5 - Sotrvenirsrl'trrrenfant rle Ia.(,ité ( 1 9 3 9- 1 9 { i r ) b) lJoccupation A Pérouges, I occupation ne sefit passentr avant enva nrssement par esallemands de lazonesuden 42. Seules resrestrctonset e . régimede Vchy , y étaitpalpable A lécole,nousrnontionses couleurstous resmalnset chantons" lYaréchal, nousvolà, et < Flottepetitdra peau). Lactasse cornmençart toujourspar l5 minutes de moraleaveccomrnentaire d'unephraseautableau. Nousavionsdesinstituteurs de grandequalrté,lyonsieur et MadameBouly,qui nousont profoncemenr marqLles. lYonsieur Boulyétaitunanciende Verdunet évoquait son enferau Fortde Veau. Laprèsmidiétaitsouventconsacré au plen airet travaux du jardinet deschamps: ramassages desdoryphores et apfes,oespommesde terre,desmarrons(pourfairedu sàvo) Touses parkings actues de Pérouges étatenttransformés en champsde pommesde terre.Eevageoe versa sore Goùt)efô! anqre ' të.:a,antspêtozot,ts (ramassâge desfeuilles de mûriers). Malgrétout, en août 44, lâ cité allaitsortr à peu près Le Cornitéde Pérouges étaiten somme]|.Lesrestaura ndemne de cettesombrepériodelorsqu'arriva laterrble tronss étaientarrêtéesfautede moyens,les mernbres bataille de lseptembre. étanttrès dispersés (quelquefois prisonniers). Le secré tare générai,AnthelmeThibaut,géraitl,association aidé ll) La libération de quelques membresdu bureau,maislesdéplacements pourlesréunonsou lesdémarches étaienttrèsdiffcies. Labataille dul. septembre |944 LesmomentsIbres,il avatentrepris larédactton d'undic Plusconnuesousle nom de batale de i\4extmteux, quifrt tonnarredu patoispérougien quelamaladte lu feraaban le sujetd'un remarquable ouvragede nosdeuxadrninis donnerà la lettreE. trateurslesdocteurs Vctor Fo et RenéCharesRudgoz La situatlonn'avaitpoLlrtantpasque des Inconvèntents, elleeut un épisodeirnportant aussià pérouges. e leavartresserrée lesliensentreleshabitants. Etfladame Voic les souveniEd'un enfantde iO ans,dont chaque De Viileneuve créa un groupefolkloriquen les Carats .ede m,.urêde a9ar"erestegravéea lanar e. sa Pérozards , qurconnuun grandessorauprèsdesjeunes rnemo re. qurnavaentd autresdislractions. Votreservteurqu en Nous étrons5 copainspérougiens très urrrsoonrje surs faisait parti,eut le plaisir: lorsd unfestrval national, de dan hélasle seulsurvivânt , leanElrnassian (JeanBoLrveyron serle n Chibrel' à Lyonau Stadede Gerlanddevant40 e.-no rrème) lo Soas,'eryea^Gravre. 000spectateuE l Chaquematinpendantlesvacances, nousnousretrouEn 1942,tout changea avecI'envahissemenr oe ta zone vronspourfairele prqet jour, du pêcheet vélo.Ce mer sud par Iarmée allemande.Le pouvoir n,étaitplus credi30 aoûtvers l0 heures,ilsarriventpour rne cher exercépar la Préfecture de I'Ain,maisen fait, par la chertout excités: lesamércanssontà lyeximieux, les < Kommandantur >. allernands sont partis. Allons vitelesvoir:rlsdistribuent des Le campde LâVabonnereçutunegarntson alemande bonbons, chocolat, cigarettes, etc.. . qu , trèssouvent, manceuvrart dansla cdéet alentourEt C étaitjour de marché,lesdeuxplaceset la Ruede Lyon ]amusique du Régmentvenaitassezrégultèrement don étaientnoiresde monde(pas de voiturernaisà cheval). neroesconcerts sur a place.Lacitéellemêrnefut occu, Au centre de larueet surla place,4 jeepsétaentgarées péecomplètement pendant2 mo s : lesmaisons videset équipées " mitrailleuses de lourdes) en bâtteriebandede l'hôtelréquisitionnés ; campement surlesTerreaux. munrtrons engagées. Lessoldats étaientdécontractés
