Déclaration - Canoe

faire pression sur le gouvernement fédéral pour la construction du nouveau pont Champlain. .... avons besoin de repenser la gouvernance de notre ville. ... 7 – Nos trois campus hospitaliers, des locomotives de développement économique.
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Déclaration Pourquoi j’ai choisi Montréal?

Montréal n’est pas un problème mais une opportunité Depuis plusieurs mois je rencontre des Montréalaises et Montréalais de tous les milieux et de tous les horizons tant sur le plan économique, culturel, social et politique afin de les consulter et de bien saisir leur perception sur l’état actuel et l’avenir de notre métropole. Cette consultation intensive confirme ce que je croyais… Force nous est de constater que le climat a déjà été meilleur. Il faut certes combattre le cynisme ambiant qui existe partout mais, en toute lucidité, il faut admettre que nous vivons des moments difficiles et que Montréal a besoin de se retrouver. Dans plusieurs secteurs nous vivons sur le pilote automatique (ou sur nos gains du passé) et ce n’est pas nécessairement un gage de succès ni de quoi nous rassurer. Par ailleurs, il existe des histoires magnifiques à raconter ou à réaliser à Montréal mais elle ne peut pas toujours compter sur leurs institutions politiques comme catalyseur ou facilitateur compte tenu de la conjoncture politique et maintenant de la proximité électorale. L’heure n’est plus à la thérapie de groupe, au sommet (ou aux forums) mais à l’action. On peut s’apitoyer sur notre sort et s’auto-flageller continuellement mais nous sommes à la croisée des chemins. Il est temps de se rouler les manches et de redonner à notre ville cette fierté, cette confiance en soi qui a toujours caractérisé notre communauté. Montréal ne doit pas être perçue ou définie comme un problème mais une opportunité extraordinaire de résilience nous permettant d’assumer notre plein potentiel de future ville « intelligente » (smart city). C’est pour cette raison que j’annonce aujourd’hui ma candidature à la mairie de ma ville pour redonner à Montréal son rôle et son véritable statut de métropole. Redevenir le leader et le centre d’attraction des investissements, des projets novateurs dans tous les domaines, mais, surtout, pour redonner aux Montréalais leur fierté ! Nous ne pouvons plus dépendre des autres. Nous devons nous redonner ce rapport de force et cessez d’être infantilisé. Montréal est la métropole et le poumon économique du Québec. Montréal doit redevenir incontournable dans la tête de nos gouvernants tant à Québec, qu’à Ottawa. Député depuis 16 ans dans le comté de Mtl-Bourassa, j’ai contribué à la venue à Montréal de l’Agence mondiale anti-dopage, défendu les droits des athlètes francophones aux Jeux olympiques de Nagano, ceux des ex-employés de la raffinerie Shell dans l’est. J’étais là aux piquets de grève avec les employés d’AVEOS sauvagement mis à pied, et plus récemment sur les tribunes pour maintenir le siège social de l’OACI chez nous. J’étais aux premières loges pour faire pression sur le gouvernement fédéral pour la construction du nouveau pont Champlain. J’ai

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défendu le secteur aérospatial et aéronautique. J’ai toujours promu la recherche en général pour nos universités et la propriété intellectuelle notamment chez les pharmaceutiques. J’ai joué un rôle de premier plan à l’immigration. En fait, j’ai toujours défendu les intérêts des Montréalais sur toutes les tribunes partout au Québec, à Ottawa comme à l’étranger. J’ai défendu Montréal mais il est maintenant temps pour moi d’aider à façonner l’avenir de la métropole du Québec. J’en ai la compétence et l’expérience, l’énergie et le dynamisme et je compte réunir à mes côtés toutes celles et tous ceux qui, indépendamment des partis et des idéologies, croient en l’avenir de notre ville et voudront lancer et animer avec moi des projets qui vont unir à nouveau les Montréalais autour d’un avenir commun et mobilisateur. J’annonce par le fait même que je quitterai mes fonctions de député fédéral le 2 juin prochain, date où il y a 16 ans, la population de Bourassa me donnait un premier mandat pour les représenter. Les deux prochaines semaines me permettront de compléter certains dossiers, de faire la transition avec mon personnel et surtout de remercier dignement et respectueusement à la Chambre des communes mes électeurs qui m’ont fait confiance pendant toutes ces années. Je renoncerai donc à mon salaire comme à mes avantages de député et ne toucherai ni indemnité ni prime de départ avant de rentrer dans mes « terres ». Montréal a besoin d’administrateurs compétents et, surtout, intègres qui sauront proposer une vision d’avenir à leurs concitoyens. Les Montréalais ont besoin d’un nouveau leadership qui va les respecter, les consulter et tenir compte de leur opinion. C’est ce que je m’engage à faire, c’est le rôle que je compte jouer. Malgré tout ce qu’on entend et ce qu’on peut lire, la santé économique de Montréal est incontestable; le bilan foncier, les transactions immobilières et l’activité économique sont là pour le prouver. Montréal est une ville riche : riche de ses universités, de ses entreprises, de ses grands hôpitaux, de son monde de la recherche, de sa diversité ethnique, de la présence harmonieuse des deux langues les plus influentes du monde, de sa communauté d’affaires dynamique, et pardessus tout, de ces citoyens. Montréal a besoin d’être rassemblé à nouveau. Contrairement à ce que plusieurs pensent, Montréal n’a pas besoin d’un « sauveur », elle a besoin d’un leader, d’un rassembleur compétent et inclusif, d’un chef d’orchestre ! Je serai ce chef d’orchestre. Il ne s’agit pas de faire de la politique autrement mais… correctement Parce que je crois que les partis politiques ont fait leur temps au niveau municipal et que leur existence est en bonne partie responsable des accusations de corruption auxquelles on assiste présentement, je ne constituerai pas de parti au sens traditionnel du terme; nous n’aurons pas de permanence, pas de directeur général et les futurs élus qui auront fait campagne sous la bannière de l’Équipe Denis Coderre ne devront pas suivre une « ligne de parti » au futur conseil municipal. L’hôtel de ville de Montréal n’est pas un parlement mais une administration.

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Je n’ai pas l’obsession de former une équipe électorale complète de 103 maires et conseillers d’arrondissements, d’ailleurs, j’estime qu’il y a trop d’élus à Montréal, et j’ai la ferme intention de travailler avec toutes celles et de tous ceux qui croient en Montréal et désirent travailler à rebâtir sa réputation et à relancer son progrès. L’Équipe Denis Coderre s’imposera donc comme un pôle de ralliement de toutes celles et de tous ceux qui croient en Montréal et désirent travailler à rebâtir sa réputation et à relancer son progrès. Toutes celles et tous ceux qui souhaiteront m’accompagner dans cette aventure devront cependant faire la preuve de leur intégrité, car je ne ferai aucun compromis à ce chapitre. Symbole de se renouveau, je m’engage également à ce qu’au moins 50% de celles et de ceux qui se présenteront sous notre bannière soient des nouveaux venus sur la scène politique municipale. La taille de l’Équipe Denis Coderre sera limitée et opèrera avec un budget restreint qui n’égalera pas la moitié de ce que les autres formations comptent consacrer à la campagne. Nous mènerons une campagne à la fois « lean and mean » et « clean and mean » ! Finalement, le style de ma campagne sera différent en ce qu’elle utilisera les plateformes numériques et les médias sociaux à plein dans le but d’offrir à nos concitoyens des moyens originaux de participation, d’échange et de financement de notre campagne. Je rendrai d’ailleurs publics les détails de notre plateforme numérique dans les prochaines semaines. Je ferai campagne sur au moins 7 thèmes que je développerai au fil des mois qui vont nous conduire au 3 novembre mais dont j’entends déjà annoncer la couleur ce matin. 1. Honnêteté – Gouvernance - cohérence Notre ville a été trop malmenée depuis des mois pour ne pas intervenir promptement afin de renforcer l’intégrité et la transparence dans tous les gestes administratifs posés par la ville. Je pense que les Montréalais doivent cesser d’attendre les autres pour faire leur ménage ! Nous avons besoin de repenser la gouvernance de notre ville. Je créerai la fonction d’Inspecteur général. Ce haut fonctionnaire sera indépendant de toute influence politique et pourra, à sa propre initiative ou sur dénonciation par un employé ou un citoyen, scruter tous les projets, programmes et contrats de la ville pour enquêter, révéler toute fraude et réduire sinon éliminer la corruption; il aura également pour fonction de repérer le gaspillage dans la gestion de la ville. Je compte sur la collaboration de tous nos concitoyens et de l’ensemble des syndicats et des employés de la ville pour l’aider dans cette tâche. L’éthique, ça se passe dès l’embauche de la haute fonction publique municipale. À cet égard, trop de hauts fonctionnaires sont embauchés sans concours et en contravention des processus et des règles établis. Nous devrons mettre fin à ces pratiques. Chaque haut fonctionnaire devra avoir passé une évaluation de sécurité.

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Je crois fondamentalement à la démocratie représentative. La grande majorité de nos élus(es) comme nos employés(es) sont foncièrement honnêtes. Je ne veux pas que l’on tombe dans un climat de suspicion continue. Être vigilant je veux bien, se donner des outils et des mesures qui nous permettront de gérer la réalité et la perception d’accord; mais la transparence, l’imputabilité et la traçabilité des décisions seront un gage d’antidote au cynisme et une solution pour solidifier notre démocratie municipale.

2. Grande métropole Montréal n’est pas seulement une ville, c’est une métropole, et elle doit avoir les moyens de sa mission. Personne n’ose en parler, mais nous avons présentement deux « Montréal », il y a la ville centre et il y a les 19 arrondissements et certains d’entre eux se comportent souvent comme des villes à part entière sans se soucier de la réalité des autres. Je ne m’adresse pas ici nécessairement aux anciennes villes de banlieue. Je n’ai pas l’intention de faire une élection sur les structures; les enjeux économiques, environnementaux et sociaux sont prioritaires. Cependant la gouvernance a une incidence certaine sur notre façon de gérer et je demanderai à la population de me donner ce mandat de réévaluer notre façon de faire une fois élu. Québec saura qu’il devra agir pour respecter le souhait des Montréalaises et Montréalais par l’entremise de leurs élus et surtout de leur maire. Par exemple, la ville compte trop d’élus. La parcellisation du paysage politique et administratif actuelle de Montréal n’a aucun sens et constitue un frein important à son développement. Nous devrons revoir ce modèle de gouvernance en cherchant le meilleur équilibre entre les arrondissements qui veulent plus de pouvoir et la ville centrale dont tous les Montréalais attendent qu’elle assume un leadership. Les arrondissements représentent une plus value et non une ville de plus. Montréal doit pouvoir à nouveau parler d’une seule voix ! Ce que je veux cependant c’est de m’assurer que le citoyen puisse avoir des services de proximité de premier plan. Nous devons cesser ce débat stérile de centralisation vs décentralisation. Nous devons parler de cohérence et donner à nos élus dans leur quartier la capacité financière et administrative de livrer la marchandise et de jouer pleinement leur rôle imputable devant leurs électeurs. Le but n’est pas d’infantiliser ou de tout contrôler mais bien de responsabiliser et d’assurer que nous vivons dans un environnement où on peut penser globalement tout en agissant localement. Je veux également réévaluer notre façon de faire avec les 15 maires de l’Ile de Mtl (Agglomération) et assumer le plein potentiel du Plan Métropolitain d’Aménagement et de Développement (PMAD). Les questions de mobilité et de déplacements et surtout la réalité de l’étalement urbain, la densité du territoire, l’environnement et l’avenir de notre centre-ville doivent faire partie des priorités.

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3. Croissance économique Je pense qu’il faut créer la richesse avant de penser la redistribuer. Notre programme de développement économique pose comme prémisse que ce n’est pas au gouvernement municipal de créer des entreprises ni de déterminer quelles entreprises viendront s’installer et croître à Montréal, l’efficience des marchés devra s’occuper de tout cela. Cependant c’est la responsabilité de la ville de mettre en place des conditions gagnantes qui font en sorte que les entreprises veulent s’y installer et y faire des affaires. J’aurai l’occasion au cours des prochaines semaines de donner mon plan économique pour la métropole. Voici certains points que je toucherai: (note : Avec comme toile de fond : Montréal Ville Intelligente et la gouvernance administrative) 1 – Accéder et se déplacer à Montréal 2 - Montréal International & Tourisme Montréal 3 – Nos parcs industriels 4 – Montréal – ville universitaire 5 – Des emplois à Montréal pour les Montréalais 6 – Les grandes entreprises mais aussi les PME 7 – Nos trois campus hospitaliers, des locomotives de développement économique 8 – Les banlieues – des partenaires économiques de premier plan 4. Montréal Ville intelligente Nous ne définissons plus le monde par les continents ou les pays mais bien par les villes. Si on veut que Montréal entre véritablement dans le XXIe siècle, qu’elle devienne efficace et efficiente. Si on veut que notre métropole soit au diapason avec ses citoyens et avec le monde, si elle veut vraiment faire partie des grands et des incontournables, tant sur le plan économique, de l’innovation et de la créativité. Elle devra avoir son statut de « Ville Intelligente » (Smart City). Une ville « intelligente » est une ville qui planifie, s’adapte aux changements (et qui a la capacité d’y répondre) développe et intègre l’ensemble des technologies de l'information et des communications à son développement économique, à la participation des communautés et des citoyens, à l’environnement, aux transports et aux activités de l’administration municipale ellemême. C’est en fait le modèle par excellence de résilience, de gouvernance et de développement durable. Montréal « Ville Intelligente » consolidera son statut de métropole culturelle et de pôle de création par excellence. Montréal répondra ainsi à la demande de ses centres de recherche, de ses établissements universitaires et de recherche, de ses créateurs, de ses gens d’affaires et de ses partenaires internationaux qui recherchent ce pont numérique nécessaire aux nouvelles façons de gérer les entreprises et les relations entre individus. Montréal devra être « Wi-Fi Free » partout sur son territoire et instaurer l’infrastructure nécessaire pour assumer notre statut numérique à tous les niveaux. J’assumerai le leadership politique avec l’ensemble des partenaires institutionnels et de secteurs privés pour réaliser cette vision.

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5. Vision Transport : mobilité – déplacement - cohabitation Concernant l’enjeu du transport et de la mobilité, ceux-ci prendront une place toute particulière dans le concept de ville intelligente que je souhaite mettre en place. Telles les veines qui amènent le sang du cœur vers les organes, le transport joue ce rôle fondamental pour la vitalité de Montréal et de sa région. Il est un des principaux leviers de développement socio-économique dont nous disposons. Avoir une vision pour Montréal, c’est donc avoir une vision de la mobilité que l’on souhaite. Mobilité, aménagement et développement iront donc immanquablement de pair. Trop longtemps l’efficacité des axes de transport a été évaluée en fonction du nombre de véhicules qui s’y déplacent. (Cela a notamment été le cas dans la planification des travaux entourant Turcot alors que l’on a calculé sa capacité par rapport au nombre de véhicules pouvant y circuler). Il faut maintenant penser l’efficacité des axes en fonction du nombre de personnes qui s’y déplacent ainsi que de la nature de leur déplacement. Concrètement, cela signifie : • de miser sur l’utilisation du meilleur mode en fonction du besoin de déplacement; (ex. dans l’axe Pie-IX, un besoin se faisait sentir pour créer un lien nord-sud rapide vers le centre-ville et ce, sans encombrer la ligne verte qui l’est déjà. Pour ce faire, il était nécessaire de revoir le partage de l’espace public entre les différents modes et de mettre en place un mode plus efficace (SRB) pour transporter plus de gens. ACHALANDAGE POTENTIEL SRB = 70 000 PERS) • d’arrimer le développement du transport avec le développement urbain (pôles d’emplois, de loisirs, de culture et d’habitation, revitalisation, grands projets) (ex. profiter du développement des projets Hippodrome et Le Triangle, aux abords de la station de métro Namur pour créer de véritables quartiers (avec résidences, commerces, institutions et espaces publics) qui favoriseront le développement d’une multitude d’options de mobilité (marche, vélo, transport collectif, voiture, etc.) ; • et de prioriser un aménagement du territoire intégré favorable au transport durable (en ce sens, adhésion claire aux principes du PMAD (Plan métropolitain d’aménagement et de développement de la Communauté métropolitaine de Montréal). Enfin, les personnes seront au cœur de cette stratégie mobilité ; mobilité qui se voudra accessible (tant physiquement que virtuellement), accommodante et agréable. La capacité des Montréalais de se rendre à leur travail, d’effectuer leurs courses ou tout autre déplacement dans des temps et à des coûts raisonnables sont au cœur de mes préoccupations. 6. Culture Qui dit ville intelligente sur les plans de l’innovation, du transport, du développement durable et social et de la gouvernance signifie aussi une ville intelligente, innovante et dynamique sur le plan culturel où l’art, la technologie, la création peuvent se déployer et marquer le vécu quotidien des gens qui vivent à Montréal et pour ceux qui y sont de passage.

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La culture à Montréal c’est une véritable force qui la distingue. Des centaines d’artistes, artisans, créateurs, organismes et entreprises participent au quotidien à définir l’identité culturelle de notre cité. Cette culture se distingue par sa mixité, sa diversité, son originalité et sa créativité. Être Montréalais, c’est en effet vivre au diapason des grandes villes internationales. Être Montréalais, c’est expérimenter à chaque jour et de manière pacifique le rendez-vous de la mixité culturelle. Être Montréalais, c’est aussi vivre pleinement l’énergie qui caractérise et qui lie entre eux les centres urbains créatifs à travers le monde. Dans ce contexte, l’Équipe Coderre désire être un facteur d’audace, un catalyseur qui permettra :    

D’affirmer encore plus cette identité montréalaise D’accroître la participation de l’ensemble de nos citoyens à la vie culturelle dans nos quartiers, nos arrondissements, nos pôles culturels et favoriser la mobilité qui permettra de découvrir de notre ville et de rencontrer « l’autre » De stimuler et d’accompagner en tant que partenaire de premier rang les artistes, les institutions, les organismes et les entreprises culturelles Et d’encourager le développement et le rayonnement de Montréal à travers le monde par le biais de notre culture tout à fait unique. Insuffler une énergie nouvelle, redorer noter fierté montréalaise, affirmer et vivre pleinement notre statut de ville internationale, cosmopolite, avec en toile de fond la primauté du français et se servir de cette force culturelle que nous avons pour se développer, c’est ce qui constitue la base de notre vision du développement culturel pour le Montréal d’aujourd’hui et de demain.

7. Pauvreté et itinérance Mon Montréal doit être inclusif. Je ne crois pas qu’on puisse générer un progrès économique durable sans aussi créer une cohésion sociale forte. Jusqu’à 30 000 Montréalais pourraient vivre sans domicile fixe selon les estimations (Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal), c’est inadmissible et nous poursuivrons le travail entrepris par la ville avec le Réseau et l’Agence de santé pour prévenir l’accroissement de l’itinérance et mieux répondre aux besoins des gens qui se retrouvent dans la rue. Conclusion J’aime Montréal, j’y vis avec ma famille depuis mon enfance et j’ai son avenir à cœur. J’invite toutes les forces vives qui souhaitent comme moi voir Montréal se remettre en marche à me soutenir ou à m’accompagner dans ce projet emballant mais également semé d’embuches. Il arrive un moment dans ta vie où tu dois décider ce que tu veux réaliser dans ton propre environnement. Moi j’ai décidé, dès mon jeune âge, que je voulais servir mes concitoyens et les représenter. Je veux leur assurer une voix au chapitre et protéger (voire améliorer) leur qualité de vie. La meilleure façon de prédire l’avenir, c'est de le créer a déjà dit celui qu’on a appelé « le pape du management » Peter Drucker. C’est dans cet état d’esprit que j’ai décidé, bien

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humblement aujourd’hui, de mettre mon expérience et mes compétences au service des Montréalaises et des Montréalais et redonner à notre Métropole ses lettres de noblesse. Denis

Coderre Candidat à la mairie de Montréal

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