, complices depuis leauplus jeune âge ; mais celui-ci a par uneces énergie sincère et éperdument onsouvent vit chaque morceau tourbillon C’est certainement de ces souvenirs d’enfance,libérée, ceux d’une sœur et d’un frère –comme Paulineentraîné chant,dans à la un guitare, au de cette fraîcheur, cette insouciance jamais impertinente qui séduit, passionne et résonne en nous. Non sans nostalgie dynamisme, prise de Romain vitesse et emportement. Les cuivres– qu’est viennent embellir(joli le propos déjà pousse sublimede de clavier et auxentre percussions, à la batterie et aux chœurs né ainsi Ropoporose nom), belle Desire »,nourrie alors que folie (sur)prend le pas retenue sur l’époumonant intensif Moïra à».la guitare, au non«trois sans mélancolie, on sesouvenirs laisse porter parsur la douce jeune de Vendôme. ans, des ruissellements indie dans unla terreau pop. C’est certainement dela ces d’enfance, ceux d’uneénergie sœur et du d’un frère duo –et Pauline au«chant, On les connaît, ces innombrables de fratries, souvent depuis le plus jeune âge ;belle maispousse celui-cide a clavier et aux percussions, Romainprojets à la batterie et aux chœurscomplices – qu’est né Ropoporose (joli nom),

C’est ce contraste d’humeurs changeantes qui nous remue tout aupassionne long de ceetdisque. presque cinquante cette fraîcheur, insouciance jamais impertinente qui séduit, résonne en nous. Non sans nostalgie, « Elephant Love »,cette avancée sans filin pour nos deux intrépides fonceurs, Lara etPendant Indiana dans une autre vie, en quêt trois ans, nourrie des ruissellements indie dans un terreau pop. minutes, les deux musiciens n’en finissent pas de jongler habilement entre des passages d’une fluidité extrême non sans mélancolie, on se laisse porter par la doucesouvent énergie du jeune duo decurieux Vendôme. Ontrésor les connaît, ces au innombrables projets deluxuriante fratries, complices depuis le plus jeune âge ; En mais celui-ci d’un englouti cœur d’une jungle et habitée d’esprits et agités. avant ! aet

d’autres où l’agitation est à son comble. cette fraîcheur, cette insouciance jamais impertinente qui séduit, passionne et résonne en nous. Non sans nostalgie, Et ce qu’on aime par-dessus toutfilin chez Ropoporose, c’est cette du envie, presque innocente, de vouloir goûter àen tout ; « Elephant Love », avancée sans pour nos intrépides fonceurs, Larade et Indiana dans une autre vie, quête non sans mélancolie, on se laisse porter par ladeux douce jeune duo Vendôme. parainsi une énergie sincère éperdument libérée, on vit chaque morceau comme entraîné dans unune tourbillon de OnAttisé pourra sûrement voir et dans « Day of May »énergie un clin d’œil à leurs débuts en 2012, sinon introduction sûrement le fait de leur « bonne » éducation au goût. d’un trésor englouti au cœur d’une jungle luxuriante et habitée d’esprits curieux et agités. avantdéjà ! sublime de dynamisme, entredouce prise de vitesse et emportement. Les cuivres viennent ainsi aux embellir le En propos sereine. Ici, la voix de Pauline, accompagnée par le frérot Romain chœurs, nous accueille sur un air de Ainsi, la ballade pop « Why-Whu »filin croise lenos chemin d’un math-rock bien réveillé sur « Empty-Headed ». Puis «« Elephant Love », avancée sans pour deux intrépides fonceurs, Lara etet Indiana dans une ». autre vie, le enwagon quête Desire », alors que la folie (sur)prend le pas sur la retenue sur l’époumonant intensif « Moïra guitare, électrisé, et quelques de cymbales. Petit à petit, chaque note chaque souffle nous noise «prestement Elephant » vient rattraper lajungle expérimentale ».débuts On ainsi sûrement voir dans «locomotive Dayluxuriante of coups May » un d’œil«d’esprits àLove leurs sinon uneetintroduction d’unpourra trésor englouti au cœur d’une et clin habitée curieuxen et2012, agités. En avant ! poussent un peu plus vers l’avant, comme une brise qui s’intensifie pour nous faire passer de laun marche sereine. Ici, la voix d’humeurs douce de Pauline, accompagnée le frérot Romain aux accueille sur air de à la course C’est ce contraste changeantes qui nous par remue tout au long de cechœurs, disque. nous Pendant presque cinquante Le cœur palpitant, on prend l’allure, et side bien que la musique fait des désormais corps avec nous. L’aventure ne fai guitare, prestement électrisé, et quelques coups de cymbales. Petit à entre petit, chaque notesinon etd’une chaque souffle nous On pourra ainsi sûrement voir dans «tant Day of May »jongler un clinhabilement d’œil à leurs débuts en 2012, une introduction minutes, les deux musiciens n’en finissent pas passages fluidité extrême et un peu plus vers l’avant, comme une brise qui s’intensifie pour nous faire passer de la marche à la course. sereine. Ici, la voix douce de Pauline, accompagnée par le frérot Romain aux chœurs, nous accueille sur un air de quepoussent commencer ! d’autres où l’agitation est à son comble. Le cœur palpitant, onélectrisé, prend l’allure, tant et coups si biende que la musique fait désormais corps nous. L’aventure ne fait guitare, prestement et quelques cymbales. Petit àpresque petit, chaque noteavec et souffle Et ce qu’on aime par-dessus tout chez Ropoporose, c’est cette envie, innocente, dechaque vouloir goûter nous à tout ; que commencer ! poussent un peu plus vers l’avant, comme une brise qui s’intensifie pour nous faire passer de la marche à la course. sûrement le fait de leur « bonne » éducation au goût. Le cœur palpitant, on«prend l’allure, tant et bien que musique fait désormais corps avec nous. L’aventure fait Ainsi, la ballade pop Why-Whu » croise le si chemin d’unlamath-rock bien réveillé sur « Empty-Headed ». Puis le ne wagon que commencer ! noise « Elephant » vient rattraper la locomotive expérimentale « Love ».

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Report concert Paris - 16/02/15

Carte blanche à Ropoporose à Petit Bain Publié le 16 Feb 2015 Rédacteur : Agnès Bayou

Carte blanche à Ropoporose à Petit Bain Publié le 16 Feb 2015 Rédacteur : Agnès Bayou

Pour la troisième soirée Labo Pop, c’est à Ropoporose que Petit Bain a offert une carte blanch album Elephant Love. Le duo vendômois s’est alors empressé d’inviter des amis à assurer la pr la folk sombre de Rach Three et la pop acidulée de Le Feu se sont retrouvés programmés, ma statut de tête d’affiche avec leur art-rock bien aiguisé.

Pour la troisième soirée Labo Pop, c’est à Ropoporose que Petit Bain a offert une carte blanche pour la sortie de leur premier album Elephant Love. Le duo vendômois s’est alors empressé d’inviter des amis à assurer la première partie. C’est comme ça que Ropoporose la folk sombre de Rach Three et la pop acidulée de Le Feu se sont retrouvés programmés, mais les frangins ont fait honneur à leur statut de tête d’affiche avec leur art-rock bien aiguisé. Sur scène, ils ne sont que deux, et pourtant, ils arrivent, à l’aide de boucles à recréer l’ambianc Love, tout en déployant une énergie électrique. Pauline démarre derrière la batterie, arrive déjà tellement jeune. Mais bientôt, elle échange de place avec son frère pour bluffer tout le monde s Ropoporose pour ses frêles épaules.

Sur scène, ils ne sont que deux, et pourtant, ils arrivent, à l’aide de boucles àles recréer l’ambiance de leur presque premier religieuses, album Elephant Avec toute cette réverbération, introductions se feraient jusqu’à ce que Love, tout en déployant une énergie électrique. Pauline démarre derrière la batterie, arrive déjà à émouvoir de sa voix ‘Moira’. Pauline a 17 ans et demi, cette année, elle passe son bac, mais sortfragile aussi et un premier al tellement jeune. Mais bientôt, elle échange de son frère pour bluffer le qui monde surtout uneleguitare bienpar lourde sonplace frèreavec Romain, de quatre ans sontout aîné, aligne mondequi à laparaît batterie la finesse de pour ses frêles épaules. scolaires : à aucun moment ils ne se laissent maîtriser par leurs boucles, leurs fins sont réfléchi

bien travaillées. Avec toute cette réverbération, les introductions se feraient presque religieuses, jusqu’à ce que la guitare s’énerve, comme sur ‘Moira’. Pauline a 17 ans et demi, cette année, elle aux passeRockomotives, son bac, mais ce sortsont aussi premier album aventureux et ingénieux Elevés desunmusiciens appliqués qui jamais ne tombentavec dans la facili son frère Romain, de quatre ans son aîné, quigroupes aligne tout le monde à la batterie par la finesse de son jeu. Sans pour autant être références « étant d comme The Strypes, à qui on attribue la capacité à maîtriser leurs scolaires : à aucun moment ils ne se laissent densité, maîtriseravec par ces leurs boucles, leurs fins sont réfléchies, et leurs changements de rythmes lignes de guitare métalliques sur le point de se casser, ces douces cavalcades c bien travaillées. explosions de batterie qui frisent le free-jazz sur ‘Consolation’ et ces surprenantes intrusions él

un premier album d’exception. Et c’est avec un aplomb impressionnant que les deux frangins l Elevés aux Rockomotives, ce sont des musiciens appliqués qui jamais ne tombent dans la facilité de la copie. On est loin des groupes comme The Strypes, à qui on attribue la capacité à maîtriser leurs références « étant donné leur jeune âge »… Non, cette densité, avec ces lignes de guitare métalliques sur le point de se casser, ces douces cavalcades cuivrées comme sur ‘Desire’, ces explosions de batterie qui frisent le free-jazz sur ‘Consolation’ et ces surprenantes intrusions électroniques, font d’Elephant Love un premier album d’exception. Et c’est avec un aplomb impressionnant que les deux frangins le défendent !

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Chronique - 22/01/15

ROPOPOROSE – ‘ELEPHANT LOVE’ le 21 janvier 2015 par Matthieu Choquet

ROPOPOROSE – ‘ELEPHANT LOVE’

ROPOPOROSE – ‘ELEPHANT LOVE’

le 21 janvier 2015 par Matthieu Choquet

ROPOPOROSE – ‘ELEPHANT LOVE’ le21 21janvier janvier par Matthieu le 20152015 par Matthieu Choquet Choquet

Album / Yotanka / 26.01.2015 Album / Yotanka / 26.01.2015 Noisy pop

Noisy pop

Album / Yotanka / 26.01.2015 Noisy pop

‘Elephant Love’ est une touche d’espoir pour tous les musiciens en herbe qui, dans leur piaule, rêvent à un avenir sur scène. Parce que c’est ainsi que Ropoporose est né, quand Romain et Pauline – frère et soeur dans la vraie vie, progéniture de‘Elephant parents mélomanes Love’ est une touche d’espoir pour tous les musicien ‘Elephant Love’ est une touche d’espoir pour tous les musiciens en herbe qui, dans leur piaule, rêvent à un avenir sur scène. Parce – ont tenté sans succès une reprise de Girls, avant de préférer accoucher de leurs propres compositions. Une que bonne idéeainsi qui porte c’est que Ropoporose est né, quand Romain et Paulin que c’estses ainsi est né,album quand Romain et Paulinepar – frère et soeur la de vraie vie, progéniture de parents mélomanes aujourd’hui fruitsque avecRopoporose l’arrivée d’un premier un peu vert, attendrissant sa fragilité et sondans manque maturité, mais – ont tenté sans succès une reprise de Girls, avant de préférer Album / Yotanka /succès 26.01.2015 surtout de belles promesses. déclineavant en effet titres partagés entre ballades (‘Whu-Whu’, Slates’) et – ont porteur tenté sans une ‘Elephant reprise Love’ de Girls, deneuf préférer accoucher de leurs propres’40 compositions. Une bonne idée qui porte aujourd’hui ses fruits avec l’arrivée d’un premier album un peu élans bruitistes Love’), d’expressions de l’héritage laissé un par peu Sonicvert, Youth,attendrissant Blonde Redhead,par voiresa même par Piano Noisy pop (‘Elephant aujourd’hui ses fruits avecautant l’arrivée d’un premier album de maturité, mais décline e surtoutfragilité porteur et de son bellesmanque promesses. ‘Elephant Love’ Chat si on s’en tient uniquement à nos frontières. Ça saute aux oreilles dès l’entame ‘Day Of May’ que ce cher Marceau Boré aurait pu surtout porteur de belles promesses. ‘Elephant Love’ décline en effet neuf titres partagés entre ballades (‘Whu-Whu’, ’40d’expressions Slates’) et de l’héri bruitistes (‘Elephant Love’), autant accomplir seul, dans une même mélancolie, en jonglant avec sa guitare et ses rudiments de batterie. Plus tard,élans sur ‘Moira’, ‘Elephant Love’ est une touche d’espoir pour tous les musiciens en herbe qui, dans leur piaule,‘Emptyrêvent à un avenir sur scène. Parce élans bruitistes (‘Elephant autantGordon/Moore d’expressions l’héritage laissé par Sonic Youth, Blonde Redhead, voire même par Piano Chat si on tient uniquement à nos frontières. Ça saute aux o Headed’ et ‘Consolation’, tout droit Love’), sortis de l’école ou ellede rejoint Peter Kernel et consorts, la fratrie hausse les’en ton sous que c’estdeainsi que Ropoporose né, quand Romain et Pauline – frère et soeur dans laàvraie vie, progéniture de parents mélomanes l’impulsion la demoiselle dont le chant est alterne entre charme venimeux et dès coups de griffe chers Barbara Lehnoff. accomplir seul, dans mélancolie, en jonglant Chat si on s’en tient uniquement à nosjudicieusement frontières. Ça saute aux oreilles l’entame ‘Day Of May’ que ce une chermême Marceau Boré aurait pu avec s Mais est encore ailleurs. Déjà bien loti,de Ropoporose ouvre de alorspréférer en grand ses persiennes,de dévoile horizon dégagé sous le – ontle meilleur tenté sans succès une reprise Girls, avant accoucher leursunpropres compositions. Une idéedequi porte Headed’ ‘Consolation’, toutbonne droit l’école Gordon/Moo accomplir seul, dans une même mélancolie, en jonglant avec sa guitare et ses rudiments de et batterie. Plus tard, sur sortis ‘Moira’, ‘Emptysouffle du talentses notamment affichél’arrivée par un ‘Desire’ d’arrangements ou ceattendrissant ‘Elephant Love’ par aux déflagrations l’impulsion de aussi la dont de le chant alternemais judicieusemen aujourd’hui fruits avec d’un frappé premier album un cuivrés, peu vert, sa fragilité etdemoiselle son manque maturité, Headed’qu’efficaces. et ‘Consolation’, toutlàdroit de ces l’école ou elleà rejoint Peter Kernel et consorts, la fratrie hausse le ton sous contenues De Vendôme, où ils sortis ont grandi, deux Gordon/Moore bambins auront désormais creuser leur identité, à renforcer leur Mais le meilleur est encore ailleurs. Déjà loti, Ropoporose o surtout porteur de perdre bellesl’innocence promesses. ‘Elephant Love’ décline en effet neuf titres définitivement partagés entre ballades (‘Whu-Whu’, ’40bien Slates’) et talent, sans forcément qui les rend si singuliers. Alors, les promesses laisseront la place aux l’impulsion de la demoiselle dont le chant alterne judicieusement entre charme venimeux et coups de griffe chers à Barbara Lehnoff. souffle du talent notamment affiché par un ‘Desire’ frappé d’a élans bruitistes (‘Elephant Love’), autant d’expressions de l’héritage laissé par Sonic Youth, Blonde Redhead, voire même par Piano certitudes.

Mais le meilleur est encore ailleurs. Déjà bien loti, Ropoporose ouvre alors en grand sescontenues persiennes, dévoile De un Vendôme, horizon dégagé le qu’efficaces. là où ilssous ont grandi, ces d Chat si on s’en tient uniquement à nos frontières. Ça saute aux oreilles dès l’entame ‘Day Of May’ que ce cher Marceau Boré aurait pu souffle du talent notamment affiché par un ‘Desire’ frappé d’arrangements cuivrés, talent, ou cesans ‘Elephant Love’ aux l’innocence déflagrations forcément perdre qui aussi les rend si sin accomplir seul, dans une même mélancolie, en jonglant avec sa guitare et ses rudiments de batterie. Plus tard, sur ‘Moira’, ‘Emptycontenues qu’efficaces. De Vendôme, là où ils ont grandi, ces deux bambins auront désormais certitudes. à creuser leur identité, à renforcer leur Headed’ et ‘Consolation’, tout droit sortis de l’école Gordon/Moore ou elle rejoint Peter Kernel et consorts, la fratrie hausse le ton sous talent, sans forcément perdre l’innocence qui les rend si singuliers. Alors, les promesses laisseront définitivement la place aux ‘Desire’, ‘Moira’, ‘Empty Head’, ‘Elephant Love’, ‘Consolation’ l’impulsion de la demoiselle dont le chant alterne judicieusement entre charme venimeux et coups de griffe chers à Barbara Lehnoff. certitudes. Mais le meilleur est encore ailleurs. Déjà bien loti, Ropoporose ouvre alors en grand ses persiennes, dévoile un horizon dégagé sous le souffle du talent notamment affiché par un ‘Desire’ frappé d’arrangements cuivrés, ou ce ‘Elephant Love’Head’, aux ‘Elephant déflagrations ‘Desire’, ‘Moira’, ‘Empty Love’, aussi ‘Consolation’ contenues qu’efficaces. De Vendôme, là où ils ont grandi, ces deux bambins auront désormais à creuser leur identité, à renforcer leur talent, sans forcément perdre l’innocence qui les rend si singuliers. Alors, les promesses laisseront définitivement la place aux ‘Desire’, ‘Moira’, ‘Empty Head’, ‘Elephant Love’, ‘Consolation’ certitudes.

‘Desire’, ‘Moira’, ‘Empty Head’, ‘Elephant Love’, ‘Consolation’

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“Empty-headed” dans la playlist de janvier 2015

[Playlist] Un mois d’inRocKs en 25 chansons (janvier) 19/01/2015 | 12h12

Un mois, 25 morceaux : le meilleur des inRocKs en janvier 2015. First Light Django Django

Extrait 30s Un Mois d'inRocKs - janvier 2015 - Les inRocKs - Deezer Partner 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15.

First Light Django Django

The Party Line Belle and Sebastian

Feel the Lightning Dan Deacon

Boys Latin Panda Bear

Condolence Benjamin Clementine

LES HAUTES LUMIÈRES FAUVE

Over My Head Asaf Avidan

Pages Of Gold Flo Morrissey

Just Because I Love You BC Camplight

My Love (Ay Ay Ay) Cristobal And The Sea

Mbalimaou Boubacar Traore

The Middle Bosco Rogers

Strange Dreams Alex Calder

Empty-Headed Ropoporose

Psycho

4:48 4:14 4:53 4:12 6:30 5:07 2:37 3:51 5:13 3:39 4:03 2:35 2:43 3:30 3:35

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Chronique - 21/01/15

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20 janvier 2015 /

Ropoporose “Elephant Love” (Yotanka/Differ Ant) rédigé par Laurelau 7 votes (10/10 - 7 votes) notez cet album Un cowboy couvert de plumes colorées faisant la course avec lui-même dans un désert aride, sous un soleil de plomb, en apesanteur sur son cheval doré, à même la peau. Voilà ce que nous offrent comme introduction ces deux frères et soeurs. Ils trimballent une simplicité déconcertante dans leurs compositions et nous font parcourir l’ouest américain telle une chevauchée dans les âmes, telle une course qui ne s’arrête pas. Day of May plante le décor et nous embarque instantanément dans leur monde sauvage. Desire nous enfonce un peu plus dans leur rêve éveillé. Leurs deux voix nous parlent avec une fragilité palpable. On se laisse charmer par des passages approximatifs qui dévoilent une jeunesse certaine mais ne nous préparent pas à ce moment où les guitares nous pètent à la gueule et là tout à coup on se croit à un concert des Sonic Youth ! Un premier album très prometteur qui mélange un tas d’influences connues et moins connues, allant de Peter Kernel, en passant par Wu Lyf ou même Shellac (Elephant Love), surfant sur la vague noïse et underground des années 90, tout en gardant leur identité. Ropoporose, soit Pauline et Romain, deux frères et soeurs ultra-inspirés par la vie, c’est comme la rosée du matin, fraîche et insaisissable. A suivre absolument !

La grosse radio

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Chronique - 18/01/15

Ropoporose - Elephant Love [ CHRONIQUE ] ROCK - indie, psyché, rock, 2015, Dimanche 18 Janvier 2015 à 10h00, by Gregor_samsa , vu 602 fois Ropoporose, c'est deux frangins vendômois, Romain et Pauline, qui décident un jour de composer leurs chansons avec une guitare, un clavier, une batterie, et une pédale de boucles. Et avec ça, ils vous entraînent dans leur monde coloré et sinueux, moitié hippie, moitié expérimental, avec un son percutant et une voix haut perchée d'oisillon. Leur premier album, Elephant Love, vient de sortir chez Yotanka. On écoute ça en équilibre, on ne sait pas trop où ça penche mais on sent où ça touche ; et ce côté fragile nous laisse tendus, aux aguets, comme si cesser d'écouter le morceau allait le briser. Alors quoi ? Eh bien on écoute tout l'album, et les boucles savament ajustées collent au tympan pour longtemps, on se demande presque si on n'est pas victime d'un matraquage publicitaire, et on ressent soudain le manque de ces sonorités bien à eux quand on s'aperçoit qu'il ne reste en tête que des bribes de morceaux. Car oui, on devient vite attaché à ce style surprenant, à la fois doux et incisif, qui sous l'air de vous bercer vous remue tout entier. Ils ont forcément mangé du rock indépendant des années 90 et du psyché hippie. On y retrouve aussi des inspirations mordantes à la Joy Division et des longs solos traînants à la Sonic Youth. Le titre «Elephant Love» qui donne son nom à l'album martelle ses boucles de batteries, puis fait place à la voix cristalline, le balancement prend, du corps, de la tête, l'énergie est transmise en douceur. On retrouve encore cette opposition entre des boucles enivrantes de synthé et des plages de chant aigre-doux sur «Consolation», on a là leur marque de fabrique ; un bricolage sonore envoûtant, coloré, tendre et joyeux, comme les longues parties mélodiques et les arpèges bruts de «Desire». Dans « Empty Headed », un hymne à la fête et à la découverte qui vous mettra un sourire sur le visage, on peut saisir toute l'énergie si particulière du duo. Ropoporose, dans sa cuisine faite maison, qui laisse parfois étonné, a trouvé une signature, un style efficace, et on leur souhaite vraiment une grande carrière.

froggydelight .com

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écouter le premier album seule expérience que l'on jusqu'à lors, ne fut autre

que les prestations de e sont remarquables et a aussi que l'on attend er disque que l'on peut eunesse puisque le duo / n jeune. Non pas que ine (popo) ne pratiquent l'autre ne dépasse les 20

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Chronique - 16/03/15

ROPOPOROSE Elephant Love

(Yotanka / Differ-Ant) janvier 2015

Ce n'est jamais facile d'écouter le premier album d'un groupe alors que la seule expérience que l'on a eu avec leur musique jusqu'à lors, ne fut autre que scénique. Surtout, évidemment, que les prestations de Ropoporose sur scène sont remarquables et c'est d'ailleurs pour cela aussi que l'on attend beaucoup de ce premier disque que l'on peut qualifier de disque de jeunesse puisque le duo / fratrie est encore bien jeune. Non pas que Romain ro...ro) et Pauline (popo) ne pratiquent pas la musique depuis longtemps mais parce que ni l'un ni l'autre ne dépasse les 20 ans. Bref. Sur scène, le groupe est incroyable, débordant d'énergie et d'inventivité, le sourire toujours aux lèvres. Et si, à la première écoute du disque, on reste sur nos gardes, il faut avouer que ça marche presque tout autant sur disque que sur scène. Belle surprise donc de retrouver ce plaisir de jouer et de partager avec une énergie très communicative. Musicalement, ça marche aussi assez bien. Jeunes certes mais de cette jeunesse qui a su piocher dans les bons disques de leurs aînés et tirer les bonnes ficelles des nouvelles technologies pour découvrir de façon quasi encyclopédique la musique d'un temps où ils étaient tous petits voire pas nés. D'ailleurs, j'écoutais récemment un ancien épisode du Morceau Caché consacré aux citations dans la musique qui tombe à pique pour parler de Elephant Love. Emission qui disait en substance la chose suivante : "une citation c'est du plagiat, plein de citations c'est de l'érudition". Et à ce petit jeu, les Ropoporose sont champions. Pas forcément dans l'utilisation, ou plutôt la réinterprétation, de passages connus de tous en provenance directe de leur groupes favoris mais dans la façon sinon scientifique, en tout cas méthodique, de colorer leurs compositions à partir de palettes dont on a déjà vu la couleur dans les années passées. Celles qui ont sans doute vu grandir ces deux jeunes gens et même peut-être un peu plus tôt. Et de ballades en ambiances plus noisy, les Ropoporose proposent un joli échantillon de leur savoir-faire, brassant dans une production sans superflu des sonorités qui rappelleront Sonic Youth, The Organ, Blonde Redhead ou Electrelane. Ultra frais, totalement décomplexé et archi spontané, cet Elephant Love est un joli premier essai d'un jeune groupe qui n'en restera pas là, leur talent et leur façon de penser leur musique, pleine de clins d'oeil et de contre-pied devraient nous apporter encore bien des réjouissances. Et surtout, n'hésitez pas à les voir sur scène !

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Mowno

Écoute en exclu du nouvel album (semaine du 19 au 24 janv)

hebdoblog

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Chronique - 23/02/15 Hebdoblog – Design, Musique…

Hebdoblog – Design, Musique…

« Elephant Love » , le nouvel album de Ropoporose Comme souvent, on va dire que la définition de la musique de Ropoporose ne se défini pas tellement, ou alors il faudrait faire toute une liste pour que chaque détail soit représenté!

« Elephant Love » , le nouvel album de Ropoporose Comme souvent, on va dire que la définition de la musique de Ropoporose ne se défini pas tellement, ou alors il faudrait faire toute une liste pour que chaque détail soit représenté!

Alors oui, entre post pop, art-rock ou alternatif on ne sait pas trop si c’est un voyage à travers différents mondes ou peut-être la représentation d’un groupe au style multiple, peut-être à l’image de cette jeunesse sans frontière et multicolore qui pourrait bien être représenté par les deux membres de Ropoporose qui n’ont pas encore 40 ans à eux deux et qui brassent tous les styles avec ce rock ambitieux!

Alors oui, entre post pop, art-rock ou alternatif on ne sait pas trop si c’est un

Ropoporose c’est Romain et Pauline, ils brassent ici les styles et mettent en

voyage à travers différents mondes ou peut-être la représentation d’un groupe

musique leurs rêves, frère et sœur ils se sont tenté sans vrai résultat à la

au style multiple, peut-être à l’image de cette jeunesse sans frontière et

reprise d’un titre du groupe girls, de quoi se lancer dans leur propre écriture,

multicolore qui pourrait bien être représenté par les deux membres de

c’est le pari réussi que l’on découvre avec l’album « Elephant Love ».

Ropoporose qui n’ont pas encore 40 ans à eux deux et qui brassent tous les styles avec ce rock ambitieux! Ropoporose c’est Romain et Pauline, ils brassent ici les styles et mettent en musique leurs rêves, frère et sœur ils se sont tenté sans vrai résultat à la reprise d’un titre du groupe girls, de quoi se lancer dans leur propre écriture, c’est le pari réussi que l’on découvre avec l’album « Elephant Love ».

Après l’écriture, vient le temps de la mise en image avec des notes et aussi des couleurs, on commence par découvrir Ropoporose via cette pochette à la peinture de Céline Delumeau, et aussi de Pauline (pour l’animal que l’on découvre au verso – à un peu plus de 3 ans). Le plus efficace aussi pour mettre de la couleur sur la musique, c’est de les voir sur scène, je vous ai ajouté les dates de leurs prochains concerts.

Après l’écriture, vient le temps de la mise en image avec des notes et aussi des

Et oui, les concerts de Ropoporose c’est certainement ce qu’il y a de plus

couleurs, on commence par découvrir Ropoporose via cette pochette à la

parlant, car si leur musique sonne vrai, et si on les sent très lucide sur leurs

peinture de Céline Delumeau, et aussi de Pauline (pour l’animal que l’on

compositions c’est qu’ils commencent par le début de l’histoire, loin des places

découvre au verso – à un peu plus de 3 ans).

de collectes de fonds pour créer un clip ou encore une maquette! Oui oui, mieux

Le plus efficace aussi pour mettre de la couleur sur la musique, c’est de les voir

bien à un sans faute!

sur scène, je vous ai ajouté les dates de leurs prochains concerts. Et oui, les concerts de Ropoporose c’est certainement ce qu’il y a de plus parlant, car si leur musique sonne vrai, et si on les sent très lucide sur leurs compositions c’est qu’ils commencent par le début de l’histoire, loin des places de collectes de fonds pour créer un clip ou encore une maquette! Oui oui, mieux

qu’une maquette un album qui leur ressemble et qui pour le coup apparente

Concert, studio, rencontres, composition et écritures, voilà les ingrédients de ce qui pourrait bien être une boucle efficace pour se lancer en musique! Se jeter sur scène pour voir ce que vaut la musique c’est quand même ce qu’il y a de plus beau pour rencontrer son public, pour développer l’inspiration qui donnera vie à la musique.

qu’une maquette un album qui leur ressemble et qui pour le coup apparente bien à un sans faute!

Une démarche qui pour tout vous dire s’entend dans cet album qui se veut sans concession!

Concert, studio, rencontres, composition et écritures, voilà les ingrédients de ce qui pourrait bien être une boucle efficace pour se lancer en musique! Se jeter sur scène pour voir ce que vaut la musique c’est quand même ce qu’il y a de plus beau pour rencontrer son public, pour développer l’inspiration qui donnera vie à la musique. Une démarche qui pour tout vous dire s’entend dans cet album qui se veut sans

ELEPHANT LOVE c’est l’album qui va faire que ROPOPOROSE nous donnera envie d’en découvrir plus sur eux, sur leur musique. L’album est déjà sorti et on vous conseille vraiment de ne pas passer à coté! En attendant, voici les titres que l’on a adoré! Day of may ouvre l’album avec une mélodie éternelle et surtout l’envie d’en découvrir plus.

concession!

Desire se veut beaucoup plus éblouissant avec un méli mélo de style, une belle

ELEPHANT LOVE c’est l’album qui va faire que ROPOPOROSE nous donnera

musique avec au loin la partie vocale qui vient nous éveiller…

envie d’en découvrir plus sur eux, sur leur musique.

Whu-Whu, la petite balade musicale de l’album, un monde presque enchanté et paisible…

L’album est déjà sorti et on vous conseille vraiment de ne pas passer à coté! En attendant, voici les titres que l’on a adoré! Day of may ouvre l’album avec une mélodie éternelle et surtout l’envie d’en découvrir plus. Desire se veut beaucoup plus éblouissant avec un méli mélo de style, une belle musique avec au loin la partie vocale qui vient nous éveiller… Whu-Whu, la petite balade musicale de l’album, un monde presque enchanté et paisible… Et 40 Slates parce que le clavier on adore ça et que là vraiment ça vaut le détour! Pour terminer, on a quand même envie d’ajouter que on les reconnait entre mille, il y a ce petit quelque chose qui les démarque, ce son qu’ils se sont approprié, ces textes qui les caractérise, merci ROPOPOROSE.

Et 40 Slates parce que le clavier on adore ça et que là vraiment ça vaut le détour! Pour terminer, on a quand même envie d’ajouter que on les reconnait entre mille, il y a ce petit quelque chose qui les démarque, ce son qu’ils se sont approprié, ces textes qui les caractérise, merci ROPOPOROSE.

mais un cas de force majeure : Ropoporose, a bousculé tous mes plans. Il faut aussi dire que le premier album du duo, « Elephant Love », sorti fin janvier, sur l’excellent label Yotanka, m’avait emballé, séduit par sa douce impertinence et sa fabuleuse énergie fusionnelle. J’avais donc, sans la moindre hésitation, réservé ma place bien en avance pour ce concert du vendredi 3 avril, second passage du groupe vendômois au Joker’s Pub d’Angers. À l’arrivée sur place, la longue file d’attente qui traversait le bar de long en large avait eu raison de mon intuition. L’appareil photo en main, je partais dans l’idée d’en immortaliser quelques souvenirs, histoire de. Accros au déclencheur que je suis, et C’est une salle de concert presque bondée qui accueille vendredi soir le duo de Vendôme (et non Vendeaume, auquel quelques férus de porté par le besoin d’écrire sur le beau moment vécu, il en sera finalement autrement. Voici donc le récit d’un beau concert. Skyrim ne manqueront pas de faire allusion). Déjà de passage par le café-concert du centre-ville angevin en octobre dernier, c’est enchantés par l’accueil qui leur avait été réservé que Pauline et Romain, alias Popo et Roro (ce qui viendrait expliquer en partie leur nom de scène), remontent avec entrain sur l’estrade pour nous dispenser une leçon de pop indé passionnante et passionnée.

indiemusic.fr

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Live report - 04/03/14

[LP] Ropoporose – Elephant Love par Fred Ropoporose Lombard le 27 janvier 2015 dans [Live] au Joker’s PubChroniques par Fred Lombard le 4 avril 2015 dans Live-reports

[Live] Ropoporose au Joker’s Pub par Fred Lombard le 4 avril 2015 dans Live-reports

Pour un soir, j’avais l’intention d’assister à un spectacle sans d’autre but que de profiter d’un bon moment. Ca aurait pu se passer ainsi, un soir, j’avais l’intention d’assister à un spectacle sans d’autre but que de profiter d’un bon m mais un cas de force majeure : Ropoporose, a bousculé tous mes plans. Pour mais un cas de force majeure : Ropoporose, a bousculé tous mes plans. On garde tous une certaine nostalgie des histoires que nos parents nous lisaient, enfants. Quelques Il faut aussi dire que le premier album du duo, « Elephant Love », sorti fin janvier, surque l’excellent labelduYotanka, m’avait séduit Il faut aussi dire le premier album duo, « Elephant Loveemballé, », sorti fin janvier, surpar l’excellent l sa douce impertinence et sa fabuleuse énergie fusionnelle. donc, la moindre illustrations pour éveiller notre imaginaire etJ’avais des protagonistes colorés, lancés dans desJ’avais aventures qui, sa douce impertinence et sa fabuleuse énergie fusionnelle. donc, sans la moindre hésitation, réservé ma place bien en sans avance pourhésitatio ce concert du vendredi 3 avril, second passage du groupe vendômois au Joker’s Pub d’Angers. À l’ ce concert du vendredi 3 avril, second passage du groupe vendômois au Joker’s Puble d’Angers. Àlarge l’arrivée place, laintuition. longue file d’attente encore aujourd’hui, nous reviennent en mémoire. qui traversait bar de long en avait eusur raison de mon L’appareil photo en main, je partais dans l’idée d’en immortaliser quelques souvenirs, histoire de. qui traversait le bar de long en large avait eu raison de mon intuition. porté par le besoin d’écrire sur le beau moment vécu, il en sera finalement autrement. Voici donc L’appareil photo en main, je partais dans l’idée d’en immortaliser quelques souvenirs, histoire de. Accros au déclencheur que je suis, et porté par le besoin d’écrire sur le beau moment vécu, il en sera finalement autrement. Voici donc le récit d’un beau concert. Ropoporose © Fred Lombard

C’est une salle de concert presque bondée qui accueille vendredi soir le duo de Vendôme (et non Vendeaume, auquel quelques férus de Skyrim ne manqueront pas de faire allusion). Déjà de passage par le café-concert du centre-ville angevin en octobre dernier, c’est enchantés par l’accueil qui leur avait été réservé que Pauline et Romain, alias Popo et Roro (ce qui viendrait expliquer en partie leur nom de scène), remontent avec entrain sur l’estrade pour nous dispenser une leçon de pop indé passionnante et passionnée. Ouvrant la soirée par un « Day Of May » savoureux, Ropoporose ne mettra pas longtemps à séduire le public en salle. Tous deux ravis de jouer, souriants la plupart du temps, et affichant une complicité tout au long du set, comme deux gosses prenant du plaisir à jouer avec leurs instruments, on ne pourra pas s’empêcher de taper du pied pendant le concert et d’applaudir entre les pistes. Ce qui fait franchement du bien ! Entre l’emportement « Moïra »Pub sauvage, la frénésie math rock d’un « Empty Headed » et la douce ballade « Whu-Whu », notre cœur et [Live] Ropoporosed’un au Joker’s notre tête ne cessera de balancer à l’envi. par Fred Lombard le 4 avril 2015 dans Live-reports

Pour un soir, j’avais l’intention d’assister à un spectacle sans d’autre but que de profiter d’un bon moment. Ca aurait pu se passer ainsi, Sur les riffs énergiques de Pauline ou les frappes généreuses et indomptables de Romain, on rebondira amoureusement sur les notes mais un cas de force majeure : Ropoporose, a bousculé tous mes plans. comme pour toujours redemander. Une heure durant, offrira talent brut, Ilsuivantes, faut aussi dire que le premier album duen duo, « Elephant Love », sorti fin janvier, sur Ropoporose l’excellent label nous Yotanka, m’avaitson emballé, séduit parprouvant par bien des sa douce impertinence et sa fabuleuse fusionnelle. J’avais donc, sans moindre moyens que l’ « Elephant Love »énergie ne trompe assurément pas enla live ! hésitation, réservé ma place bien en avance pour ce concert du vendredi 3 avril, second passage du groupe vendômois au Joker’s Pub d’Angers. À l’arrivée sur place, la longue file d’attente C’est une salle de concert presque bondée qui accueille vendredi soir le duo de Vendôme (et non qui traversait le bar de long en large avait eu raison de mon intuition. Skyrim ne transformer manqueront pas l’amour de faire allusion). Déjà de par le café-concert centre-ville a Mettre du baume au cœur et donner beaucoup d’amour sur scène, ou comment fraternel enpassage universel, c’est ce àdu quoi L’appareil photo en main, je partais dans l’idée d’en immortaliser quelques souvenirs, histoireenchantés de. Accros déclencheur suis, et que Pauline et Romain, alias Popo et Roro (ce qui parau l’accueil qui leurque avaitjeété réservé est parvenue l’intrépide Un beau moment, formidable souvenir. Vivement le prochain ! porté par le besoin d’écrire sur fratrie. le beau moment vécu, il en sera un finalement autrement. Voici donc le récit d’un beau de scène), remontent avecconcert. entrain sur l’estrade pour nous dispenser une leçon de pop indé passio

C’est certainement de ces souvenirs d’enfance, ceux d’une sœur et d’un frère – Pauline au chant, à la guitare, au clavier et aux percussions, Romain à la batterie et aux chœurs – qu’est né Ropoporose (joli nom), belle pousse de trois ans, nourrie des ruissellements indie dans un terreau pop. C’estles uneconnaît, salle de concert presque bondéeprojets qui accueille vendredi soir le duo complices de Vendôme (et non Vendeaume, auquel quelques de a On ces innombrables de fratries, souvent depuis le plus jeune âge ; maisférus celui-ci Skyrim ne manqueront pas de faire allusion). Déjà de passage par le café-concert du centre-ville angevin en octobre dernier, c’est cette fraîcheur, cette insouciance jamais impertinente qui séduit, passionne et résonne en nous. Non sans nostalgie Ropoporose © Fred Lombard enchantés par l’accueil qui leur avait été réservé que Pauline et Romain, alias Popo et Roro (ce qui viendrait expliquer en partie leur nom non sansremontent mélancolie, on se laisse porter par la dispenser douce énergie duo de Vendôme. de scène), avec entrain sur l’estrade pour nous une leçondu dejeune pop indé passionnante et passionnée.

« Elephant Love », avancée sans filin pour nos deux intrépides fonceurs, Lara et Indiana dans une autre vie, en quêt d’un trésor englouti au cœur d’une jungle luxuriante et habitée d’esprits curieux et agités. En avant ! Ouvrant la soirée par un « Day Of May » savoureux, Ropoporose ne mettra pas longtemps à séduire le public en salle. Tous deux ravis de jouer, souriants la plupart du temps, et affichant une complicité tout au long du set, comme deux gosses prenant du plaisir à jouer avec On pourra ainsion sûrement voirs’empêcher dans « Day of May » unpendant clin d’œil à leurs débuts enentre 2012, sinonCe une leurs instruments, ne pourra pas de taper du pied le concert et d’applaudir les pistes. quiintroduction fait Ropoporose © Fred Lombard franchement sereine. Ici,du la bien voix! douce de Pauline, accompagnée par le frérot Romain aux chœurs, nous accueille sur un air de Entre l’emportement d’un « Moïra » sauvage, la frénésie math rock d’un « Empty Headed » et la douce ballade « Whu-Whu », notre cœur et guitare, prestement électrisé, et quelques coups de cymbales. Petit à petit, chaque note et chaque souffle nous notre tête ne cessera de balancer à l’envi.

poussent un peu plus vers l’avant, comme une brise qui s’intensifie pour nous faire passer de la marche à la course la soirée par un « Day Of May corps »férus savoureux, Ropoporose ne mettra pas longtemps à séduir C’estcœur une salle de concert presque bondée qui accueille vendredi duo deque Vendôme (et Ouvrant non Vendeaume, auquel quelques de avec Le tant généreuses etsoirsilebien la musique fait désormais nous. L’aventure ne fai Sur les riffspalpitant, énergiqueson de prend Pauline l’allure, ou les frappes et indomptables de Romain, ondernier, amoureusement sur jouer, souriants plupart durebondira temps,c’est et affichant une complicité tout au les long notes du set, comme deux Skyrim ne manqueront pas de faire allusion). Déjà de passage par le café-concert du centre-ville angevin enlaoctobre leurs on ne pourra pas s’empêcher taper du pied pendant concert et d’applaud suivantes, pour en redemander. heure Ropoporose nousexpliquer offrira son talent prouvant par bien le des que commencer !leurtoujours enchantés parcomme l’accueil qui avait été réservé que Pauline etUne Romain, aliasdurant, Popo et Roro (ce qui instruments, viendrait en partie leurbrut, nom de franchement du bien ! de scène), remontent avec entrain sur l’estrade pour nous dispenser une leçon pop et passionnée. moyens que l’ « Elephant Love » ne trompe assurément pas en de live ! indé passionnante

Entre l’emportement d’un « Moïra » sauvage, la frénésie math rock d’un « Empty Headed » et la dou notre tête ne cessera de balancer à l’envi.

Mettre du baume au cœur et donner beaucoup d’amour sur scène, ou comment transformer l’amour fraternel en universel, c’est ce à quoi les riffs énergiques de Pauline est parvenue l’intrépide fratrie. Un beau moment, un formidable souvenir.SurVivement le prochain ! ou les frappes généreuses et indomptables de Romain, on rebo suivantes, comme pour toujours en redemander. Une heure durant, Ropoporose nous offrira son moyens que l’ « Elephant Love » ne trompe assurément pas en live !

Mettre du baume au cœur et donner beaucoup d’amour sur scène, ou comment transformer l’amo est parvenue l’intrépide fratrie. Un beau moment, un formidable souvenir. Vivement le prochain !

l’Imprimerie Nocturne

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Chronique - 26/01/15

Ecrit par Marie dans La médiathèque, Musique(s) le 26 jan 2015 Ecrit par Marie dans La médiathèque, Musique(s) le 26 jan 2015

Ropoporose a un nom étrange, qui pourrait faire pen un mélange un marshmallow un penser nom deànua Ropoporose a un nomentre étrange, qui pourrait et faire à un animal fantastique etque n’aurait un mélange entre un marshmallow un personne nom de nuage ou e découvert. Ropoporose, malgré son nom encore qui inclut à un animal fantastique que personne n’aurait pop, s’en détache quelque premier découvert. Ropoporose, malgré son peu nomavec qui son inclut bien al pop, s’enElephant détache love. quelque peu avec son premier album, un nom pareil et une pochette qui se rapproche plus de l’expressionnisme allem Elephant marketing love. sucré d’aujourd’hui,Avec on pourrait se demander ce qui se cache derrière la tête de ce duo composé tout simp

frère et d’une Elle,pareil c’estetPauline, au chant, la rapproche guitare, au plus clavier, et aux percussions.allemand Lui, c’estque Romain, batte Avec sœur. un nom une pochette quià se de l’expressionnisme du chœurs. Ils se mettent ainsi à tout faire derrière leurs instruments à quatre mains, là où l’écoute aurait pu nous faire c marketing sucré d’aujourd’hui, on pourrait se demander ce qui se cache derrière la tête de ce duo composé tout simplement d’un avait un peu plus de monde. On ne pourra alors s’empêcher de penser à d’autres duos familiaux comme Angus & Julia frère et d’une sœur. Elle, c’est Pauline, au chant, à la guitare, au clavier, et aux percussions. Lui, c’est Romain, batterie, guitare, White l’aérien en plus. commence par des accords secondes chœurs. Ils se mettent ainsiStripes; à tout faire derrière leursTout instruments à quatre mains, là oùplanants, l’écoute quelques aurait pu millièmes nous faire de croire qu’il yd’hésitati notes pour la fragilité, puis tout s’accélère; une cavalcade qui se poursuit sur l’instrumental « Desire ». avait un peu plus de monde. On ne pourra alors s’empêcher de penser à d’autres duos familiaux comme Angus & Julia Stone ou les

White Stripes; l’aérien en plus. Tout parpour des les accords quelques millièmes secondes d’hésitation entre Ropoporose a un commence goût certains aigus,planants, que ce soit à la guitare ou la de voix, qui passe du parlé au criélesaigu, ce q notes pour la fragilité, puis tout s’accélère; une cavalcade quiÀselapoursuit Desire ». sans évoquer un côté Blonde Redhead. manièresur dul’instrumental noise, le duo «aime superposer les accords oscillants sur les m mélangeant les horizons, lumineux, avecouquelques petites fêlures dansaulecrié rythme De Ropoporose a un goût certains pour les aigus, souvent que ce soit à la guitare la voix, qui passe du parlé aigu, et ce les qui progressions. n’est pas magiques comme sur « Whu Whu » qui invitent plutôt à la ballade, il n’y en a pas beaucoup sur le reste du disque sans évoquer un côté Blonde Redhead. À la manière du noise, le duo aime superposer les accords oscillants sur les mêmes notes, invitersouvent des pauses au milieu d’un rythme martelé rapidement percussions My God »). Ropoporose, ça bouge, ç mélangeant les horizons, lumineux, avec quelques petites fêlures dansaux le rythme et les(« progressions. Des transitions bricole son Elephant love, et même si le titre « Empty-headed » dont est est déjà sorti un clip ressemble magiques comme sur « Whu Whu » qui invitent plutôt à la ballade, il n’y en a pas beaucoup sur le reste du disque qui préfèrefortemen le reste rapidement du disque contient quelques pépites qu’il»). reste à chacun d’aller découvrir. inviter des pauses auproductions milieu d’unactuelles, rythme martelé aux percussions (« My God Ropoporose, ça bouge, ça s’agite, ça bricole son Elephant love, et même si le titre « Empty-headed » dont est est déjà sorti un clip ressemble fortement à d’autres productions actuelles, le reste du disque contient quelques pépites qu’il reste à chacun d’aller découvrir. Ropoporose – Elephant love – Un album de 10 titres paru chez Yotanka le 26 janvier 2015 – Avec Pauline (chant, clavier, percussions) & Romain (batterie, guitare, chœurs). Ropoporose – Elephant love – Un album de 10 titres paru chez Yotanka le 26 janvier 2015 – Avec Pauline (chant, guitare, clavier, percussions) & Romain (batterie, guitare, chœurs).

Novorama

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Titre dans compilation gratuite - 23/02/15

Ropoporose : Ropoporose est un duo fraternel empruntant autant aux échappées pop qu’à la pesanteur noise. Faite de bric & de broc, leur musique est un miroir aux alouettes, réunion de deux esprits aimant à malmener doigts et chaussures sur des scènes jamais trop petites. Leur premier album ELEPHANT LOVE est sorti le 26 Janvier 2015 chez Yotanka.

Chronique Musicale

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Chronique - 23/02/15

Empty-Headed – Ropoporose by BENOIT on 23 FÉVRIER 2015 ·

Duo français et fraternel composé de Pauline et Romain, Ropoporose plonge dans le grand bain du rock sans l’ombre d’une hésitation ou de complexe, nous éclaboussant de leurs morceaux à la personnalité bien enlevée. Un premier album qu’on attendait pas et qui fait du bien à 2015 !

Krinein

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Chronique - 21/02/15

Ropoporose, loin de Seven Nation Army malgré les apparences

Ropoporose, loin de Seven Nation Army malgré les apparences

écrit par Nazonfly, le 20/02/2015 Notre verdict : 7/10 - Amour pachydermique

écrit par Nazonfly, le 20/02/2015 Notre verdict : 7/10 - Amour pachydermique

Pourquoi une chronique alors ? Tout simplement parce que cet Elephant love est une belle réussite, un de ces albums qui offrent une palette variée aux oreilles de l'auditeur, qui savent jouer avec les sentiments et les sensations pour nous embarquer sur leur howdah bercée par le lent mouvement d'une musique finalement loin du pachyderme.

Vous voulez savoir pourquoi Ropoporose s'apelle Ropoporose ? Vous voulez connaître cet Elephant love qu'ils nous offrent ? Lisez la suite. « Rien ne sert de courir, il faut partir à point », c'est ce que nous a enseigné Jean de la Fontaine dans Le lièvre et la tortue. Force est de constater que cette maxime est bien rarement mise en application puisque nous chroniquons aujourd'hui un album sorti il y a déjà 3 semaines. Autant dire une éternité dans un monde de la musique qui croule sous les sorties chaque lundi.

Vous voulez savoir pourquoi Ropoporose s'apelle Ropoporose ? Vous voulez connaître cet Elephant love qu'ils nous offrent ? Lisez la suite.

L'ouverture se fait ainsi avec une belle petite perle enchanteresse et charmante dont la musique douce et soyeuse est accompagnée à merveille par la voix toute aussi douce d'une chanteuse angélique. Et si le morceau s'intitule Day of may, c'est sans doute pour faire écho « Rien ne sert de courir, il faut partir à point », c'est ce que nous a enseigné Jean de la au muguet porte-bonheur qui pourrait parfaitement représenter la délicatesse du morceau, Fontaine dans Le lièvre et la tortue. Force est de constater que cette maxime est bien une petite clochette d'un blanc virginal qui s'éveillerait sous le chatoiement des premiers rarement mise en application puisque nous chroniquons aujourd'hui un album sorti il y a perles de rosée avant d'être baigné par le soleil timide et chaleureux de la trompette déjà 3 semaines. Autant dire une éternité dans un monde de la musique qui croule sous les voluptueuse d'un Desire moite.

sorties chaque lundi.

Pourquoi une chronique alors ? Tout simplement parce que cet Elephant love est une belle réussite, un de ces albums qui offrent une palette variée aux oreilles de l'auditeur, qui savent jouer avec les sentiments et les sensations pour nous embarquer sur leur howdah bercée par le lent mouvement d'une musique finalement loin du pachyderme. L'ouverture se fait ainsi avec une belle petite perle enchanteresse et charmante dont la musique douce et soyeuse est accompagnée à merveille par la voix toute aussi douce d'une chanteuse angélique. Et si le morceau s'intitule Day of may, c'est sans doute pour faire écho au muguet porte-bonheur qui pourrait parfaitement représenter la délicatesse du morceau, une petite clochette d'un blanc virginal qui s'éveillerait sous le chatoiement des premiers perles de rosée avant d'être baigné par le soleil timide et chaleureux de la trompette voluptueuse d'un Desire moite.

DR.

Comme pour ne pas rester dans la même rengaine au long de la cinquantaine de minutes de Elephant love, Moïra nous montre une autre facette de Ropoporose en dévoilant un côté noisy pop qui nous amène sur des terres plus fangeuses, loin des envolées mignonettes des premiers morceaux. Comme si le groupe ne pouvait se contenter d'une seule apparence et se devait d'offrir toute l'étendue de son âme à l'auditeur. Elephant love se balance ainsi d'une patte sur l'autre mélangeant les genres, se les réappropriant pour construire un édifice aussi classieux qu'un magasin de porcelaine. Et aussi fragile tant on croirait un instant que la construction pourrait s'effondrer au moindre instant. Pourtant il n'en est rien, chaque morceau apporte son lot de satisfaction comme Elephant love dont la guitare saturée amène par vagues cette voix légèrement noise avant qu'elle ne submerge tout d'un tsunami post-rock dévastateur. Ou comme 40 slates qui prend le parti d'une voix plus folk mais non moins réussie notamment grâce à un final très aérien. Ou encore le morceau terminal, instrumental sans nom sautillant et trépidant, histoire de clore l'album par un rythme enjoué qui ne peut qu'amener le sourire aux lèvres.

Romain et Pauline, frère et sœur de leur état, et aussi les Ro et Po de Ropoporose, n'ont pas ans à eux deux paraît-il mais ils savent dans ce premier album mélanger de purs Comme pour ne pas rester dans la même rengaine au long de la cinquantaine de minutes de moments enchanteurs ou d'éreintants passages noisy pour un résultat franchement agréable. Elephant love, Moïra nous montre une autre facette de Ropoporose en dévoilant un côté DR. 40

noisy pop qui nous amène sur des terres plus fangeuses, loin des envolées mignonettes des premiers morceaux. Comme si le groupe ne pouvait se contenter d'une seule apparence et Point fort : de la pop qui sait jouer avec nos émotions, c'est forcément du tout bon se devait d'offrir toute l'étendue de son âme à l'auditeur. Elephant love se balance ainsi d'une patte sur l'autre mélangeant les genres, se les réappropriant pour construire un Point faible : un nom qu'il faut toujours vérifier avant d'en parler édifice aussi classieux qu'un magasin de porcelaine. Et aussi fragile tant on croirait un instant que la construction pourrait s'effondrer au moindre instant. La critique en 140 caractères : Chatoiement de la rosée sur le muguet, tsunami saturé Pourtant il n'en est rien, chaque morceau apporte son lot de satisfaction comme Elephant love dont la guitare saturée amène par vagues cette voix légèrement noise avant qu'elle ne submerge tout d'un tsunami post-rock dévastateur. Ou comme 40 slates qui prend le parti d'une voix plus folk mais non moins réussie notamment grâce à un final très aérien. Ou encore le morceau terminal, instrumental sans nom sautillant et trépidant, histoire de clore l'album par un rythme enjoué qui ne peut qu'amener le sourire aux lèvres. Romain et Pauline, frère et sœur de leur état, et aussi les Ro et Po de Ropoporose, n'ont pas 40 ans à eux deux paraît-il mais ils savent dans ce premier album mélanger de purs moments enchanteurs ou d'éreintants passages noisy pour un résultat franchement agréable.

Point fort : de la pop qui sait jouer avec nos émotions, c'est forcément du tout bon

dévastateur, amour pachydermique. Ropoporose, un nom à se rappeler.

alternativnews.com

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Chronique - 02/03/15

MARDI 3 MARS 2015

Chronique : Ropoporose - Elephant Love C'est tard dans la soirée du 27 janvier dernier, après m'être écouté ce torrent de froideur dissonante made in Toulouse que le dernier album de Plebeian Grandstand, que j'ai lu sur les réseaux sociaux que le premier album de Ropoporose était sorti. Le duo originaire de Vendôme nous présente ainsi Elephant Love, un premier essai qui montre une indie-pop aussi adulte qu'insouciante, aussi douce que noisy. De quoi adoucir une soirée qui s'annonçait bien sombre. À coup sûr déjà l'un des grands disques de la scène alternative française de 2015. Ropoporose, c'est donc ce duo fraternel formé par Pauline (chant, guitare, clavier, percussions) et Romain (batterie, guitare, chœurs), que j'avais déjà repéré avant que France 3 et les Inrocks s'en mêlent, celui qui va autant faire s'exciter la moule du milieu indé français en 2015 que l'a fait Mermonte avec Audiorama l'an dernier. Et en effet, ce disque, je l'ai autant aimé que celui de l'orchestre math-pop rennais. Ça fait longtemps que je n'avai pas autant bloqué sur un disque d'indie-pop, mais comment résister à cette insouciance et cette énergie juvénile contrastée par une maturité indéniable ? Comment résister à cette douceur teinté d'une sensibilité que tu ressens jusque la moindre petite parcelle de poil hérissé ? C'est tout aussi réconfortant que rafraîchissant, et pourtant c'est sans compromis. Bon je sais, je triche, y'a effectivement des passages avec des grosses guitares et des expérimentations... Mais ces instants se font occasionnels, et laissent plus souvent la place à des mélodies accrocheuses, à des notes de synthés dansante et même à du xylophone et de l'accordéon. Elephant Love, c'est donc également une richesse, tant émotionnelle que musicale. Avec cet opus, on voyage, avec un sentiment de légèreté, de vivacité. Je ne saurais que vous conseillez de soutenir notre scène locale et d'agrandir le spectre musical de votre playlist en laissant une chances à ces deux jeunes musiciens de flatter vos esgourdes, vous faire sautiller et rêvasser, avec ce disque inclassable. Certains y trouvent du Sonic Youth, d'autres ont trouvé l'exploit d'y reconnaître du Placebo (de la bonne période certes, mais bravo quand même), ça m'a évoqué Peter Kernel, mais j'y ai surtout trouvé un duo à la personnalité entière. 4/5 Guillaume D.

Les inrocks web

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Clip Consolation dans la sélection des 10 clips de la semaine (09/02/01)

Les 10 clips de la semaine (210) Ropoporose Consolation

france net infos .com

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Chronique - 03/02/15

Elephant love le premier album de Ropoporose Sorti chez Yotanka en janvier dernier, le duo Ropoporose présente son tout premier album intitulé Elephant love. Le duo famillial se compose de Pauline au chant, à la guitare et au clavier et son frère Romain à la batterie. Ce pourrait paraître un peu court pour constituer un groupe, mais c’est sans compter sur la boucle qui étoffe leur musique aérienne et finalement en fait le point central de leurs compositions. La voix vaporeuse de Pauline donne une teinte délicate à l’ensemble, appuyée par une guitare inspirée. Quelle belle interprétation, on a du mal à croire qu’ils sont si jeunes ! A eux deux ils n’ont même pas 40 ans, et pourtant on sent une rigueur dans leur travail, une envie de se dépasser pour proposer le meilleur d’eux-mêmes. Et le pari est réussi. Impossible de classer leur musique tant elle est diverse, entre rock et pop, un brin underground, les chansons qui composent cet album Elephant Love sont actuelles, dans l’air du temps. C’est exactement le genre de modernité qu’on a envie d’entendre. La guitare douce et lancinante s’accompagne à merveille de la batterie énergique de Romain. On gardera longtemps en tête les mélodies efficaces de l’album, mises en valeur par des arrangements pointus et une très belle réalisation. Ces enfants du rock disent avoir été influencés entre autre par Yann Tiersen, Sonic Youth, Arcade Fire ou Piano Chat. On ne peut s’empêcher de penser à cette nouvelle génération de duos français ayant choisi de chanter en anglais. A l’image de leurs aînés Cats on Trees et autres Cocoon, souhaitons à Ropoporose un succès équivalent à la hauteur de leur talent.

foutraque .com

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Chronique - 15/02/15

chronique disque

Elephant Love Ropoporose Yotanka/Differ-ant - 26 janvier 2015

Ropoporose est le bébé des jeunes « sœur et frère » Pauline (16 ans) et Romain (21 ans). Formé en 2012 à Vandôme, Ropoporose a déjà beaucoup d’assurance dans l’art de composer des bons titres pop et rock. Pour faire simple, leur musique nous fait penser aux balades noisy de Sonic Youth (tendance Day Dream Nation) et à Blonde Redhead. La voix enfantine de Pauline possède un charme irrésistible. C’est comme si Kim Gordon chantait à l’âge de 16 ans. Pauline et Romain ont la chance d’avoir des parents mélomanes. Ils les aident dans leurs démarches. Vous en connaissez des parents qui insonorisent la chambre de leurs enfants pour qu’ils puissent répéter chez eux ? Et qui les autorisent à faire de nombreux concerts pendant leurs études ? Ainsi grâce à leurs prestations live, Ropoporose a réussi à modeler avec passion au fil du temps son style noisy. Cet apprentissage (sur les planches) a été un atout pour fignoler ce 1er album qui comporte 9 titres à la fois insolents et sensibles. Allez roulez jeunesse, l’avenir vous appartient ! ropoporose.com/ ropoporose.bandcamp.com/ www.yotanka.net/ auteur : Paskal Larsen - [email protected] chronique publiée le 13/01/2015

Le cargo .org

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Chronique - 18/02/15 publié par terant le 18/02/15

Ropoporose - Elephant Love Il était une fois, celle de la première avec Ropoporose. C’était au début de la fin de l’année dernière, par une aprèsmidi d’automne, de froid et de pluie. A regarder une session Cargo tout juste publiée, capsule échappée de l’été. Sur un toit ou une terrasse, lors de beaux jours. deux jeunes gens de peu de printemps pour trois petits morceaux (de musique). une prestation fusionnelle, dans leur manière de

Ropoporose - Elephant Love

se compléter, de construire cet ensemble un peu bricolé, assemblage sonore de bric et broc. Pas totalement renversant mais suffisamment frais et singulier pour donner envie d’une suite. d’un album construit. De morceaux posés.

Il était une fois, celle de la prem

Bichonnés. Habillés.

C’était au début de la fin de l’année

midi d’automne, de froid et de plui

ferveur

Cargo tout juste publiée, capsule

Il était une fois, celle de la deuxième avec Ropoporose, au début de l’hiver. Celle d’un

toit ou une terrasse, lors de beaux

véritable coup de coeur pour un Elephant Love. Barissement d’amour, ravissement

de peu de printemps pour tro

rapide. Loin du dépouillement quasi acoustique des morceaux chantés sur ce toit lors de

musique). une prestation fusionne

la session Cargo, la paire a minutieusement étoffé ses compositions, sans les étouffer pour autant, sans les juxtaposer uniquement. A l’ère de la musique qui s’écoute par morceau, par capsule de 3 minutes, par fraction d’une liste de lecture gigantesque,

se compléter, de construire cet e

assemblage sonore de bric et broc. Pas totalement renversan

Ropoporose fait partie de ces groupes pour lesquels le temps d’un album se prend

et singulier pour donner envie d’une suite. d’un album const

sans peine. Elephant Love captive dès l’introductif “Days of May”. Ce premier pas est

Bichonnés. Habillés.

une ascension électrique avec une ligne de guitare claire, rapidement débordée par un rythme qui s’emballe. Sa voix à elle se pose très haut et lui la soutient, en alchimie. Une

ferveur

formule assez classique pour une accroche juste efficace. “Desire” vient ensuite comme

Il était une fois, celle de la deuxième avec Ropoporose, au d

une respiration, avec ses cuivres, ses percussions. Un son chaud et différent. Une lente envolée, comme une nuit de désirs qui s’achève en fanfare avec des voix, au moins, qui s’enchevêtrent. Puis “Moïra” ramène une forme de tension, avec des frissons à l’échine comme en procure l’addictif dernier album de Peter Kernel : un hymne dont le chant

véritable coup de coeur pour un Elephant Love. Barisseme rapide. Loin du dépouillement quasi acoustique des morceaux

la session Cargo, la paire a minutieusement étoffé ses comp

alterne entre le sussuré et l’enlevé. Un goût du contraste à l’image de l’éléphant. Cet

pour autant, sans les juxtaposer uniquement. A l’ère de la

animal gigantesque et massif, qui progresse avec grâce, sans bruit en dépit de son

morceau, par capsule de 3 minutes, par fraction d’une liste

poids. L’éléphant qui parfois souffle et barrit. Comme l’amour qui grandit avec douceur,

Ropoporose fait partie de ces groupes pour lesquels le tem

sans bruit mais avec ferveur.

sans peine. Elephant Love captive dès l’introductif “Days of M

comptine La marque de fabrique de Ropoporose est dans l’envolée. Aux parties instrumentales posées succèdent de délicieuses embardées chargées. Sans violence, sans agression,

une ascension électrique avec une ligne de guitare claire, rap rythme qui s’emballe. Sa voix à elle se pose très haut et lui la

formule assez classique pour une accroche juste efficace. “De

sans que le son ne soit extrême. Mais avec un sens de l’accélération et une épaisseur

une respiration, avec ses cuivres, ses percussions. Un son cha

dans le son. Comme un pachyderme qui charge. Comme un amour qui s’emballe. Les

envolée, comme une nuit de désirs qui s’achève en fanfare av

moments les plus calmes tiennent parfois de la comptine pour enfant, avec cette

s’enchevêtrent. Puis “Moïra” ramène une forme de tension, av

candeur, ces sons issus de l’âge tendre (le carillon de “Whu Whu”) ou ce chant digne

comme en procure l’addictif dernier album de Peter Kernel :

d’une berceuse (“40 states”). Puis vient une guitare plus rugueuse, un rythme plus

alterne entre le sussuré et l’enlevé. Un goût du contraste à

ferme. Un sens de la nuance qui surprend sur chaque morceau. Avec une subtilité qui tient certainement à leur manière de composer autour d’une boucle, d’un gimmick, d’un rythme qu’ils font delicatement mûrir. Avec de l’accordéon (“My God”), de la trompette (“Consolation”), avec une guitare échappée du “Out Getting Ribs” de King Krule sur “Whu Whu”. Eléphant Love est riche de ces recherches. Quand il est souvent souligné l’âge juvénile du duo, c’est surtout l’aisance enfantine, l’agilité avec laquelle ces deux ont assimilé la musique de leur jeunesse qui se ropopo-

animal gigantesque et massif, qui progresse avec grâce, sa poids. L’éléphant qui parfois souffle et barrit. Comme l’amour sans bruit mais avec ferveur.

comptine

La marque de fabrique de Ropoporose est dans l’envolée. A

pose comme une évidence. Moralité : au Ropoporose qui propose ce conte, à cet

posées succèdent de délicieuses embardées chargées. Sans

Elephant Love dont les qualités ne se comptent pas sur deux mains, la réponse est une

sans que le son ne soit extrême. Mais avec un sens de l’accé

écoute attentive et fréquente, comme pour tout amour, éléphantesque ou non, qu’on

dans le son. Comme un pachyderme qui charge. Comme un

cultive sans perspective finie. Elephant Love n’est pas éléphanteau ; ce n’est pas un

moments les plus calmes tiennent parfois de la comptine

premier album marqué par les défauts du trop tôt. Juste un premier pas géant

candeur, ces sons issus de l’âge tendre (le carillon de “Whu

d’éléphant pour une suite qu’on souhaite toute rose à Ropoporose.

d’une berceuse (“40 states”). Puis vient une guitare plus r

ferme. Un sens de la nuance qui surprend sur chaque morce

tient certainement à leur manière de composer autour d’une b

rythme qu’ils font delicatement mûrir. Avec de l’accordéon (“M

(“Consolation”), avec une guitare échappée du “Out Getting “Whu Whu”. Eléphant Love est riche de ces recherches.

Quand il est souvent souligné l’âge juvénile du duo, c’est su

l’agilité avec laquelle ces deux ont assimilé la musique de leu pose comme une évidence. Moralité : au Ropoporose qui Elephant Love dont les qualités ne se comptent pas sur deux

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Chronique - 30/01/15

Ropoporose - Elephant Love 30/01/2015, par Mickaël Choisi | Albums

C’est marrant, un premier disque. C’est souvent quelque chose de singulier, celui où l’on peut tout se permettre, ou parfois où l’on veut tout mettre. Ce n’est pas anodin, c’est presque une façon de dire “voici ce que je suis”. Ropoporose a eu, avant l’enregistrement de ce premier album, sans doute quelques questionnements. Son écoute laisse transparaître tout ce que l’on peut attendre d’un premier disque, cette énergie un peu débridée, cette volonté de dire “on aime ça, et on aime ça, et on a envie d’aller par là et par là”. Il y a des morceaux râpeux, furieux même, de la pop parfaitement ciselée, quelques ouvertures superbes au gré de quelques ajouts subtilement amenés. Il y a aussi cette forme à la fois aboutie et perfectible. Loin d’être dérangeante, cette patine constitue l'un des principaux charmes de ces neuf titres, qui défilent à toute allure. Que ce soient dans les moments les plus pop (le magnifique et inaugral “Day of May”, “Desire” avec de belles trompettes) ou les plus fougueux (“Moïra”, “Empty-Headed” au parfum de Blood Red Shoes, “My God” ou des passages de “Whu-Whu” évoquant Sonic Youth), on sent que Ropoporose a fait preuve d’une sincérité de chaque instant. On apprécie alors d’autant mieux les morceaux au long cours comme “Whu-Whu” et ses changements d’atmosphères ou “Consolation”, à la construction bousculée. L’ensemble contribue à faire d’”Elephant Love” un premier effort attachant et encourageant pour la suite.

TMV MAG

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Chronique - 26/01/15

2015 à peine commencée, déjà des sorties Le 12/01/2015 à 13h34 par Doc Pilot

Chaque semaine, Doc Pilot nous régale d’un compte rendu de ses sorties culturelles. ROPOPOROSE CD Elephant Love Groupe OVNI, groupe unique, groupe atypique par le jeune âge du frère et de la sœur, par leur capacité à balancer à deux ce que bien d’autres ont du mal à proposer à dix… Le duo Ropoporose est talentueux, génétiquement brillant, d’une maturité précoce et d’une originalité d’écriture à se poser la question du pourquoi et du comment. Car ici nous ne sommes pas en présence de jeunes musiciens savants exposant leurs leçons bien apprises, mais face à un groupe de rock, tout simplement, face à deux artistes, deux créateurs, deux bâtisseurs d’un univers capable d’embarquer tout un chacun au delà des chapelles et des strates générationnelles. Leur musique n’a pas d’âge, elle est universelle, elle est pop et même si cet album se barre un peu dans tous les sens, la qualité reste de mise, son écoute un plaisir et la sensation d’être au début d’un truc qui pourrait aller plus loin, beaucoup plus loin, évidente. Il s’y mélange la ligne claire et le pastel gras, l’aquarelle et la peinture au couteau, l’art brut à des subtilités impressionnistes. La force de la fratrie laisse supposer un futur fécond ; la rencontre d’un grand producteur pourrait optimiser toutes les qualités de cette aventure. Les gens de Vendôme devraient joindre Brian Eno ; pour le vieux magicien ce serait une belle dernière valse d’ainsi épauler ceux qui feront “ demain ”.

The Art Chemists

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Chronique 30/01/15

Écrit par Padme Purple le 30 jan 2015 | 0 commentaire

Album : Ropoporose – Elephant love

» Album : Ropoporose – Elephant love

Ce n’est rien de dire que le rock est très souvent affaire de famille : INXS, Oasis, AC/DC, … on ne va pas tous les lister, la journée n’y suffirait pas. Mais il est quand même bon de rappeler que les plusRopoporose belles initiatives (les plus durables sont le fruit de complicités amoureuses // Empty-Headed Démoaussi) version 2012 . … ou d’interactions fraternelles. Bon certes si on prend le cas des Gallagher bros, on ne peut pas dire Le duo vendômois vient de l’harmonie sortir son premier album, le Fort très heureusement intéressant Elephant Love. que ça se soit déroulé dans la plus complète. d’autres sontNeuf plus tracks d’un alambiqué, à la fois tourmenté et 2012 lumineux, très introspectif, qui évoque les calmes, dixitrock les frangin/frangine Pauline et Romain de Ropoporose. Ropoporose // Empty-Headed Démo version . rêves adolescents, les amours impossibles, les violences émotionnelles, les colères foudroyantes, les vient apathies mélancoliques, les angoisses incontrôlables. ces Le duo vendômois de sortir son premier album, le très intéressant ElephantToutes Love. Neuf contradictions affleurent au à travers mélangeetde balade, de new wave, de punk, de noise, tracks d’un rock alambiqué, la foisd’un tourmenté lumineux, très introspectif, qui évoque les aux alchimies changeantes suivant les morceaux. les violences émotionnelles, les colères rêves adolescents, les amours impossibles, foudroyantes, les apathies mélancoliques, les angoisses incontrôlables. Toutes ces contradictions affleurent au travers d’un mélange de balade, de new wave, de punk, de noise, aux alchimies changeantes suivant les morceaux.

Ropoporose // Empty-Headed Démo version 2012 . Le très désespéré « Moira » illustre parfaitement ce constant déséquilibre qui trouve sa Le duo vendômois vient de sortir son premier album,dans le très intéressant Elephant Love. Neuf solution, après la récurrence lancinante des samples, un brusque emballement du rythme tracks d’un rock alambiqué, à la fois tourmenté et lumineux, très introspectif, qui évoque les sous-tendu d’un cri de révolte. Cette construction alternant répétition et tempo soutenu rêves amours impossibles, violences colères détermine la signature mélodique du groupe qui les y traduit toutesémotionnelles, les tensions de son univers Le trèsadolescents, désespéré « les Moira » illustre parfaitement ce constant déséquilibre quiles trouve sa foudroyantes, mélancoliques, les forme angoisses incontrôlables. Toutes ces mental. Une d’apathies Hygiène de l’assassin sous de brusque ritournelle dark, d’une solution, aprèssorte lales récurrence lancinante des samples, dans un emballement du énergie rythme contradictions affleurent au travers d’un construction mélange de balade, de répétition new wave,et de tempo punk, de noise, incroyable après des de pur effondrement. sous-tendu d’un cri instants de révolte. Cette alternant soutenu aux alchimies changeantes suivant les morceaux. détermine la signature mélodique du groupe qui y traduit toutes les tensions de son univers mental. Une sorte d’ Hygiène de l’assassin sous forme de ritournelle dark, d’une énergie incroyable après des instants de pur effondrement. L’écriture, par instant schizophrénique, est accrocheuse et déstabilisante car elle ne nous confine pas dans le simple registre du divertissement dansant. « Desire », « WhuWhu », « Elephant Love », certaines paroles sont déclamées plutôt que chantées, ce qui situe ces chansons de la mise en voix une cacophonie à la L’écriture,aux parfrontières instant schizophrénique, est théâtralisée, accrocheuse dans et déstabilisante car maîtrisée elle ne nous limite l’expérimentale. Et très sincèrement la chose a de quoi interpeller audace et confinedepas dans le simple registre du divertissement dansant. « Desire par », «son WhuWhu », sa maturité. Love », certaines paroles sont déclamées plutôt que chantées, ce qui situe ces « Elephant chansons aux frontières de la mise en voix théâtralisée, dans une cacophonie maîtrisée à la limite de l’expérimentale. Et très sincèrement la chose a de quoi interpeller par son audace et sa maturité.

Le très désespéré « Moira » illustre parfaitement ce constant déséquilibre qui trouve sa solution, après la récurrence lancinante des samples, dans un brusque emballement du rythme sous-tendu d’un cri de révolte. Cette construction alternant répétition et tempo soutenu détermine la signature mélodique du groupe qui y traduit toutes les tensions de son univers mental. Une sorte d’ Hygiène de l’assassin sous forme de ritournelle dark, d’une énergie incroyable après des instants de pur effondrement.

L’écriture, par instant schizophrénique, est accrocheuse et déstabilisante car elle ne nous confine pas dans le simple registre du divertissement dansant. « Desire », « WhuWhu », « Elephant Love », certaines paroles sont déclamées plutôt que chantées, ce qui situe ces chansons aux frontières de la mise en voix théâtralisée, dans une cacophonie maîtrisée à la limite de l’expérimentale. Et très sincèrement la chose a de quoi interpeller par son audace et Bon l’incorrigible punk que je suis a bien sûr chaviré sur les accents dramatico-mystiques de sa maturité. « Consolation » ou le magnifique « Empty headed » qui ont ce ne je sais quoi de ténébreux que » Album : Ropoporose – Elepha seuls les groupes comme Joy Division ou And also the trees étaient capables de transmettre. Mais l’ensemble de Elephant Love, tout comme son artwork signé Céline Delumeau, dégagent Bon l’incorrigible punk que je suis a bien sûr chaviré sur les accents dramatico-mystiques de : Ropoporose – Eleph quelque chose»d’hypnotique qui évoquent l’aura des œuvres où lade technique jamais « Consolation ou le magnifique « Empty headed » qui ontAlbum ced’art ne jebrut, sais quoi ténébreux que n’a le les pas groupes sur la spontanéité. seuls comme Joy Division ou And also the trees étaient capables de transmettre. Écrit par Padme Purple le 30 jan 2015 | 0 comm Mais l’ensemble de Elephant Love, tout comme son artwork signé Céline Delumeau, dégagent Et plus si affinités quelque chose d’hypnotique qui évoquent l’aura des œuvres d’art brut, où la technique jamais http://ropoporose.com/ n’a le pas sur la spontanéité. Et plus si affinités http://ropoporose.com/

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Elephant Love

Etat-critique

Chronique - 26/01/15 Jeunes, Pauline et son frère, font du rock rien que pour eux. A l’ancienne. Sans retenue. Leur disque est un plaisir partagé et une vraie petite révélation. Je ne sais pas comment vous imaginez la jeunesse aujourd’hui mais les deux petits jeunes qui forment le groupe Ropoporose doivent être deux extraterrestres dans leur génération. Rarement un décalage fut aussi évident entre la musique et ses musiciens. Pauline et Romain sont frère et soeur. Planqués chez eux, ils ont composé un disque incroyablement rock, dans ses digressions, sa simplicité, son hypnotique réalisation. Mais c’est du vrai rock comme on l’aime. C’est sauvage. C’est enregistré avec une irrésistible envie d’en découdre. C’est une digestion heureuse du rock lo fi ou du noise.

Elephant Love

Jeunes, Pauline et son frère, font du rock rien que pour eux. A l’ancienne. Sans retenue. Leur disque est un plaisir partagé et une vraie petite révélation. Je ne sais pas comment vous imaginez la jeunesse aujourd’hui mais les deux petits jeunes qui forment le groupe Ropoporose doivent être deux extraterrestres dans leur génération. Rarement un décalage fut aussi évident entre la musique et ses musiciens. Pauline et Romain sont frère et soeur. Planqués chez eux, ils ont composé un disque incroyablement rock, dans ses digressions, sa simplicité, son hypnotique réalisation. Mais c’est du vrai rock comme on l’aime. C’est sauvage. C’est enregistré avec une irrésistible envie d’en découdre. C’est une digestion heureuse du rock lo fi ou du noise. Ensemble, Pauline et Romain, dans la frileuse France, ressuscite les accords violents de Sonic Youth, jouent des boucles fascinantes qui permettent des échappées redoutables qui nous font bêtement secouer la tête. Pourtant ce n’est pas primaire. Ca s’écoute fort mais les nuances sont là, dans les cassures et l’arrivée d’instruments qui sortent de l’ordinaire rock et cette voix fluette de Pauline, qui apportent un peu de son charme adolescent. Elephant Love sort vraiment du lot. On a bien l’impression de tomber sur un vestige underground arrivé de New York. Leurs créations sont complexes mais jamais prétentieuses. Ils se promènent sur des mélodies endommagées mais encore praticables. Les rythmiques soutiennent leur effort si inédit dans nos contrées. On est très heureux de rencontrer ce duo juvénile qui montre la valeur ne vient avec le nombre des années. Une bonne surprise pour tout amateur de rock libéré!

Ensemble, Pauline et Romain, dans la frileuse France, ressuscite les accords violents de Sonic Youth, jouent des boucles fascinantes qui permettent des échappées redoutables qui nous font bêtement secouer la tête. Pourtant ce n’est pas primaire. Ca s’écoute fort mais les nuances sont là, dans les cassures et l’arrivée d’instruments qui sortent de l’ordinaire rock et cette voix fluette de Pauline, qui apportent un peu de son charme adolescent. Elephant Love sort vraiment du lot. On a bien l’impression de tomber sur un vestige underground arrivé de New York. Leurs créations sont complexes mais jamais prétentieuses. Ils se promènent sur des mélodies endommagées mais encore praticables. Les rythmiques soutiennent leur effort si inédit dans nos contrées. On est très heureux de rencontrer ce duo juvénile qui montre la valeur ne vient avec le nombre des années. Une bonne surprise pour tout amateur de rock libéré!

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Chronique - 08/01/15

ELEPHANT LOVE ROPOPOROSE

INFORMATIONS

Le duo fraternel Ropoporose sortira son premier album Label : Yotanka Date de sortie : 26/01/2015 Site web : ropoporose.com

"Elephant Love" le 26 janvier prochain. C'est au fin fond du grenier de la maison familiale que se trouve une malle à trésors, une boîte secrète où seuls Pauline et Romain en connaissent la combinaison. A l'inverse de la plupart des gosses qui construisent des cabanes ou se crêpent le

NOTRE SÉLECTION INFORMATIONS Day Of May INFORMATIONS Desire

chignon, ces deux là découvrent la musique et s'essayent

ELEPHANT LOVE ROPOPOROSE ELEPHANT LOVE ROPOPOROSE

aux instruments. Quand les Ropoporose s'écoutent pour de

bon et décident de prendre leur destiné en main, ça donne Le duo fraternel Ropoporose sonÇapremier dox titres indie rock/pop géniaux etsortira brillants. regorgealbum

"Elephant Love" janvier prochain. au fin fond du d'innocence et tant pisle si 26 ça foire. Bien à l'abri C'est de la pression Le duo de fraternel Ropoporose sortira album grenier la maison familiale que se son trouve malle à de l'industrie musicale, c'est sans contrainte que premier cetune opus "Elephant Love" le 26 janvier prochain. C'est au fin fond du trésors, une boîte seuls Pauline et Romain en s'opère à merveille. Placesecrète à cette où "Ode To My Family" (The

Label : Yotanka Moira Date de sortie : 26/01/2015 Label : Yotanka Site web : ropoporose.com Date de sortie : 26/01/2015 Site web : ropoporose.com

NOTE RUL NOTRE SÉLECTION NOTRE SÉLECTION

grenierHomemade de lalamaison familiale se trouve malle à connaissent combinaison. l'inverse de la une plupart des Cranberries), bien sûr ! A que trésors, qui une construisent boîte secrètedes où seuls Pauline et Romain gosses cabanes ou se crêpent en le L'aventure s'ouvre avec "Day Of May", comme de son nom l'indique, connaissent combinaison. A l'inverse des le soleil nous cogne légèrement la nuque et chignon, ces la deux là découvrent la musiquelaetplupart s'essayent nous plonge dans des images à des la Terrence Malick. Lacrêpent pédale àleboucles, outil essentiel et indispensable de la gosses qui construisent cabanes ou se aux instruments. Quand les Ropoporose s'écoutent pour de formation, est branchée et enchaîne avec introduction à la batterie façon tribale et se fait rapidement chignon, ces deux découvrent la "Desire", musique et s'essayent bon et décident de là prendre leur destiné en main, ça donne rejoindre par une ligne de guitare mélancolique. Leurs voix se font aux instruments. Quand lesgéniaux Ropoporose s'écoutent de discrètes, elles nous susurrent juste le désir dox titres indie rock/pop et brillants. Ça pour regorge d'allerbon encore plus loin, plus haut.leur C'est sur un air lancinant, ténébreux et sensuel qu'arrive "Moira", Pauline et décident de prendre destiné en main, ça donne d'innocence et tant pis si ça foire. Bien à l'abri de la pression devient insolente avec sa voix suave et quand le refrain Ça fait regorge son apparition, on retrouve le timbre d'Olivia Merilahti dox titres indie rock/pop géniaux et brillants. de l'industrie musicale, c'est sans contrainte que cet opus (The Do), c'est authentique et sipur. "Whu-Whu", plus qu'un titre c'est une confidence, une intimité et une douceur d'innocence et tant pis ça l'abri la pression s'opère à merveille. Place à foire. cette Bien "Odeà To Myde Family" (The pour soulager nos maux. Les doigts se mettent à tricoter avec "Empty Headed", ils s'imprègnent de la teenage de l'industrieHomemade musicale, c'est Cranberries), biensans sûr ! contrainte que cet opus touch,s'opère ça bouge et c'est très efficace. "Elephant Love", c'est un(The combo incroyable, mélodies extrêmement lourdes à merveille. Place à cette "Ode To My Family" L'aventure avec "Day Of comme son nom l'indique, le soleil nous cogne légèrement la nuque et et graves pour ces'ouvre duo guitare/basse et May", la Cranberries), Homemade bien sûr ! voix angélique de Pauline. Les riffs de guitare font clairement penser à nous plonge dans des images à la Malick. La pédalefait à boucles, outil essentiel indispensable Placebo avec son album "Without You I'mTerrence Nothing". "Consolation", indubitablement écho àet"Friday On My de la L'aventure s'ouvre avec "Day Ofpour May", son nom soleil cogne la nuque et est branchée et enchaîne avec "Desire", à lalebatterie façon tribale et se faitqu'une rapidement Mind"formation, de Easybeats, on s'embarque lescomme années 60introduction où lel'indique, rock était le roi, nous on vibre, onlégèrement vit, plus

4/5

Day Of May Desire Day Of May Moira Desire Moira

AGENDA

nous plonge dans des"My images à commence lamélancolique. Terrencepar Malick. Lavoix pédale àdigne boucles, outil essentiel et indispensable la rejoindre une ligne de guitare Leurs se font discrètes, elles nous susurrent justede le de désir consolation, unepar délivrance. God", de l'accordéon, du film "Le Dernier Roi D'Ecosse" formation, est branchée et enchaîne avec "Desire", introduction à la batterie façon tribale et se fait rapidement encore plus loin, plus haut. C'est sur un air lancinant, ténébreux et sensuel "Moira", Pauline Kevin d'aller Macdonald et légèrement imbibé à la Sonic Youth. Ces enfants ne trichent pas et c'est qu'arrive ce qui nous touche. rejoindre par ligne devoix guitare mélancolique. Leurs voix seapparition, fontBut discrètes, elles susurrent juste le désir devient insolente suave etcroit quand le refrain fait son on retrouve le timbre d'Olivia Merilahti "40 Slates", c'est unune feuavec qui sa s'allume et on entendre "Anyone Else You" de Thenous Moldy Peaches, c'est

d'aller encore plus loin, haut."Whu-Whu", C'est sur airqu'un lancinant, ténébreux et qu'arrive "Moira", Pauline (The Do), c'est authentique et pur. plus titre c'est confidence, intimité et une les douceur féerique. L'opus s'achève avecplus "Montgolfière", uneun ballade répétitive, la une leçon desensuel pianoune est bien apprise, devient insolente sa voix le refrain fait son on retrouve le timbre d'Olivia pour soulager maux. Les suave doigts sequand mettent à tricoter avecapparition, "Empty Headed", ils s'imprègnent de laMerilahti teenage confettis sont jetées, nos lesavec ballons éclatent et et le rêve continu. (The Do), authentique pur. "Whu-Whu", plus qu'un c'est une confidence, une intimité et une douceur touch, ça c'est bouge et c'est trèsetefficace. "Elephant Love", c'est titre un combo incroyable, mélodies extrêmement lourdes Les parents peuvent nos être maux. fiers deLes leurs progéniture, la relève est assurée. "Elephant Love"ilsest construit, mature, il pour soulager doigts se mettent à tricoter avec "Empty Headed", s'imprègnent de lapenser teenage et graves pour ce duo guitare/basse et la voix angélique de Pauline. Les riffs de guitare font clairement à balaie touch, les conventions avec fraîcheur et une"Elephant franchise juvénile. Merci. ça bouge et c'est très efficace. Love", c'est un combo incroyable, mélodies extrêmement lourdes Placebo avec son album "Without You I'm Nothing". "Consolation", fait indubitablement écho à "Friday On My

NOTE RUL NOTE RUL

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AGENDA AGENDA

et graves ce duoon guitare/basse la voix Pauline. riffslederoi, guitare font clairement à Mind" de pour Easybeats, s'embarqueetpour lesangélique années 60deoù le rockLes était on vibre, on vit, pluspenser qu'une Placebo avecune sondélivrance. album "Without You commence I'm Nothing". fait indubitablement écho àRoi "Friday On My consolation, "My God", par"Consolation", de l'accordéon, digne du film "Le Dernier D'Ecosse" de Mind" de Easybeats, on s'embarque pour années oùenfants le rockne était le roi,pas onetvibre, vit,nous plus touche. qu'une Kevin Macdonald et légèrement imbibé à la les Sonic Youth.60Ces trichent c'est on ce qui 0 commentaires consolation, une délivrance. "My God", commence par de l'accordéon, digne du film "Le Dernier Roi D'Ecosse" de "40 Slates", c'est un feu qui s'allume et on croit entendre "Anyone Else But You" de The Moldy Peaches, c'est

Postée par Sandy Lefol le 08 janvier 2015

Kevin Macdonald et légèrement imbibé à la Sonicune Youth. Ces enfants ne trichent et c'estest ce qui touche. féerique. L'opus s'achève avec "Montgolfière", ballade répétitive, la leçon pas de piano biennous apprise, les You" de The Moldy Peaches, c'est

"40 Slates", c'est un feu qui s'allume et et onlecroit A DÉCOUVRIR ÉGALEMENT confettis sont jetées, les ballons éclatent rêve entendre continu. "Anyone Else But

féerique. L'opus s'achève avec "Montgolfière", une ballade répétitive, la leçon de piano est bien apprise, les Les parents peuvent être fiers de leurs progéniture, la relève est assurée. "Elephant Love" est construit, mature, il confettis sont jetées, les ballons éclatent et le rêve continu. balaie les conventions avec fraîcheur et une franchise juvénile. Merci. Les parents peuvent être fiers de leurs progéniture, la relève est assurée. "Elephant Love" est construit, mature, il balaie les conventions avec fraîcheur et une franchise juvénile. Merci. Postée par Sandy Lefol le 08 janvier 2015

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Postée par Sandy Lefol le 08 janvier 2015

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Chronique - 07/01/15

ROPOPOROSE Ecrit par Fred Delforge

mercredi, 07 janvier 2015

Elephant love (Yotanka – Differ-Ant – 2014) Durée 48’13 – 10 Titres

ROPOPOROSE

http://ropoporose.com

mercredi, 07 janvier 2015

Ecrit par Fred Delforge

Ils sont frère et sœur et n’atteignent pas à eux deux réunis les quarante ans, autant dire que Pauline et Romain sont en plein dans l’âge où le génie créatif est à son apogée et qu’ils s’attachent à chaqueElephant instant à lelove prouver sur un premier album né non pas par accident mais bel et bien par –dépit, les deux – (Yotanka Differ-Ant jeunes gens se montrant tellement incapables de reprendre décemment les Durée 10 Titres chansons de leurs idoles qu’ils finirent par se décider à en48’13 créer de–nouvelles. Ropoporose était né et c’est en se partageant le chant, les guitares, les percussions et les claviers et en usant de quelques artifices techniques que les http://ropoporose.com deux jeunes gens se sont lancés dans l’écriture de cette œuvre aux accents partagés entre post-rock, indie-pop et rock alternatif, autant dire que définir le genre sur le papier n’est pas chose facile. Pour la fratrie du Loir et Cher, l’idée était avant tout d’extérioriser des sensations et de les traduire au travers de sons hétéroclites qui, s’ils n’en appellent pas à une longue expérience de la vie, se teintent déjà de quelques nuances qui en disent long sur là où elle devrait conduire les Ropoporose. Descendants plus ou moins naturels des Arcade Fire et autres Sonic Youth, Pauline et Romain ne perdent pas leur temps à essayer de marcher dans les ornières ouvertes par leurs aînés mais s’attachent au contraire à creuser leurs propres sillons au travers d’une musique composée dans l’intimité d’une chambre d’adolescent et enregistrée quelque part entre la cave et la cuisine chez des voisins pas très loin de Vendôme … Loin des grosses productions trop souvent superficielles, Ropoporose a ainsi mis le paquet sur le contenu et n’a pas hésité à nous proposer dix titres empreints d’urgence pour faire de cet « Elephant Love » un album dont on se souvient dès qu’on y a posé une oreille, un effort qui se démarque du reste de la production non seulement par un artwork signé Céline Delumeau mais aussi et surtout par des titres comme « Day Of May », « Moïra », « Empty-Headed » ou encore « My God » qui n’en finissent plus de laisser des traces dans les esprits au fur et à mesure qu’ils tournent dans la platine … A surveiller dans les bacs pour une sortie à la fin janvier !

2014)

Ils sont frèr autant dire est à son a premier alb jeunes gen chansons d Ropoporose percussions deux jeune partagés en genre sur le était avant sons hétéro se teintent déjà de quelques nuances Descendants plus ou moins naturels de pas leur temps à essayer de marcher contraire à creuser leurs propres sillons d’adolescent et enregistrée quelque pa Vendôme … Loin des grosses production le contenu et n’a pas hésité à nous pro Love » un album dont on se souvient dè la production non seulement par un ar comme « Day Of May », « Moïra », « laisser des traces dans les esprits au fu bacs pour une sortie à la fin janvier !

France Culture

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L’atelier intérieur - 12/01/15

L'Atelier intérieur par Aurélie Charon

Numéro 20. Liberté 12.01.2015 - 23:00

LIVE : ROPOPOROSE (Petit Bain, 6 février)

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Muzzart

Ropoporose

Chronique - 12/01/15

Elephant love 2015 - Yotanka/Differ Ant

Ropoporose

Elephant love 2015 - Yotanka/Differ Ant

Découverte, en ce qui me concerne, à l'Ouvre-Boite de Beauvais lors d'une première partie de Boogers dont elle partage l'esprit libre et aventureux, "cheap" aussi, la "fratrie à deux" Ropoporose sort quelques mois après Découverte, enalbum ce quiqui, me lui concerne, à cette prestation belle et sonique un premier aussi, va l'Ouvre-Boite de Beauvais lors d'une marquer son monde. première partie de Boogers dont elle Elephant love, ledit objet, mêlepartage en effet l'esprit douceur libre et élans (Moïra, et noisy aventureux, "cheap" aussi, "fratrie à deux" Ropoporose quelquesDay mois tremble défunt laSonic Youth !), offre un début sort impeccable: of après May, cette prestation et sonique un complices premier album lui aussi, va délicat, distinguebelle d'emblée ces deux dont qui, le total des âges marquer son n'atteint pas monde. même la quarantaine. Véritable sucrerie poppy/arty, il se décline en deux temps; d'abord retenu puis plus rythmé, avec une Elephant love, ledit objet, mêle vers en effet douceur etLe élans noisy (Moïra, dualité vocale qui le fait grimper les sommets. genre de bonbon pop qui donne remettre la main dans le paquet, dont onofextrait tremble défuntl'envie Sonicde Youth !), offre un début impeccable: Day May, alors Desire, splendide. Rêveur saccadé, frais dont et juvénile, puis délicat, distingue d'emblée ces et deux complices le totalexalté des âges prenant sur une qui met à nouveau en évidence l'impact n'atteint appui pas même la accalmie quarantaine. Véritable sucrerie poppy/arty, il se décline en complémentaires deux temps; d'abord retenuetpuis plus . rythmé, avecposés une des chants de Pauline Romain Des cuivres dualité vocale qui le d'une fait grimper vers sommets. de bonbon étoffent l'ouvrage, sincérité à les toute épreuveLe àgenre l'image de cet pop qui donne de remettre la main dans le paquet, dont on extrait ensemble déjà l'envie probant. alors Desire, splendide. Rêveur et saccadé, frais et juvénile, exalté puis prenantleappui uneplus accalmie met à nouveau évidence l'impact Passé Moïrasur cité haut, qui Whu-whu fait lui en dans la finesse, le climatique qui s'emporte sans. Des se délester sa des chants ombrageux/lumineux, complémentaires de Pauline et Romain cuivres de posés décisive l'élaboration ambiances, recourant à étoffent douceur. l'ouvrage,Adroits d'une dans sincérité à toute des épreuve à l'image de cet des boucles comme "charpente" des morceaux, les Ropoporose ensemble déjà probant. surprennent, évitent les chemins balisés sans que leurs propres destinations s'avèrent excessivement tortueuses. Un Empty headed Passé le Moïra cité plus haut, Whu-whu fait lui dans la finesse, le fougueux, truffé de motifs géniaux, surligné par gentiment climatique ombrageux/lumineux, qui s'emporte sansle sechant délester de sa espiègle de Pauline, taille dans ensuite dans une étoffe bruitiste etrecourant alerte. Les décisive douceur. Adroits l'élaboration des ambiances, à ressortissants Vendôme font feu de des tout bois, Elephantles loveRopoporose étincèle et des boucles de comme "charpente" morceaux, pétarade tout en se montrant élégant. balisés sans que leurs propres surprennent, évitent les chemins destinations s'avèrent excessivement tortueuses. Un Empty headed C'est justement Elephant love et sa sensibilité écorchée à la Shannon fougueux, de motifs géniaux, surligné le sonique chant gentiment Wright quitruffé prolonge le charme, dans cette par fureur rentrée, espiègle taillebluffe ensuite une étoffenous bruitiste et alerte. Les mesurée.de LaPauline, paire nous pardans sa maîtrise, enthousiasme par ressortissants Vendôme font tout bois, Elephant étincèle et son refus des de codes établis, se feu faitde ouvertement "Sonic" love sur la seconde pétarade en se montrant élégant.livrer un Consolation que la soeur partie de tout ce morceau, pour ensuite C'est justement love et sa sensibilité la Shannon introduit par son Elephant chant narratif, attachant, et quiécorchée s'extirpe àensuite de ses penchants pourlelaisser libredans à cours la déviance, obscure et Wright quiouatés prolonge charme, cetteà fureur sonique rentrée, bricolée ingéniosité. On ne par cherche alors plusnous à résister, on a depuis mesurée.avec La paire nous bluffe sa maîtrise, enthousiasme par le presque le savoir-faire dépouillé et seconde étayé à sondébut refusou des codes "capitulé" établis, sedevant fait ouvertement "Sonic" sur la la fois de de ce la morceau, paire. My pour god en remet une un couche dans l'envoûtement partie ensuite livrer Consolation que la soeur vocal, dans justesse de son attachant, ornement,ethausse la cadence et de tutoie introduit par la son chant narratif, qui s'extirpe ensuite ses l'excellence des grands on pense ici. à la déviance, obscure et penchants ouatés pourauxquels laisser libre à cours bricolée avec ingéniosité. On ne cherche alors plus à résister, on a depuis Il ne reste alors plus qu'à finir le boulot, 40 slatesdépouillé s'acquittant de la le début ou presque "capitulé" devant le savoir-faire et étayé à mission en la commençant de façon quasi folk s'endans tenir l'envoûtement à cette trame la fois de paire. My god en remet une pour couche qui voit, une la fois encore,de frère soeur instaurer leurs voix parfaitement vocal, dans justesse sonetornement, hausse la cadence et tutoie en phase. Ca fait lo-fi sur laon fin, ça touche au coeur autant qu'aux l'excellence dessegrands auxquels pense ici. tripes, à l'instar du rendu général. Et alors qu'on croyait la partie finie, se profile un instrumental subtil par s'acquittant ses apparats Il ne reste alors plus qu'à finiret leanimé, boulot,valorisé 40 slates de de la choix, d'unde disque en tous missionenenconclusion commençant façonbrillant quasi folk pourpoints. s'en tenir à cette trame qui voit, une fois encore, frère et soeur instaurer leurs voix parfaitement Site Ropoporose en phase. Ca se fait lo-fi sur la fin, ça touche au coeur autant qu'aux Par croyait Will Dumla , lepartie 12/01/2015 - muzzart tripes, à l'instar du rendu général. Et alors qu'on finie, se profile un instrumental subtil et animé, valorisé par ses apparats de choix, en conclusion d'un disque brillant en tous points. Site Ropoporose Par

Will Dum, le 12/01/2015 - muzzart

Ropoporose

Elephant love 2015 - Yotanka/Differ Ant

Découverte, en ce qui me concerne, à l'Ouvre-Boite de Beauvais lors d'une première partie de Boogers dont elle partage l'esprit libre et aventureux, "cheap" aussi, la "fratrie à deux" Ropoporose sort quelques mois après cette prestation belle et sonique un premier album qui, lui aussi, va marquer son monde. Elephant love, ledit objet, mêle en effet douceur et élans noisy (Moïra, tremble défunt Sonic Youth!), offre un début impeccable: Day of May, délicat, distingue d'emblée ces deux complices dont le total des âges n'atteint pas même la quarantaine. Véritable sucrerie poppy/arty, il se décline en deux temps; d'abord retenu puis plus rythmé, avec une dualité vocale qui le fait grimper vers les sommets. Le genre de bonbon pop qui donne l'envie de remettre la main dans le paquet, dont on extrait alors Desire, splendide. Rêveur et saccadé, frais et juvénile, exalté puis prenant appui sur une accalmie qui met à nouveau en évidence l'impact des chants complémentaires de Pauline et Romain. Des cuivres posés étoffent l'ouvrage, d'une sincérité à toute épreuve à l'image de cet ensemble déjà probant. Passé le Moïra cité plus haut, Whu-whu fait lui dans la finesse, le climatique ombrageux/lumineux, qui s'emporte sans se délester de sa décisive douceur. Adroits dans l'élaboration des ambiances, recourant à des boucles comme "charpente" des morceaux, les Ropoporose surprennent, évitent les chemins balisés sans que leurs propres destinations s'avèrent excessivement tortueuses. Un Empty headed fougueux, truffé de motifs géniaux, surligné par le chant gentiment espiègle de Pauline, taille ensuite dans une étoffe bruitiste et alerte. Les ressortissants de Vendôme font feu de tout bois, Elephant love étincèle et pétarade tout en se montrant élégant. C'est justement Elephant love et sa sensibilité écorchée à la Shannon Wright qui prolonge le charme, dans cette fureur sonique rentrée, mesurée. La paire nous bluffe par sa maîtrise, nous enthousiasme par son refus des codes établis, se fait ouvertement "Sonic" sur la seconde partie de ce morceau, pour ensuite livrer un Consolation que la soeur introduit par son chant narratif, attachant, et qui s'extirpe ensuite de ses penchants ouatés pour laisser libre à cours à la déviance, obscure et bricolée avec ingéniosité. On ne cherche alors plus à résister, on a depuis le début ou presque "capitulé" devant le savoir-faire dépouillé et étayé à la fois de la paire. My god en remet une couche dans l'envoûtement vocal, dans la justesse de son ornement, hausse la cadence et tutoie l'excellence des grands auxquels on pense ici. Il ne reste alors plus qu'à finir le boulot, 40 slates s'acquittant de la mission en commençant de façon quasi folk pour s'en tenir à cette trame qui voit, une fois encore, frère et soeur instaurer leurs voix parfaitement en phase. Ca se fait lo-fi sur la fin, ça touche au coeur autant qu'aux tripes, à l'instar du rendu général. Et alors qu'on croyait la partie finie, se profile un instrumental subtil et animé, valorisé par ses apparats de choix, en conclusion d'un disque brillant en tous points. Site Ropoporose Par

Will Dum, le 12/01/2015 - muzzart

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Chronique - 02/04/15

ROPOPOROSE - Elephant Love (2015) Tracklisting: 1. Day Of May 2. Desire 3. Moïra 4. Whu-Whu 5. Empty-Headed

6. Elephant Love 7. Consolation 8. My God 9. 40 Slates

Ropoporose est un duo originaire de Vendôme composé de Pauline (chant, guitare, clavier, percussions) & Romain (batterie, guitare, chœurs) qui sont Ropoporose est un duo originaire de Vendôme composé de Pauline (chant, guitare, clavier, percussions) & Romain (batterie, aussi frère et sœur… Vendôme, c’est marrant, à chaque fois que mon TGV en direction de Saint Pierre des Corps fait un arrêt dans cette gare j’ai l’impression que c’est une qu’il ne s’y rien. Vendôme, Eh bien si ! Derrière cette gareàimpersonnelle cache doncTGV un groupe qui a toutde pour faire guitare, chœurs) quiville sontmorte, aussi frère etpasse sœur… c’est marrant, chaque foisseque mon en direction Saint vibrer les murs de la ville, avec une musique Indie Rock créative et stylée, aussi instantanée qu’expérimentale, le fruit d’une imagination et d’une Pierre des Corps fait un arrêt dans cette gare j’ai l’impression que c’est une ville morte, qu’il ne s’y passe rien. Eh bien si ! inspiration musicale débordante.

Derrière cette gare impersonnelle se cache donc un groupe qui a tout pour faire vibrer les murs de la ville, avec une musique

Avec cet album que l’on pourrait hâtivement qualifier de ‘Art-Rock’, le duo développe un univers bien personnel basé sur de longues parties instrumentales, parfois psychédéliques lorsque les orgues et sons de cuivres viennent s’inviter sur ‘Consolation’, le tout accompagné par un Indie Rock voire créative ettrès stylée, aussi instantanée qu’expérimentale, le fruit d’une imagination et d’une inspiration musicale chant féminin particulièrement hanté. Un disque artistique jusqu’au bout des doigts, même à travers sa pochette peinte par Céline Delumeau.

débordante.

Expérimenter c’est bien beau mais le résultat peut toujours faire un peu peur. Ce n’est nullement le cas avec Ropoporose qui semble avoir un instinct naturel pour rendre ses chansons passionnantes, car elles sont dans l’ensemble rythmées et plutôt faciles d’accès. Si le tout démarre en douceur sur ‘Day of May’, on dénote à travers cette ballade Indiequalifier Rock dans du temps le desduo influences allant de Youth à Foals. Une entrée en sur matière Avec cet album quedéjà l’on pourrait hâtivement del’ère ‘Art-Rock’, développe unSonic univers bien personnel basé de qui nous installe confortablement dans l’ambiance avant d’enchaîner sur le plus tribal ‘Desire’ aux allures de chevauchée fantastique... et bien loin des longuesque parties voire trèsinclassable psychédéliques les orgues etduo sons deles cuivres viennent s’inviter influences nous instrumentales, venons de citer! Ce côtéparfois finalement est l’une lorsque des grandes forces du dont titres s’enchaînent mais nesur se ressemblent pas. Après l’enjoué ‘Desire’ arrive donc le bien féminin plus inquiétant et nerveux ‘Moïra’, un modèle de Rock habité extrêmement captivant. Voilà un ‘Consolation’, le tout accompagné par un chant particulièrement hanté. Un disque artistique jusqu’au bout des doigts, adjectif qui sied si bien à ce disque, derrière chaque chanson semble se cacher une trouvaille, une surprise, que ce soit le Math-Rock de 'Emptymême leà plus travers sa ‘Elephant pochetteLove’ peinte par Céline Delumeau. Headed’, Grunge ou encore ‘Montgolfière’, le final plus léger et très positif de l’album. Enfant des années 90, qui aime un Rock audacieux qui ne se cache pas derrière des effets de production, ce disque va te plaire. Enfant des années 2000, biberonné aux envolées lyriquesmais d’Arcade Fire & Co, cettoujours album va faire aussi un te plaire. Bref, on demande à qui tout cela avec ne pourrait pas plaire,qui un Expérimenter c’est bien beau le résultat peut peu peur. Cesen’est nullement le cas Ropoporose bijou de musique alternative moderne.

semble avoir un instinct naturel pour rendre ses chansons passionnantes, car elles sont dans l’ensemble rythmées et plutôt Titrescette conseillés : à peu près tous !dans l’ère du faciles d’accès. Si le tout démarre en douceur sur ‘Day of May’, on dénote déjà à travers ballade Indie Rock temps des influences allant de Sonic Youth à Foals. Une entrée en matière qui nous installe confortablement dans l’ambiance avant d’enchaîner sur le plus tribal ‘Desire’ aux allures de chevauchée fantastique... et bien loin des influences que nous venons de citer! Ce côté finalement inclassable est l’une des grandes forces du duo dont les titres s’enchaînent mais ne se ressemblent pas. Après l’enjoué ‘Desire’ arrive donc le bien plus inquiétant et nerveux ‘Moïra’, un modèle de Rock habité extrêmement captivant. Voilà un adjectif qui sied si bien à ce disque, derrière chaque chanson semble se cacher une trouvaille, une surprise, que ce soit le Math-Rock de ‘Empty-Headed’, le plus Grunge ‘Elephant Love’ ou encore ‘Montgolfière’, le final plus léger et très positif de l’album.

Enfant des années 90, qui aime un Rock audacieux qui ne se cache pas derrière des effets de production, ce disque va te plaire. Enfant des années 2000, biberonné aux envolées lyriques d’Arcade Fire & Co, cet album va aussi te plaire. Bref, on se demande à qui tout cela ne pourrait pas plaire, un bijou de musique alternative moderne. Titres conseillés : à peu près tous !

légèrement noisy. 40 Slates est la ballade folk de l’album qu’on s’imagine

s Are Love, morceau qui n’apparait pas sur le vinyle,

écouter autour d’un feu en reprenant le refrain en cœur avec Pauline et

ue la chanson en supplément est Montgolfière.

Romain. Un instrumental, Montgolfière, vient conclure l’album comme un

lepeupledurock .com

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générique de fin, c’est vraiment l’impression que cela m’a donnée.

letons, clôture ce set atypique et pourtant si

Chronique et report concert Toulouse - 13/03/15

opo se remet à la batterie tandis que Roro s’empare

Vous l’aurez compris, pour un premier essai, c’est un coup de maître.

deux voix convergent vers la même ligne de chant.

Ropoporose nous propose un album varié, frais, authentique, riche en mélodie,

ur la loop donne un petit flotement de 3 secondes

riche en morceaux qui nous surprennent et nous amènent là où on ne les

, ce sont les aléas du direct, par contre le larsen qui

attend pas. Vivement le deuxième pour voir si cet essai se transforme…

u et après quelques tergiversations amusantes, on

e loop et en accord. Même si le résultat n’est pas le

Enfin, si Ropoporose n’est pas un nom facile à retenir, on a du mal à l’oublier

n a plaisir à entendre la chanson jusqu’à la fin façon

après les avoir découverts, et le PdR a d’ailleurs eu le plaisir d’aller les voir en concert dans un appartement toulousain il y a peu.Vous en trouverez cidessous le report.

format loin d’être évident, mais la fraicheur, la

u groupe, sans oublier la qualité de leurs compo, en

Dans un lieu tenu secret, en plein coeur de Toulouse, nous assistons au

ée. Je rapporte à Sylvain leur vinyle dédicacé après

concert en appart de Ropoporose, groupe français, découvert il y a peu à

et je rentre à la maison en écoutant la version itunes

l’occasion de la sortie d’Elephant Love, leur premier album. Une ambiance sympathique, détendue, presque tous adhérent de l’asso Jerkov qui fête cette année ses 10 ans. Du coup je trouve le concept sympa et j’adhère pour une

Article de Sylvain Chamu

poignée d’euros à l’asso. Nous sommes donc dans l’intimité de vrais

Report de Greg Pinaud-Plazanet

personnes, à boire quelques bières, à discuter, à reluquer le pedal train installé

Review & Report: Elephant Love de Ropoporose Publié le 13 mars 2015 par GREG PINAUD-PLAZANET

Ro pour Romain, Popo pour Pauline, Rose pour… bref, ici ce n’est pas le

sur le parquet massif. Parmi les CD rangés sur les étagères, on croise Ben Harper, Huey Lewis, Billie Holiday, Jeff Buckley, David Bowie, Green Day, Led Zep… Comme pour nous assurer que nous sommes au bon endroit ce soir. Il y a tout compte fait, pas mal de monde si bien qu’il va falloir doucement penser à se trouver une petite place dans un endroit adéquat. Maturité, gravité, Pauline et Romain n’en manquent pas à entendre leurs

déchiffrage du nom de ce duo de Vendôme qui importe, mais plutôt la sortie fin

compositions.

janvier 2015 du premier Album de Ropoporose : Elephant Love.

Tout se déroule très bien sur cette première partie d’un concert qui en

On sent bien que ces deux jeunes frère et sœur n’ont pas été élevés à la sauce

chichis. Le son n’est pas mauvais, même si l’acoustique du lieu ne privilégie

télé-crochet, mais plutôt au son du rock indé dont ils ont du être nourris dès

Review & Report: Elephant Love de Ropoporose

leurs plus jeunes âges aux Rockomotives ( ils en sont d’ailleurs les poulains aujourd’hui). A l’écoute de ce premier opus, on retrouve bien les influences dont ils se revendiquent, à savoir Sonic Youth et Arcade Fire comme dans les deux premiers morceaux Day Of May et Desire.

Publié le 13 mars 2015 par GREG PINAUD-PLAZANET Ropoporose impressionne par la maturité de ses compos et ce sans même avoir atteint la quarantaine à eux deux. Ils se sont parfaitement imprégnés de

Ro pour Romain, Popo pour Pauline, Rose pour… bref, ici ce n’est pas le

comptera deux. Le groupe déroule ses compo de façon naturelle et sans pas les voix. Day of May, Faceless Man, Holy Birds s’enchaînent assez vite. Avant un dernier morceau du premier set : gravité et urgence sur Moira. Pauline enlève sa chemise à carreaux pour arborer le t-shirt Unknown Pleasures de Joy Division, les backgrounds sont bons. Forty Slates, dernier morceau avant la pause, on échange les instrus et Romain passe à la Danelectro tandis que Pauline s’installe derrière la batterie et commence à chanter en s’accompagnant d’un petit accordéon. On fait une pause de 15-20 minutes et on revient pour un second set.

toute la scène indé de ces trente dernières années pour, en dix morceaux, nous

déchiffrage du nom de ce duo de Vendôme qui importe, mais plutôt la sortie fin

servir un album dont au découvre au fil des pistes, la fraîcheur des multiples

Tout sonne évidemment très différemment de l’album mais dans un appart qui

riffs et mélodies. Ce résultat n’est pas lié au hasard mais en partie grâce à une

n’est pas fait pour accueillir ce genre de son, on s’en sort pas mal du tout. Du

parfaite maîtrise de leur pédale Loop Station. Il faut rajouter à cela qu’ils sont

coup ça sonne plus bricolo, raw, à l’image des premiers albums du Velvet. Une

janvier 2015 du premier Album de Ropoporose : Elephant Love.

On sent bien que ces deux jeunes frère et sœur n’ont pas été élevés à la sauce tous les deux multi-instrumentistes aussi bien en studio qu’à la scène. Le chant télé-crochet, mais plutôt au son du rock indé dont ils ont du êtrepar nourris dès est parfois accompagné par la principalement assuré Pauline leurs plus jeunes âges aux Rockomotivesvoix, ( ils plus en sont les poulains grave,d’ailleurs de Romain.

aujourd’hui). A l’écoute de ce premier opus, on retrouve bien les influences

A la première écoute, on pourrait reprocher à l’album un côté catalogue, écueil dont ils se revendiquent, à savoir Sonic Youth et Arcade Fire comme dans les habituel d’un premier album qui regroupe l’ensemble des premiers morceaux

deux premiers morceaux Day Of May et Desire.

d’un groupe qui, ici les bosse depuis 2012. Mais ce sentiment disparaît au fil des écoutes et laisse place à un son, une teinte qui leur est propre et

Ropoporose impressionne par la maturité de ses compos et ce sans même identitaire.

avoir atteint la quarantaine à eux deux. Ils se sont parfaitement imprégnés de toute la scène indé de ces trente dernières années pour, en dix morceaux, Si on parle d’influences évidentes, nous j’en trouve certaines autres comme Blonde servir un album dont au découvre au fil des fraîcheur desalbums multiples Redpistes, Head lades premiers avec Moira et Consolation ; mais aussi riffs et mélodies. Ce résultat n’est pas lié auShannon hasard mais enaussi, partieavec grâce une morceau à tiroir Whu-Whu (sur les Wright le àsuperbe

parfaite maîtrise de leur pédale Loop Station. Il fautcouplets rajoutersurtout) à cela qu’ils premiers avant sont de partir dans un premier temps sur une envolée pop qu’à bien la prenante tous les deux multi-instrumentistes aussi bien en studio scène. et Le avant chant de finir par une ritournelle entêtante.

principalement

assuré

par

voix, plus grave, de Romain.

Pauline

Shannon Wright aussi avec le pachydermique Elephant Love (oui j’ai osé) avec est parfois accompagné par la un son bien gras, bien lourd. S’en suit Empty-headed, le premier single évident

du LP. Le morceau pop qui vous donne la pêche et un riff que vous gardez en tête pour la journée.

A la première écoute, on pourrait reprocher à l’album un côté catalogue, écueil habituel d’un premier album qui regroupe l’ensemble des premiers morceaux

My God qui part sur une teinte un peu folk, se transforme en morceaux pop

d’un groupe qui, ici les bosse depuis 2012. Mais ce sentiment disparaît fil légèrement noisy. 40 Slates est au la ballade folk de l’album qu’on s’imagine des écoutes et laisse place à un son, écouter une teinte quid’un leurfeu estenpropre et le refrain en cœur avec Pauline et autour reprenant identitaire.

batterie, une guitare, le minimalisme est complété par une pédale looper (Boss RC) qui joue ici un rôle important. Après l’entracte, on réattaque pour un set de six morceaux en commençant par Whu Whu. Roro, Popo, Ropoporose… Arrivent ensuite Elephant Love puis la mega hydre Empty Headed que le groupe a d’ailleurs un peu de mal à jouer correctement. Romain, très humble mais le sourire au lèvres, nous dit en fin de morceau qu’ils ont peut-être visé un peu haut avec celle-ci mais qu’importe, le format n’est pas facile, la sono est réduite à son strict minimum et après tout ils ne sont que deux dans ce living room toulousain… Vient ensuite Consolation, sans la partie cuivre. Fishies Are Love, morceau qui n’apparait pas sur le vinyle, ni sur le CD d’ailleurs puisque la chanson en supplément est Montgolfière. Un dernier morceau, Skeletons, clôture ce set atypique et pourtant si sympathique. À nouveau Popo se remet à la batterie tandis que Roro s’empare de la guitare alors que les deux voix convergent vers la même ligne de chant. Un petit soucis technique sur la loop donne un petit flotement de 3 secondes mais comme disait Drucker, ce sont les aléas du direct, par contre le larsen qui s’en suit stoppe le morceau et après quelques tergiversations amusantes, on reprend le morceau, sans le loop et en accord. Même si le résultat n’est pas le même que sur le disque, on a plaisir à entendre la chanson jusqu’à la fin façon démo-répéte.

Romain. Un instrumental, Montgolfière, vient conclure l’album comme un

Un bon concert dans un format loin d’être évident, mais la fraicheur, la

générique de fin, c’est vraiment l’impression que cela m’a donnée.

sympathie et la simplicité du groupe, sans oublier la qualité de leurs compo, en

Si on parle d’influences évidentes, j’en trouve certaines autres comme Blonde

Vous l’aurez compris, pour un aussi premier essai, c’est un coup de maître. Red Head des premiers albums avec Moira et Consolation ; mais

Ropoporose nous propose un album varié, frais, authentique, riche en mélodie,

Shannon Wright aussi, avec le superbe morceau à tiroir Whu-Whu (sur les

ont fait une excellente soirée. Je rapporte à Sylvain leur vinyle dédicacé après m’en être pris un pour moi et je rentre à la maison en écoutant la version itunes pour prolonger ce moment.

riche en morceaux qui nous surprennent et nous amènent là où on ne les

premiers couplets surtout) avant de partir dans un premier temps sur une

attend pas. Vivement le deuxième pour voir si cet essai se transforme…

envolée pop bien prenante et avant de finir par une ritournelle entêtante.

Shannon Wright aussi avec le pachydermique Elephant Love (oui j’ai osé) avec Enfin, si Ropoporose n’est pas un nom facile à retenir, on a du mal à l’oublier un son bien gras, bien lourd. S’en suit Empty-headed, le premier single après les avoir découverts, et leévident PdR a d’ailleurs eu le plaisir d’aller les voir en

du LP. Le morceau pop qui vous donne la concert pêche etdans un riff vous gardez en un que appartement toulousain il y a peu.Vous en trouverez citête pour la journée.

dessous le report.

Dans lieu tenu en secret, en plein coeur de Toulouse, nous assistons au My God qui part sur une teinte un peu folk, se un transforme morceaux pop concert en appart Ropoporose, groupe français, découvert il y a peu à légèrement noisy. 40 Slates est la ballade folk de l’albumdequ’on s’imagine

Article de Sylvain Chamu

Report de Greg Pinaud-Plazanet

unidivers .fr

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Chronique - 09/03/15

Ropoporose : Elephant Love ou l’album de la maturité juvénile Ecrit par Valentin Lalbia - Publié le 09 mar 2015

Avant d’être musicale, l’histoire de Ropoporose est fraternelle. Ce duo familial du Loir-et-Cher fait preuve d’une candeur et d’une franchise assez rare. Outre ses deux caractéristiques charmantes, leur premier album, Elephant Love fait surtout montre d’un sens aigu de la composition. Le concept de Ropoporose est simple et compliqué à la fois. Pauline s’occupe du chant, de la guitare et du clavier alors que son frère, Romain, affûte ses fûts de batterie, tout en poussant la chansonnette avec sa sœur. Pour autant, durant les concerts, les postes sont interchangeables. Ce qui apporte une touche foutraque aussi innocente que séduisante et terriblement efficace. Vous l’aurez compris, Ropoporose n’est pas l’un de ses groupes « bien rangés ». Les deux ados ne se prennent pas la tête et veulent simplement exposer leur musique à ceux qui veulent bien l’entendre. Autant vous dire qu’on est ravi de les écouter. Car, en effet, il y a dans cet album des trouvailles à la pelle. On sent l’influence directe de Sonic Youth sur le morceau Elephant Love, qui alterne entre calme et tempête, pour une production quasiment Do It Yourself. Suivant une humeur plus pop, Moïra poursuit cette veine « fait-maison » avec des mélodies assurées et puissantes. Non, Ropoporose ne fait pas dans le bruyant. Le duo s’inscrit davantage dans une vague indie-rock aux influences diverses et variées. Ce disque nous rappelle les débuts d’une certaine Cat Power : des compositions solides, une production simple, une réelle authenticité. Le groupe rend également hommage aux décharges émotionnelles des Canadiens d’Arcade Fire en incluant des orchestrations de cuivre sur Desire et 40 Slates. Malgré quelques longueurs, Elephant Love est un premier album très prometteur. Ropoporose livre un rock simple provenant du fond du cœur. On ressent toute la passion et l’envie du duo à travers les dix morceaux du disque. Ropoporose est donc à suivre du coin de l’œil, car son évolution s’annonce plus qu’appétissante. En outre, et ce n’est pas rien, cette fratrie à l’air bien plus sympathique que celle des Gallagher…

nawakposse .com

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Chronique - 08/03/15

ROPOPOROSE - Elephant Love:

Nawak Posse J’aime 2 012

Au royaume de la pop indie, les enfants de ROPOPOROSE sont rois et nous livrent un premier album tout en finesse et en émotions qui propulse au firmament une musique directement influencée par ARCADE FIRE, VAMPIRE WEEK ou encore SONIC YOUTH pour les morceaux les plus rapides (comme “ Moira “ par exemple). Le jeune âge des deux composantes de1024x768 ce duo Configuration optimale: - I.E & Mozilla. est plutôt surprenant tellement leur musique est © 2000 - Design : Nawak aboutie, pleine de maturité etNawak de Posse références. UneDesign certaine classe guide l’écoute de ces 9 titres à l’identité très forte donc, empreint d’une certaine audace et d’un certain professionnalisme assez bluffant pour un premier essai. Sur certaines chansons, la naïveté de l’enfance rejaillit et nous fait regretter le temps où tout était encore possible et où tout restait à faire. En conclusion, un groupe et surtout un album bien dans son époque malgré certains allers-retours dans les 90’s ! (Chronique réalisée par Wil)

faderpaper .com

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un titre dans la playlist printemps/hiver

Ropoporose : un titre dans la playlist printemps/hiver

Ropoporose - My God

Ropoporose – My God (Fr – janvier 2015 – Yotanka) Projet mené par deux jeunes frères et soeurs originaire de Vendôme, Ropoporose mélange pop, ballade et shoegaze. S’inspirant (parfois un peu trop) des ainés comme Blonde Redhead (à leurs début), ils ont sorti cet hiver le prometteur Elephant Love.

rockmadeinfrance .com

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chronique - 22/03/15 v

Ropoporose « Elephant love » POSTED ON 20 MARS 2015 - 07:38 BY HERVÉ IN ACTU, CHRONIQUES, NEWS WITH 0 COMMENTS

Les duos sont à la mode. Plus simple et moins cher. Mais là, c’est surtout plus talentueux et incroyablement frais. La scène vendômoise est née ! Une sœur et un frère. Ropoporose est aussi simple et complexe que cette alchimie familiale. Pauline et Romain n’ont pas encore 20 ans, mais semblent déjà maîtriser l’art de la différence. C’est-à-dire posséder l’expérience nécessaire des vieux briscards qui se sont déjà plantés plusieurs fois avant de trouver le chemin. On apprend de ses échecs, dit-on. Et bien pas sûr. Car des échecs, ils n’ont pas dû en connaître beaucoup les deux Ropoporose. Et pourtant, ils multiplient les occasions de tendre la joue gauche en s’occupant absolument de tout sur cet album : guitare, claviers, voix, écriture et arrangements. Le résultat ? Rayonnant comme une naïade printanière. Et même un peu plus subtil que cela. On peut s’y perdre dans leurs chansons pop qui aiment à emprunter des chemins de traverse pour arriver à bon port. Quelques piqûres de musique froide (Cold Wave) jouent les intraveineuses entre deux atmosphères scandinaves. On pense aux finnois de 22 Pistepirkko par exemple. Mais rien n’y fait, ils sont bien de Vendôme dans le Loir et Cher. Cette région appelée Centre où tout est à 50 kms et Paris à portée d’autoroute. Alors si l’on veut absolument trouver une scène locale qui se rapproche de leur rigodon à eux, se serait sûrement Tours et un autre duo comme les énergumènes de Pneu. Le titre éponyme « Elephant love » s’y emploie avec persuasion. Et l’ensemble de l’opus nous convainc que nous assistons au début d’une belle histoire. Hervé Devallan Ropoporose « Elephant love » (Yotanka) – 3/5

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Chronique - 18/03/15

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Yotanka/Differ Ant lundi 26 janvier 2015 Album / CD Vinyle

Tout droit venus du Loir-et-Cher cher à Michel Delpech, Ropoporose est un duo familial composé Oeuvres Concerts Interviews Sondages Forums Membres Top50 d'une sœur, Pauline, qui s'occupe du chant, de la guitare, des claviers et des percussions, ainsi que d'un frère, Romain, qui lui s'affaire à la batterie, à la guitare ainsi qu'aux chœurs. Elephant Love, leur premier effort, est un de ces albums qui suscite une certaine tendresse et une mansuétude irrépressible. On sent une générosité et une sincérité dans leur approche, une Label : quasi Yotanka/Differ Ant Sortiemusical : lundi 26 janvier 2015 volonté de développer leur univers tissé autour de Sonic Youth, d'Arcade Fire des débuts et d'un soupçon de Joy Format : Album / CD Vinyle Division. L'album, de l'aveu de Ropoporose, est "fait de bric & de broc" : ça se sent, ça participe à cette fragilité qui semble s'imposer à l'écoute d'ElephantTout Love, et surtout ça Loir-et-Cher fait partie du cher charme. droit venus du à Michel Delpech, Ropoporose est un duo familial composé Ropoporose arrive à proposerd'une des compositions qui allient mordant douceur. Leguitare, titre de des l'album l'annonce l'éléphant ainsi sœur, Pauline, qui s'occupe duetchant, de la claviers et desbien, percussions, pour le côté massif, brut, implacable et frère, l'amour pour cette grâce et cette dans Elephant leur que d'un Romain, qui lui s'affaire à lacandeur batterie,quià s'insinue la guitareirrémédiablement ainsi qu'aux chœurs. musique. L'album contient sonLove, lot deleur ballades contrebalancées pistes plus qui bruitistes, formant un disque premier effort, est unpardedes ces albums suscitel'ensemble une certaine tendresse et une varié sans être décousu – ce qui, en soit, est un irrépressible. bel exploit. Chaque piste emporte, réconforte, vous amène vers une mansuétude quasi On sent uneclaque, générosité et une sincérité et dans leur approche, un chemin rêveur, tantôt pesant, tantôt entêtant. kaléidoscope musical tant il est volontétantôt de développer leur incisif, universtantôt musical tissé autour de Sonic Ce Youth, d'Arcade Fire des force débutsleetrespect d'un soupçon de Joy maîtrisé par ceL'album, duo de gamins bricoleurs. Division. de l'aveu de Ropoporose, est "fait de bric & de broc" : ça se sent, ça participe à cette fragilité qui semble News

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s'imposer à l'écoute d'Elephant Love, et surtout ça fait partie du charme. Difficile donc de résister ce premier imaginatif éclectique. Elephant Love Le sonne la première Ropoporose arrive ààproposer desalbum compositions quietallient mordant et douceur. titrecomme de l'album l'annonceétape bien,d'une l'éléphant discographie très prometteuse pour Ropoporose. pour le côté massif, brut, implacable et l'amour pour cette grâce et cette candeur qui s'insinue irrémédiablement dans leur musique. L'album contient son lot de ballades contrebalancées par des pistes plus bruitistes, l'ensemble formant un disque varié sans être décousu – ce qui, en soit, est un bel exploit. Chaque piste claque, emporte, réconforte, et vous amène vers 16/20 un chemin Très tantôtbon rêveur, tantôt incisif, tantôt pesant, tantôt entêtant. Ce kaléidoscope musical force le respect tant il est par WillyB maîtrisé par ce duo de gamins bricoleurs. Proposez votre chronique Difficile donc de résister à ce premier album imaginatif et éclectique. Elephant Love sonne comme la première! étape d'une discographie très prometteuse pour Ropoporose.

Très bon

16/20

par WillyB

Proposez votre chronique !

Figli miei, Ropoporose Ma perché, perché Dio avrebbe scelto un fanciullo osceno come suo strumento? Così Salieri, rimembrando il giovane Amadeus. Wolgang Amadeus Mozart.

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La storia è ciclica, si sa. O almeno così si crede. Il genio invece è aciclico. Imprevedibile, irraggiungibile, irriconoscibile secondo l’istinto. Incompreso, differente, strano. Gli aggettivi spesso non presentano concreto valore definitorio. Pertanto questi geni ci sono. E sono ben presenti intorno a noi (in fondo, un po’ di qualunquismo non fa poi così male). Troppo spesso, però, questi suddetti “geni” vengono ingabbiati dal circo mediatico intorno a loro. Marionette di un processo che non gli appartiene, di una aspettativa troppo invadente. Questo ancor più se parliamo di enfant prodige.

youthunitedpress .com Chronique - 18/03/15

Figli miei, Ropoporose Ma perché, perché Dio avrebbe scelto un fanciullo osceno come suo strumento? Così Salieri, rimembrando il giovane Amadeus. Wolgang Amadeus Mozart. La storia è ciclica, si sa. O almeno così si crede. Il genio invece è aciclico. Imprevedibile, irraggiungibile, irriconoscibile secondo l’istinto. Incompreso, differente, strano. Gli aggettivi spesso non presentano concreto valore definitorio. Pertanto questi geni ci sono. E sono ben presenti intorno a noi (in fondo, un po’ di qualunquismo non fa poi così male). Troppo spesso, però, questi suddetti “geni” vengono ingabbiati dal circo mediatico intorno a loro. Marionette di un processo che non gli appartiene, di una aspettativa troppo invadente. Questo ancor più se parliamo di enfant prodige. I Ropoporose nel giardino di casa.

Figli miei, Ropoporose Ma perché, perché Dio avrebbe scelto un fanciullo osceno come suo strumento? Così Salieri, rimembrando il

Essere giovani vuol dire sete di conoscenza. Voglia di apprendere e pretendere. Fantasia giovane ed incoscienza Amadeus. Wolgang Amadeus Mozart. impreziosiscono il tutto. Osare per spingersi oltre. E poi, sognare. Sognare, sognare e… continuare a La storia è ciclica, si sa. O almeno così si crede. Il genio invece è aciclico. Imprevedibile, irraggiungibile, sognare. L’isola che non c’è, ad un certo punto, te la tolgono per forza; ma è pur sempre stata cosa irriconoscibile secondo l’istinto. Incompreso, differente, strano. Gli aggettivi spesso non presentano reale. È il “tendere a…”, quello spingersi oltre le proprie capacità, l’aggrapparsi ai nostri concreto stessi desideri, valore definitorio. Pertanto questi geni ci sono. E sono ben presenti intorno a noi (in fondo, un e qualunquismo Pauline le nostre stesse spinte emozionali, che ci fa avanzare. Forse migliorare. Romain po’ di non fa poi così male). Troppo spesso, però, questi suddetti “geni” vengono (http://www.lesinrocks.com/2014/04/25/musique/groupe-suivre-lomniscience-geniale-de-ropoporoseingabbiati dal circo mediatico intorno a loro. Marionette di un processo che non gli appartiene, di una 11500205/)sono fratello e sorella e insieme, a mala pena, raggiungono i 38 anni di età. “Ro e Po, a invadente. Questo ancor più se parliamo di enfant prodige. aspettativa troppo tavola”, ogni sera si ritrovano a cena con i genitori. Romain accenna un primo baffo sparviero da vero Ma perché, perché Dio avrebbe scelto un fanciullo osceno come suo strumento? Così Salieri, rimembrando il adulto; Pauline fuma sigarette, chatta con gli amici, ha un delizioso caschetto biondo in testa. Sono giovane Amadeus. Wolgang Amadeus Mozart. Vandeani, non hanno nulla di contro-rivoluzionario, ma insieme sprigionano energia allo stato puro. La storia è ciclica, si sa. O almeno così si crede. Il genio invece è aciclico. Imprevedibile, irraggiungibile, Hanno da poco prodotto un ottimo primo album, perla nera dell’indipendente francese. Elephant Love irriconoscibile secondo l’istinto. Incompreso, differente, strano. Gli aggettivi spesso non presentano (http://www.mowno.com/disques/ropoporose-elephant-love/). Nulla a che vedere con il duo White concreto valore definitorio. Pertanto questi geni ci sono. E sono ben presenti intorno a noi (in fondo, un Stripes, ma le carte sono tutte in regola. I suoni della chitarra di Pauline sono davvero noisy, ma po’ di qualunquismo non fa poi così male). Troppo spesso, però, questi suddetti “geni” vengono avvolgono dolcemente la voce, ancora giovane, della pulzella francese. Con empatia, Romain, la segue, ingabbiati dal circo mediatico intorno a loro. Marionette di un processo che non gli appartiene, di una batte e ribatte sui tamburi. Insieme credono in quello che fanno. La cosa ancora più interessante lo invadente. Questo ancor più se parliamo di enfant prodige. aspettativa (e troppo si vede dalle loro facce), suonano con il sorriso, divertendosi. Gli piace.

Figli miei, Ropoporose

Elephant Love (http://ropoporose.com/) dura solo 40 minuti, ed è composto da nove differenti brani, distribuiti tra strane ballate (40 Slates, Whu-Whu) e roboanti devasti sonori, l’omonima Elephant Love. I Ropoporose nel giardino di casa. Ci sono anche la meravigliosa e melanconica Day of May; ed ancora Consolation e Moira. Un primo album davvero azzeccato. Carismatico, denota una vera voglia d’identità. Giovani che sanno quel che Essere giovani vuol dire sete di conoscenza. Voglia di apprendere e pretendere. Fantasia ed incoscienza desiderano e la otterranno. Romain e Pauline hanno la testa sulle spalle. Su di loro vegliano i Sonic impreziosiscono il tutto. Osare per spingersi oltre. E poi, sognare. Sognare, sognare e… continuare a Youth, I Blonde Redhead, Moon Duo. Violenza rock, fantasia indie, concretezza 2.0. Questi, i geni sognare. L’isola che non c’è, ad un certo punto, te la tolgono per forza; ma è pur sempre stata cosa contemporanei. reale. È il “tendere a…”, quello spingersi oltre le proprie capacità, l’aggrapparsi ai nostri stessi desideri, La Francia si staemozionali, consumandoche a suon definizioni:Forse amoremigliorare. pachidermico, un caos roseo, Romain e Pauline le critica nostre instesse spinte ci fadi avanzare. tsunami sonoro devastatore. È una pop music altamente indipendente, che gioca a stordire le nostre (http://www.lesinrocks.com/2014/04/25/musique/groupe-suivre-lomniscience-geniale-de-ropoporoseI Ropoporose nel giardino di casa. stesse sensazioni.fratello Le emozioni vengono lasciate a se stesse e finalmente adagiamo sul edivano 11500205/)sono e sorella e insieme, a mala pena, raggiungono i 38 cianni di età. “Ro Po, a Ropoporose ascoltando qualche cosa di ottimo. Per di più, poi, ci rifletto su: i tavola”, ogni sera si ritrovano a cena con i genitori. Romain accenna un primo baffo sparviero da verovuol dire sete di conoscenza. Voglia di apprendere e pretendere. Fantasia ed incoscienza Essere giovani (http://ropoporose.bandcamp.com/releases) i miei figli. La fierezza viene adagiarsi adulto; Pauline fuma sigarette, chatta con potrebbero gli amici, haessere un delizioso caschetto biondo in ad testa. Sono il tutto. Osare per spingersi oltre. E poi, sognare. Sognare, sognare e… continuare a impreziosiscono sul mio sorriso. Vandeani, non hanno nulla di contro-rivoluzionario, ma insieme sprigionano energia allo statoL’isola puro. che non c’è, ad un certo punto, te la tolgono per forza; ma è pur sempre stata cosa sognare. È il “tendere Elephant Love a…”, quello spingersi oltre le proprie capacità, l’aggrapparsi ai nostri stessi desideri, Hanno da poco prodotto un ottimo primo album, perla nera dell’indipendente francese. reale. stesse spinte emozionali, che ci fa avanzare. Forse migliorare. Romain e Pauline (http://www.mowno.com/disques/ropoporose-elephant-love/). Nulla a che vedere conleil nostre duo White (http://www.lesinrocks.com/2014/04/25/musique/groupe-suivre-lomniscience-geniale-de-ropoporoseStripes, ma le carte sono tutte in regola. I suoni della chitarra di Pauline sono davvero noisy, ma 11500205/)sono avvolgono dolcemente la voce, ancora giovane, della pulzella francese. Con empatia, Romain, la segue, fratello e sorella e insieme, a mala pena, raggiungono i 38 anni di età. “Ro e Po, a I Ropoporose nel giardino di casa. tavola”, ogni batte e ribatte sui tamburi. Insieme credono in quello che fanno. La cosa ancora più interessante (e sera lo si ritrovano a cena con i genitori. Romain accenna un primo baffo sparviero da vero adulto; Pauline fuma sigarette, chatta con gli amici, ha un delizioso caschetto biondo in testa. Sono si vede dalle loro facce), suonano con il sorriso, divertendosi. Gli piace. Essere giovani vuol dire sete di conoscenza. Voglia di apprendere e pretendere. Fantasia ed incoscienza

Vandeani, non hanno nulla di contro-rivoluzionario, ma insieme sprigionano energia allo stato puro. impreziosiscono il tutto. Osare per spingersi oltre. E poi, sognare. Sognare, sognare e… continuare a Hanno da poco prodotto un ottimo primo album, perla nera dell’indipendente francese. Elephant Love sognare. L’isola per forza; ma è pur sempre stata cosa Elephant Love (http://ropoporose.com/) dura solo 40 minuti, ed è composto da nove differenti brani, che non c’è, ad un certo punto, te la tolgono Nulla (http://www.mowno.com/disques/ropoporose-elephant-love/). a che vedere con il duo White È il “tendere a…”, quello spingersi oltre le proprie capacità, l’aggrapparsi ai nostri stessi desideri, distribuiti tra strane ballate (40 Slates, Whu-Whu) e roboanti devasti sonori, l’omonima reale. Elephant Stripes, maLove. le carte sono tutte in regola. I suoni della chitarra di Pauline sono davvero noisy, ma le nostre stesse spinte emozionali, che ci fa avanzare. Forse migliorare. Romain e Pauline avvolgono dolcemente la voce, ancora giovane, della pulzella francese. Con empatia, Romain, la segue, Ci sono anche la meravigliosa e melanconica Day of May; ed ancora Consolation e Moira. Un primo (http://www.lesinrocks.com/2014/04/25/musique/groupe-suivre-lomniscience-geniale-de-ropoporosebatte equel ribatte album davvero azzeccato. Carismatico, denota una vera voglia d’identità. Giovani che sanno chesui tamburi. Insieme credono in quello che fanno. La cosa ancora più interessante (e lo 11500205/)sono fratello e sorella e insieme, a mala pena, raggiungono i 38 anni di età. “Ro e Po, a si vede dalle loro facce), suonano con il sorriso, divertendosi. Gli piace. desiderano e la otterranno. Romain e Pauline hanno la testa sulle spalle. Su di loro vegliano i Sonic tavola”, ogni sera si ritrovano a cena con i genitori. Romain accenna un primo baffo sparviero da vero Youth, I Blonde Redhead, Moon Duo. Violenza rock, fantasia indie, concretezza 2.0. Questi, i geni adulto; Pauline fuma sigarette, chatta con gli amici, ha un delizioso caschetto biondo in testa. Sono contemporanei. Elephant dura solo 40 ma minuti, ed èsprigionano composto da nove differenti Vandeani,Love non (http://ropoporose.com/) hanno nulla di contro-rivoluzionario, insieme energia allo stato brani, puro. distribuiti tra strane ballate Slates, Whu-Whu) e roboanti devasti sonori, l’omonima Elephant Love. Love Hanno poco prodotto un (40 ottimo primo album, perla nera dell’indipendente francese. Elephant La critica in Francia si sta consumando a suon di definizioni: amore pachidermico, un caosdaroseo, Ci sono ancoraa Consolation Moira. Un primo (http://www.mowno.com/disques/ropoporose-elephant-love/). che vedere econ il duo White tsunami sonoro devastatore. È una pop music altamente indipendente, che gioca a stordire le anche nostrela meravigliosa e melanconica Day of May; edNulla album davvero azzeccato. denota una vera d’identità. Giovani sannonoisy, quel che Stripes, le carte sono Carismatico, tutte in regola. I suoni dellavoglia chitarra di Pauline sonoche davvero ma stesse sensazioni. Le emozioni vengono lasciate a se stesse e finalmente ci adagiamo sul ma divano desiderano dolcemente e la otterranno. Romain e Pauline la testa francese. sulle spalle. di loroRomain, veglianolaisegue, Sonic la voce, ancora giovane,hanno della pulzella Con Su empatia, Ropoporose ascoltando qualche cosa di ottimo. Per di più, poi, ci rifletto su: iavvolgono Youth, Iribatte BlondesuiRedhead, Violenza rock, che fantasia concretezza Questi, i (e geni batte tamburi. Moon InsiemeDuo. credono in quello fanno.indie, La cosa ancora più2.0. interessante lo (http://ropoporose.bandcamp.com/releases) potrebbero essere i miei figli. La fierezza viene ad eadagiarsi contemporanei. si vede dalle loro facce), suonano con il sorriso, divertendosi. Gli piace. sul mio sorriso. La critica in Francia si sta consumando a suon di definizioni: amore pachidermico, un caos roseo, tsunami sonoro devastatore. È una pop music altamente indipendente, che gioca a stordire le nostre Elephant Love (http://ropoporose.com/) dura solo 40 minuti, ed è composto da nove differenti brani, stesse sensazioni. Le emozioni vengono lasciate a se stesse e finalmente ci adagiamo sul divano distribuiti tra strane ballate (40 Slates, Whu-Whu) e roboanti devasti sonori, l’omonima Elephant Love. ascoltando qualche cosa di ottimo. Per di più, poi, ci rifletto su: i Ropoporose

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Derrière ce nom un peu étrange, Ropoporose, se cachent un frère, Romain, et une sœur, Pauline. A eux deux – c’est la blague – ils n’ont pas encore 40 ans, mais ils ont déjà un album, Elephant Love, et une bonne dose concerts à leur actif. Le Transistor, amoureux de ce premier essai et de leur performance à Petit Bain, a profité d’un passage au Printemps de Bourges pour discuter un peu de leurs projets, de leurs collaborations, et de leurs idoles…

letransistor.com

interview - 28/05/15

Ropoporose

Entretien avec Ropoporose Publié le 28 May 2015 Rédacteur : Agnès Bayou

Derrière ce nom un peu étrange, Ropoporose, se cachent un frère, Romain, et une sœur, Pauline. A eux deux – c’est la blague – ils n’ont pas encore 40 ans, mais ils ont déjà un album, Elephant Love, et une bonne dose concerts à leur actif. Le Transistor, amoureux de ce premier essai et de leur performance à Petit Bain, a profité d’un passage au Printemps de Bourges pour discuter un peu de leurs projets, de leurs collaborations, et de leurs idoles…

Ropoporose Pour Ropoporose, tout a commencé quand les frangins ont tenté de faire une reprise de Girls. Attention, question références, Romain est limite susceptible ! « Je t’en veux pas de pas aimer ce que fait Christopher Owens, je pourrais… mais je suis dans un bon jour. C’est hyper cucul la praline ce qu’il fait maintenant mais c’est génial. » (rires)

Entretien avec Ropoporose Publié le 28 May 2015 Rédacteur : Agnès Bayou

Derrière ce nom un peu étrange, Ropoporose, se cachent un frère, Romain, et une sœur, Pauline. A eux deux – c’est la blague – ils n’ont pas encore 40 ans, mais ils ont déjà un album, Elephant Love, et une bonne dose concerts à leur actif. Le Transistor, amoureux de ce premier essai et de leur performance à Petit Bain, a profité d’un passage au Printemps de Bourges pour discuter un peu de leurs projets, de leurs collaborations, et de leurs idoles…

Ropoporose Pour Ropoporose, tout a commencé quand les frangins ont tenté de faire une reprise de Girls. Attention, question références, Romain est limite susceptible ! « Je t’en veux pas de pas aimer ce que fait Christopher Owens, je pourrais… mais je suis dans un bon jour. C’est hyper cucul la praline ce qu’il fait maintenant mais c’est génial. » (rires) Pour beaucoup, la surprise, c’est qu’un frère et une sœur ne s’étripent pas en groupe. « On s’est toujours bien entendu, même si on a des caractères différents, mais créativement on a les mêmes aspirations et la même manière d’interpréter les choses je pense. Peut-être que c’est quelque chose qui disparaitra à un moment donné mais la question se pose pas trop en fait. Quelque part, on se dit qu’on a de la chance. Pauline : A force d’avoir des remarques à ce sujet, on se dit qu’heureusement qu’il y a pas trop de groupes de frères et sœurs parce qu’apparemment il y aurait des fratricides tout le temps! Romain : Je dis pas qu’il est pas arrivé que des baguettes volent un petit peu dans la pièce de répétition… Mais bon c’est pas vraiment dangereux ! Pauline : Enfin ça dépend de la vitesse, et puis de la baguette aussi ! Si elle est un peu cassée… » (rires) Leur premier album, Elephant Love, ils l’ont enregistré avec Lionel Laquerrière – un collaborateur de Yann Tiersen – à l’été 2013. « On voulait faire une photographie parce qu’au bout d’un an on avait déjà fait pas mal de concerts avec des belles rencontres. Pour nous, c’était pas la peine d’attendre parce qu’on avait déjà dix chansons. Et puis on avait peur de les oublier ou de plus vouloir les faire puisque de fait on aurait évolué. Donc on a bossé ces chansons pour en donner le meilleur et pouvoir passer à autre chose. Pauline : Par contre ce qu’on avait pas anticipé, c’est ce temps de latence jusqu’à la sortie de l’album. Donc là on joue des morceaux qui ont pour certains deux ans et demi. Le travail a été, une fois qu’on l’a réalisé, de pas les laisser vieillir, de les garder fraiches en les re-arrangeant un peu. Romain : Et de pas trop se monter la tête sur de nouveaux morceaux par exemple. Mais au final, on est assez sains d’esprit par rapport à tout ça. »

Pour Ropoporose, beaucoup, la tout surprise, c’est qu’un frère une sœur s’étripent enreprise groupe.de« Girls. On s’est Pour a commencé quand leset frangins ontne tenté de fairepas une toujours bien entendu, même si on a des caractères mais on adeles mêmes Attention, question références, Romain est limitedifférents, susceptible ! « créativement Je t’en veux pas pas aimer ce que aspirations et la même manière d’interpréter lessuis choses pense. Peut-être c’est quelque chosecequi fait Christopher Owens, je pourrais… mais je dansjeun bon jour. C’estque hyper cucul la praline qu’il disparaitra à unmais moment la question se pose pas trop en fait. Quelque part, on se dit qu’on a de fait maintenant c’estdonné génial.mais » (rires) la chance. Pauline : A force d’avoir des remarques à ce sujet, on se dit qu’heureusement qu’il y a pas trop de groupes de frères et sœurs parce qu’apparemment il y aurait des fratricides tout le temps! Romain : Je dis pas qu’il est pas arrivé que des baguettes volent un petit peu dans la pièce de répétition… Mais bon c’est pas vraiment dangereux ! Pauline : Enfin ça dépend de la vitesse, et puis de la baguette aussi ! Si elle est un peu cassée… » (rires) Leur premier album, Elephant Love, ils l’ont enregistré avec Lionel Laquerrière – un collaborateur de Yann Tiersen – à l’été 2013. « On voulait faire une photographie parce qu’au bout d’un an on avait déjà fait pas mal de concerts avec des belles rencontres. Pour nous, c’était pas la peine d’attendre parce qu’on avait déjà dix chansons. Et puis on avait peur de les oublier ou de plus vouloir les faire puisque de fait on aurait évolué. Donc on a bossé ces chansons pour en donner le meilleur et pouvoir passer à autre chose. Pauline : Par contre ce qu’on avait pas anticipé, c’est ce temps de latence jusqu’à la sortie de l’album. Donc là on joue des morceaux qui ont pour certains deux ans et demi. Le travail a été, une fois qu’on l’a réalisé, de pas les laisser vieillir, de les garder fraiches en les re-arrangeant un peu. Romain : Et de pas trop se monter la tête sur de nouveaux morceaux par exemple. Mais au final, on est assez sains d’esprit par rapport à tout ça. » Cependant, Ropoporose travaille déjà sur un nouvel EP, avec Funken. « Les nouveaux morceaux n’auront pas forcément la même identité : on a envie de partir vers des choses peut-être un peu plus noise. Pauline : Les paroles aussi ont évolué, parce que c’est en fonction de mon niveau d’anglais, donc là je commence à dire des trucs. (rires) Romain : Bon, on reste assez influençables aussi ! C’est cool pour nous de pouvoir enregistrer avec des gens comme Funken, Piano-Chat ou Pneu, des artistes qu’on écoutait avant de les rencontrer. Et du coup, on aime bien faire un peu caméléon… Donc là on va sortir des chansons qui seront un peu plus rigolotes, alors qu’on a des intentions qui peuvent peunedark sur d’autres compos. Pour beaucoup, la surprise, c’est qu’un frère et être une un sœur s’étripent pas en groupe. « On s’est Pauline bien : Ca entendu, dépend cemême qu’onsienvisage, et de ceux différents, avec qui onmais travaille. Mais je on trouve c’est une toujours on a des caractères créativement a lesque mêmes qualité sympa, pouvoir faire d’interpréter un peu de tout. aspirations et lade même manière les »choses je pense. Peut-être que c’est quelque chose qui disparaitra à un moment donné mais la question se pose pas trop en fait. Quelque part, on se dit qu’on a de Auchance. fur et à mesure des tournées et des rencontres, le son de Ropoporose évolue. la Romain::ADes fois, ça faitdes queremarques c’est pas très les groupes qu’on préfère n’ont jamais Pauline force d’avoir à cehomogène. sujet, on seMais dit qu’heureusement qu’il y a pas trop de eu les mêmes d’un parce albumqu’apparemment à l’autre. Commeil Yo La Tengo par exemple, outemps! Blonde Redhead… ou groupes de intentions frères et sœurs y aurait des fratricides tout le Pulp ! : Je dis pas qu’il est pas arrivé que des baguettes volent un petit peu dans la pièce de répétition… Romain Pauline Arrête avec Pulp !dangereux Il a découvert Mais bon: c’est pas vraiment ! ce groupe y a une semaine, depuis il écoute que ça ! Romain::Enfin Il est ça super drôle,deJarvis Cocker ! Après comprends l’anglais, moi c’est»ses Pauline dépend la vitesse, et puis de lajebaguette aussirien ! Siàelle est un mais peu cassée… (rires) mimiques qui me font rire ! Leur premier album, Elephant Love, avec Lionel Laquerrière unforcément collaborateur Pauline : Je pense qu’on écoute pas malilsdel’ont trucenregistré mais que ces influences se retrouvent–pas dans de Yann Tiersen à l’été 2013. années « On voulait une photographie parcede qu’au bout d’un an onpar avait notre musique. Et –d’ici quelques -si on faire est encore là-, on fera plein choses différentes, déjà faitàpas mal deaura concerts des belles rencontres. Pour nous, c’était la peine d’attendre rapport ce qu’on glanéavec en cours de route. Mais malgré tout, on gardepas quand même une ligneparce qu’on avaitdans déjànos dixtêtes. chansons. Et puis on avait peur de les oublier ou de plus vouloir les faire puisque de éditoriale » (rires) fait on aurait évolué. Donc on a bossé ces chansons pour en donner le meilleur et pouvoir passer à autre Comme Ropoporose ne sont que deux, les méthodes de composition sont semées d’embûches. « C’est chose. assez anarchique, parce qu’onavait crée pas comme une bibliothèque de de sons, de mélodies ousortie d’arrangement. Pauline : Par contre ce qu’on anticipé, c’est ce temps latence jusqu’à la de l’album. Aprèslàsix réécoutequi et on ont pas tropans vieilli. DesLe fois, on a ajuste sympa. Donc onmois, joue on desles morceaux ontvoit pours’ils certains deux et demi. travail été, 20 unesecondes fois qu’on l’a Du coupdec’est un peu le bordel. réalisé, pas les laisser vieillir, de les garder fraiches en les re-arrangeant un peu. Pauline : C’est parce qu’on compose sur le principe de la pédale Loop Station, ce qui fait qu’on Romain Et de pas trop se monter la tête sur de nouveaux morceaux par exemple. Mais au final, on est enregistre fur et àpar mesure. coup, assez sainsau d’esprit rapportDu à tout ça.il »y a plein de morceaux qu’on a jamais pu faire alors qu’on avait l’idée en tête. Cependant, Ropoporose déjàconstruit sur un nouvel EP, avec Les nouveaux Romain : Après l’histoire,travaille c’est qu’on les morceaux pourFunken. pouvoir«les jouer en live.morceaux Enfin c’est n’auront pas forcément la même identité : on a envie de partir vers des choses peut-être un peu plus noise. une intention qui pourrait changer aussi peut-être… Pauline : Les paroles aussi ont évolué, parce que c’est en fonction de mon niveau d’anglais, donc là je Non ! commence à dire des Romain : Ouais, non.trucs. Mais(rires) du coup, les structures de morceaux sont similaires, parce qu’on peut que Romain : Bon, reste assezuninfluençables aussi ! C’estjamais. cool pour nous deune pouvoir enregistrer avec desil faire rentrer les on instruments à un, puisqu’on sample Donc c’est contrainte avec laquelle gens comme Funken, ou Pneu, des artistes qu’on écoutait avant de les rencontrer. Et du faut composer aussi…Piano-Chat Mais on résiste ! coup, on :aime bien fairegarde un peu Donc là trouve on va sortir chansons qui:seront peu plusun Pauline Il faut qu’on ce caméléon… principe, même si je qu’il des marche pas trop il nousuncloisonne rigolotes, alorsj’aime qu’on bien a desessayer intentions peuventc’est être un peuune dark sur d’autres compos. peu mais moi de lequi dépasser, aussi manière d’avancer. » Pauline : Ca dépend ce qu’on envisage, et de ceux avec qui on travaille. Mais je trouve que c’est une qualité sympa, de pouvoir faire un peucréativité, de tout. » les frangins restent ouverts quant à l’avenir de Si ces contraintes développent leur Ropoporose. « Le jour où ça stagnera, on partira de fait vers d’autres horizons je pense. Pauline n’empêche entre temps d’autres choses. L’an prochain je serai à Tours et je Au fur et: àRien mesure des tournées et desd’essayer rencontres, le son de Ropoporose évolue. pense que je vais assez plaisir jouer avec plein de gens. Parce que mine de rien j’aijamais toujours Romain : Des fois,meçafaire fait que c’est pas àtrès homogène. Mais les groupes qu’on préfère n’ont eu joué qu’avec Romain ! Et je pense que ça me manque de pouvoir jouer avec des sans Redhead… avoir besoinou les mêmes intentions d’un album à l’autre. Comme Yo La Tengo par exemple, ougens Blonde forcément d’enregistrer tout, ça permet d’être vachement plus libre. Mais c’est cool, j’aime bien aussi Pulp ! Ropoporose, t’inquiète. Pauline : Arrête avec Pulp ! Il a découvert ce groupe y a une semaine, depuis il écoute que ça ! Romain :: IlPeut-être aussi Ropoporose avec d’autres dedansmais maismoi ça c’est me paraitrait Romain est superqu’on drôle,envisagera Jarvis Cocker ! Après je comprends rien àgens l’anglais, ses zarbi. mimiques qui me font rire ! Pauline : Non, j’aime pas trop. Pauline : Je pense qu’on écoute pas mal de truc mais que ces influences se retrouvent pas forcément dans Romain : Oui, Et faudrait envisagerannées autre chose ce cas-là… notre musique. d’ici quelques -si on dans est encore là-, on fera plein de choses différentes, par Car dans semaines, passer sonmalgré bac L,tout, donconl’année elle entrera à la ligne fac à Tours. rapport à cequelques qu’on aura glané enPauline cours devaroute. Mais garde quand même une Pauline : dans Oui, nos c’esttêtes. l’année de l’album donc on tourne un peu, mais ça va je serai là pour le bac. Ca va le éditoriale » (rires) faire. RomainRopoporose : Ca va, on fait 300les dates par an !de Popo rate un peusont dessemées cours end’embûches. fin de semaine, Comme ne pas sontnon queplus deux, méthodes composition « C’est mais il y a plus deparce coursqu’on que decrée concerts encore. On est sur une balance négative pour l’instant. assez anarchique, comme une bibliothèque de sons, de mélodies ou d’arrangement. Pauline Je révise dans le van, et yaon pasvoit le choix. Après six: mois, on les réécoute s’ils ont pas trop vieilli. Des fois, on a juste 20 secondes sympa. Du coup c’est un peu le bordel. Pauline : C’est parce qu’on compose sur le principe de la pédale Loop Station, ce qui fait qu’on enregistre au fur et à mesure. Du coup, il y a plein de morceaux qu’on a jamais pu faire alors qu’on avait l’idée en tête. Romain : Après l’histoire, c’est qu’on construit les morceaux pour pouvoir les jouer en live. Enfin c’est une intention qui pourrait changer aussi peut-être… Pauline : Non ! Romain : Ouais, non. Mais du coup, les structures de morceaux sont similaires, parce qu’on peut que faire rentrer les instruments un à un, puisqu’on sample jamais. Donc c’est une contrainte avec laquelle il faut composer aussi… Mais on résiste ! Pauline : Il faut qu’on garde ce principe, même si je trouve qu’il marche pas trop : il nous cloisonne un peu mais moi j’aime bien essayer de le dépasser, c’est aussi une manière d’avancer. »

Entretien avec Ropoporose

Cependant, Ropoporose travaille déjà sur un nouvel EP, avec Funken. « Les nouveaux morceaux n’auront pas forcément la même identité : on a envie de partir vers des choses peut-être un peu plus noise. Pour beaucoup, la surprise, qu’un frère une en sœur ne s’étripent pas en d’anglais, groupe. «donc On s’est Pauline : Les paroles aussi ontc’est évolué, parce queetc’est fonction de mon niveau là je toujours bien entendu, même si on a des caractères différents, mais créativement on a les mêmes commence à dire des trucs. (rires) aspirations et la même manière d’interpréter les choses je pense. Peut-être que c’est quelque chose Romain : Bon, on reste assez influençables aussi ! C’est cool pour nous de pouvoir enregistrer avecqui des disparaitra à un moment donné maisoulaPneu, question pose pas tropécoutait en fait.avant Quelque part, on se dit qu’on gens comme Funken, Piano-Chat desse artistes qu’on de les rencontrer. Et du a de la chance. coup, on aime bien faire un peu caméléon… Donc là on va sortir des chansons qui seront un peu plus Pauline A force d’avoir remarques ce sujet,être on se y a pas trop de rigolotes,: alors qu’on a desdes intentions quiàpeuvent undit peuqu’heureusement dark sur d’autresqu’il compos. groupes frères et sœurs parce qu’apparemment y aurait destravaille. fratricides toutjeletrouve temps!que c’est une Pauline de : Ca dépend ce qu’on envisage, et de ceuxilavec qui on Mais Romain : Je dis pas qu’il est pas arrivé que des baguettes volent un petit peu dans la pièce de répétition… qualité sympa, de pouvoir faire un peu de tout. » Mais bon c’est pas vraiment dangereux ! Pauline : Enfin ça dépend de la vitesse, et puis de la baguette aussi ! Si elle est un peu cassée… » (rires) Au fur et à mesure des tournées et des rencontres, le son de Ropoporose évolue. Romain : Des fois, ça fait que c’est pasils trèsl’ont homogène. Mais les Lionel groupesLaquerrière qu’on préfère– n’ont jamais eu Leur premier album, Elephant Love, enregistré avec un collaborateur les mêmesTiersen intentions Comme Tengo par parce exemple, ou bout Blonde de Yann – àd’un l’étéalbum 2013. «à l’autre. On voulait faire Yo uneLa photographie qu’au d’unRedhead… an on avaitou Pulp ! déjà fait pas mal de concerts avec des belles rencontres. Pour nous, c’était pas la peine d’attendre parce Pauline : Arrête avecchansons. Pulp ! Il Et a découvert ce groupe a une semaine, il écoute çapuisque ! qu’on avait déjà dix puis on avait peur dey les oublier ou dedepuis plus vouloir lesque faire de Romain : Il est super Donc drôle,on Jarvis Cocker ! Après je comprends rien à l’anglais, mais moipasser c’est àses fait on aurait évolué. a bossé ces chansons pour en donner le meilleur et pouvoir autre mimiques qui me font rire ! chose. Pauline qu’on écoute paspas malanticipé, de truc mais ces influences retrouvent pas forcément dans Pauline :: Je Parpense contre ce qu’on avait c’est que ce temps de latencesejusqu’à la sortie de l’album. notre d’ici quelques années -si on est encore fera plein de choses par l’a Donc musique. là on joueEtdes morceaux qui ont pour certains deux là-, ans on et demi. Le travail a été,différentes, une fois qu’on rapport qu’on aura glané en cours route.fraiches Mais malgré on garde un quand réalisé, àdecepas les laisser vieillir, de lesde garder en les tout, re-arrangeant peu.même une ligne éditoriale » (rires) Romain : dans Et denos pastêtes. trop se monter la tête sur de nouveaux morceaux par exemple. Mais au final, on est

Publié le 28 May 2015 Rédacteur : Agnès Bayou

Derrière ce nom un peu étrange, Ropoporose, se cachent un frère, Romain, et une sœur, Pauline. A eux deux – c’est la blague – ils n’ont pas encore 40 ans, mais ils ont déjà un album, Elephant Love, et une bonne dose concerts à leur actif. Le Transistor, amoureux de ce premier essai et de leur performance à Petit Bain, a profité d’un passage au Printemps de Bourges pour discuter un peu de leurs projets, de leurs collaborations, et de leurs idoles…

assez sains d’esprit par rapport à tout ça. » Comme Ropoporose ne sont que deux, les méthodes de composition sont semées d’embûches. « C’est assez anarchique, parce qu’on crée comme une sons, de mélodies ou d’arrangement. Cependant, Ropoporose travaille déjà sur unbibliothèque nouvel EP, de avec Funken. « Les nouveaux morceaux Après sixpas mois, on les réécoute on voit:s’ils pasde trop vieilli. on peut-être a juste 20un secondes n’auront forcément la mêmeetidentité on aont envie partir versDes des fois, choses peu plussympa. noise. Du coup c’est un peu le bordel. Pauline : Les paroles aussi ont évolué, parce que c’est en fonction de mon niveau d’anglais, donc là je Pauline : C’est parce qu’on (rires) compose sur le principe de la pédale Loop Station, ce qui fait qu’on commence à dire des trucs. enregistre furon et reste à mesure. coup, il y aaussi plein!de morceaux qu’on a jamais pu faire alors qu’on Romain : au Bon, assezDu influençables C’est cool pour nous de pouvoir enregistrer avecavait des l’idée en tête.Funken, Piano-Chat ou Pneu, des artistes qu’on écoutait avant de les rencontrer. Et du gens comme Romain : Après l’histoire, c’est qu’on construit les morceaux pour pouvoir les jouer en live. Enfin c’est coup, on aime bien faire un peu caméléon… Donc là on va sortir des chansons qui seront un peu plus une intention qui pourrait aussi rigolotes, alors qu’on a deschanger intentions quipeut-être… peuvent être un peu dark sur d’autres compos. Pauline ! Pauline :: Non Ca dépend ce qu’on envisage, et de ceux avec qui on travaille. Mais je trouve que c’est une Romain : Ouais, non. Mais du coup, les qualité sympa, de pouvoir faire un peu destructures tout. » de morceaux sont similaires, parce qu’on peut que faire rentrer les instruments un à un, puisqu’on sample jamais. Donc c’est une contrainte avec laquelle il faut composer aussi… Mais on résiste ! Au fur et à mesure des tournées et des rencontres, le son de Ropoporose évolue. Pauline : Il faut qu’on garde ce principe, même si je trouve qu’il marche pas trop : il nous cloisonne un Romain : Des fois, ça fait que c’est pas très homogène. Mais les groupes qu’on préfère n’ont jamais eu

Ropoporose

Si ces contraintes développent leur créativité, les frangins restent ouverts quant à l’avenir de Ropoporose. « Le jour où ça stagnera, on partira de fait vers d’autres horizons je pense. Pauline : Rien n’empêche entre temps d’essayer d’autres choses. L’an prochain je serai à Tours et je pense que je vais me faire assez plaisir à jouer avec plein de gens. Parce que mine de rien j’ai toujours joué qu’avec Romain ! Et je pense que ça me manque de pouvoir jouer avec des gens sans avoir besoin forcément d’enregistrer tout, ça permet d’être vachement plus libre. Mais c’est cool, j’aime bien aussi Ropoporose, t’inquiète. Romain : Peut-être qu’on envisagera aussi Ropoporose avec d’autres gens dedans mais ça me paraitrait zarbi. Pauline : Non, j’aime pas trop. Romain : Oui, faudrait envisager autre chose dans ce cas-là… Car dans quelques semaines, Pauline va passer son bac L, donc l’année elle entrera à la fac à Tours. Pauline : Oui, c’est l’année de l’album donc on tourne un peu, mais ça va je serai là pour le bac. Ca va le faire. Romain : Ca va, on fait pas non plus 300 dates par an ! Popo rate un peu des cours en fin de semaine,

Pour Ropoporose, tout a commencé quand les frangins ont tenté de faire une reprise de Girls. Attention, question références, Romain est limite susceptible ! « Je t’en veux pas de pas aimer ce que fait Christopher Owens, je pourrais… mais je suis dans un bon jour. C’est hyper cucul la praline ce qu’il fait maintenant mais c’est génial. » (rires)

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Chronique - 14/05/15

Ropoporose, jeunes musiciens sans filet Des minots multi-instrumentiste, des enfants précoces, des génies de la musique, des voltigeurs ou des copieurs, qui sont vraiment Ropoporose ?

Qui se rappelle ici, de ce qu’il faisait lorsqu’il avait 18 ans ? Moi je ratais mon bac par exemple, mais ce n’est pas le sujet. Le très jeune duo fraternel Ropoporose semble loin de ces préoccupations tellement leur musique est empreinte de maturité artistique, et de valeur, qui, visiblement, n’attendent pas le nombre d’année. Malgré la voix non assurée de Pauline et parfois à la limite de la justesse je suis bluffé par ces gamins. Et puis cette voix d’enfant enrobe parfaitement les cœurs graves du grand frère, Romain. Ropoporose maitrise toutes les règles dont ils s’affranchissent et s’amusent : cassure, changement de rythme et j’en passe jouant avec nos émotions tel un voltigeur sans filet. Voilà d’ailleurs, si je devais résumer le style de ce duo de multi-instrumentiste, je dirais qu’ils font de la musique sans filet, de la musique acrobatique à tendance grand écarts, sautillant de notes en notes, notes auxquelles nous restons suspendus attendant le faux pas qui ne vient … pas. D’ailleurs leur premier album « ELEPHANT LOVE » est une pochette surprise dont nous découvrons, ébahi chaque morceau, chaque temps, chaque mots, chaque notes, toujours avec la même satisfaction. S’inspirant de groupe tel qu’Arcade fire, ou encore de Pneu ou Piano Chat. Les longues parties instrumentales ne sont pas sans me rappeler également certain morceaux tout aussi exceptionnels de Seven Miles Journey, capable de vous embarquer dans des riffs endiablé de plus d’1/4h sans aucun mot. Car voilà bien là, la force des Vendômois (en tout cas de ces deux-là), même si les parties instrumentales sont moins longues que celles du groupe suédois, celle d’avoir cette capacité à nous saisir fortement d’une main et à nous caresser de l’autre, aussi bien par la voix douce de Pauline, que par des mélodies transpirant la générosité. Vous l’aurez compris, Ropoporose est un projet OVNI, co-produit et soutenu par le label Yotanka qui une nouvelle fois nous sort une perle.

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PAR D EN IS (H TTP://W W W . SUN B URN SO UT. CO M/AUTH O R/D EN I S/) / 9 AVRIL 2 01 5

Chronique - 09/04/15

ROPOPOROSE / ELEPHANT LOVE [YOTANKA / DIFFERANT]

PAR D EN IS (H TTP://W W W . SUN B URN SO UT. CO M/AUTH O R/D EN I S/) / 9 AVRIL 2 01 5

ROPOPOROSE / ELEPHANT LOVE [YOTANKA / DIFFERP A R D E N I S ( H T T P : / / W W W . S U N B U R N S O U T . C O M / A U TANT] HO R/D EN I S/) /

9 AVRIL 2 01 5

ROPOPOROSE / ELEPHANT LOVE [YOTANKA / DIFFERANT] La rumeur enflait depuis quelques temps et citait régulièrement Sonic Youth à leur égard. Et il est vrai que sur la foi de Moïra ou Empty Head, il est bien difficile de ne pas évoquer le

groupe culte new-yorkais, tant la façon de poser la voix de Pauline puis de haranguer sur un carambolage mélodique tout en tension portent les caractéristiques de leur mentors. C’est qu’il est dur de se défaire des héros avec qui on a appris ses gammes.

Mais Ropoporose apprend vite, très vite. A tel point qu’on oublierait que le frère et la sœur n’affichent pas vingt ans. On les soupçonne d’avoir souvent séché les cours pour afficher une telle maîtrise, car il doit y avoir beaucoup de travail et une La rumeur enflait épatante complicité pour parvenir à un tel disque dès le coup d’essai. Plutôt

depuis quelques temps et citait régulièrement Sonic Youth à leur égard. Et il est vrai fortiches en anglais (pour unque groupe comme en géométrie sur la foidu de Loir-Et-Cher) Moïra ou Empty Head , il est bien difficile de ne dans pas évoquer le new-yorkais, tant façon deet poser voix de Pauline l’espace, les deux surdouésgroupe ont culte suffisamment de latalents de lalucidité pour puis de haranguer sur un carambolage mélodique tout en tension portent les

s’affranchir des figures tutélaires qu’ils ne pourront jamais surpasser. caractéristiques de leur mentors. C’est qu’il est dur de se défaire des héros avec qui on a appris ses gammes.

Ropoporose esquisse ainsi un pas de côté pour mieux s’ébrouer dans une noisyMais Ropoporose apprend vite, très vite. A tel point qu’on oublierait que le frère pop enlevée et tendue, quietn’est pas sans rappeler de vieux groupes de chez la sœur n’affichent pas vingt ans. On les soupçonne d’avoir souvent séché les Sumberland (The The Ropers, Black Tambourine Tambourine) et de leurs cousins britanniques cours pour afficher une telle maîtrise, car il doit y avoir beaucoup de travail et une épatante complicitéetpour à un disquesucré-salé dès le coup d’essai. : des coups de butoirs façon Boyracer unparvenir jeu sur detelvoix à la Plutôt fortiches en anglais (pour un groupe du Loir-Et-Cher) comme en géométrie dans Heavenly Heavenly. L’architecture l’espace, des compositions s’appuyant sur des boucles les deux surdoués ont suffisamment de talents et de lucidité pour rythmiques pour mieux laisser ladesbatterie de Romain prendre poudre s’affranchir figures tutélaires qu’ils ne pourront jamaisla surpasser. d’escampette, on pense de temps à autre Yo La Tengo ou bien d’autres artistes Ropoporose esquisse ainsi un pas de côté pour mieux s’ébrouer dans une noisyqui considèrent la répétitionpop comme qualité. enlevéeune et tendue, qui n’est pas sans rappeler de vieux groupes de chez Sumberland (The The Ropers, Black Tambourine Tambourine) et de leurs cousins britanniques

des coups de butoirs façon Boyracer et un jeu sur de voix sucré-salé à la Elephant Love est donc issu: d’une bien longue lignée (et il faut toute proportion Heavenly Heavenly. L’architecture des compositions s’appuyant sur des boucles gardée), mais malgré son drôle de sobriquet quilaisser rendait l’affairedea Romain priori pas tropla poudre rythmiques pour mieux la batterie prendre d’escampette, penserejeton de temps avec à autrece Yopremier La Tengo album ou bien d’autres crédible, Ropoporose s’en montre un on digne aussi artistes bluffant que réjouissant. qui considèrent la répétition comme une qualité.

Elephant Love est donc issu d’une bien longue lignée (et il faut toute proportion gardée), mais malgré son drôle de sobriquet qui rendait l’affaire a priori pas trop crédible, Ropoporose s’en montre un digne rejeton avec ce premier album aussi bluffant que réjouissant.

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Chronique - 22/065/15

elephant love ÉCRIT PAR BÉBER - DIMANCHE, 21 JUIN 2015

Ropoporose Pop/Rock Yotanka

Il y a quelques semaines, Yotanka nous permettait de découvrir l’électropop-rock de Kid Francescoli. Aujourd’hui, le label français dévoile un nouveau groupe issu de son écurie : Ropoporose. Il s’agit, en fait, d’un duo familial originaire de Vendôme. Pauline assure le chant, les claviers la guitare et les percussions (rien que ça !) alors que Romain gère la batterie, la guitare et les chœurs. Alors qu’ils tentaient de reprendre des titres du groupe Californien Girls, le tandem décide de changer de cap ; et de se consacrer à un projet plus personnel. Grand bien leur en a pris ! Après avoir accordé de nombreux concert et passé de nombreuses heures à répéter, il enregistre son premier opus. Chez Ropoporose, toutes les compos sont créées à partir de loops. Le frangin et la frangine s’évertuent à superposer les nappes de sons pour concocter un noisy/rock dense, mais surtout riche en variations. Lorsque le chant de Pauline devient nerveux, on pense à Sonic Youth (« Moïra », « Empty-Headed », « Elephant Love »). Par contre, lorsque les claviers débarquent en force, c’est l’ombre d’Arcade Fire qui se met à planer. Sous une forme plus épurée, of course. Et pour un premier album, il faut avouer que le résultat a de l’allure…