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ce qui favorise la collaboration », explique la Dre Lafortune. Maintenant, quand le médecin voit un patient qui pourrait être atteint de. TDAH, il n'a qu'à lui tendre une enveloppe pour commencer le proces sus d'évaluation. EG. VOUS AVEZ DES TRUCS À NOUS FAIRE CONNAÎTRE ? ENVOYEZ-LES À EGARNIER@FMOQ.
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TROUSSES POUR L’ÉVALUATION DU TDAH Le patient se demande s’il a un TDAH. Le médecin respire alors profondément et commence à imprimer et à rassembler tous les questionnaires qui devront être remplis et qui peuvent différer selon l’âge de la personne. Pour faciliter le processus, la Dre Audrey Lafortune et une infirmière ayant une formation dans le TDAH ont créé des trousses d’évaluation. Il y en a pour les enfants, les adolescents, les adultes ainsi que pour effectuer le suivi de la prise de médicaments. La trousse pour enfant, par exemple, comprend tous les questionnaires, en nombre suffisant, pour chaque parent et pour l’enseignant. « Nous avons regardé les lignes directrices de la CADDRA et le site Internet de la Dre Annick Vincent, spécialiste du TDAH. Nous avons ensuite personnalisé ces trousses pour les besoins de notre GMF. Les questionnaires qu’elles contiennent correspondent aussi à la pratique des infirmières de notre GMF, ce qui favorise la collaboration », explique la Dre Lafortune. Maintenant, quand le médecin voit un patient qui pourrait être atteint de TDAH, il n’a qu’à lui tendre une enveloppe pour commencer le processus d’évaluation. EG

FAIRE DISPARAÎTRE LA DOULEUR AVEC UNE TABLETTE À l’hôpital de Chibougamau, quand la Dre Michelle Malenfant fait une technique à un jeune patient, il ne veut plus partir. Elle peut aisément lui faire des points de suture, changer son pansement ou effectuer une exploration sous anesthésie locale. Le secret de la clinicienne ? Son iPad. « J’utilise ma tablette pour faire écouter un film au patient. Bien souvent, il me demande s‘il peut rester pour voir la fin ! » Les enfants ont le choix : Astérix ou Lego. L’omnipraticienne a commencé à employer ce truc il y a un an. Elle avait à réparer la plaie d’un petit garçon de 7 ans. La blessure, située sur la jambe, allait nécessiter une dizaine de points de suture. L’enfant paniquait. La Dre Malenfant lui a alors mis un oreiller sur les cuisses et y a installé son iPad. « Comme il ne voyait pas la plaie et était captivé par le film, il disait seulement “Aïe !” et restait absorbé sans tenir compte de ma présence. » La Dre Malenfant a maintenant toujours sa tablette avec elle. EG

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