Le Québec doit respecter sa parole: une stratégie sur les aires protégées en 2001 et un réseau d’aires protégées représentatif en 2005

Le gouvernement du Québec doit déposer sa stratégie sur les aires protégées, après des années de retard, une position peu enviable dans le concert des nations et d’interminables tergiversations interministérielles. La création d’aires protégées permettra de conserver et de récupérer, pour les génération futures, nos forêts, notre faune et tout ce qui fait partie de notre patrimoine écologique.

sont épuisées causant un désastre au niveau de l’emploi. En investissant de l’argent dans le parc de la Gaspésie, le Premier ministre, Monsieur Bernard Landry, reconnaît que le Parc est à l’origine d’un « des plus puissants moteurs de la relance de l’économie gaspésienne ».

Sur le territoire public du Québec, la création d’aires protégées devrait être prioritaire dans les forêts commerciales. L’Association manufactuLa création d’aires protérière du bois de sciage et gées permet de structurer le Fonds mondial pour la et de diversifier l’économie nature s’entendent pour régionale. La Gaspésie en dire que le retrait d’une est un bel exemple, là où superficie forestière, par les ressources naturelles

la création d’une aire protégée, ne signifie pas nécessairement une diminution de la possibilité forestière et, par conséquent, des «approvisionnements aux usines». Pour l’Union québécoise pour la conservation de la nature (UQCN), le gouvernement du Québec doit s’assurer que TOUTES les différentes régions naturelles soient représentées et protégées par un réseau d’aires protégées, et qu’un pourcentage REPRÉSENTATIF et SIGNIFICATIF de chacune des régions soit préservé dans toute son intégrité naturelle.

Pour le Québec, il est grand temps d’agir!

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