le scalp et le calumet - Artcurial

1 juil. 2017 - Gouache sur papier marouflé sur toile, 1930. H.206 m ; L. 204 cm. Paris, Coll. I. et H. .... Marbre rose, 1930. H. 68 cm. Coll. I. et H. Poulain. 6 ...
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LE SCALP ET LE CALUMET IMAGINER ET REPRÉSENTER L’INDIEN DU XVIe SIÈCLE À NOS JOURS

La Rochelle, 1er juillet – 23 octobre 2017 Musée du Nouveau Monde et Musée des Beaux-Arts

DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE – « Le scalp et le calumet »

Musée du Nouveau Monde et M u s ée des Beaux-Arts La Rochelle - 1er Juil./23 oct. 2017

SOMMAIRE

LE SCALP ET LE CALUMET

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PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION PAR ANNICK NOTTER

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PARCOURS DE L’EXPOSITION PAR ANNICK NOTTER

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PRÉFACE DU CATALOGUE PAR HERVÉ POULAIN

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CATALOGUE INFORMATIONS PRATIQUES

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VISUELS

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LE MUSÉE DU NOUVEAU MONDE

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CONTACTS PRESSE Sylvie Robaglia – Art & Communication +33 6 72 59 57 34 [email protected] www.art-et-communication.fr Anne Michon - Agglomération et Ville de La Rochelle +33 6 17 01 43 72 [email protected] www.ville-larochelle.fr Visuels HD disponibles sur demande Vernissage le 30 juin 2017

L’exposition bénéficie du soutien d’Artcurial et de la Ville de La Rochelle.

DOSSIER DE PRESSE – « Le scalp et le calumet »

Musée du Nouveau Monde et M u s ée des Beaux-Arts La Rochelle - 1er Juil./23 oct. 2017

LE SCALP ET LE CALUMET

Imaginer et représenter l’Indien du XVIe siècle à nos jours L’indien d’Amérique n’a cessé de peupler notre imaginaire. Du primitif sanguinaire et cannibale au bon sauvage en passant par le héros du Far-West ou encore la figure écologique « New Age », les images occidentales ont créé et façonné le mythe de l’Indien. Du 1er juillet au 23 octobre, l’exposition « Le Scalp et le Calumet » organisée conjointement au musée du Nouveau Monde et au musée des Beaux-Arts de la Rochelle, explore la manière dont l’Occident a imaginé et représenté l’Indien (d’Amérique), du XVIe siècle à nos jours et questionne les stéréotypes en suivant un fil chronologique et thématique. De manière inédite, l’exposition qui réunit plus de 300 oeuvres (peintures, sculptures, objets décoratifs…), nous éclaire aussi bien sur l’histoire des Amérindiens que sur les fantasmes des Occidentaux, les iconographies successives de l’Indien reflétant souvent les tourments idéologiques de l’homme civilisé. L’exposition est rendue possible grâce au prêt exceptionnel des œuvres de la collection d’Isabelle et Hervé Poulain. Grand collectionneur, le commissaire-priseur, pilote de course et président d’honneur d’Artcurial, a partagé avec son épouse une passion dévorante pour les Peaux-Rouges. Cette collection forme le noyau initial de l’exposition auquel sont venus contribuer d’importants prêts de musées nationaux et d’autres collectionneurs privés. Ce sont ainsi près de 85% d’œuvres inédites qui seront dévoilées au public pour son plaisir, son amusement et sa réflexion.

Andy Wahrol (1928 – 1987) Sitting Bull Sérigraphie, 1986 H.92 ; L. 92 cm Paris, Coll. I. et H. Poulain

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PRÉSENTATION DE L’EXPOSITION

Par Annick Notter, conservatrice générale des musées d’art et d’histoire de La Rochelle La découverte de l’Amérique est un bouleversement sans précédent pour les esprits européens du XVIe siècle qui voient s’élargir considérablement les frontières du monde connu. Précocement confondu avec l’Orient des Indes par Christophe Colomb, le nouveau continent ne tarde pas à susciter l’émerveillement et la fascination. Les lettres et les récits de voyages se multiplient dès le début du XVIe siècle, rapidement repris par les illustrateurs et les graveurs contemporains qui les diffusent auprès d’un large public. La cartographie des territoires découverts, la faune et la flore sont abondamment représentés. Mais la figure qui concentre toute l’attention et les interrogations des Occidentaux est évidemment cet Homme qui peuple l’Amérique, le mal nommé « Indien ». Sa figure ambivalente n’a dès lors jamais cessé de peupler notre imaginaire : du bon primitif au héros romantique en passant par l’éternel libertaire et le sauvage sanguinaire, sa représentation a fait preuve d’une remarquable polysémie, se réinventant au gré des courants philosophiques, scientifiques et artistiques du Vieux Continent. Car l’Indien, tel que les images occidentales l’ont créé et façonné, n’est souvent qu’un mirage, un miroir de nos convictions et de nos aspirations propres. L’exposition explore ce vaste sujet en suivant un fil chronologique et thématique et questionne les stéréotypes. Des estampes, des dessins, des peintures, des sculptures, des objets d’arts décoratifs, des supports publicitaires et des jouets, porteurs et créateurs de cet imaginaire collectif, viennent nourrir le parcours et interroger notre vision de cet Amérindien fantasmé.

Guy Arnoux (1886 - 1951) Le général Lafayette et les chefs de la confédération des six tribus Gouache sur papier marouflé sur toile, 1930 H.206 m ; L. 204 cm Paris, Coll. I. et H. Poulain

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LE PEUPLE INCONNU Le XVIe siècle

La première section est consacrée au « peuple inconnu » imaginé au XVIe siècle par les Européens. Les premières représentations, dont les célèbres gravures de Théodore de Bry, portent déjà en germe l’iconographie développée aux siècles suivants. Tour à tour cannibale et démoniaque ou idéal, naïf et proche de la Nature, l’Indien est source d’interrogations philosophiques pour les contemporains.

Jan Van Kessel le Vieux (1626-1679) Scène de cannibalisme Huile sur cuivre, 1er quart du XVIIe siècle 18 x 24,5 cm La Rochelle, musée du Nouveau Monde

L’INDIEN, MIROIR SOCIAL ET PILOSOPHIQUE Du XVIIIe au XIXe siècle

La deuxième section explore l’Indien miroir, moral et philosophique du XVIIIe au XIXe siècle. Dénommé dès 1670 le « bon sauvage », l’Indien incarne par ses qualités morales et sa beauté physique une Antiquité primordiale rêvée par les Occidentaux. Mais il se transforme parfois en un être réfractaire à la civilisation et à la religion chrétienne. Présenté comme un être faible et dégénéré par Raynal, il demeure un héros romantique chez Rousseau et Marmontel qui leur permet de critiquer la civilisation occidentale et ses méfaits. Perçu comme un être condamné à la disparition mais digne face à son destin chez Fenimore Cooper et Chateaubriand, l’Indien devient au début du XIXe siècle un « noble sauvage », une vision abondamment reprise par les artistes. Jean-Jacques François Le Barbier (1738-1826) Canadiens au tombeau de leur enfant Huile sur toile, 1781 H. 87 ; L. 63 cm Rouen, musée des Beaux-Arts DOSSIER DE PRESSE – « Le scalp et le calumet »

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L’INDIEN SAUVAGE Le XIXe siècle

Une troisième section est dédiée à la figure de l’Indien sauvage telle qu’elle se transforme et se diversifie au XIXe siècle. Si une image qui se veut plus neutre se développe avec des peintres voyageurs tels Catlin et Bodmer et les artistes français qui rencontrent des Amérindiens lors de tournées européennes, les guerres indiennes du Far West américain entraînent le développement d’une image négative et raciste. L’Indien est présenté comme un ennemi cruel et perfide attaquant colons et diligences, récoltant des scalps pour trophées, véritable degré zéro de l’humanité dans la lignée des théories raciales qui caractérisent la seconde partie du XIXe siècle et qui persiste jusque dans les années 1950 avec le western.

Léon Renimel (1893 – 1984) l’Attaque d’un convoi par les Indiens Huile sur toile, 1947 155x204 cm Coll. I. et H. Poulain

L’INDIEN, FIGURE DE DIVERTISSEMENT Le XXe siècle

Une quatrième section s’intéresse à l’Indien, objet de divertissement et motif décoratif du XXe siècle. À la suite du formidable succès des tournées du Wild West Show de Buffalo Bill, l’Indien des Plaines supplante définitivement toute autre image de l’Amérindien dans les esprits occidentaux. Presque anéanti physiquement aux États-Unis, son image fleurit paradoxalement dans les arts décoratifs. Suites narratives (estampes, services de table) produites en masse pour un large public, jeux et jouets, supports de communication multiples (bouchons de radiateurs automobiles, cartes réclames, enseignes de marchands de tabac) et publicités, l’Indien est devenu une figure de pacotille, une mascotte dont l’usage esthétique ne connaît pas de limites.

Guillaume Laplagne ( ?, 1894- ) Mascotte de capot d’automobile Renault : Sioux à l’affût Métallo-bronze, 1920-1930 H.10 ; l. 11,5 cm Coll. I. et H. Poulain

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LE FACE-A-FACE AVEC LES PEAUX-ROUGES Par Hervé Poulain, collectionneur et président d’honneur d’Artcurial

Il y a une quinzaine d’années, alors que je patrouillais en famille dans les travées du marché aux puces de Saint-Ouen, mon aînée Camille repéra une aquarelle représentant un couple de Peaux-Rouges. L’homme portait une majestueuse parure de chef dont je savais que chaque plume d’aigle signifiait une « touche » sur un ennemi. Le profil de la squaw soulignait une grâce délicieusement naturelle. La signature m’était inconnue mais la facture stylisée emporta notre consentement sans que nous en soupçonnions les conséquences. Regagnant notre maison de campagne et posant le tableautin sur le linteau de la cheminée inspirée de celle imaginée par Frank Lloyd Wright pour la Nathan G. Moore House, m’apparut ainsi qu’à Isabelle, initiée à la civilisation américaine par ses études d’histoire à la New York University, l’évidence d’un thème fantasmagorique, pittoresque et historique : les Indiens d’Amérique du Nord ! […] Pour ma génération, les représentations de cette civilisation singulière étaient importées par les récits de voyages et les livres à l’usage de la jeunesse, les bandes dessinées et les westerns. Les hommes-médecine et le Grand Manitou, les tipis, les chevaux pie, les bisons, les plumes d’apparat, les vêtements à décors perlés, les mocassins, les tomahawks, les pipes en catlinite, la pratique du scalp, peuplaient mon imaginaire. Mes cow-boys de plomb repoussaient avec vaillance ces guerriers terrifiants et criards au visage peint et au torse nu qui attaquaient ma diligence… Cependant, on nous racontait des bobards. Ces peuples étaient décrits d’une manière caricaturale, manichéenne et erronée. Or, c’est bien la vertu des collections thématiques d’inciter leurs inventeurs à piocher le sujet. […] C’est pourquoi, au milieu d’une forêt solognote relativement préservée, notre quête s’est limitée à un objectif décoratif, c’est-à-dire une « collection Georges Garreau (1885 - 1973) d’ameublement » comme Erik Satie se plaisait Chef indien à qualifier certaines pièces pour piano de son Marbre rose, 1930 H. 68 cm répertoire… Cependant, sur le sentier de la chine, Coll. I. et H. Poulain le Grand Esprit, sensible à ma ténacité de pisteur apache, me mit en présence de quelques pépites. En priorité, Le Guerrier du couple grandeur nature en bois polychrome de la fin du XVIIIe début XIXe siècle. Parmi les représentations d’Amérindiens, je ne connais pas d’équivalent, même dans les musées, à son anatomie classique et sa posture romantique... […] On raconte qu’un homme aurait demandé à Andy Warhol pourquoi il avait toujours un petit magnétophone sur lui et enregistrait tout, des bribes de conversations, ses propres observations. Warhol a regardé son interlocuteur et lui a répondu « Et vous, pourquoi fumez-vous ? ». La répartie inspire notre propre réplique : parce que les Indiens fument le calumet de la paix !

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VISUELS DISPONIBLES

Légendes de gauche à droite, et de haut en bas : Karl Girardet (1813 – 1871) - Danse d’Indiens Iowas devant le roi Louis-Philippe aux Tuileries, Huile sur toile, 1845 -H. 50,5 ; L. 64,5 cm, Versailles, musée national du château et des Trianons Entourage de Pierre Mignard, Portrait d’une fillette en indienne, Huile sur toile, fin XVIIe – début du XVIIIe siècle, H. 114 ; L. 88 cm, Paris, coll. D. L. Jules Émile Saintin (1829 – 1894). L’Enlèvement d’une femme de colon par les Peaux-Rouges, Huile sur carton, 1860-1870 - 33,8 x 49,5 cm. Saint-Calais, musée-bibliothèque Édouard Drouot (1859 -1945), Indien en embuscade derrière son cheval, Bronze, début XXe siècle, H. 31,5 ; L. 56 ; E. 14 cm, Coll. I. et H. Poulain Torchère Indien, Bois polychrome, XVIIIe siècle H. 194 ; L. 90 cm, Paris, Coll. I. et H. Poulain M. Murat (États-Unis), Enseigne américaine de débit de tabac, Bois peint, XIXe siècle, H. 160 ; L. 64 ; l. 76 cm, Paris, coll. I. et H. Poulain

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CATALOGUE DE L’EXPOSITION A l’occasion de l’exposition, un catalogue est publié aux Editions Somogy. Complément indispensable de la visite, cet ouvrage de référence contient plus de 30 contributions, et les illustrations de la quasi-totalité des oeuvres exposées. Il s’organise autours de 4 grandes sections : une figure ambivalente, à la fois philosophique, morale et politique ; la mise en spectacle des Amérindiens ; l’Indien comme sujet artistique ; l’Indien-objet / L’Indien de pacotille.

Le Scalp et le Calumet Catalogue édité par Somogy, 256 pages, 300 illustrations Prix : 35 € (parution juin 2017)

INFORMATIONS PRATIQUES L’exposition est ouverte du 1er juillet au 23 octobre 2017 Le scalp et le calumet (XVIe- XVIIIe siècles) au musée du Nouveau Monde, 10 rue Fleuriau, 17000 La Rochelle (05 46 41 46 50) Le scalp et le calumet (XIXe - XXIe siècles) au musée des Beaux-Arts, 28 rue Gargoulleau 17000 La Rochelle (05 46 41 64 65) Horaires du 1er octobre au 15 juin * lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 9h30 à 12h30 et de 13h45 à 17h00 * samedi, dimanche et jours fériés de 14h00 à 18h00 * mardi, samedi matin et dimanche matin fermés du 15 juin au 15 septembre * lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 10h00 à 13h00 et de 13h45 à 18h00 * samedi, dimanche et jours fériés de 14h00 à 18h00 * mardi, samedi matin et dimanche matin fermés Les musées sont fermés les 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. Tarifs Plein tarif : 6,00 € Tarif réduit : 4,00 € (groupes) Billet groupé musée des Beaux-Arts + musée du Nouveau Monde : 9,00 € Entrée gratuite pour les moins de 18 ans, étudiants, Rmistes et chômeurs et pour tous le premier dimanche du mois de septembre à juin Pass’annuel inter-musées municipaux (4 musées) : 25,00 €) DOSSIER DE PRESSE – « Le scalp et le calumet »

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LE MUSÉE DU NOUVEAU MONDE Un musée dédié aux relations avec les Amériques

Le musée du Nouveau Monde, voulu et inauguré en 1982 par Michel Crépeau, maire de la Rochelle, est installé dans un hôtel particulier du XVIIIe siècle, l’hôtel Fleuriau, qui porte le nom de la famille qui l’habita de 1772 à 1974. Construit entre 1740 et 1750 selon la mode parisienne (un corps central encadré de deux ailes autour d’une cour fermée par un grand portail) par Jean Regnaud de Beaulieu, cette demeure est achetée en 1772 par Aimé Benjamin Fleuriau (17091787), rentré enrichi de sa plantation de Saint-Domingue. Quelques années plus tard, vers 1780, grâce à l’acquisition d’une parcelle donnant sur la rue parallèle, l’hôtel est agrandi d’un corps de bâtiment adossé à la première construction, communiquant intérieurement par des portes percées à chaque demi-étage et ouvert sur un jardin. Ce musée consacré aux relations de la France avec les Amériques a été salué lors de sa création pour son originalité et son regard sur un pan de notre histoire alors peu traité puisqu’il fut en effet le premier à parler du passé négrier d’un port français et à exposer les éléments liés à la traite des noirs et à l’esclavage dans les colonies des Antilles. Au fil des acquisitions menées depuis sa création, il s’est voulu autant le miroir d’une Amérique découverte et explorée par la vieille Europe que le reflet d’une ville dynamique et commerçante enrichie économiquement et culturellement par le nouveau continent. Peintures, dessins, gravures, cartes anciennes, objets d’art décoratif et photographies évoquant le Brésil, le Canada ou la Louisiane se déploient donc dans ces magnifiques espaces rocailles et néoclassiques. Expositions temporaires et création contemporaine y trouvent également leur place grâce à une politique scientifique et culturelle dynamique et soucieuse de préserver la cohérence originale et originelle du musée.

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CONTACTS PRESSE Sylvie Robaglia – Art & Communication +33 6 72 59 57 34 [email protected] www.art-et-communication.fr Anne Michon - Agglomération et Ville de La Rochelle +33 6 17 01 43 72 [email protected] www.ville-larochelle.fr

Une exposition des musées d’art et d’histoire de La Rochelle.

Avec le soutien d’Artcurial et de la Ville de La Rochelle.

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