Le mot du Président

chants patoisants de Joseph Barbotin, chansons folkloriques à répondre, chansons anciennes …coquines parfois, chansons à boire et chansons pour enfants à ...
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La Gazette

n°2

Bulletin d’information de l’Association «Être Pontcabanois»

Le mot du Président « C’est à tort que les hommes se plaignent de la fuite du temps, en l’accusant d’être trop rapide, sans voir qu’il s’écoule à la bonne vitesse». Je récupère volontiers cette citation empruntée à Léonard de VINCI, puis à Michel, qui la reprend dans l’article «Paroles d’anciens». Pourtant qu’est-ce qu’on aimerait que ce temps ralentisse pour en profiter davantage et vous proposer toutes ces idées qui nous enthousiasment et qui pourtant ne verront peut-être jamais le jour par …………...manque de temps. Pourtant certaines font leur chemin et les présents à notre assemblée générale savent qu’elles avancent……………en prenant leur temps. En nous retournant nous nous apercevons que nous avons inscrit deux nouvelles activités à notre calendrier : une marche à thème et une matinée récréative pour les enfants à l’occasion de Carnaval. A chaque fois, nous avons eu ………………..le temps avec nous. Nous avons donc, finalement, maitrisé le temps. C’est grâce à l’engagement de chacun que ces manifestations ont été menées à bien. Remercions tous ceux qui, au sein de l’association ou par leur soutien matériel, nous ont aidés sans compter à la réalisation de ces projets. Nos effectifs grossissent après chaque manifestation, les Pontcabanois qui se sentent Pontcabanois nous rejoignent. On compte toujours sur eux, on compte surtout sur vous, notre village le vaut bien. Jackie Lamoureux

Dernière minute ! Nous avons reçu Yves et Monique MERCIER de retour du BURKINA FASO. Suite au marché de Noël, nous leur avions confié le bénéfice de la tombola dotée par nos amis exposants et Sabine FESSIEUX. Ils nous ont rendu compte de l’utilisation de ce don. Grâce à la générosité des donateurs ils ont pu acheter deux tricycles au profit de deux jeunes handicapés et financé la remise en état de douze autres machines. Ils nous ont rapporté les témoignages touchants des bénéficiaires et la reconnaissance du préfet de leur département. La photo ci-jointe nous fait découvrir ces machines qui sont là-bas un véhicule indispensable. Précisons que ces tricycles sont fabriqués sur place.

Ce deuxième numéro, comme le premier, est composé, mis en page et imprimé gracieusement par la société SODIMASS. Nous tenons à en remercier chaleureusement Isabelle et Robert adhérents d’Être Pontcabanois, ainsi que leur personnel. (J.L.)

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Que s’est-

La marche aux trésors

Une première en ce dimanche 25 octobre 2009, journée portes ouvertes du château de Chabenet, car le but de cette « Marche aux Trésors » n’était pas de chercher fortune, mais de faire découvrir les ressources et l’histoire de notre commune. Dès les premières lueurs de l’aube, nous étions prêts à accueillir les marcheuses et marcheurs. Au départ, place de Verdun au pied du château du Broutet, nous remettions à chaque participante et participant, un stylo, une carte du chemin à suivre et une première énigme dont la réponse permettait d’obtenir une liste de cinq questions ayant toutes un lien avec le paysage environnant.

Sous un ciel clément, questionnaire en mains, sur un parcourt de 7 km (avec une possibilité de n’en faire que 5) c’est plus d’une centaine de marcheurs qui de 8h à 10h prirent cette magnifique petite route forestière remontant le cours de la Bouzanne qui devait les mener au lieu dit le Boutet. Une première étape, où les attendaient une collation et les questions n° 6 à 10, dont les réponses permettaient d’atteindre et de franchir les portes grandes ouvertes du château de Chabenet. Jean Dubois, dit le rouge, Seigneur des lieux, entouré de ses courtisans, en costumes d’apparat, attendait dans la cour d’honneur que les réponses lui soient données. Toutes et tous furent récompensés de leur participation et vers 13h, c’est au pied de la mairie du Pont Chrétien que les lots furent remis dont le premier était un cadre électronique. Le modeste niveau sportif et l’environnement dans lequel se déroula cette manifestation encouragea les déplacements familiaux. Le succès de cette première expérience nous incite à la répéter, nul doute que pour les prochaines portes ouvertes du Château de Chabenet, nous renouvellerons la formule avec des questions différentes et un parcours modifié.

Soirée Téléthon 2009 Veillée berrichonne dans une ambiance à l’ancienne …. c’était le vendredi 29 janvier 2010 Animation assurée par Michèle, Arnaud et son accordéon, Mireille et sa vielle (Elise, malade, bien triste de ne pouvoir nous accompagner !), les enfants et les grandes personnes…..dans un même élan ! Après des contes de Pierre Panis d’après son livre «De bouche à Oreille», des chants patoisants de Joseph Barbotin, chansons folkloriques à répondre, chansons anciennes …coquines parfois, chansons à boire et chansons pour enfants à mimer ou accompagner. Les grands ne sont pas les derniers !…..Garder son âme d’enfant ! Ne pas oublier, crêpes, cidre, jus de fruits, confitures maison ! Beaucoup de cœur, de bonne humeur, de rires … Soirée à revivre simplement …

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-il passé ?

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CARNAVAL - 6 février 2010 Le soleil n’était décidément pas de la partie mais les cœurs des enfants étaient à la fête. Bénévoles déguisés et motivés attendaient de pied ferme ces chères petites têtes blondes pour leur faire découvrir les 5 ateliers pour leur plus grand bonheur ! Au programme : pour les petits doigts agiles, des nœuds papillons, des chapeaux arlequins et des diadèmes à gogo ! Un passage par le stand maquillage bien sûr, de Zorro aux étoiles en passant par des cerises ! A la cantine pour les petits gourmands, un atelier confection de crêpes et gaufres. Pour la postérité, passer à la garderie et laisser son empreinte sur une frise murale sans oublier la décoration de Monsieur Carnaval ! Départ du défilé entre 2 averses comme Jackie l’avait prévu … Chansons entonnées par Michèle P. et reprises par les enfants : Une souris verte … Il était un petit homme, pirouette … Monsieur Carnaval a eu du mal à s’enflammer (de l’humidité dans l’air peut-être ?) mais le printemps peut maintenant arriver : la tradition a été respectée ! Retour au chaud pour un bon goûter au son des djembés et de la guitare : les enfants ont dansé, les parents ont apprécié. Et puis petit à petit, les enfants sont partis, la fête était finie.... Mais si on leur avait dit : « On recommence ? », ils auraient dit : « OUIIIII ! »

3 coups d’oeil « Ê t r e Pontcabanois» a accueilli une tournée de la Compagnie des 3 coups d’œil pour un séjour d’une semaine dans l’INDRE où elle donna cinq spectacles dont un au château de CHABENET le 23 avril 2010 Profitant de ce séjour, nous avons proposé à ces jeunes déficients visuels, une découverte du département. Suite à un travail remarquable de Dominique RABANY, des bénévoles et des associations avaient accepté de recevoir ces jeunes artistes en tenant compte de leur handicap. De notre côté, nous avons essayé de mieux comprendre ce qu’ils perçoivent en partageant un repas, un jeu, et en nous mettant dans les conditions qui sont leur quotidien. «La Compagnie des 3 coups d’œil est née en septembre 2006 au sein de la Cité Scolaire René Pellet à Villeurbanne. Elle compte des jeunes comédiens amateurs de 11 à 22 ans. Pour cette saison 2009-2010, 14 jeunes reprennent une création qui a connu un vif succès en 2007 : Homo telephonis. En 1993, ils étaient 170 000 pionniers à utiliser un

radiotéléphone ou un Be-bop. Dix ans plus tard, on recense 39,3 millions de téléphones portables soit 65,3% de la population française équipée. Portable or not portable serait-il un faux problème ? Finalement peu importe de savoir si c’est bien ou non d’utiliser un téléphone portable, ce qui semble important c’est de savoir ce que ce nouvel outil a pu apporter et si son utilisation nous permet de mieux communiquer. Car, au fond, le véritable enjeu social il est là : mieux communiquer avec les autres. Qu’est-ce que cela pourrait bien vouloir dire ? Est-ce apprendre à rencontrer l’autre ? Quelles sont les conditions de cette réussite ? Le téléphone portable participe-t-il de cette aventure humaine ? Maintenant que la technologie a rendue possible la communication téléphonique sans fil, c’est-à-dire principalement la possibilité de télé communiquer d’où l’on veut et quand on veut, cette innovation nous permetelle désormais de mieux communiquer avec les autres ? Assurément, si l’on en croit les utilisateurs. Pourquoi ? Et vous ? Quelle place occupe votre téléphone portable dans votre vie ? Une drogue ? Un ami fidèle ? Un membre de votre famille ? Un objet de culte ? Les jeunes de la compagnie nous interrogent sur cet étrange outil de communication qui, paradoxalement, nous coupe du monde qui nous entoure. Une réflexion sur nos comportements quotidiens, traitée sur un ton léger et humoristique»

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La Gazette n images e u d n e -r Compte

5 juin : réception Familles Rurales : Des auditeurs attentifs

13 juin : Fête des voisins : Les quartiers

21 juin : concentration des voitures anciennes

18 octobre : Rallye des châtaignes

25 octobre : La marche aux trésors

21 novembre : Concert à l’Asphodèle

12/13 décembre : Marché de Noël - Spectacle



Capital photos : Anne, Alain, Christian, Daniel, Jackie, Jacquot, Jean et Pascale.

31 mai 2009 : Festi’bio : Ce fut une belle journée

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s n e i c n a ’ d Paroles NSIEUR ET MADAME LASNIER ET MADAME DELARUE ÉTÉ 2009 ENTRETIEN AVEC

MO

née e très chaude jour un r pa e tr on nc re temps de cette tte canicule, la uviendrons long DEL ARUE. Par ce so e us m no M us de no ie e, gn que ce pa moi-mêm bien être et, bien LASNIER en com de e n m io M JACKIE, AL AIN et at et ns r. se M e ez un t ueil mes reçus ch ais nous procurai générosité de l’acc ép s La . ur is m fo x d’été ou nous fû re au ut a n d’ so isante de la mai osphère de veillée reuse en dialogues, anecdotes et fraîcheur bienfa régnait une atm il i, id et géné m ès pr a l’ eu de rencontre riche ne u d’ r re gu fût en plein mili au s deux OR nous laissaient ARUE sont tous le EL D e et la verve de VICT m m fe . E, ge IN e beau villa ERITE JOSEPH histoires sur notr RIL 1927 et MARGU AV 12 le né R IE SN ur. LOUIS VICTOR LA rte coutume ? nce et frère et sœ sa is na de IS grand père, une so oms, était- ce là la NO au én ou pr n ux ai de rr PONT CABA ez pa in car au cl cier les familles, aient hommage GUERITE, vous dé en nd AR ér re M ff e di et nc sa ur OR is po CT na s VI la ué « ib en veux és à il était les surnoms attr t le même nom. J’ ux prénoms donn ec en av de ai s e rt ce dr po es on , érencier les foyers rt es nf ff ce co nc i di s lia ur pa al - Ou po s it ; de lla … u fa c. je et eau r le l’ancêtre. Il ne NEAUD, BRIDOUX OR de citer à nouv aines familles, pa RO rt CT IT ce VI PO à, IS S, el U IA -d de respect envers LO H au et RT s» en et sûrement bi ci permettant PICHONNET, les BE ou une histoire liée aux habitude ur petite taille. Ce au début du siècle t LOUIS VICTOR, «les GAUTIER, les r le ie de ét m on is le e, ra èr en ct i Plus tard us di pport avec le cara OUX nommés ains t rien de bien méchant à l’époque. ra CH en s pour exemple», no le éé cr en bi om ou , rn IS nner un su , le PIEMONTA ssait. Il n’y avai plus simple de do blond, Mille BABY UTIER ou autre PICHONNET il s’agi IS U le LO t ti pe le , es IAS, GA en activité au sièc H re RT co BE en el EN : «la MARIE 4 patt qu TI de RE s le payer en lui du PONT CH ques «. langage villageoi cinq années pour t des moulins. Ce ont plus sarcasti de situer dans le ai de dr i av la en y dé vi il E de un s é NN rd om ZA co U ns surn long de la BO ton. Il lui fut ac cependant certai poursuit : «Tout au RI BERTHIAS, au prieuré d’Argen , le ab ss ri ta in , LOUIS VICTOR siècle par HEN Mr. de l’époque». heté au XVIIIème ac é ét t ai À ce propos, c’est av t au propriétaire e. r ai ie èr en vi rt ri dern pa la t ap an lin artier du mou hauteurs de on d’îlots obstru t remisés sur les nature. Tout le qu équentes en rais en fr ai us ét pl x au up ev co ch au s notambe le ndant ces crues, gés de denrées et les crues étaient ar Pe le t. ch èc , si en te du cô em t ul la bu co de é l’ dé nt ir EAUale qu’au r l’écluse et assain romaine. Nos conquérants, revena n de LIMOGES, BOURGES ou CHAT se us LOUIS nous sign ha re t fi i qu R AYMOND, nte en directio e c’était la voie LAMORT, père de nous rappelle qu US, plaque tourna OR AG CT OM VI NT nt GE do AR CQ à et sœur, la e la route de MEOBE s étaient friands, y faisaient étap UX, quatre frères O ID BR et s) le ib ss nt-il thographes po ment d’huîtres do UD (plusieurs or NA RE église. IT PO S IA H plate du coté de l’ illes BERT re m MEILL ANT. er fa pi s e le T. un r OR it pa M ta té nc exploi parts à Mr. LA le dernier, il exis Le moulin fût do e et revendit ses au milieu du sièc un je es e bl uv si vi ve t re fû co X U en O s traces étaient sœur Mme. BRID NT CHRETIEN, de PO au lution. e ag pé un t qu’après la Révo Il y avait ui tr ns co t fû ne ent anne t 1900 (actuellem merçants. an m Le pont de la Bouz av co e s éé le , cr t ns fû sa i ti mes oncles, qu s métiers, les ar BRIDOUX, un des ctivité du pays, le a n l’ ie de dr A us d’ no lle e rl ce t ABENET pa ai «- LOUIS VICTOR, s du moulin de CH toute première ét re la iè s rr ai ca m s , le es ), ri ET ge on ne EN ulan s la gare de CHAB réserve d’eau dont in - J’ai connu 4 bo er e (v un ts é lo ét be r oi Ar s av le e ns le procha s à chaux, tels rir ce qui sembl BRESSON). les publierons da était celle des four promeneur peut encore découv us te no an es rd nu bo ve dé en bi us . Pendant la le les L’activité la pl lui de CHABENET ISÉ. Pas très loin sujet elles seront ce BO ce et à de T le ns OR el io M M at LA à t rm lin rant ainsi info qui appartenaien CHABENET, géné bois entre le mou i un lecteur a des de du (S x in n. au io ch em at à ch s in le st ur r fo de la evaux». T su aux connaît pas trop allait au pas des ch en BERTHIAS -TOUZE St. GAULTIER amenaient la pierre i s qu re iè ue rr oq ca ép s e le i tt auss ARGENT de e du temps, anquille de ce bulletin). Citons aignent de la fuit , les carrières BONN la fois active mais joyeusement tr pl or se ct Vi es s m ui m Lo ho t s di à tort que le guerre, nous agine la vie à D DE VINCI : « c’est mbereaux. On im AR to de ON LE on si de es t ri oc éc pr une mps un e». de la notion du te e à la bonne vitess ul co é s’ l i ’ Citons à ce sujet qu ir vo iceries. op rapide, sans et le PONT et six ép soirées, sa femme avait ET EN AB CH e l’accusant d’être tr tr en nes trois restaurants et animait certai nt n 4 pattes), ie do s ic fé us ca m t uf ai ne ét i UTIER (dite Marie nts avec GAY qu GA r. ça ie M er ar m en M m ci et ri co s s ct re le de é iè i l’ ers; la suite de ouvr « – Parlons auss PACTON menuisi t. Jean PROT prit ière qui eut deux et au ur T H ut nNE co e ’ e ON -d un nt , CH Po PI OT : Pont). it Canassais) au r. GENET, Mme PR Pour les artisans NNET (auberge du arcel GROSSET (d RO e. Le couvreur M M ri BA et ai X ez m U O ch de ID et re ) BR ai ET ét été secr s, messieurs Mme BAUCH icile. Deux coif feur e chez LHOSPITAL (actuellement couturière à dom nc se eut les postes à es Mr. BRIDOUX. Il y

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La Gazette fé des sports oublions pas le ca N’ . on aç m N EA rdun, ait serrurier. BONJ sit la charcuterie de la place de Ve e ét L OL H SC e. ri ai derrière la m REAU construi ique fut divisé ploitait la sablière UR AIN. Louis BOU la suite et la bout ex is TO e, pr et bl T D sa LO AU de IL H d GU RC an r. PE eux) qui se iers , march T camionnette. M to (là le surnom devient disgraci RD . Les deux tonnel Eugène JACQUET t) FO e an un en nt NT ai PO m f Au aréchux du e hez Sera onnier. Furent m ait la 1ère voiture MOREAU dit Cass rd r. éd M co ss et chez DOLIDIER (c de po r il ge s eu ra rc ct ga fa po le is maçon pas la fo mmerce de de Roger qui fût UPIN. N’oublions RESSINES était à re YD EF pè D PU r. le r. il faisait aussi le co , M M . AL er de ET ti e ri bo Joseph BOUCH e à la bouche r. HUET le sa Jean FAUDUET rent Mr. et Mme r. BARBAUD et M donnant naissanc s aussi du maçon M eu on m n rl de ro Pa . ar où ET ch se oi QU Le U ge e. AT. Et Louis post et PO n bour habite Mme. BARB és et ce tenait à coté de la MOULIN, BARBAT u de CHABENET. La grande maiso où SI là , rs RD eu si NA es IG m t vemen aient occult r du châtea tenue par Mr. GU ferrants respecti ale de son frère av . La « COOP » était MANDON régisseu rb r. ET ve U M é D it it U ta al FA ig bi e od ha on pr ce m s détails que la grand père de Si également. En fa i remémorant de arquis de COUËT lu m i, ss le emier propriér au pa e e in pé ph cu sé était oc ible. erite Jo RENAUD fût le pr ss IT gu po ar PO e M au s ol et te at le as An ab si . ss ou DY N entrepreth AR tari uite par Mr. PAPO terrompues et en , PERCHAUD et H tr Victor toujours in in DA ns in co NA on é AS ti ét M a sa R T, er IE ZE nv U ert avec ULT de co s travaux de conc tres : messieurs TO ie du village en direction de St. GA le t pê si après deux heures ui am nd ch co es O rd H ga AL X, puis sort i connu 4 t, l.’ingénieur CARV t de chaussures à CHÂTEAUROU n bourgeoise à la au H so ai nIl continue : «- j’a e ’ m -d de nt an Po gr est ican AT du on avant. La RON ensuite, elle à Mr. PETIT, fabr sa Melle DIXMER SE et , r. ou M en ép à si i ri taire d’une tracti et qu pa et ON el r ri NT fe striel à ARGE du chemin de PACAUD indust ilippe ADAM indu neur des travaux int ensuite à Mr. Ph rt is pa pu , ap ES re D eu OR m tte de . DEL AB ceux du viaduc. Ce gisseur de la Romagère, puis à M IAS, D« ré ET U QU D oire René BERTH ém lonel BRON AR m co le à Auguste FAU ur e. po m ns M t to ci r.e s; ment par M mille AUROY négo de trente paysan Ca ysanne ? , ns pa oi ux e ia m vi occupée actuelle st re la be r er de ue gu t d oq ait marchan ux tu nous év et son père ne dénombrai D, M. BERTHET ét importante. On «- Louis Victor, pe ssède 2 alambics AU ès po LL tr et t BI r ai GA ét eu at rt le iv el be lt r Al , cu ait très S ent ca URCENAIS, elle ét aud ROBINET est , Joseph BERTHIA ar CO D - Bien évidemm M de t AU E ti IS CH pe U BO le , BO de on re le er rnier NET, Pier ET dirigé par Mel ait un grand vign este et aussi le de EN ét od rt AB m Adolphe PICHON pa CH us sa pl de u le ur ea re po ât êt ne SEGUIN uveau né. J’ai domaine du ch FR ANÇOIS peut ciant porcin, Eugè se que pour un no portant étant le souvenir Lucien e es im tr at us no lic pl à dé s Le e on s. êm el he m pp oc it, dirigeait, Ra r la est sonneur de cl qu’il commanda rsonnel et juste. it pour le soigne n pe ta ui n et éq so m i ut on qu to gn et ec pa ps av m , le Petit am ale n co tait cela. Son père prit bonne et très soci al de trait pour les travaux des ch frêle à coté de so é e c’ m is m ço ho an t Fr ti pe en chev uceur de ce t, dans un es chevaux) Luci à avoir utilisé un essionné par la do ait à l’oreille des ant mutuellemen pr rl id a im pa s’ , i é es ét qu ch e rs tâ m ou s uj om de l’h passage nous reté pour ma part to stes. (Voir le fi lm la vigne; Louis au eux malgré la du t ge ur en x he au t em al et en s ai ég t ét fle ai s uf oquaient; il y av Tous ces paysan ordonnait aux so carrière de sable. ls vendaient ou tr i ’ e qu un it ur ta be oi la pl ur ex , le François produits de hectares). ieurs totale, vivant des vigne (environ 3 NT pendant plus la PO de confraternité de i du ss ge au er t ai ub a l’ éd ille poss e des arômes hine à coté de confie que sa fam rfumées, ainsi qu sa rutilante mac it pa i la ss al ? st au s or in ai ct et m Vi it s es id illation et riva - Et l’alambic Loui peurs d’alcools ac uilleur de cru ar te aux fins de dist va bo et s ou Le de ! t br c an la bi à ge m s la ga an a l’ dé r poque e, pays en au gosier. A l’é - Bien sûr, bien sû ux de cuivre roug amenées par les bi fe s s du ue se e ss i ir us d’ fa to nt se de à ta it te au éclata qu’un prétex ires mélangés semaines, celle ci ts , mais ce n’était de prunes et de po an , lt es co m ré m s le po e de tr n, en ETAL, créae de mout de vi es. à Mr. Raoul BOUCH vendit parée, adulée, jugé m m da ar co cé , nd ée le ge il ût s t, le go te t ez ai ou s d’alcootest ch . Ce dernier re château du Br chaque cuvée ét iles et surtout pa tout le territoire t propriétaire du r ob ai su ét om n on ut ti a ba d’ Li bu u ri au pe st t ce di il y avai ul de Fran actuellement la en 1944 alors cons régissent encore i municipalité. qu se es Mr. BALLER AUD Pr la e de Verdun) à la ac geries de pl sa la es t M en s m le el lle uv teur des No ses jardins (actue é avec son parc et ét ri mma mon op pr la n fi en ues. Le préfet no iq lit po ux éa id s re de ur se ABENET (grand pè et sans doute po CH éf pr de , le r ER TI pa U ué GA it e r st de l’actuelle mairi dat il fût réélu. M la guerre, il fût de t on an ti m an si nd ui du n cq pe a fi l’ re la ai ns à m vo était à qui nous de municipalité et Mr. LAMORT père ymond LAMORT or à la tête de la Ra ct s Vi or e is al éc nt pr Vi e. us it père d’office no iation), prit la su storien de l’assoc hi mais T, NA TI AR M Jean sque permanent, s. ri té un ni er ec av od it m s ia re fic aut le monde béné et de beaucoup d’ en parler ? stin ce dont tout us de an no cl ux e pe ag tt tu ba re a l’ partenait à -Et la guer la Reverderie, ap ement, il y avait de de ill e ta ut vi ro ra la de r és su lt -Vu les difficu de la Bouzanne en. lation. située rive droite s dé ur ne m groucu de au e charge et l’entreti os eu la cl a t e ai ut av il n’y to e en les femmes se re ri N e de EA qu s an NJ m or BO al m , n co te ai e lo lv tt be Sy inchée ou une ie. Ainsi tout le asses à courre, - La Chinaterie, ce cafés pour une co e ou autre broder chenil pour les ch s ur le le it ut ns ta co , é da c’ e ot E, ic ch IS tr an e, BO Melle de uvent le dim ant son ouvrag unissaient très so , chacune emmen le rô de ur to à Les hommes se ré s, le de l’une d’entre el paient au domicile et connaissait les nouvelles». iquait monde commun

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s et rangés sur les coté et s né ig al en bi t nel aien ement du person s tas de cailloux ét al de ég « : t ai 33 ss 19 ni en ur e al fo La commune la route nation ches de noisetier. empierrement de l’ an i m ss x au au t es en tt nt se co ite nous ra ONS « e de petites mas Victor et Marguer mait les PRESTATI t à la main à l’aid m en ai no muss se ca la s ce le , s ts ai ug yante. L’école com des impô t pa t en ai ét em s gl lle rè des ouvriers port fi x de e au blique actuelle lle-ci réservée s cailloux en guis . Quant à l’école pu mmune a uiserie PACTON, ce et les habitants le ET en EN m la AB de CH t à en IN ? ée à l’emplacem s chez Mr. PERN ituteur de la co «- Et l’école Victor ait une école priv ste se situant alor était institutrice. Le premier inst av po y il la e, 80 ri 18 ai n m e ’ la qu i CHABENET « me FOURET - Je crois savoir ste où était auss rçons à gauche. M i qu’au château de acement de la po ga ns pl s ai le m le e l’ te co à oi é l’ té dr de à bu t u dé nale à lles étaien rgés sous le préa RETIEN en 1912-1913. Les fi giés ont été hébe fu ré es qu evaux du PONT CH el elle fut construite ch qu x re au e er ir gu fo la la t E an IN MAILL AUD, E. Pend comme Fernand oqué avec J. P. TAVA ile év s été Mr. CHAMBR to on ur le av r us su e no xé n fi ion. vité penier bulleti s, les peintres l’ont cette manifestat ère d’intense acti te de ph di e é os it Dans notre dern ét m er t at gu on e ar tt es M ce os i ch es, les isir or et toi auss à faire et bien des te), les vétérinair t la chance de sa us en on pl m nn st re e do n’ «-Parle nous Vict (la é us ss ée no pa rm es cartes postal heteurs de l’a profi taient les tte foire dans le et le vin, ce dont er, les éditions de ciales. En ef fet, on y croisait les ac s La notoriété de ce pi ol pa co al ur s le le r r su su s e visiteurs vent mer écrivain là des milliers de ur foire, un droit de jo s tractations com la les poètes et les t ce te it an an va rt nd ce po pe i re m i ss d’ s esprits TIEN ré au raient rtain que dans no on. Le PONT CHRE aurait été instau si Il ce t ca c. dant laquelle s’opé es et oc e Il e . ill tt és ce pa ac à pl de r marchands d’école bien sû être les mieux maquignons, les x. Il n’y avait pas jours avant pour eu re br at m qu no à s rt oi fo tr t nt nu «. aien s forains arrivaie joie le moment ve vignerons qui ét Le . de t ce ai an bl Fr m co de e us ir nnité, et il y ce vo qui no ur de rôle la pére to de toute la provin ite, c’était un évènement attendu à nt ie ea ag rt onsables se pa guer les créateurs resp e de s dont les villages : ée e ri bl d’enfants, dit Mar ai m m se la as x re iè au s? unes allaient ute pour caus s carrières derr - Les jeunes Loui belote, mais les je se situait dans le rruption sans do la s te ce ur in ci e po er un nt ex t ie s eu sa de y is e Il . tr un spectivement jà - Les anciens se ré i le tir dont le théâ el JAMET sont re ait « L‘ESPOI R» dé ss el on au Li pp s a s‘ et ai r m ti ET ot de NN fo é RO ét le ci déo et très BA out ts, point de jeux vi ues SADRON. La so T, en 1947 Eugène ti avait le sport surt cq LO pe Ja IL us et GU to ET s st le NN ne ur Er RO rganisait C. Po avec AS, BA Pâques la fête s’o ennent en 1944 OIR » devient E.P. de pr SP i étaient Mrs THOM E re L’ nd s « lu té 61 vi Le 19 ti s. ac En . on s aler, rç ET et1921. Le ède à Lionel JAM du passé de le sign de bois pour les ga cc s ts su ci ée ré ép OT guerre entre 1913 s s le PR le ns et an s da Je t lle étaire, en 1952 oublie souven les fi lles, les bi ROUET et Jean président et secr rde à sauter pour entre la maison également, car on co ée re la iv di pr et us e le ir vo el ta ux ar au m pe s la nt la foule. Je cour commun peu de jouets, mai situait dans une et forains attiraie se es il èg s, an oi M m t. r ue pa rq ur autour du pa x volailles un jo r VicNT un marché au PO au t ai av ions été reçus pa y l av i ’ us qu no e qu t ri ctor, qui n’a e narration j’ai éc PROT «. ette, l’épouse de Vi ul Pa Au début de cett us no ec av t prestation, e. Il y avai NEUIL, pour cette SE AS tor et Marguerit CH à e né t er car étan suite : « ton pays pas voulu particip territoire; nous la rassurons de tre hors beau village de no ès tr un i ss elle se considère au re eil, de ta gen, Paulette, demeu cions de ton accu er de CHASSENEUIL m re te us no fin de trois ur l’heure tu nous of fris à la ctor et e BERRY à tous. Po qu t po du i ss urires et au régée car Vi tillesse, de tes so que nous avons ab et e llens te in on ti sa un tour, il reste te ur po is rt pa heures de conver re t a bien senti, étaien Marguerite, on l’ raconter. ment de choses à ois . Merci à tous les tr

Michel Blanchet s par (Propos recueilli

sa femme (B Adrien Bridoux et

-Chrétien)

oulanger de Pont

ichel)

Alain, Jackie et M

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La Gazette

Notre année 2010 L’année 2009 s’est achevée pour nous sur notre deuxième marché de Noël dont la réussite incontestable est proportionnelle à l’attraction de son cadre. Nous avons la chance que ce lieu privé soit ouvert pour accueillir des manifestations de qualité. Nous avons également profité, au cours de l’année 2009, des autres richesses de notre commune en organisant le Festi’Bio sur la pelouse du château du Broutet; la réception des automobiles anciennes sur la place de Verdun par une belle matinée de printemps. Notre marche aux trésors a permis aux participants de découvrir sous une forme inédite et ludique les lieux caractéristiques, du Broutet au pont couvert, et la fête des voisins a réuni plus de 240 Pontcabanois en cinq points de la commune. La soirée raclettekaraoké a rempli la salle des fêtes et nous avons activement participé au téléthon en proposant une animation originale dans le cadre de l’école. Nous remercions au passage Monsieur le Maire pour son aide matérielle et sa présence à ces différentes animations.

En 2010 ces manifestations sont reconduites sous des formes améliorées. Déjà s’est tenue la veillée au profit du téléthon le 29 janvier, ce fût un moment de partage original très apprécié de même que pour le carnaval des enfants le 6 février. Ces deux nouveaux évènements sont l’objet d’un article. Nous avons également organisé une soirée d’information sur «l’affaire MIS et THIENNOT,» avec la projection du film «Présumés coupables» suivie d’un débat animé par Léandre BOIZEAU en présence de Mme THIENNOT et de son fils ainsi que d’un des accusés. Cette soirée a rempli la salle des fêtes, prouvant l’intérêt toujours vivace provoqué par cette énorme injustice. A vos agendas, surveillez votre boîte aux lettres et ne confondez pas information et publicité. Être Pontcabanois prépare d’autres projets et reste ouvert à toutes les suggestions. Contact : 02 54 25 84 66.

Les dates à retenir : Vendredi 29 janvier Veillée berrichonne (au profit du téléthon) Samedi 6 février Carnaval des enfants des écoles Vendredi 5 mars Projection du film «Présumés coupables» Samedi 6 mars Soirée raclette - karaoké Samedi 27 mars Assemblée générale statutaire Dimanche 18 avril Repas avec la compagnie des «3 coups d’œil» Vendredi 23 avril Spectacle de la compagnie des «3 coups d’œil» Dimanche 30 mai Festi’Bio Samedi 12 juin Fête des voisins Dimanche 17 octobre Marche aux trésors Samedi 11 et dimanche 12 décembre Marché de Noël Cette liste n’est pas exhaustive