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Festival
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Culture!
T’AS PAS D’COPINE ? FACEBOOK T’EN TROUVERA UNE !
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Vos désirs sont DÉSORDRES / DVVRFLDWLRQ& HVWSDU,6,&ÀqUHGHVHVQRPEUHX[QRXYHDX[PHPEUHVIUDSSHHQFRUHFHWWH DQQpHDYHFXQHVpULHGHFRXUWVPpWUDJHVVXUOHVGpVRUGUHV6RFLDX[VRFLpWDX[SV\FKRORJLTXHV RXWRXWVLPSOHPHQWGpVRUGUHGHYLHOHVSHUVSHFWLYHVpWDLHQWLQWpUHVVDQWHVHWYDULpHVSRXUGHV FRXUWVPpWUDJHVGHTXDOLWp'HjPLQXWHVQRLUHWEODQFRXHQFRXOHXUVDQLPDWLRQRXDFWHXUV GH j OHVFRXUWVPpWUDJHVRQWSHUPLVGHGRQQHUXQHGpÀQLWLRQGXGpVRUGUHVRXVWRXWHV VHVIRUPHV 0DLVFHWKqPHQ DSDVpWpDERUGpTXHSDUOHVUpDOLVDWLRQVGHÀOPVLOpWDLWDXVVLOHÀOFRQGXFWHXU GHFRQFRXUVRUJDQLVpVGDQVOHFDGUHGXIHVWLYDO0DUGL PDUVF HVWjO 2HQROLPLWTXHOHV DPDWHXUVGHSKRWRRQWSXVHUpJDOHUGHO H[SRVLWLRQGHFOLFKpV HWDFFHVVRLUHPHQWGXEXIIHW TXLFRPSRVDLHQWXQHIUHVTXHGHGpVRUGUHV/HFRQIpUHQFLHU$ODLQ0RQVLQDXJXUDODVRLUpHHQ SDUODQWGHVGpVRUGUHVVRFLpWDX[FRPPHQWO RUGUHDEHVRLQGXGpVRUGUHHWTXHPrPHFHOXLFLHVW HVVHQWLHODXERQPDLQWLHQGHODVRFLpWp SXLVOHMXU\SURFpGDjODUHPLVHGHVSUL[SRXUOHFRQFRXUV SKRWR6XUIRQGGH/DULKDSPXVLFLHQKDXWHQFRXOHXUDXVRQIRONHOHFWURDFRXVWLTXHODVRLUpH VHÀQLWWUDQTXLOOHPHQWGDQVODGLVFXVVLRQHWLOIDXWOHGLUHXQFHUWDLQGpVRUGUH 0HUFUHGLHWMHXGLODSURMHFWLRQGHVÀOPVjO 8WRSLDDWWLUDEHDXFRXSG KDELWXpVGHFXULHX[ SHXWrWUHPrPHGHSDVVLRQpVGXGpVRUGUHHWELHQVUWRXVOHVJRXUPHWVGHFRXUWVPpWUDJHV 0DLVO pYpQHPHQWDWWHQGXF pWDLWVXUWRXWOHPDUDWKRQGHFRXUWVPpWUDJHV(QHIIHWYHQGUHGL ODVRLUpHPHWWDLWjO KRQQHXUOHVUpDOLVDWHXUVHQGHYHQLU3RXUUDSSHOPHUFUHGLPDWLQKOHV pTXLSHV GH MHXQHV UpDOLVDWHXUV GpFRXYUDLHQW OH VRXVWKqPH GX PDUDWKRQ OHV DGGLFWLRQV HW GHYDLHQWHQKpFULUHOHVFpQDULRQÀOPHUPRQWHUHWPL[HU8QPDUDWKRQ GDQVWRXVOHVVHQV GXWHUPH TX RQWUpXVVLDYHFEULROHVGHX[pTXLSHVGHFHWWHDQQpH OHVFRXUWVPpWUDJHVRQWpWp SURMHWpVjO 8WRSLDHWOHSUHVWLJLHX[MXU\OHVDFRPPHQWpV8QEHDXSDULXQHEHOOHpSUHXYHHW XQFRXSGHSRXFHSRXUOHVJDJQDQWVGDQVOHPRQGHGXFLQpPD/HFRQFHUWDX)/YDFORUHOD VHPDLQHGHIHVWLYDOXQIHXG DUWLÀFHSRXUUpFRPSHQVHUOHERQWUDYDLO
Non, ce n’est pas une des séquelles du tsunami japonais. On l’appelle «la Maison folle». Cette maison construite à l’envers est visible à Bispingen, au nord de l’Allemagne depuis cette semaine. Renversant !
SUR LE VIF% LES AFGHANES DOIVENT-ELLES SKIER EN BURQA ? A Bamiyan, dix audacieuses ont chaussé les skis. Une première pour des femmes dans ces montagnes du centre de l’Afghanistan. La maîtresse de maison ne sortira pas. Depuis le vaste champ enneigé, où sont installés son Þls et son mari, on peut distinguer le bruit de la vaisselle entrechoquée émanant de la maison de terre sur le talus qui borde la piste. Là s’affairent déjà dix skieuses, sous le regard stupéfait des paysans du village de Khoshkak, en contrebas des sommets de Koh-e-Baba, au centre de l’Afghanistan. Les jeunes et les moins jeunes de ces spectateurs n’ont qu’un seul mot à la bouche. « Des femmes qui skient ? Je suis contre si elle doivent le faire sans burqa », ronchonne Afzal, qui qualiÞe ce sport de « nouveauté importée de l’occident » tout en égrenant son chapelet. Saïd, 13 ans, pourtant l’un des meilleurs élèves de la toute nouvelle école de ski locale, ne dit pas autre chose : « Si elles veulent skier, elles devraient mettre une burqa, ou au moins se couvrir le visage ». C’est que, dans ce petit hameau de la province de Bamiyan, la plupart des femmes ne sortent pas sans voile intégral. (metrofrance.com, 29/03/11)
l’éclair par feu le Combattre
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NOS CHERCHEURS ONT DU TALENT
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VOIR SOUS LES JUPES DES FILLES C’est une perversion dont on sait qu’elle existe, mais sans savoir vraiment en quelle quantité et où cela se passe. Un toulousain a été surpris au début du mois en train de Þlmer sous les jupes des femmes, dans l’enceinte d’un supermarché. Et l’ampleur de son penchant pour le voyeurisme laisse songeur : 500 autres vidéos similaires ont été trouvées dans son téléphone portable par les policiers qui l’ont interpellé. Il sera jugé le 6 avril devant le tribunal correctionnel.
Voilà en schématique l’idée de chercheurs de l’université d’Harvard. Ces derniers ont mis au point un procédé révolutionnaire permettant de lutter contre les incendies à l’aide d’une lance à … électricité. Il s’agit d’une « baguette » reliée à un générateur de courant, capable de diriger un ßux électrique. Ce ßux, envoyé en direction des ßammes, est capable de charger électriquement les particules de carbone créées lors de la combustion, et de les rendre instables. Cette instabilité permet une réduction de la ßamme, donc à la fois d’éviter une propagation des ßammes, mais aussi la création de chemins à travers un feu pour ouvrir une voie d’entrée à l’intention des pompiers, ou une échappatoire pour les gens bloqués par les ßammes. Révolutionnaire on a dit. Reste un problème à régler : rendre le procédé portable, car pour le moment il nécessite un gros amplificateur et une prise de courant, choses qu’un pompier n’a pas toujours sous la main.
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Ou « Nos amis les geeks, épisode 878 ». C’est bien connu, un homme désiré est un homme désirable (si, si), du coup pour les célibataires 2.0 les plus ßemmards, une nouvelle start-up américaine se propose de créer, moyennant Þnance, le proÞl de votre petite amie idéale. Elle retweetera vos tweets, likera vos posts et vous écrira des petits mots sur votre mur Facebook, une vraie de vraie petite amie, quoi. Virtuelle. La « cloud girlÞrend » est née, et apparemment, ses créateurs proclament que le fait de voir une fille liker leurs profils augmentera les chances de nos geeks avec une Þlle en chair et en os. Le site est déjà surchargé de requêtes au point que les webmasters ont dû créer une Þle d’attente. Prochaine étape, résoudre le souci qui adviendra lorsque vos potes voudront rencontrer l’oiseau rare. Il paraît que l’on a récemment fait de grands progrès en robotique …
L’INCROYABLE VOYAGE DES MOBY DUCKS
Vous connaissez l’histoire de Moby Dick la baleine blanche ? Sans doute, et celle des Moby Ducks ? Il s’agit d’une cargaison de 28 800 animaux de plastique, à commencer par les petits canards de bain jaunes, s’étant perdus en mer, enfin échappés de conteneurs tombés d’un cargo au beau milieu de l’océan Pacifique en 1992. Depuis 2005 un essayiste américain est parti à leur recherche et il vient de publier un livre, Moby Duck, sur l’incroyable périple de ces animaux accompagnant les bains de plusieurs générations d’enfants. Cette expérience est devenue une odyssée, qui l’a conduit de Seattle en Alaska, puis à Hawaii, et enÞn en Chine et en Arctique. Et non contents d’avoir colonisé les quatre coins de l’océan, il s’est rendu compte que ces animaux de plastique perdus en mer avaient un impact écologique énorme. Les canards en plastique vont conquérir le monde !
