Comment savoir quand ça souffle

au gain mécanique du carbone fait souvent pencher la balance vers le wishbone en .... Mes articulations ne sont pas en bon état, mais rien qui ne m'empêche ...
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du windsurf Le magazine du King

TESTS

21 WISHBONES AU BANC D'ESSAI > CARBONE ET ALU > WAVE / FREERIDE / RACE

TACTIQUE STRATÉGIE RÉGLAGES, PRÉPA PHYSIQUE : TOUT POUR BIEN SE PRÉPARER POUR GRUISSAN

ITW 50 ANS

ROBBY

NAISH "MON CŒUR BAT TOUJOURS POUR LE WINDSURF" DOSSIER : NE PLUS RATER LE VENT…

Comment savoir quand ça souffle ?

TRIPS > Polakow à Backyards, Oahu > Traversa et Denel en Islande

WIND 373- AVRIL 2013 BEL/LUX : 6,50¤ - DOM/S : 6,50¤ - DOM/A: 7.5¤ IT/GR/ESP : 6,50¤ - PORT.CONT : 6,50¤ - CH : 11,00 FS CAN : 10,5 $CAD - MAR : 60 MAD – AND : 5,50¤ NCAL/S : 1120 CFP-NCAL/A 1380 CFP – POL/S: 1150 CFP

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SOMMAIRE AVRIL #373

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Couverture : L'inoxidable Robby Naish continue de faire rêver toutes les générations de windsurfeurs. © Kolesky / Nikon / Redbull Content Pool Sommaire : L’inévitable et aussi actif que talentueux Thomas Traversa partage une session de rêve avec Robin Goffinet à Plozevet (29). © Pierre Bouras

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ÉDITO Robby l’éternel

REFRESCAPÉRO Planche synchronisée ! TAMTAM Ce qu’il ne fallait pas manquer LA PANOPLIE DE… Cédric Bordes TESTS WISHBONES Torture de wishs INTERVIEW DE ROBBY NAISH À 50 ans, le King fait le point DOSSIER VENT Comment contrôler l’insaisissable ?

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DÉFI WIND Bien se préparer pour Gruissan POLAKOW @ BACKYARDS La perfection

TRIP EN ISLANDE Il fait froid mais les vagues sont chaudes LOCALS En intégrale au Cap D’Agde et Sylvie Beekandt PHOTOS DU MOIS À qui le tour ? DESSERT What’s next ?

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APÉRO CHILI CON CARNE

E M M CO

À LA AISON M E n 2013, la PWA a prévu de faire escale au Chili pour une Coupe du monde de vagues grâce au travail sur place de l'Anglais Robby Swift. Tous les coureurs s'en félicitent, à commencer par Robby Swift lui-même, Victor Fernandez et Klaas Voget qui passent tous les hivers à l'entraînement du côté de Matanzas. Enfin une belle épreuve de waveriding sur le tour qui ne nous déplaît pas non plus lorsqu'on voit ce type d'images… Ici Victor Fernandez s'envole, comme à la maison, au-dessus d'une section avant d'enchaîner sur l'épaule d'une vague lisse comme on aimerait en voir plus souvent !

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PHOTO : KLAAS VOGET

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TESTS WISHBONES

© Jean Souville

UN MARCHÉ EN PLEIN BOOM !

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TEXTE : FRANCK ROGUET // PHOTOS PRODUITS : BERNARD BIANCOTTO

LES WISHBONES VERSION 2013 Le wishbone assure la transmission entre la voile et le windsurfeur et constitue de ce fait une pièce importante de notre quiver. S’il est moins visible que la voile ou la planche, il ne doit pas être négligé d’autant que ces dernières années ont vu un certain nombre d’évolutions dans ce domaine avec l’avènement du C shape et des wishs carbones. Une bonne raison de passer en revue vingt modèles principaux du marché.

Les progrès continuent sur « l’os de vœux », à la fois en technologie de construction avec de nouveaux matériaux plus rigides, plus légers, des tubes plus fins, mais aussi depuis quelques saisons de nouvelles formes plus près de la voile pour une meilleure réponse et plus ergonomique en manœuvres où votre main est toujours à 90º de sa prise. Le C shape, largement repris par la plupart des constructeurs, offre une maniabilité accrue que ce soit en vagues ou en freestyle mais apporte aussi son lot de bienfaits en freeride et pour l’apprentissage du jibe et du virement de bord. Même chose pour les modèles de course qui évoluent et prennent du volume sur leur partie arrière pour suivre les innovations des voiles de compétition.

COMMENT CHOISIR SON WISHBONE ? Il y a wishbone et wishbone ! Ne négligez pas cet accessoire, il peut transcender votre voile actuelle ou anéantir les performances de votre nouveau gréement si vous vous entêtez à conserver un modèle hors du temps. Prenez aussi en compte les qualités de construction et de résistance qui varient d’un wishbone à l’autre en fonction des alliages d’aluminium ou de qualité de carbone choisi, faisant varier la fiabilité et le prix. Si vous n’êtes pas encore passé aux nouveaux profils, sautez le pas. Le gain de confort est indéniable, à l’image du bien-être apporté par les mâts RDM en vagues.

CARBONE OU ALU ? En racing, la question ne se pose pas. La recherche de performance à l’extrême pour plus de rigidité et de réponse font du wishbone en carbone la solution nº1. Imagineriez-vous Fernando Alonso avoir des triangles de suspension en alu plutôt qu’en carbone sur sa monoplace ? En vagues, la différence qu’apporte le carbone sur l’aluminium n’est notable que pour les plus pointus des waverideurs mais marginale pour la majorité des planchistes. En revanche, la différence dans le porte monnaie est flagrante pour tous : l’écart de prix par rapport au gain mécanique du carbone fait souvent pencher la balance vers le wishbone en alu, devenu suffisamment raide, léger et fiable de nos jours. La longévité du wishbone carbone peut jouer en sa faveur pour les windsurfeurs puissants et lourds que la solidité préoccupe, ou si votre fréquence de navigation est très élevée. En freeride ou pour le pratiquant occasionnel, l’aluminium suffit amplement, sauf si vous tenez à vous faire plaisir en vous offrant un bel objet haut de gamme. Le carbone est tout de même plus agréable, surtout pour les voiles supérieures à 6.0 m2. Enfin, certains fabricants ont trouvé la parade en proposant un compromis avec des wishbones hybrides, moitié carbone, moitié aluminium, qui offre un rapport propriétés/prix intéressant.

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INTERVIEW DU KING DEMI SIÈCLE

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ROBBY

NAISH 50 ANS ET TOUJOURS LE KING !

© RedBull Content Pool

Le 23 avril, le windsurfeur le plus emblématique au monde fêtera ses 50 ans ! Robby Naish n’en reste pas moins un rideur passionné comme au premier jour. Sur l’eau, son style toujours si unique continue de forcer le respect de tous. Pour ses 50 ans, Wind magazine a posé 50 questions au King aux 24 titres titres mondiaux, propriétaire fondateur de Naish International, père et même grand-père de famille heureux. Il y aborde sa vie, sa passion, le windsurf et son business en toute simplicité.

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INTERVIEW : ERWAN JAUFFROY // PHOTOS : VOIR MENTIONS

Un regard qui en dit long…

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Plus de photos

J’ADORE VOIR LES JEUNES DANS LEURS NOUVEAUX SAUTS RADICAUX. J’ADORE NAVIGUER AVEC EUX ET LES FÉLICITER QUAND ILS DÉCHIRENT.”

© JDphotofairy

À PROPOS DE LUI… ROBERT STAUNTON NAISH

Quels conseils donnerais-tu alors pour rester en forme ? Si je devais donner des conseils pour rester en forme, je dirais d’avoir de l’activité physique tous les jours, même si ce n’est que quelques minutes. Il ne faut pas se laisser aller et vivre avec passion. Ne pas fumer et boire trop d’alcool. Bien manger aussi, pas forcément comme un athlète olympique, mais faire un minimum attention. L’attitude est aussi importante. Je sais que la vie peut être difficile, mais ne laissez pas le stress vous gagner. Il est vraiment très mauvais, il vieillit et tue la motiva-

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tion. Prenez votre temps, pensez à vous de temps en temps. La vie est ce que l’on en fait… Donc rendez-la marrante autant que vous le pouvez et d’une manière ou d’une autre allez sur l’eau ! Cela permet de se déconnecter. On ne doit pas vivre à travers nos ordis et téléphone. Il faut les envoyer au diable de temps en temps ! Navigues-tu toujours réellement tous les jours ? Oui, lorsque les conditions le permettent, j’essaye de naviguer tous les jours. La vie est devenue plus compliquée, mais je fais toujours de la navigation l’une de mes principales priorités. Comment envisages-tu le jour où tu ne seras plus assez en forme pour garder ton niveau sur l’eau ou même tout simplement d’aller naviguer ? J’ai conscience que je ne pourrais pas rester au top niveau pour toujours. J’essaie de rester « bon » aussi longtemps que possible. J’ai un peu peur que ce ne soit plus aussi marrant lorsque je serai plus limité, mais on ne sait jamais… Tirer des bords est déjà amusant, c’est toujours mieux que d’être devant un ordinateur ! Souffres-tu de blessures dues à un excès de windsurf ? Pas vraiment… Mes articulations ne sont pas

en bon état, mais rien qui ne m’empêche de vivre. Mes genoux, épaules et coudes, surtout du côté gauche sont douloureux lorsque je navigue beaucoup. Mais la sensation de douleur est bonne du moment qu’elle ne te ralentit pas ! Si tu pouvais changer quelque chose dans ta carrière que modifierais-tu ? Absolument rien. J’en suis très satisfait. Sur l’ensemble de ta carrière, de quoi estu le plus fier ? Je dirais ma longévité ! Il n’y a pas de titre ou de victoire qui sorte du lot. Je suis fier de toutes ces années à rider, ces amis, ces victoires, ces défaites, ces virages pris dans leur globalité en tant qu’expérience de vie. Faire ça toutes ces années a été extraordinaire pour moi. Décris-nous une journée de rêve pour toi ? Le pire c’est que j’en ai beaucoup… Le jour parfait c’est de se réveiller tôt pour aller se faire une session de SUP sur un point break en gauche, glassy et de deux fois ma taille. Au retour de la session, je mange un petit déjeuner avant que le vent ne se lève. S’il est encore léger, je retourne sur la même gauche pour faire un peu de kite, une petite heure. Après le vent se lève pour 4.7, toujours side shore et je retourne prendre des vagues pour quelques heures en windsurf. En fin d’après midi, je re-

© Erik Aeder

Wind : Bonjour Robby, tu sembles en pleine forme. Quel est ton secret pour rester un jeune homme à 50 ans ? Robby Naish : Quand je suis à la maison à Maui ou n’importe où près de la mer, j’essaye d’aller sur l’eau aussi souvent que possible. C’est le meilleur entraînement que tu peux avoir. Quand je voyage, je fais des pompes, des abdos, des tractions, des mouvements de muscu pour les bras, en utilisant une chaise par exemple car je n’aime pas les salles de gym. Je cours aussi un peu ou je fais du skate. Mais jusqu’à maintenant, j’ai eu la chance de pouvoir aller sur l’eau assez souvent pour ne pas abuser de ces exercices ! J’ai une salle de gym chez moi, mais je ne m’en sers presque pas. Entre windsurf, kitesurf et SUP, j’ai juste besoin d’un peu de cross training pour rester en bonne forme.

© RedBull Content Pool

Né le 23 avril 1963 à La Jolla (San Diego) en Californie Habite à Hawaii depuis 1968. Famille : Marié à Katie, père de deux filles Nani ( 31 ans) et Christina ( 5 ans) et grandpère d’une petite Lilikoi ( 3 ans) Sponsors : Quiksilver, Red Bull, Porsche. N° voile : US 1111 Palmarès : 24 titres de Champion du monde et 150 victoires Philosophie : la vie est ce que tu en fais et chaque jour passé sur l’eau est un bon jour.

En bon père de famille, Robby partage une session à Kailua avec sa dernière fille Christina. Entre la Cadillac, la Evans Serie One GTP et le jet ski, le garage de Robby reste bien fourni en matos de planche !

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J’AI CONSCIENCE QUE JE NE POURRAIS PAS RESTER AU TOP NIVEAU POUR TOUJOURS. J’ESSAIE DE RESTER « BON » AUSSI LONGTEMPS QUE POSSIBLE, C’EST IMPORTANT POUR MOI.” joins un circuit automobile pour piloter pied au plancher 15 ou 20 tours dans une voiture de course. Pour finir la journée, je rentre à la maison pour dîner en famille et avec quelques bons amis. Et un jour normal dans la vie de Robby ? Il n’y pas de jours normaux dans ma vie, je voyage toujours beaucoup et je suis toujours plus ou moins sur le départ ou sur le retour. Lorsque je suis à la maison, mon programme dépend beaucoup de la météo. Normalement, je me réveille et prend le petit déjeuner avec ma fille (si le surf n’est pas très bon), je la prépare pour aller à l’école et après je m’attaque aux emails pour un moment. À partir de là, ça dépend beaucoup des vagues et du vent. Je peux passer pas mal de temps au siège de ma société Naish, mais sans programme particulier. D’ailleurs je n’y ai pas de bureau, mon bureau est à la maison. Je navigue tout de même en windsurf, kite ou SUP pas mal d’heures chaque jour si le temps le permet. En voyage, je fais beaucoup de choses différentes, d’opé-

rations de promotion aux salons commerciaux en passant par des rendez-vous de business ou pour la fondation Laureus, des séances photos, etc. C’est une vie de fou, mais j’adore ça. Justement, n’es-tu pas un peu fatigué de voyager autour du monde depuis toutes ces années pour promouvoir tes marques et bien sûr le sport en tant que son indétrônable icône? Non, vraiment pas. À vrai dire, je deviens nerveux lorsque je reste à la maison trop longtemps. Je pense que c’est dans mon tempérament d’être tout le temps en mouvement. J’aime être chez moi mais je ne supporte pas la routine. Est-il difficile d’être l’icône du windsurf depuis son essor ? Rêverais-tu de te retirer du cirque médiatique ? Absolument pas. Si je voulais me retirer, je le ferais. De la manière dont je vois les choses, ma vie ressemble à celle dont les gens rêvent quand ils imaginent ce qu’ils feraient s’ils ga-

gnaient au loto ! Pour moi c’est donc aussi une vie de rêve et j’avoue que j’aime assez les médias et tout ce qui va avec. Et puis je ne suis pas si célèbre que ça… Je travaille beaucoup, mais c’est un bon travail.

Même si on le voit moins sur l'eau plate que dans les vagues, Robby n'a rien perdu de sa vitesse et de son racing jibe !

Quel serait le plus beau cadeau d’anniversaire que tu pourrais avoir pour tes 50 ans ? 50 années de plus ! À vrai dire, je n’ai besoin d’aucun cadeau. Que préfères-tu faire dans la vie à part les sports d’eau ? À côté de la famille et de la mer, mes autres passions, ce sont les sports automobiles et les voitures. J’adore les voitures. Je suis passionné par Porsche, mais je possède aussi beaucoup d’autres voitures. J’ai une voiture de course Evans Series One GTP qui est autorisée sur la route depuis plus de 20 ans. Je l’avais achetée neuve en 91 ! Je la conduis moins maintenant que nous n’avons plus de circuit à Hawaii, car elle était vraiment faite pour ça. Ma

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MAGAZINE

© Erwan Crouan

V'LA LE BON VENT

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TEXTE : JEAN SOUVILLE // PHOTOS : VOIR MENTIONS

R I O V A S T N E COMM

QUAND SOUFFLE

LE VENT ?

Le windsurf et le vent sont indissociables, mais par définition, s’il nous touche dès qu’il arrive, le souffle de l’air est impalpable. Savoir quand il y a du vent, c’est tout le problème du windsurfeur, car c’est lui qui nous dicte sa loi. Quand il est là, il ne faut pas le rater. Des méthodes à l’ancienne aux dernières technologies, nous passons en revue les trucs et astuces pour ne pas rater les bonnes sessions. Un peu d’autodérision au passage ne fera pas de mal.

À moins d'avoir la maison en face du spot, identifier les bonnes conditions à distance a toujours été et reste une préoccupation importante pour tout windsurfeur. Heureusement, il y a de plus en plus de solutions.

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PROGRESSER ARRIVER PRÊT AU DÉFI WIND

BIERN ER

PRÉPA

LE DÉFI

WIND le Épreuve in-con-tour-nable du windsurf,ère. enti t par à ent Défi Wind est un évènem avec Imaginez-vous sur une ligne de départden ts, les e entr teau 1000 passionnés, le cou e pur de km 40 r prêt à en découdre pou glisse ! Mise à part le côté incroyable dedsurvivre un tel moment dans sa vie de winpas à feur, une telle compétition ne se prend la légère et demande un minimum de Waconnaissance et de préparation. Nicolasle rembourg vous propose de voir ensembrder toutes les astuces à connaître pour abo le plus grand défi de votre vie !

Le départ est l’image emblématique du Défi Wind, mais aussi un moment clé à ne pas rater pour réussir sa course. Le secret : il faut partir lancé !

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TEXTE : NICOLAS WAREMBOURG // PHOTOS : BERNARD BIANCOTTO, SAUF MENTIONS

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LE COACH : NICOLAS WAREMBOURG Coureur de haut niveau habitué du top 5 français et spécialiste du coaching en windsurf, Nicolas Warembourg est diplômé d’un Master de préparation physique et mentale ainsi que d’un BE2 voile entraînement. Il est notamment connu pour ses « clinics » organisées avec Ultramarina sur différents spots de la planète.

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PERFECT SESSION JASON LE JARDINIER

Plus de photos

BACK

YARDS

L’AUTRE

HAWAII …

ipa Hawaii est souvent synonyme d’Hook lier oub st ou tout du moins de Maui. C’e t bien vite que les autres îles comporten s plu tes cer également d’excellents spots, fait en u capricieux. Backyards à Oah e partie et Jason Polakow y a scoré l’un r. hive de ses meilleures sessions cet Pour Wind magazine, il raconte.

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TEXTE : JASON POLAKOW // TRADUCTION : JEAN SOUVILLE // PHOTOS : JOHN BILDERBACK

Déjà maître du bottom turn à Mach 2, Jason Polakow le place ici sur la droite parfaite de Backyards, lisse comme un billard !

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TRIP ISLANDE CAMPING PARADISE

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e d n a l L’Is ES ET DE L IL E V R E M E D E TERR

VAGUES

et ses rir un nouveau pays, ses vaguescontexte ouv déc e, squ pre ou nu con l’in le Partir à de Thomas Traversa. Inspiré par coutumes est l’une des passionscompère Jules Denel, les deux tops rideurs économique et une idée de sonet nous racontent leur expérience. français reviennent d’Islande

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TEXTE : THOMAS TRAVERSA ET JULES DENEL // PHOTOS : SOPHIA REGERBIS

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Plus de photos

1. Les plus belles vagues du trip, sur un des reefs de Grindavik. Ce jour-là elles ont cassé pendant quelques heures seulement avant de disparaître avec la marée haute. 2. Petite session onshore à la "plage" de Grindavik avant que la houle ne rentre le lendemain. 3. Les chutes d'eau de Gulfoss dans le centre de l'île, à quelques encablures du village de Geysir, ou la version islandaise des chutes du Niagara ! 4. Jules Denel survole un autre reef de Grindavik, cette fois avec du vent de droite. 5. Un grand nombre d'Islandais croient toujours à l'existence de trolls et autres créatures elfesques, mais celui-ci n'était pas très bavard. 6. La magnifique cascade de Skogarfoss dans le sud. 7. Une autre superbe cascade sur la route menant à Vik.

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© John Carter

LE MEILLEUR DU WINDSURF

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